Tuez-les tous, les dieux retrouveront les leurs…
Il existe, une philosophie éternelle et universelle, dont l’origine se perd dans la nuit des âges.
Semblable à ces grands fleuves, dont les eaux deviennent de plus en plus troubles à mesure qu’elles s’éloignent davantage de leur source, elle est souillée et contaminée dans le conflit des passions humaines.
Mais, malgré cette abondante boue qui est ainsi charriée, les sages peuvent retrouver partout et toujours identique à elle-même, sous l’innombrable diversité des apparences : La pensée unique !
Tout est faux, l’univers est un égout…, c’est le premier principe hermétique qui définit la loi universelle…
Jamais science n’eut plus besoin de dictionnaire que la pensée unique.
Ceux et celles qui sont englués par elle, sont dans l’obligation d’en accepter le contenu, même si vide de sens… et que les termes équivoques qui sont placés à dessein presque dans toutes les phrases qui la constitue, ne présentent aucun sens déterminé.
Les auteurs avertissent eux-mêmes qu’on ne doit pas les entendre à la lettre ; qu’ils ont donné mille noms à une même chose ; que leurs ouvrages ne sont qu’un tissu d’énigmes, de métaphores, d’allégories, présentées même sous le voile de termes ambigus… et qu’il faut se défier de ce qui parait facile à comprendre.
Les tenants de la pensée unique, font mystère de tout… et semblent n’avoir écrit que pour obliger leur peuple à les croire aveuglément, sous peine de sanctions…
Ils protestent cependant qu’ils n’écrivent que pour instruire… et pour instruire d’une science qu’ils appellent la clef de toutes les autres.
L’amour de leur Dieu, de leur Vérité…, leur met la plume à la main : la reconnaissance d’une faveur si signalée que celle d’avoir reçu de leur Créateur, l’intelligence d’un mystère si relevé, ne leur permet pas de se taire.
Mais ils l’ont reçue, ajoutent-ils, dans l’ombre du mystère ; ce serait même un crime digne d’anathèmes que de lever le voile qui le cache aux yeux du vulgaire.
Peuvent-ils se dispenser d’écrire mystérieusement ?
Si l’on exposait au grand jour, cette science infuse de leur savoir triomphant, dans sa simplicité…, les femmes, les enfants mêmes, voudraient en faire l’épreuve : le paysan le plus stupide quitterait sa charrue pour labourer le champ de Mars comme Jason : il cultiverait la terre philosophique, dont le travail ne serait pour lui qu’un amusement… et dont les moissons abondantes lui procureraient d’immenses richesses, avec une vie très longue et une santé inaltérable pour en jouir.
Il leur faut donc tenir cette science infuse dans l’obscurité, n’en parler que par hiéroglyphes, par fictions, à l’imitation des anciens Prêtres de l’Égypte, des Brahmanes des Indes, des premiers Philosophes de la Grèce et de tous les pays, dès que se fait la nécessité de ne pas bouleverser tout l’ordre et l’harmonie établis dans la société civile, suivant en cela le conseil des grands Sages.
Mal à propos traite-t-on de fous les gens hermétiques à leurs dires, qui remettent en cause leurs vérités établies, qui refusent les obligations de croire devenues des lois : n’est-ce pas se donner un vrai ridicule, que de décider hardiment que l’objet de leur science infuse, que leurs dires et affirmations sont des chimères ?
Nous en sommes toutes et tous revenus au temps de la Sainte-Inquisition Catholique qui obligeait le peuple des moutons, à croire…., l’église Catholique qui a ainsi torturé, violé, assassiné, maltraité, estropié, handicapé, volé… des centaines de milliers d’innocents au nom de l’amour d’un dieu-jésus inexistant, qu’on continue de brandir en croix comme une obligation, laissant par là-même le champs d’horreur libre d’accès à toutes les autres religions toutes aussi stupides, viles, abjectes…, toutes aussi méprisantes des hommes et femmes décrits comme un troupeau de moutons bêlants leur bonheur d’être menés à la tonte puis à l’abattoir…
Si c’est ça le message d’amour ; massacrez-les tous, les religieux…, les dieux reconnaitront chacun les leurs et les jugeront comme des aveugles jugent les couleurs.
