Une vie de con…
Si l’homme peut désormais mourir avec un espoir…, n’oublions pas que l’espoir fait vivre…
N’est-ce pas là, une façon d’être immortel ?
Les “ceusses” de merde, bourrés devant la télé à Drucker, ceusses qui s’empiffrent de chips en dégueulant un pack de bière en chantonnant la bouche pleine, en chœur avec Bruel : “Y a d’là joie“…, ils me font c…..
J’allume même plus la télé, je sais qu’ils sont là, cachés derrière l’écran à attendre le click pour me chanter le même refrain à-la-con entrecoupé de promos à leur gloire ou à celle de ceux et celles qui leurs reversent des commissions.
Ils sont partout, infiltrés jusque dans l’autoradio, matin, soir, midi-minuit, toujours, en boucle, des fois qu’on n’aurait pas bien tout compris la chanson et que c’est déjà un collector qui attend qu’on l’achète pour écouter encore pareil…
C’est quoi cette vie de con ?
Des émissions de supers cons qui gagnent pire que EuroMillions et qui crachent sur tous les “zôtres qui ne sont pas de leur clan, en laudifiant d’Jamel et ses blagues beurs au p’tit lulu, et ses potes, tous en rond qui s’applaudissent et se congratulent, vous les imaginez créatifs, toujours prêts à aider les pauvres tâches et cloches…
Que nenni, ils œuvrent comme les castors avec leur queue qui frétille dans la piscine à se tirer mille beurettes à deux balles qui mouillent pour leur fric.
En vrai ils pètent comme des merdes, la bouche pleine des pépètes qu’ils ont emmagasinées et qu’ils ne peuvent pas vomir…
Le prix du fric !
Et les “ceusses“, ils regardent ça, la bouche pleine de chips ramollis par leur salive puante, en marcel et chaussettes à trous, puant autant qu’un camembert oublié dans une boîte de chocolats en plein soleil….
Moi je suis né dans l’enfer de la vie et je vais vous dire la vérité…, je connasse un con qui est mort dans la merde à force de regarder la télé pour oublier les fiscards qui l’emmerdaient matin, midi, pas le soir… parce qu’ils doivent aussi regarder la télé.
On a retrouvé son cadavre enterré dans sa propre merde, la bouche pleine de sa diarrhée qui l’avait étouffé. C’EST LA VERITE.
Il est mort de faim la bouche pleine de chips.
Son cadavre pourri pesait 27 kilos, Auschwitz à la maison… et pourtant il était antisémite, antifisc, toujours du côté du manche. Il disait que si chaque juif qu’on venait arrêter du temps de l’holocauste avait tué le nazi venu l’embarquer, y aurait vite fait plus eu de nazi…, pareil que les fiscards qu’y disait, si chaque con mené à l’abattoir faisait la gueule au carré du fiscard, même qu’il aplatirait…, mais alors chaque con…, faudrait pas un mois pour qu’on revivrait la renaissance, le bonheur retrouvé, d’un coup sec, même les ministres redeviendraient polis, affables humains.
Les gens n’y pensent pas que la liberté à un prix… y a que les foules de révoltés qui font peur à ces vampires, imaginez, qu’y disait… 6 millions de vampires cramés, y en aurait plus d’autres à vouloir être fonctionnaires, tandis que quand les vampires sucent le pognon jusqu’à la moelle, alors là, il y a du monde qui veut en être, la curée générale, les sodomies en prime, profond…
C’EST LA VERITE.
Ses enfants le haïssaient, zavaient compris, déjà, les conneries de la vie, ils attendaient l’héritage, lui se faisait sucer par la bonne qui s’est ensuite cassée avec l’argenterie en plastique.
C’est l’odeur de son cadavre pourri et de son chez-lui a crédit en feu qui a attiré les pompiers, les croque-morts et les héritiers.
Il y avait 300 millions de rêves sur son compte mais ce n’est pas ça qui l’a empêché de crever comme le dernier des cons, car maladie, folie, guerre et vengeance des cons sont plus forts que trois cents millions d’espoirs de sortir d’une vie faite pour crever d’avance à travailler pour des misères en faisant des trucs et bazars inutiles, sauf à emmerder les “zôtres” comme les fonctionnaires dracules et charognards assoiffés du pognon misérable des ceusses qui s’en passeraient bien…
Et pendant que la Franco-Belgïe se crapote et crève en chantant les conneries de Bruel qui ne sont même pas de lui mais qui lui coûtent pas un rond car c’est dans le domaine public, d’autres cons envahissent le monde en bouffant des chips devant la télé en se branlant en matant des salopes nues qui attendant de goûter les sucs corporels du clan à Bruel, et c’est vrai que c’est mieux que zoner pour pourrir plein de maladies…, le prix du fric sans rien foutre.
