Ukraine, faux récits et propagande d’enfer !
Avant de dormir et pour aider à vous vider de vos excréments, regardez les chainesTV en continu, c’est comme siroter un bouillon d’onze heure à petites lampées délectables de fiel ET insanités, … C’est de plus en plus purgatif et laxatif (chiant), casse couilles, noisettes et pieds… C’est d’une mauvaise foi crasse débité en grosses tranches de gras par des racistes, russophobes, américanophiles, pro-vaccins, dirigés par un prétendu agent-secret soviétique (un traître) repenti plein de haines et rancœurs et d’Ukrainiennes typées folkloriques déjantées, guerrières fielleuses et haineuses en diable. Epaulés par des généraux en civil pas pour autant civilisés et un chef de table chargé d’arrondir les angles, c’est un festival de faux récits et de propagandes pro-américaines !
Sincèrement RT c’était 10 fois mieux. Rassurez-vous, aucun contradicteur n’est admis dans l’enceinte. Cette joyeuse équipe de balayeuses des ragots d’égoutiers et de massacreurs pervers de chiens écrasés font le spectacle mieux que Volodymyr Zeelinsky sur scène jouant du piano avec son pénis, c’est pourtant calqué sur les mêmes répertoires redondants et sirupeux éculés et à vomir. A se marrer franchement de les voir et entendre commenter les ingrédients de leurs bouillons d’inculture qu’ils espèrent nous faire avaler… Au cap de minuit où l’émission repart en boucle, on est heureux d’aller dormir et penser par exemple que Poutine a raté sa chance de ne pas avoir directement investi simultanément toutes les centrales atomiques d’Ukraine, ce qui aurait minimisé les pertes humaines et les frais de munitions et armements… On aurait eu la paix et le spectacle des Ukrainiens tournant comme fous en implorant le retour de Bernard Henry Levy et Madame Mullan pour refaire le coup d’Etat ET le massacre du Maidan et du Donbass… Il n’y aurait toutefois pas eu de retour de commission (50%) sur les opérations “les milliards d’euros et dollars de la charité” réservées aux chef(fe)s d’Etats qui ont tous couru avec leurs enveloppes… Mais, on n’aurait pas découvert les “Biolab’s” américains d’Ukraine, quoique de toute façon les rigolos et pitres des TV de Fake-News en continu et autres défenseurs bons-teints de l’Occident vont balayer en hurlant aux allégations, tout comme cela s’est passé de même pour les trafics d’organes au Kosovo !
Crise après crise, le contrôle narratif occidental s’emballe pour rejeter les blâmes, blanchir les coupables ou s’assurer que les lignes de questionnement gênantes ne sont jamais poursuivies. Peu après la récente descente de la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, à Taïwan, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a reproché à Nicholas Burns, ambassadeur des États-Unis en Chine, de “garder un silence embarrassé” concernant le “coup insolent”. Le silence était tout à fait un changement par rapport à la voix de Burns un mois auparavant au Forum mondial de la paix à Pékin, où il avait exigé que la Chine cesse de relayer “la propagande russe accusant l’OTAN de déclencher le conflit en Ukraine” ! Il a profité de l’occasion pour accuser le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères de “mentir sur les laboratoires américains d’armes biologiques, qui n’existent pas en Ukraine”...
Mais c’était à l’époque… et c’est maintenant dans “l’ordre fondé sur des règles” de l’Occident, où chaque occasion nécessite un nouvel ensemble de règles. Ainsi, il va sans dire que, pour le moment, Burns gardera également un “silence embarrassé” sur un autre événement potentiellement tectonique, la dernière déclaration encore plus accablante concernant “les biolab’s présumés gérés par les États-Unis en Ukraine” faite par le ministère russe de la Défense le 4 août. Le lieutenant-général Igor Kirillov, chef des troupes de protection nucléaire, biologique et chimique des forces armées russes, a déclaré que Moscou évaluait la possibilité d’une implication des États-Unis dans la pandémie de Covid-19, ainsi que des recherches financées par les États-Unis sur divers autres agents pathogènes. La raison du silence de Burns n’est pas difficile à deviner, les graves allégations faites dans la présentation de Kirillov, si elles font l’objet d’une enquête appropriée et s’avèrent vraies, pourraient servir d’accusation contre ce qui pourrait être l’utilisation par l’Amérique, de l’Ukraine comme vaste terrain d’essai d’agents pathogènes. Et comme les médias occidentaux ont surtout choisi de l’ignorer, l’ambassadeur n’allait certainement pas faire une déclaration qu’ils auraient à citer, attirant l’attention sur la question. Et maintenant que Twitter a suspendu le compte du ministère russe des Affaires étrangères pour avoir osé citer des parties clés de la présentation médiatique de Kirillov sur les origines possibles du Covid-19, Burns et compagnie n’ont rien à dire du tout. Si c’est troué de mémoire par les médias sociaux, alors c’est comme si cela ne s’était jamais produit.
