Si le nombre de locuteurs qui meurent reste très supérieur au nombre d’apprenants, le breton ne sera bientôt plus qu’un souvenir…, sauf sur les panneaux indicateurs bilingues…
Le grégarisme est une caractéristique propre à certaines espèces animales qui vivent en troupeau, en harde, en groupe, etc.
Les vaches, les moutons, les cerfs, les sangliers, les bœufs musqués, mais les hommes aussi… sont des animaux grégaires
Ce comportement d’agrégation est généralement très impératif chez ces espèces.
On l’observe parfaitement quand il s’exacerbe sous le coup de certains facteurs environnementaux dont la peur provoquée par la vue d’un prédateur ou d’un parasite.
C’est particulièrement vrai des moutons quand ils sont attaqués par des chiens ou des loups ou encore quand ils sentent la présence de mouches œstridés qui les harcèlent.
Ce comportement est d’ailleurs utilisé par l’homme pour la conduite du troupeau quand le chien participe à ce réflexe d’agrégation.
Ce comportement d’agrégation est également une constante chez la très grande majorité des humains, le plus souvent en réponse à une sollicitation émotionnelle (peur, colère, mais aussi à l’occasion de spectacles, de rencontres sportives, etc.).
Le grégarisme, lorsqu’il affecte un nombre trop important de sujets, a des effets négatifs (effet de masse). C’est le cas dans les mouvements de panique (moutons ou chevaux qui se précipitent dans le vide quand des prédateurs ou l’homme les effraient, tragédies malheureusement fréquentes et consécutives à des mouvements de foule dans les stades de football ou les discothèques, etc.).
Chez l’homme, la vie en société est rendue possible quand elle s’appuie sur les effets de groupe et ses conséquences bénéfiques.
Lorsque les bénéfices d’une vie en société ne sont plus partagés par un grand nombre, c’est-à-dire aussitôt que des règles établies pour en arriver là sont détournées au profit d’un toujours plus petit nombre de bénéficiaires, la spoliation est comprise comme un effet de masse.
Paradoxalement, une des façons dont les individus luttent contre les effets de masse quand ceux-ci remplacent les effets de groupe, c’est de se réfugier dans l’individualisme.
Dès lors, les groupes se reconstituent à partir d’individus dont l’agrégation est motivée par des intérêts religieux, politiques, philosophiques quelquefois, mais surtout par des intérêts corporatistes et financiers surtout, vouant aux gémonies et aux ghettos, les individus ou les groupes qui ne disposeraient ni des appuis financiers suffisants, ni des appuis politiques dominants ou plus prosaïquement des armes les plus sophistiquées en dominant ceux, formatés, qui s’en serviraient volontiers.
Le principe énoncé par Allee précise que dans une population, il existe à la fois un nombre d’individus minimum et un nombre d’individus maximum, entre lesquels la population a le plus de chance de vivre dans les meilleures conditions.
Le nombre minimum peut être associé à la notion d’effet de groupe : nombre minimum d’inscrits dans un Forum pour assurer de meilleurs échanges de messages…, nombre minimum d’individus dans une population de mammifères pour que la rencontre avec un partenaire sexuel soit probable et que les risques de consanguinité soient réduits…, nombre minimum de grands cormorans sur un site de nidification pour qu’il y ait des accouplements, des pontes et que l’élevage des jeunes soit conduit à terme ; etc.
Le nombre maximum d’individus qu’il vaut mieux ne pas dépasser pour ne pas risquer les effets néfastes du dépassement des capacités du milieu peut être associé à la notion d’effet de masse : trop d’abeilles dans une ruche pendant la période hivernale compte tenu des réserves alimentaires disponibles ; trop d’individus dans une population de mammifères entraînant de troubles comportementaux, souvent liés à la promiscuité, et des troubles sanitaires liés à une surexploitation des ressources ; etc.
