Tout fout’l’camp
Nous sommes maîtres de la terre… Nous nous croyons des presque Dieu… Et pan ! le nez dans la poussière… Qu’est-ce que nous sommes : Des pouilleux
Et là-haut les oiseaux… Qui nous voient tout petit, si petits… Tournent, tournent sur nous… Et crient : Au fou ! au fou !
Nous nageons tous dans la bêtise… Et l’on invente des drapeaux… On met des couleurs aux chemises… Sous la chemise y a la peau
Ecoutez le monde en folie… Vive la mort, vive la fin… Pas un ne crie vive la vie… Nous sommes tous des assassins
Et toute la terre qui gronde… Bonne saison pour les volcans… On va faire sauter le monde… Cramponnez-vous, tout fout l’camp !
Et là-haut les corbeaux… Qui nous voient tout petit, si petits… Tournent comme des fous… Et crient : A nous ! A nous !
La vie pourrait être si belle… Si l’on voulait vivre d’abord… Pourquoi se creuser la cervelle… Quand y a du bon soleil dehors !
Et pourtant les filles sont belles… Et y a du beau soleil dehors… Pourquoi se creuser la cervelle… Au diable tout, vivons d’abord
Et là-haut les corbeaux… Qui nous voient tout petit, si petits… Crient : les hommes sont fous… Ils se foutent de nous !
La contagion merdiatique, est un problème très actuel, et question que beaucoup se posent, n’est pas le fait de germes sensés être pathogènes qui viendraient nous agresser de l’extérieur mais se produit essentiellement par transmission d’information et entrée en résonance avec ladite information.
Dans l’univers, tout est vibratoire. Ces vibrations, ces fréquences, ces ondes, sont porteuses d’informations. Nous y sommes perpétuellement soumis, traversés, impactés à notre insu. Or les facteurs de stress dans l’environnement, sources de nos maladies, sont multiples, quotidiens. Ils représentent une information, négative, de basse vibration, qui nous impacte plus ou moins selon notre état mental et physique.
Ces facteurs peuvent être aussi bien le froid et la grisaille que l’effet des ondes ou une engueulade avec notre moitié. Ou la peur, ou la guerre. Ils sont légion.
Lorsqu’une population est soumise aux mêmes facteurs de stress, aux mêmes conditions environnementales, un certain nombre de personnes vont développer des symptômes plus ou moins similaires en fonction de leur terrain individuel, de leur état de santé et de leur état psychologique. On va alors extrapoler sur une contagion de personne à personne, ce qui est (presque) totalement erroné, la contagion de personne à personne n’étant pas due à de vilaines bébêtes mais à la transmission d’une information morbide par l’intrication quantique de l’eau et/ou l’électromagnétisme. On peut parler d’effet de mimétisme.
Les facteurs de stress dans l’environnement sont des vibrations basses. Si nous vibrons à la même hauteur que ces facteurs de stress, qui peuvent aussi être le fait des personnes que nous côtoyons, nous entrons en résonance et sommes impactés par ces informations au pouvoir plus ou moins délétère. C’est une porte ouverte. Nous sommes alors susceptibles de “tomber” malades car le stress se transmet, de la même façon que le rire et la joie. La peur en est un exemple flagrant. On parle alors d’effet nocebo, l’inverse de l’effet placebo. La suggestibilité et la croyance à la base de ces effets sont des facteurs hautement sous-estimés, notamment par les sciences matérialistes, ils sont pourtant au cœur du problème actuel.
L’effet nocebo, un élément crucial pour comprendre les phénomènes qui nous impactent négativement, est trop largement mésestimé. Il est pourtant le fait de notre inconscient, de notre subconscient et de l’inconscient collectif, qui sous-tendent tous nos comportements. On pourrait aisément dire qu’il s’apparente à la sorcellerie. Par exemple, les informations anxiogènes quotidiennes véhiculées par médias et médecins suffisent à entrer en résonance avec ces basses vibrations qui nous rendent malades et peuvent même nous tuer, par le pouvoir de la croyance et de la suggestibilité. Il suffit de baisser en énergie et en cohérence et d’être dans l’état de réceptivité adéquat pour entrer en résonance avec ces vibrations morbides et en devenir victimes. Peur, colère, angoisse, tristesse, nous mettent en état de fragilité extrême.