C’est le modus operandi des élites occidentales, ce n’est pas la vérité qui compte, mais gérer avec succès le récit afin qu’il ne laisse pas de place au doute dans l’esprit des gens. En d’autres termes, ils pensent qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Peut-être devrions-nous nous rappeler la formule occidentale de l’après-guerre froide annoncée pendant les jours grisants du début des années 2000, une époque marquée par une autre citation politique américaine célèbre, Karl Rove “Nous sommes un empire maintenant et, quand nous agissons, nous créons notre propre réalité”.… Comme le conseiller politique de Tony Blair, Robert Cooper, l’avait nonchalamment exprimé dans les pages du Guardian en avril 2002 : “Le défi du monde postmoderne est de s’habituer à l’idée de deux poids, deux mesures. Entre nous, nous opérons sur la base de lois et d’une sécurité coopérative ouverte. Mais lorsque nous traitons avec des types d’États plus démodés en dehors du continent postmoderne de l’Europe, nous devons revenir aux méthodes plus rugueuses d’une époque antérieure, la force, l’attaque préventive, la tromperie, tout ce qui est nécessaire pour traiter avec ceux qui vivent encore dans le monde du 19ème siècle de chaque État pour lui-même. Entre nous, nous respectons la loi, mais lorsque nous opérons dans la jungle, nous devons également utiliser les lois de la jungle”… Deux décennies plus tard, malgré la montée en puissance de la Chine et de la Russie et l’évolution inexorable du monde vers la multipolarité, les habitudes impériales ont la vie dure, généralement jusqu’à ce qu’elles atteignent un mur de réalité, comme cela se produit actuellement en Ukraine et est voué à se produire à Taiwan.
Mais revenons à Burns. Il est loin d’être nouveau dans l’application de deux poids, deux mesures dans “la jungle”. Avant son travail actuel sur “Poking the Dragon” concernant Taïwan, et “l’Ours” concernant à peu près tout, il s’est distingué comme un partisan et un apologiste de l’agression illégale de l’OTAN contre la Serbie dans les années 1990, qui a abouti à la sécession unilatérale du Kosovo. Pendant ce temps, en 2009, alors qu’il était sous-secrétaire d’État américain aux affaires politiques, Burns a expliqué aux médias que la reconnaissance de l’indépendance de Pristina était en fait une expression de “l’intérêt des États-Unis pour de bonnes relations avec la Serbie”. S’exprimera-t-il, en temps voulu, de la même manière vis-à-vis de la Chine et de Taïwan ? En dehors de l’Ouest, tout cela est encore une jungle pour Burns et ses semblables, et “les indigènes” doivent être traités en conséquence. Ainsi, dans le discours de Burns, le séjour de Pelosi à Taïwan et la promesse de continuer à soutenir les États-Unis pour l’île sont en fait un signe de l’intérêt de l’Amérique pour de bonnes relations avec la Chine !