On n’oubliera pas que si le surpeuplement, comme le sous-peuplement sont des facteurs limitants chez les espèces végétales, comme animales, ils le sont aussi, et souvent de manière dramatique, pour les populations humaines ou des subdivisions de ces populations (groupes socio-économiques, ethniques, religieux, culturels, etc.)…
En suite de toutes mes réflexions résumées ci-dessus, ma prise en compte de données réelles, à savoir de terrain, me parait une étape essentielle a mon observation de la théorisation des simulacres de comportements.
Je pense tenter de comprendre quelle est, par exemple, la différence concrète entre une vache limousine (du Limousin, sans rapport à une berline allongée) et une normande…
J’hésite également à chercher des points de corrélation entre un chrysanthème et une tulipe…, car la seule faune qui m’intéresse est le genre présumé “humain ” !
Quant à la flore…, et bien, disons que mes seules connaissances en la matière sont limitées a une substance aussi prohibée qu’un rapport sexuel quand je dors comme un bienheureux…
Le premier point de mon étude porte sur ce que d’aucuns nomment l’apparat, que je considère plutôt comme l’identification publicitaire.
L’homme-sandwich grégaire n’est pas mort… quoique les rencontres avec ce type d’individu se concrétisent épisodiquement tel un concours de sapins de Noël…, de ceux où les plus beaux atours de minettes au quotient intellectuel inversement proportionné au compte en banque de papa rivalisent d’audace avec ceux de jeunes hommes a la frêle stature s’habillant en 14 ans pour donner un effet moule-bite a leurs guenilles.
L’effet escompté est pour eux, de montrer qu’ils ont bien assimilé que le fait d’être laid, mais d’une laideur conforme au marché (l’aspect grégaire donc), était le premier facteur de réussite sociale.
Je me suis ensuite penché sur les vecteurs culturels, à savoir comprendre comment l’on pouvait pourrir grégairement un cerveau de manière irréversible… et j’ai compris alors que la télé-réalité était en tête des facteurs de socialisation.
D’où, probablement, le nombre exponentiel de tentatives plus ou moins réussies d’accouplement dans les piscines, à l’instar du phénomène récent de gesticulations incohérentes dans les boites de nuit branchées.
Je me suis ensuite intéressé aux repas…, m’est alors revenu l’adage : “tu es ce que tu manges“, ce qui à eu pour conséquence de me faire ouvrir les yeux sur l’identification alimentaire.
Le niveau est régi par une nouvelle forme d’échelle sociale, celle de l’assiette…, où on passe du sordide à l’exquis, à l’image de ce qu’est l’Homme…, du morceau de bidoche grasse et suintante au bout d’une broche verticale, à un repas de bourgeois-bohème hygiéniste ne contenant pas même de quoi remplir une dent creuse.
Le tout dans l’idée de s’affirmer par ce que l’on ingurgite.
J’en ai conclu que la société s’apparente à un théâtre, une pièce mal-jouée ou acteurs et public se confondent.
L’individu dans sa quête d’autosatisfaction fait semblant de manger, il fait semblant de s’habiller, fait semblant de baiser, ce qui, dans ce cas de gymnastique copulatoire, reste pourtant le seul moyen de porter un peu d’intérêt à autrui.
Le comportement simulé, l’existence oubliée.
La fin d’un monde.
Le début d’un autre.
Pour rester (temporairement) dans l’aspect sexuel du grégairisme, on nous sublime le pet comme une œuvre éphémère, insaisissable, déstabilisante, pénétrante… et pour preuve de sa force évocatrice : le pet modifie l’humeur.
Plus le pet est émis du haut de la pyramide sociale, plus il provoque un effet grégaire d’adoration par l’olfactif.
Le pet devient senteur, fragrance irrésistible… et les fesses se transforment en atelier de créations !
Rien de surprenant pour des nez éduqués aux odeurs artificielles, synthétiques.