Et là je ne parle pas de la damnation du con lambda qui coule dans la drogue, je parle de la damnation du con empoisonné par les conneries de la TV.
Ah bande de pauvres cons, vous enviez les riches cons qui spéculent sur le net au bord de la piscine en trahissant leurs frères et en assassinant leurs pères-mères de leurs propres mains.
Au temps du pas d’Internet, pas de violence virtuelle et d’exploitation délocalisée.
Non !
Au temps où Yahvé pas de télé et de téléphone pour enculer à Hiroshima, à Gaza ou chez les indiens, les cons faut les égorger soi-même et leur sucer le sang avec ses propres dents.
Le con franchouillard belgo-français est un vrai vampire à couilles qui bouffe ses frères sans intermédiaires, même par procuration.
Ah vous les connards branchés qui bandez sur les serial-killers et les flibustiers du Nouvel Ordre Mondial, vous vous plantez grave !
Les pompiers sont venus trop tard et ils ont trouvé le con en feu tout nu, 27 kilos dans sa chemise de nuit fondue et sa ceinture anti-hernie fondue, plastique fondu mêlé à sa chair à vif plus de peau, brûlé à 95 % et même pas mort !
Coriace l’enculé !
J’ai été le voir à l’hôpital la nuit de sa mort.
Ca faisait 36 jours et nuits de hurlements qu’il agonisait et il puait le brûlé jusque dans le couloir.
Dans la chambre pas de famille en larmes pour le veiller.
Juste des chaînes et des poulies pour attacher le con au lit du jugement.
Il faisait très sombre, juste une veilleuse sanglante et l’éclat de son oeil de verre fondu dans son cerveau.
Pourtant il a deviné une présence. “Patrick, mon petit Patrick, c’est toi, Bruel, Ya d’là joie ?” et il a pris ma main dans son moignon brûlé paralysé infecté.
“Patrick, mon sauveur, mon roi de la télé, j’ai acheté tes disques, tes cd, tes livres, j’ai été voir tes films”
Ils lui avaient donné un max de morphine pour apaiser vaguement son corps brûlé à vif.
Totalement shooté à la morph, il me prenait pour son chéri à boucles qui lui avait dit qu’on se “révérait” dans dix ans, l’a attendu sans voir sa fille de cinq ans morte de pneumonie, manque de soin et d’amour, trop donné à la télé de Drucker, l’ange parti éternellement, pleuré la vie qui passe et ne reviendou jamais.
Puis sa femme avait sombré dans la folie et lente agonie de trente ans dans les asiles de misère.
Ni Ducker, ni Bruel, ni d’Jamel ni personne qui chante et gagne des EuroMillions sont jamais venu voir, aidé, parlé, ne savent pas qu’existent des cons qui croient au père Noël dans la tranche de pâques et qui chantent “Ya d’là joie” en choeur, la bouche en coeur…
… Et il est mort, encore, n’en finissait pas de mourru, bourru !.
Il m’a dit “Mon p’tit Patrick, je pars en voyage, dis à ma p’tit chérie, ma fille Claire qu’est malade, qu’elle soit gentille avec Maman et travaille bien à l’école.”
Son moignon avec des doigts s’est serré sur ma main et son bras est tombé sur le drap.
J’ai crié : “Un con de moins“, style Coluche quand il a dit la même chose des franco-belgo-cons morts écrabouillés dans un stade de footbaaaaaal, toujours la main sur le cœur, l’enfoiré de pourri…, en souvenir quand il est mourru écrasé par un camion, j’ai crié pareil : “Un con de moins” ! Pourri de faux pauvre !
J’avais la main coincée dans le moignon du con de mort, et l’infirmière est venue.
Et les héritiers sont arrivés.
Et je suis parti me shooter dans les chiottes avec le reste de morph en chantant “Ya d’là joie“.
Mort vivant dépecé sous mes yeux.
J’ai jeté la seringue et fermé les yeux, pissé la haine.
Le con, mort, erre dans le ciel sans paix des cons, poursuivi par les vengeurs, poursuivant l’ange blond qui fuit en riant, pour l’éternité.
J’ai eu peur.
J’ai pas les couilles pour faire le con, j’ai les couilles pour les dénoncer.
Trop de dégoût, trop de culpabilité.
Je préfère écrire et crever que me défoncer grave en étant béat devant la téloche à Drucker et crever.
Tout le monde veut le fric mais personne ne veut défoncer la gueule des sordides qui envahissent l’espace de nos vies et crever l’abcès.
Tout le monde a peur, et tout le monde devient pauvre…
Piting de cons !
Pour pas mourir con, allez lire quelques conneries sur : www.GatsbyOnline.com