C’est pourquoi il est essentiel de chercher à vibrer le plus haut possible, par l’amour, la joie, la gratitude, afin d’échapper aux basses vibrations de l’environnement qui nous entraînent quasi inévitablement vers le stress et la maladie. La maladie étant toujours porteuse de messages dans l’optique d’une guérison réelle, qui n’est pas celle de l’illusion transitoire apportée par les médicaments et la chimie, car il est surtout question de prise de conscience, de changement et de cohérence de vie. À ce sujet, il y a un excellent livre de Joe Dispenza, spécialiste reconnu de l’épigénétique, qui traite intelligemment de ces éléments mal connus et controversés. Il s’intitule : “Le placebo, c’est vous ». N’ayant pas la prétention de détenir la vérité, qui est assurément complexe, ceci correspond juste à ce que je pense et ressens actuellement. Je m’inspire également des réflexions des Drs Alain Scohy et Tal Schaller, ainsi que d’autres. À vous de voir si tout cela vous parle.
Vers où aller ? Un mouvement qui s’installe franchement dans la durée. Qui quitte le côté solitairement manifestatif. Se prolonge avec des formes de plus en plus diversifiées. Dont des « blocages à des points stratégiques », comme les autoroutes ou les incinérateurs de déchets. La logistique de l’économie. Les possibilités de la « grève pédagogique » qui consiste à accueillir les élèves, mais sans leur faire suivre le programme habituel. Bref, chaque détail de la vie quotidienne repris bien en main. Sur le terrain et systématiquement. Et le tout ?
Tout ce qu’il faut quitter ? Dans la tête et dans le cœur. Savoir où nous allons et ce que nous faisons pour.
Sommes-nous jaloux des bourgeois ? Envier leur « réussite », mais quelle réussite ? Est-ce vraiment « réussir » sa vie que de posséder un yacht qui pollue la méditerranée ? C’est à coup sûr gâcher celle des autres, il n’y a aucune… réussite là-dedans : dans le contexte actuel, rester un bourgeois c’est assurément un énorme échec. Posséder une Rolex à 40 ans c’est bien avoir échoué dans la vie : quand le luxe devient le renfort de son égo, c’est assurément que l’on a merdé quelque part. »
La réalité sociale est donc toute autre alors que ce sont les gens les moins bien payés qui font les métiers les plus essentiels et que si tous les hauts cadres de ce pays se mettaient en grève, on ne verrait pas la différence. « Enfin si : on bosserait dans de meilleures conditions, dans le public comme dans le privé. » L’humour du réalisme a tellement quitté les lunatiques, qui ratent leurs vies et voudraient que tout le monde agisse aussi fanatiques qu’eux, que ceux-ci ne se rendent même plus compte à quel point ils virent ridicules ! « Ces gens nous dominent socialement car ils possèdent des capitaux économiques et culturels qui leur ont été transmis, pour lesquels ils n’ont eu à produire aucun effort.
Leur dysfonction dans la société est de nous dominer et d’assurer la perpétuation de cette domination. C’est un taf particulièrement vide de sens, qui ne produit rien de concret ni d’intéressant pour les autres, au contraire. Ces dernières années on sait de façon claire et documentée que ces gens sont en plus les moteurs de la destruction de l’habitat que nous partageons avec eux. Nous ne vivons pas dans le même monde, et le leur salit en permanence le nôtre. Il faut mieux rire d’eux que de les admirer. Précipiter leur chute plutôt qu’espérer leur clémence. » Et comment donc parvenir à accélérer leurs chutes ? Convergent les idées qui enfin se… structurent !
Le que faire qui préfère faire avant de s’expliciter. Nous ne vivons pas en démocratie mais sous un « régime d’oligarchie libérale ». La pire des Régressions qui soit. « La population détient-elle le pouvoir ? non. Contrôle-t-elle le gouvernement ? non. Conçoit-elle les lois ? non. A‑t-elle son mot à dire sur la production des technologies ? non. Maîtrise-t-elle la façon dont s’organise le travail au quotidien ? non. Il convient dès lors de tourner la page du parlementarisme séquestré par la secte bourgeoise (ce mince groupuscule à dissoudre) et, par la révolution, de bâtir une société autonome et souveraine – une société auto-organisée, auto-gouvernée, qui créera et dirigera elle-même ses institutions, offrant de la sorte « un sens à la vie et aux activités des hommes »… dont… « La décentralisation sera instaurée partout où elle pourra l’être, articulant les échelons régionaux et nationaux ». Une forme de fédéralisme s’installe si rationnellement.
D’autres possibles, outre le maillage intelligent de tout le territoire où personne ne seront oublié ? Oui parce que plus aucun privilège (les privilèges : ces nuisances si nocives ruisselaient du haut – le haut enfin calmé et mis dans les rangs ne pourra plus… nuire). Ceci dit, les autres options !