Les obligations de croire ont justifié des poussées de Peste Émotionnelle, payées de centaines de milliers de procès en sorcellerie et de bûchers…, environ 350.000 suppliciés en 4 siècles dont plusieurs dizaines de milliers de 1480 à 1630… (Les obligations de croire actuelles sont taxées de négationnisme, voire même, sans raison, d’antisémitisme, afin de pouvoir faire procès et condamner lourdement) …
Le livre Le Marteau Des Sorcières imprimé à la fin du XVIème siècle, décrit par le menu, les mœurs des suppôts de Satan…, cet ouvrage sera le premier d’une trop longue série, qui accompagna de véritables épidémies de répression durant la Renaissance jusqu’au 17° siècle… (Le Patriot-Act de Georges W.Buch et toutes les lois liberticides mises en œuvre à cette suite partout dans le monde occidental, sont-elles autre chose qu’un abécédaire répressif au nom d’une guerre contre un terrorisme tout aussi inventé que Le Marteau des Sorcières ?) …
La poursuite des sorcières et des sorciers se faisait sur délation ou simples soupçons… (C’est exactement aussi comme cela qu’on poursuit quiconque gène actuellement le Nouvel Ordre Mondial) ….
Les prévenus, soumis à la Question Ordinaire ou Extraordinaire, étaient encouragés à dénoncer leurs complices, ce qui donnera le caractère épidémique des bûchers et justifiera à posteriori la nécessité de la répression, puisque l’on avait trouvé des Envoyés du Diable !!!… (Là aussi, Georges w.Bush a reconnu dans son livre avoir autorisé la torture et l’emprisonnement quasi à vie, sans preuves et sans procès) …
L’église porte l’entière responsabilité de ces morts, d’autant qu’elle sut créer un climat paranoïaque qui entraîna à ses côtés une kyrielle de laïcs, de lettrés, magistrats, conseillers royaux et médecins, ce qui amplifia encore le nombre des procès et des meurtres… (Et là encore, les gouvernements Buch et Obama portent l’entière responsabilité des morts et mutilés dans les conflits absurdes du Moyen-Orient) ….
En 1591, le juge Boguet dans le Discours des sorciers affirma que les sorciers et sorcières marchent partout à milliers, multipliant en terre tout ainsi que les chenilles en nos jardins… (N’a-t-on pas lu pareilles folies entre 2001 et maintenant ? Dernièrement, n’a-t-on pas affirmé sans rire que des terroristes étaient “en route” d’Afghanistan vers l’Allemagne pour y perpétrer des attentats ?) ….
En 1595, le juge Nicolas Rémy affirma la présence du Diable parmi nous et envoya 4000 malheureux au bûcher sur des “preuves flagrantes” de possessions démoniaques (Guantanamo et des centaines de prisons secrètes semblables n’abritent-elles pas des milliers de malheureux soi-disant membres al-Qaida ?)…
Les exécutions capitales, furent motivées par des questions politiques ou dogmatiques quand, celles des femmes étaient toujours assorties d’une fantasmagorie sexuelle et diabolique… (Encore et toujours pareil, le voile est plus indécent et poursuivi que la nudité) …
Dans la religion chrétienne, la menace de l’Enfer a toujours été opposée aux désirs sexuels des fidèles. L’angoisse est omniprésente car le danger est partout.
Les textes “sacrés” ont toujours insisté sur le fait que nous sommes entourés de pervertis et de pervertisseurs.
La faute est certaine et même pire, on peut succomber sans le savoir.
La société de l’époque répondit par deux attitudes opposées… (et c’est exactement ce que les gouvernements actuels ont instaurés) …
– Des comportements rigoristes prônant la fermeture sur soi, l’observation et l’analyse compulsionnelle des moindres faits et gestes, la pénitence, les interdits et l’absence de miséricorde pour soi et les autres.
– Des explosions de désespoir conduisant à la licence et à la folie !
A partir de 1350, on vit apparaître avec le Millénarisme, d’immenses processions de Flagellants où l’on annonçait l’imminence de l’Apocalypse, les péchés s’expiaient par des mortifications et des blessures volontaires graves…, les représentations de la mort dans l’art sont datées de cette période et pérennisent l’angoisse généralisée sur les murs des lieux de culte, des maisons nobles et bourgeoises…. (Nous avons eu des marches et des concerts pour la paix) …
A l’inverse, la proximité immédiate de la mort finit par rendre certains complètements délirants.