Des nez incrustés dans des cerveaux formatés à apprécier la sophistication de la puanteur
Le pet sublimé ravive la masse à l’instar du génie créateur…
A force de fellations et de pets, je risque de finir par être assez digne de figurer parmi les “grands” de ce siècle : tous ces éminents intellectuels s’adonnant à la masturbation groupée, tous ces penseurs racolant et baissant leur froc pour le plus infime subside…
J’aspire un jour à être l’un d’eux.
Je veux moi aussi faire dans la production d’ersatz littéraires, dans la vulgarisation minimaliste et baclée d’auteurs du passé.
Je veux vivre de la médiocrité collective, m’enrichir de l’abêtissement général.
Je veux moi aussi être invité en prime-time, pour qu’on encense un torchon que j’aurais écrit entre deux cuites et une branlette.
Je veux faire partie de ce petit cercle parisien étriqué, rencontrer des cinéastes complexés, des auteurs stériles et des journalistes frustrés.
Je veux être reçu à la table des grands couturiers sodomites qui, à force d’enculades, portent des couches sociétales !
Je veux me taper des top-models décérébrées, des putes anoréxiques et shootées qui méprisent les autres, crachent à la face du petit peuple qui vit loin de leur luxe obscène et de leurs tergiversations frivoles…, abruti par un travail déshumanisant et des médias débilitants.
La pire sensation est celle de se retrouver isolé, coupé d’une réalité trop vile, sans égal face à un monde en pleine décrépitude.
Or je le suis…, j’ai franchi le point de non-retour.
L’écrivain brillant et talentueux que je pense être se voit emprunt d’une solitude qui me place au rang d’observateur de votre vie, de juge de vos actes, de témoin de vos pêchés.
Seul, donc, mis de côté par ceux qui m’adulent.
Seul, au milieu d’une foule souvent stressée, parfois orgiaque, toujours mouvante.
La ville, tourmentée et bruyante, est aussi l’endroit ou l’extrême solitude est la plus violente.
Paris en est la synthèse : ses faubourgs, ses putes, ses pédés, ses bobos rachitiques et ses enrichis hautains.
Ca grouille, ça pollue, ça consomme, mais ça ne remplit pas le vide de l’existence, on y ressent toujours cette tristesse environnante qui fait de la ville-lumière une centrale électrique désaffectée, une amanite qui transforme et détruit tout ceux respirant son air vicié.
Seul, toujours…, comme une litanie sans fin, comme l’algorythme d’une subsistance que je considère vaine mais que je ne veux pas abandonner…, j’écris frénétiquement, comme un échappatoire à ma conscience.
Toutefois, j’ai beau être seul, il arrive que des effluves de sudation mêlées aux parfums de luxe envahissent mon oxygène… rndant ma vie irrespirable, tant du point de vue physique que moral.
Pourtant, j’écris…
Les gens m’insupportent.
Je tente néenmoins, par à-coup, de retisser du lien social, mais rien ne suffit.
Le consumérisme à atteint son zénith, le verbe est bon pour les pauvres.
Pauvres cons, tiens !
Toujours prompts a dégainer leur suffisance, malgré leur inculture crasse, pour prétendre à une fantasmagorique supériorité.
Seul, chez moi, devant mon écran.
Merci au monde moderne, aux avancées technologiques.
La télévision à supplanté les radotages au coin du feu.
Les réseaux sociaux et les sites de rencontre sur internet ont suppléé aux veillées campagnardes d’antan, où les cul-terreux se rencontraient d’un village à l’autre et fondaient des familles.
Le clavier s’est substitué à la plume.
Le virtuel à relevé le réel.
Seul, dans ce siècle où la démence et l’incohérence s’installent de concert pour plonger dans les abysses de la nullité intellectuelle, relationnelle et sentimentale.
Naguère, les gens étaient libres individuellement, dans une société contraignante et sclérosée.
Une fois la liberté collective gagnée, les frustrations individuelles et l’hypocrisie se sont installées et ont transformé les individus en avortons coincés et livrés à une vie imaginaire.
Mais comment refaire le monde.
Refaire ce monde.
Seul, toujours.