L’immense pas en avant conscientisé de ces dernières semaines – et qui jamais n’avait été formulé à notre immense étonnement. S’unir soudés pour un Seul but, abolir la dangereuse folie macrorienne. Préférer ses légères différences infantiles au lieu d’affronter le réel nous semblait suicidaire. Mais là (toujours les documents joints au texte, documents qui l’amplifient) là il n’y a plus de doute. L’élan commun est devenu massif. Et ne va plus se perdre dans les narcissismes à la con. Ce qui, par effets leviers, va déployer les moindres actes. Par exemple ?
« La grève générale. Cette dernière est de fait le meilleur moyen de faire plier l’exécutif. Par-là, nous entendons un mouvement social regroupant les salariés du secteur privé et de la fonction publique, ainsi que les étudiants, les lycéens, les retraités et les chômeurs ; les réprouvés de toutes origines et de toutes catégories sociales, de la campagne aux banlieues ; une grève transpartisane où il n’y aurait d’étiquette autre que celui d’opposant à ce règne inique. Nous sommes convaincus qu’une telle vague sociale aurait la Macronie à l’usure au bout de quelques semaines à coup de blocages, de sit-ins et de manifestations constantes dans toutes les grandes villes de France. La chaîne de production et d’approvisionnement, et partant la vie économique du pays seraient durablement paralysées, de même que les rouages de l’administration, de l’éducation et de l’aménagement urbain. Le pouvoir serait bien contraint de céder. » Surtout si nous sortons des généralités et entrons dans le détail du combat quotidien.
Nous avons vu en janvier dernier à quel point la grève de quelques raffineries créait de la panique au sommet du pouvoir : des salariés astreints au service avaient été menottés à leur domicile et emmenés manu militari sur leur lieu de travail pour éviter une paralysie du pays. Les secteurs du pétrole, du nucléaire, de l’électricité, des transports publics, de l’approvisionnement et de l’industrie sont au sens légal des OIV (Opérateurs d’Importance Vitale) selon le Code de la Défense, ce qui autorise à encadrer leur droit de grève plus durement que celui d’autres salariés. Cela, en théorie. Mais en pratique, s’ils peuvent arrêter une trentaine de grévistes dans cinq raffineries, ils ne peuvent en emprisonner des milliers dans tous ces secteurs vitaux.
Tout cela aboutit bien à contourner tous les obstacles et à trouver enfin des solutions jamais tentées…
« Plutôt qu’un simulacre de grève générale voué à s’essouffler faute de soutien massif chez le peuple, il serait préférable que ces secteurs se mettent en grève chacun leur tour de façon à laisser pourrir la situation pour le régime, de faire en sorte qu’il est toujours un conflit social sur le dos. » Ce qui, joint à toutes les autres méthodes, mises en convergences, encerclerait l’exécutif. Puisque ne serait plus omis le culturel, le combat si violent de la pensée et des mots.
Virez de partout les LANGUES DE BOIS ! Aidez les textes qui disent clair et net. Qui sont derrière ont de sacrées compétences pour pouvoir les clamer. C’est si facile à comprendre. Relayer moins les textes qui noient le poisson. Un modèle ici (eh bien relayez-le un maximum) ! Oui les retraites, quel que soit le dispositif qu’ils imposent, ne coûtent pas aux capitalistes mais lui rapportent. Que serait-il dit ici ?
Cela se comprend en 3 temps :
1- Pourquoi le gouvernement des riches s’intéresse-t-il aux régimes de retraite des travailleurs, « des petites gens d’en bas », de 27 millions de salariés français ? Il doit y aller surtout de leurs égoïstes intérêts.
2- « Dans les sociétés industrielles avancées, comme la France, le niveau de productivité du travail salarié mécanisé robotisé numérisé est si élevé qu’il a été possible au capital, à son État et aux syndicats (ces appendices de l’État bourgeois) de mettre de côté… une partie du salaire des employé(e)s afin d’assurer leur consommation une fois… leur phase active terminée. » Conclusion : la retraite ne coûte rien aux plus riches. Elle s’autoalimente par les cotisations…
3- Mais, à chaque fausse réforme truquée, ils piquent direct dans les cotisations de laborieux. Cela se passe ainsi… a) plus le nombre de trimestres se voit « allongé » et moins les vieux touchent ce qu’ils ont cotisés. Qui alors « touchent pour eux » ?…
Et… ce 1/4, dans les activités difficiles, qui meurt avant leurs retraites. Où vont LEURS cotisations ? Où ? Les verbiages insensés des pitres bourgeois c’est afin que rien d’important ne puisse être clarifié ! Que tout demeure dans le permanent flou.
D’où l’explication les rictus de barbares avides qu’ils arborent : tout que pour moi, eux qui ont déjà TROP. Et toujours le moins pour les majorités. Si ce n’est pas à gerber les comportements de ces gouvernements d’hyper violents ? Ce serait quoi alors ?