Une autre figure anglo-américaine notable visible dans le paysage de la crise Kosovo-Chine-Ukraine est l’Anglais Geoffrey Nice, qui a acquis une notoriété internationale en tant que procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), dont le seul but était de rejeter la responsabilité de l’éclatement sanglant de ce pays multinational sur les seuls Serbes. Outre ses poursuites sélectives contre l’ancien président serbe Slobodan Milosevic pour “crimes contre l’humanité”, l’héritage du TPIY de Geoffrey Nice comprend également des accusations de destruction de preuves liées au trafic d’organes humains au Kosovo. Geoffrey Nice a ensuite offert ses services juridiques à l’ancien président du Kosovo Hashim Thaci, l’une des principales figures non seulement du trafic, mais aussi de l’extraction forcée présumée d’organes humains de prisonniers encore vivants, pour la plupart Serbes, comme le souligne un rapport stupéfiant du Conseil de l’Europe 2011, “Traitement inhumain des personnes et trafic illicite d’organes humains au Kosovo”. Le rapport cite également les agences anti-drogue d’au moins cinq pays affirmant que Thaci exerçait un contrôle violent sur le commerce de l’héroïne et d’autres stupéfiants. La tentative ultérieure de Nice de discréditer le rapport a cependant été brillamment disséquée et exposée par la journaliste américaine Diana Johnstone comme la dernière tentative d’un représentant des démocraties occidentales bien-pensantes de réserver les privilèges d’une culture de l’impunité exclusivement à eux-mêmes et à leurs clients. Bien sûr, les clients de “la jungle” doivent encore payer pour le parapluie impérial “deux poids, deux mesures”, de sorte qu’en fin de compte, Nice aurait accusé Thaci de lui devoir près d’un demi-million d’euros pour son travail pour le gouvernement du Kosovo.
Zakharova a récemment décrit plus en détail la maison des horreurs que Thaci aurait présidée : “Le Kosovo est le territoire de la transplantation ‘noire’. Les gens ont été disséqués vivants, prenant des organes internes pour les vendre à ces gens en Occident… En Occident, ils faisaient la queue pour les opérations de transplantation d’organes. Et ils ont commencé à recevoir ces organes lorsque le Kosovo s’est transformé en un terrible trou noir dans lequel des gens ont disparu, qui n’ont pas seulement été tués, mais tués pour vendre leurs organes internes”…
Pour paraphraser les paroles immortelles de Franklin D. Roosevelt justifiant le soutien américain au dictateur nicaraguayen Anastasio Somoza : “Ils sont peut-être des fils de PUTES, mais ce sont les fils de PUTES de l’Occident”...
7 commentaires
Vos vérités s’imposent… Cela vous donne une dimension mystique : imaginerait-on le Christ vendre sa Bible de son vivant ?
Mi Fili…
Dominus vobiscum… Dies iræ, dies illa, Solvet sæclum in favílla, Teste David cum Sibýlla ! Quantus tremor est futúrus, quando judex est ventúrus, cuncta stricte discussúrus ! Tuba mirum spargens sonum per sepúlcra regiónum, coget omnes ante thronum. Mors stupébit et Natúra, cum resúrget creatúra, judicánti responsúra. Liber scriptus proferétur, in quo totum continétur, unde Mundus judicétur. Judex ergo cum sedébit, quidquid latet apparébit, nihil inúltum remanébit. Quid sum miser tunc dictúrus ? Quem patrónum rogatúrus, cum vix justus sit secúrus ? Rex treméndæ majestátis, qui salvándos salvas gratis, salva me, fons pietátis. Recordáre, Jesu pie, quod sum causa tuæ viæ ; ne me perdas illa die. Quærens me, sedísti lassus, redemísti crucem passus, tantus labor non sit cassus. Juste Judex ultiónis, donum fac remissiónis ante diem ratiónis. Ingemísco, tamquam reus, culpa rubet vultus meus, supplicánti parce Deus. Qui Maríam absolvísti, et latrónem exaudísti, mihi quoque spem dedísti. Preces meæ non sunt dignæ, sed tu bonus fac benígne, ne perénni cremer igne. Inter oves locum præsta, et ab hædis me sequéstra, státuens in parte dextra. Confutátis maledíctis, flammis ácribus addíctis, voca me cum benedíctis. Oro supplex et acclínis, cor contrítum quasi cinis, gere curam mei finis. Lacrimósa dies illa, qua resúrget ex favílla judicándus homo reus. Huic ergo parce, Deus. Pie Jesu Dómine, dona eis réquiem…
L’imagination aide à l’écriture… Tout le reste d’une existence n’est que fatigues et déceptions. Mes voyages d’écritures sont entièrement réels dans mon imaginaire. La vie, la mort… La mort, la vie… En imaginaire folie. C’est une histoire, qui, pour être comprise, il suffit de fermer les yeux…
Aucune prestation en nature ? Pas de rétrocommission dans un paradis fiscal ? Aucune promesse de fauteuil au parti Socialiste ou dans une quelconque commission des affaires sociales ? Cela est décevant !
C’est des hommes et d’eux seulement qu’il faut avoir peur, toujours.