Du berceau au cercueil.
Du Paradis à l’Enfer.
J’ai observé, lors d’un moment d’inactivité assez rare dans une vie trépidante, le miroir dans lequel je voyais une image peu reluisante.
Avec la plus grande attention, j’ai scruté cette apparition terne au milieu du bois patiné; la figure brillante que je suis censé incarner n’était alors qu’un obscur personnage.
La réflexion sur une image réfléchie pouvait paraître absurde, néanmoins, les yeux étant, d’après les poncifs ringards “le reflet de l’âme“, j’ai quand même brassé l’air pour évacuer l’opaque nuage de fumée et prêter attention à mes pupilles dilatées.
En l’espèce, c’était donc dans mes propres yeux qu’il me fallait trouver des réponses.
Ceux-ci avaient la vivacité d’un incompris, autant que la tristesse d’un désenchanté.
Pas de mélancolie larmoyante, non.
Juste la constatation d’une certaine cruauté dont chacun et capable.
La perte progressive d’humanité sous couvert d’individualisme désaxé.
Ma transformation était progressive, à mesure de l’enlisement collectif dans les limbes de la médiocrité.
Je m’en rendais compte, mon changement devenait de plus en plus flagrant… et ce n’était pas si facile à accepter.
Le dégoût de cette société à la dérive, asexuée et pervertie avait pris le dessus sur une joie de vivre aveugle de la réalité.
Cette vision semi-nostalgique teintée d’amertume à eu au moins le mérite de me faire commencer mon introspection.
Mais ce n’est pas à l’intérieur de moi-même que j’allais plonger, plutôt dans un verre de Mojito.
A ce propos, une légère digression s’impose.
Je dois préciser que j’aime les prolétaires, les exclus, les asociaux, tous ceux que la société faussement bourgeoise composée de métrosexuels boutonneux rejette et méprise.
Mais qu’elle jalouse au fond d’elle même, sans se l’avouer.
Dans l’absolu, n’importe quel ouvrier, cloche-pouille ou autre smicard aura toujours plus de choses à raconter qu’un mécheux blond et toujours pré-pubère à 25 ans, prisonnier de sa bulle de conformisme.
Pour en revenir à ma préoccupation principale, je suis allé au bar du coin et je me suis positionné sur une petite table coincée entre une vitre et la porte d’entrée.
Une fois à l’aise dans ce bistro, mes commandes effectuées, je me suis à nouveau observé.
La nuit étant déja tombé depuis longtemps, j’étais à nouveau face à mon reflet, très net dans la vitrine, mis en relief par les réverbères de la ville.
L’atmosphère polluée de cette morne nuit rendait mon éclat sur le verre aussi fluorescent que la jupe d’un travesti opéré.
Je me mirais, de façon presque obscène à en croire le visage de la serveuse qui croyait sans doute que je la matais, malgré sa maigreur, ses quarante pige bien tassées et ses cheveux de garçon manqué.
Cela me donnait envie de replonger dans une tranquillité imaginaire, je me contais dès lors de belles histoires…, ou des historiettes plutôt, comme autant d’explications à ce que je voyais.
Je voyais d’ailleurs une forme, tantôt aux contours nets, tantôt ectoplasmique, en proportion à mon degré d’ébriété croissant.
De même ma plume se mettait à trembler, au fur et à mesure que mon double s’obscurcissait.
J’étais dans un drôle d’état.
En transe, peut-être, en délire, sûrement.
De ces délires qui font voltiger, planer, prendre conscience de la populace qui s’agite…, sans ressentir la moindre compassion pour cette addition d’individus, d’anonymes qui ont vocation à le rester puisque tristement enfermés dans leur solitude.
La lèpre intellectuelle qui gagne les villes de plus en plus robotisées a achevé de faire partir en lambeaux les derniers reste de conscience collective.
Mon narcissisme resurgissait ainsi de plus belle, j’étais en pleine auto-admiration, alors qu’il n’y avait vraiment pas de quoi.