Au lieu de stationner, répétés à l’infini, dans la surdité abusive des Que faire ?, ce qui demeure des insultes irrespectueuses envers toutes celles et ceux qui se décarcassent à trouver des « solutions collectives » – eh bien élargissez, faites converger, répandez le concret de tout ce qui est déjà trouvé. Au lieu des stériles Que faire ?, faites-le tout de suite.
Comme de ces remises en question tous azimuts contre les congélations de routines. Nous allons vers quoi nous y allons. Nous allons vers quoi… nous y allons. Toujours plus déterminés ! Devant les fertilités collectives enfin retrouvées.
Le but essentiel : une unité transpartisane sans faille. Un seul but… mettre fin au néolibéralisme et à l’argent volé qui décide de tout. Tout le reste passe bien après. Unis dans les actes tout peut changer. Désunis rien !
4 commentaires
Maître, les popus ne portent pas de Rolex, et même souvent pas de montre tout court pour les plus pragmatiques d’entre eux qui ont renoncé à paraître, car cela est peu commode pour travailler. Je pense que, comme vous le soulignez, la société nous trompe car depuis la modernité politique (Révolution française) et technique (révolution industrielle), elle admet que le couple officiel est fondé sur une rencontre amoureuse. Alors qu’auparavant le couple traditionnel était fondé sur l’intérêt des familles, le couple moderne est fondé sur l’amour des individus. Et sans désir sexuel, sans affection, sans amour, pas de socialisation, de reproduction, pas de survie
Vous oubliez que le mariage tout comme la copulation sont souvent basés (baisés, biaisés) sur la tromperie calculée… La montre n’est qu’un artifice qui parfois est emportée lorsque le mâle dort après s’être vidé les bourses. La vidange finale des avoirs s’ensuit selon l’œil de la belle qui sait capter le code de la carte… Si non, le travail est plus long mais part également “en couilles” ce qui désigne le point fort-faible des mâles… Dans ce casse-pipe devenant casse-couille, l’emploi de beaux accessoires (montre, auto et vantardises) sélectionne les fausses proies qui en fait sont des prédatrices de l’amour et y sont en représentation théatrale constante. Elles sont tellement rouées que l’allure SDF ne leur est pas gage d’avoir à faire avec un réel pauvre mais au contraire avec un personnage rusé donc potentiellement plus dangereux que les fanfarons habillés en Ferraristes ou Porschistes… voire les Bentley-Boys qui, moi excepté, sont souvent des tarlouzes voire des transgenres… Je cause toujours d’expériences.
Maître, Je bois vos paroles, mais je ne partage pas votre avis sur la Rolex. Comme vous l’expliquez votre bien tout au long de vos articles, on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, et la possession d’artifices pour la parade sexuelle répond certainement à des pulsions primaires qui font tourner le monde…
Auriez-vous une Rolex ? Pour ma part, non, je me contente d’une U-Boat et d’une Lange & Söhne.
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L’amour n’est qu’une poussée éphémère de dopamine, de noradrénaline, de prolactine, de lulibérine et d’ocytocine. Une petite molécule, la phénylathylamine (PEA) déclenche des sensations d’allégresse, d’exaltation et d’euphorie. Le coup de foudre, ce sont les neurones du système limbique qui sont saturés en PEA. La tendresse, ce sont les endorphines. La société nous trompe : elle nous vend le grand amour alors qu’il est scientifiquement démontré que ces hormones cessent d’agir après quelques années. Désir et amour ne font pas bon ménage. Ils sont antagonistes, se combattent, s’excluent souvent. Les mots nous trompent : plus on aime, plus on a du mal à faire l’amour. Plus on adule, plus on respecte, moins on bande. Stendhal a cent fois raison, ce malheur est extrêmement commun. C’est le syndrome trop belle pour moi. Trop admirable. Trop aimable, au sens exact du terme. Peu d’hommes le savent, moins encore l’avouent, mais tous le sentent. C’est leur angoisse fondamentale dès qu’une femme leur plait. C’est le grand secret de la désinvolture amoureuse des garçons dont les filles se plaignent depuis la nuit des temps. De leur besoin de découper la femme en morceaux, en bout de désir et de fantasmes, les cheveux, les seins, la bouche, le cul, les hanches, les jambes, les chevilles, tout et n’importe quoi, mais surtout pas la femme entière qui vous rappellerait qu’on l’aime tant. De la nécessité de draper ces morceaux de fantasmes de tissu (..) pour les voir sans LA voir, pour transformer les jambes dans leurs bas, la poitrine gainée dans sa guêpière, comme autant de marchandises prêtes à l’achat. Une désacralisation. Une protection. Une armure. Une garantie du plaisir des garçons, mais aussi celui des filles. Paradoxe cruel… Quelle heure est-il donc ?
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