Combien de temps faudrait-il qu’il dure leurs délires, pour qu’ils s’arrêtent épuisés, enfin, ces monstres ? Combien de temps les horreurs comme celles qu’on nous fourgue peut-il bien durer ? Des mois ? Des années ? Combien ? Peut-être jusqu’à la mort de tout le monde, de tous les fous ? Jusqu’au dernier ? Et puisque les événements prennent un tour désespéré j’édite mes humeurs sur GatsbyOnline, à risquer le tout pour le tout, à tenter la dernière démarche, la suprême… pour que dans le cerveau d’un couillon la pensée fasse un tour, il faut qu’il lui arrive beaucoup de choses et des bien cruelles. Tout ce que je touche dans mon business est truqué, les bagnoles bien sur, mais pas que ça au vu de ma carcasse : sucre, confitures, chocolats et sodas, les photos aussi ; tout ce qu’on lit est de même fausse nature, truquages et mascarades, la Presstalis affaire (le diffuseur de mes magazines “papier”) a escroqué ses clients éditeurs, menteries généralisées, tirages tarabiscotés, retours de pré-pas vendus… et avec ça des entuberies féroces de paperasses comptables incompréhensibles… et les couillons pas couillons croyaient qu’entuber à leur tour pour obtenir pitance publicitaire étaient près à toutes les retorderies les plus sauvages, immondes salmigondis de fumisteries… En finale, tous perdants, cocus, baisés partouze, défriqués, emberlificotés dans des histoires pré-machées et pleurant avec un enthousiasme déconcertant : “Laissez nous entuber encore, plus profond, plus gras, large, puant”… et tout cela avec de la désinformation patriotique, les Popus qu’y trinquent, les cons…
Dans ce fourbi machiavélique, l’Etat en Galère tambourine le rythme des coups de rame aux esclaves : Ramez la gueuzaille, les payeurs ! Et voilà la pandémie qu’on déverse, un virus chinois made in France de chez nous, avec même un mode d’emploi obligatoire : “Avale tout et tais-toi quand tu crèves”… les traîtres patriotiques eux-mêmes sont faux…, le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale. La meilleure des choses à faire, n’est-ce pas, quand on est dans ce monde, c’est d’en sortir ! C’est-y pas l’attendrissement sur notre sort, la condition des miteux…, couillons de la vie, battus, transpirant de toujours ? Il n’y a que la vie qui compte. Dans dix mille ans d’ici, je fais le pari que ma vie, si remarquable à mes yeux…, sera complètement oubliée… À peine si une douzaine d’érudits se chamailleront encore par-ci, par-là, à propos des dates de mes amours, de mon premier redressement fiscal, du début de ma lente agonie… Proust, mi-revenant lui-même, s’est perdu avec une extraordinaire ténacité dans l’infini, la diluante futilité des rites et démarches d’amours qui s’entortillent autour des gens, fantômes de désirs, partouzards indécis attendant toujours… chercheurs sans entrain d’improbables Cythères, y compris glandeurs !
Si les gens sont méchants, c’est peut-être seulement parce qu’ils souffrent de trop souffrir de leurs conneries, mais le temps est long qui sépare le moment où ils ont cessé de souffrir de celui où ils deviennent un peu moins meilleurs cons.
Je le déplore plus que vous, cher et incalculable lectorat…
Mon Cher Gatsby,
Il m’a été possible de lire dans un quotidien national que l’ex-ministre socialiste Ségolène Royal n’a pas hésité à dénoncer haut et clair la “propagande de guerre par la peur” menée par Kiev, “ne serait-ce que le premier évènement, la maternité bombardée”.
Pouvez-vous préciser à vos lecteurs quelles ont été les rétributions versées à Gatsbyonline dont le travail de fond, à n’en pas douter, a été intégralement copié et resucé ?
Hélas, GatsbyOnline (SAS Pavale) n’a pas reçu le moindre Rouble Russe, et pas le moindre Kopec (Le kopeck (en russe : копе́йка, prononcé kopeïka) est la subdivision du rouble ou de la hryvnia Ukrainienne. Un kopeck correspond à 1/100 de rouble ou de hryvnia. Il est, en outre, divisé en 2 dengas. Plusieurs pays utilisent ou ont utilisé le kopeck comme sous-unité monétaire :
• L’Empire russe avec le rouble impérial russe ;
• L’Union des républiques socialistes soviétiques avec le rouble soviétique
Pas non plus d’Euros, ni de dollars ni de Yen…
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