Perdus pour perdus, ils jetaient leur bonnet par-dessus les moulins.
Ainsi, quand Avignon fut touchée par la peste de 1722, le désespoir fut si grand que certains se crurent autorisés à tout.
La proximité de la mort rend fou.
La peur rend fou…
Quel cas les gens sensés doivent-ils donc faire des jugements critiques des Censeurs auto-proclamés “nos Maîtres”, puisque tout le mérite de ces jugements consiste dans le froid assaisonnement de quelques bons mots à l’ombre desquels ils cachent leur ignorance…, pour faire illusion à des imbéciles, toujours disposés à les applaudir ?
Comment le simple citoyen peut-il s’y retrouver en entendant le langage hermétique, qu’emploient les spécialistes, pour expliquer les interactions complexes entre : les pouvoirs politiques et militaires, les organisations internationales de gestion (Banque Mondiale, Fonds Monétaire International (FMI), Organisation Mondiale du Commerce (OMC), les complexes militaro-industriels, les consortiums géants de l’énergie (pétrole et gaz naturel), les banques, les médias, etc.
En d’autres termes, comment peut-on expliquer, d’une manière simple, la complexité des rapports de force entre tous ces intérêts… et ce, dans une perspective mondiale ?
La façon de l’expliquer, c’est qu’une guerre n’est jamais menée pour des raisons à caractère idéologique. Le budget de la défense nationale aux États-Unis est de l’ordre de mille milliards de dollars.
Ça représente plus que le produit national brut (PNB) de la Russie.
Et le but de tout ce déploiement, c’est de combattre le terrorisme et d’aller chercher un Ben Laden inventé et le réseau Al-Qaida créé par la CIA !
Comme s’ils constituaient une grande puissance militaire dans le monde !
C’est un camouflage, c’est un mensonge, car les objectifs d’une guerre ou d’un génocide sont toujours économiques en fin de compte.
Ces objectifs se résument à contrôler : les ressources naturelles, les institutions, les personnes et leur travail, l’eau…, bref, un ensemble de visées économiques.
Et qui retrouve-t-on en arrière de ces projets ?
Au temps de la Sainte-Inquisition, c’est l’Église Catholique qui s’est enrichie en confisquant et volant les biens de ceux et celles qualifiés de sorciers et sorcières…
Actuellement, ce sont les compagnies de pétrole et les grandes banques qui s’enrichissent en s’appropriant les ressources énergétiques et richesses des pays conquis, envahis….
Pourquoi les banques ?
Parce qu’elles sont créancières, elles investissent dans les pays qui font l’objet d’opérations militaires.
Et puis, au lendemain d’une guerre, il y a un phénomène de privatisation.
C’est-à-dire qu’on confisque et qu’on vole les actifs des pays conquis.
C’est le cas en Irak où la richesse pétrolière est à peu près cinq fois supérieure à celle des États-Unis.
L’Irak possède 11% des réserves mondiales de pétrole contre 2,5% dans le cas des États-Unis.
Dans une perspective historique, le 11 septembre 2001 constitue la pire fraude de l’histoire américaine !
C’est une fraude parce qu’on a essayé et on continue d’essayer de nous faire croire que le 11 septembre 2001 fut un acte perpétré par des terroristes islamistes et que cet acte constitue une attaque à l’endroit des États-Unis qui a justifié la guerre contre l’Afghanistan, l’Irak et bientôt l’Iran, le Pakistan, la Somalie…, alors que, de plus en plus, on a les éléments et les preuves que ce n’est pas le cas.
La guerre contre l’Afghanistan a été enclenchée trois semaines après le 11 septembre 2001.
Quand on connaît la façon d’organiser des opérations militaires, on sait qu’une guerre ne se prépare pas en trois semaines.
La phase opérationnelle d’un affrontement de cette envergure se prépare au moins un an à l’avance.
Et actuellement, dans le cas de l’Iran, c’est deux ans à l’avance.
Il est évident que le 11 septembre 2001 a été organisé pour servir de prétexte.
Mais ce qui est particulièrement grave par rapport à cet événement, c’est que les terroristes, qui sont les présumés auteurs des attaques, sont des créations des services de renseignements américains.
Les preuves existent.
Elles sont exposées dans le document Able danger2.
Le rapport de Thomas Kean3 est plus qu’erroné, il a été fabriqué !