Retour au bar, donc, après cette petite phase d’égocentrisme brut.
Me détournant de mon image, je pus apercevoir les abrutis d’en face plier bagage.
Enfin !
Leur attitude larvaire d’émerveillement devant leur seule et unique pinte de bière devenait insupportable, surtout qu’il ne buvaient pas, se contentant de jacasser bêtement.
Je partis également quelques minutes plus tard.
En marchant sur la chaussée mouillée, je me suis penché sur une flaque d’eau.
J’y ai vu se dessiner une personne aigrie, demi-saôule, les yeux rouges et le teint pâle.
Je n’ai pas voulu en voir plus, c’était bien assez pour ce soir, l’image s’est dissipée dans de petites ondulations, à mesure que je disparaissais dans les brumes, suffoquant et titubant.
J’étais heureux.
Ma soirée était réussie, mes réflexions finies, ma conscience rassurée.
J’étais l’incarnation de mon triste univers… et pas grégaire du tout…
Mais…, j’ai commis l’erreur d’y retourner le lendemain !
D’abord, quand je suis arrivé à l’entrée j’ai revu les deux têtes de con qui servaient de videurs.
L’un faisait dans le proxo albanais, l’autre paraissait être une bonne brute du style homme de main venu de l’Est.
Une gamine de beau quartier d’à peine 33 ans, sûrement une habituée des lieux, faisait la bise au deuxième.
Le décalage entre elle et lui était franchement comique.
Une fois à l’intérieur, première constatation, la musique était à chier…, ce que je n’avais pas remarqué la veille…, j’ai ressenti une sorte de nausée, pas à cause de l’alcool ou d’une drogue, mais plutôt due à l’ambiance générale de ce lieu, ce mélange de thunes, d’excès pathétiques en tout genre, de gens grégaires faussement dépravés, superficiels et arrogants…, ce qui devenait très dur à digérer.
Tous étaient si misérables par leur grotesque, leur style surfait, leur comportement risible.
Comme disait Napoléon : “du sublime au ridicule, il n’y a qu’un pas !“…
Et bien là, sans l’ombre d’un doute, il était allègrement franchi.
Revenant au jour le jour de ma vie réelle, un flash m’est arrivé a point nommé, au milieu du marasme intellectuel dans lequel mes réflexions m’avaient plongé.
La vue d’une association regroupant des présentoirs et des gens aussi mal-foutus et repoussants les uns que les autres m’a apporté une belle bouffée d’air frais.
Cette association, qui monopolisait près de 10 mètres de trottoir, avait pour finalité de faire prendre conscience aux gens du bien être des animaux.
Selon eux, ces derniers ont des besoins, des droits, une âme…
C’est ce que me dit mon chat tous les jours, me reprochant de ne pas l’écouter…
Etrange.
Mais non dénué d’intérêt sociologique.
Après tout, j’allais aimer à croire que ce puisse-t-être vrai, que l’animal était sans doute plus que ça.
En imaginant ainsi le charmant écureuil bouffer des glands toute la journée, j’ai tout de suite compris que c’était un évident point commun avec la grosse dinde bénévole qui essayait de me refourguer son prospectus en papier recyclé.
De même, la présence d’un têtard à hublot rachitique aux manières efféminées m’a plongé un instant dans le souvenir de sodomies parisiennes, où je rencontrais de nuit toute une multitude de batraciens.
L’animalité de l’être humain lui fait ressentir compassion et amitié envers son compagnon poilu à quatre pattes, qu’il s’agisse de chiennes, de chattes…, ou autre mammifères domestiques.
La conclusion sur la basse-cour grégaire environnante, groupement de moutons pleins de considérations mielleuses sur leurs semblables, était claire : si je ne partais pas tout de suite de ce stand névrosé, j’allais devenir chèvre.
Je suis donc revenu écrire tout ceci…
Ce que je commence à regretter !
Trop grégaire…
Pffffffffffffffffffffffffffff !