USA/Europe-Russie, Israël-Iran, ne vous inquiétez pas, on va tous mourir…
Pour l’instant, l’Europe subit la phase X d’un plan machiavélique Américano-Israélien, il s’agit d’en ruiner les différents Etats et de mettre à bas l’€uro…
Tout fonctionne à merveille…
– L’affaire PSA en tête…, en payant relativement peu à Nicolas Sarkozy et à la “famille Peugeot possédante” pour tirer une balle dans le pied de l’industrie Française en rayant totalement et définitivement près de 500.000 automobiles fabriquées et vendues en Iran par PSA… sous prétexte d’embargo exigé par Israël pour préserver sa virginité…, ce fut un succès total digne du Blietzkrieg Nazi de 1940 : plus de 8.000 ouvriers sont au chômage, une même quantité va suivre… et General Motors, qui a pu acquérir une grosse part du gateau PSA pour une bouchée de pain (puisque grâce aux autres “amis” américano-sionistes des agences de notation : PSA à perdu plus de 80% de sa valeur)…, va pouvoir transférer la production des usines PSA Françaises vers les usines Opel en Allemagne !
– L’affaire Dexia en second plan…, aucun des merdias aux ordres ne le rappelle, personne ne semble s’en souvenir, mais Dexia a financé la quasi totalité des constructions Israéliennes dans les colonies Juives de Cisjordanie, ce qui est illégal en droit international et même condamné par diverses résolutions de l’ONU…
Mais on sait maintenant que les résolutions de l’ONU lorsqu’elles visent Israël ou les amis des USA comptent pour du beurre…
Donc, mine de rien, personne ne sait plus que Dexia a versé quelques milliards aux colons Israéliens (Juifs) qui n’ont rien remboursé… mais ont été absous parce qu’ils ont chanté Kol-Nidré…, ces mêmes milliards qui ont été garantis par les ministres de Phynances françaises et surtout belges à hauteur de 50 milliards d’€uros et des poussières…, là encore, succès total en contrepartie de pas grand chose, quoiqu’il s’agit de pots de vins de plusieurs centaines de millions…, ce sont les cons-tribuables français et surtout belges qui vont payer ces 50 millards ! : http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=635&cat=ataraxie
Les points rouges sur la carte, sont les colonies Juives en territoires Palestiniens, qui ont été financées par Dexia les années précédentes. En bleu (avec flèche), les colonies actuellement (2009) financées par Dexia… et ce au mépris des résolutions de L’ONU interdisant toutes les colonies et exigeant leur destruction.
Mais, restent les phases XXX, pour bien éponger ce qui reste…
Là c’est plus subtil, vendre très cher de l’inutile à 100% tout en se coupant définitivement de plusieurs marchés économiques (Russie, Chine, Inde, Iran)…
Comment faire ?
Simple, vendre à ces crétins d’Européens la corde à laquelle ils vont se pendre…
Flash-back :
En janvier 2007, poussé par les faucons néoconservateurs de son entourage, le président républicain George W. Bush crée la surprise.
Il convient avec ses proches alliés de la nouvelle Europe (les nouveaux Etats membres de l’Union européenne qui ne s’étaient pas opposés à l’invasion de l’Irak, malgré que tout ce qu’avaient affirmés les USA était faux)…, de déployer sur leur sol un puissant bouclier antimissiles, censé contrer des attaques iraniennes ou de la Corée du Nord (gag !).
Le choc est profond…
La manœuvre est unilatérale…, le style Bush : soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous !
Aucune concertation préalable au sein de l’Otan, l’Alliance transatlantique.
Des lézardes apparaissent aussi à l’UE : certains ne décolèrent pas face au solo de Varsovie et Prague.
Mais c’est pire avec la Russie.
Moscou hurle à la menace, se cabre, menace à son tour.
C’est comme une nouvelle guerre froide…, en réalité le projet de défense antimissiles en Europe de George W. Bush n’est qu’un moyen pour obliger les (crétins d’) Européens à se ruiner totalement en armes inutiles…, mais…, plus fort encore, à céder le pouvoir militaire et toutes décisions à l’Amérique via l’OTAN…
Génial…
Le général deGaule l’avait préssenti : les américains ne sont pas les vrais amis de la France… et il avait viré “le grand machin : l’OTAN”, hors de France…
Le projet US de bouclier antimissiles en Europe lancé avec fracas par George W. Bush voit peu à peu le jour, moins vite que souhaité aux yeux des Maîtres du Nouvel Ordre Mondial, mais suffisemment pour anéantir l’Europe en la transformant en vassal, en esclave, des USA.
Celui qui était alors président des Etats-Unis voulait, en phase initiale, installer des batteries de missiles intercepteurs américains en Pologne et un radar ultra-perfectionné en République Tchèque.
Cet ersatz, déjà tempéré, de la Guerre des Etoiles de l’ère Reagan au début des années 1980, a survécu au changement d’administration à la Maison-Blanche et aux réticences croissantes du Congrès, alarmé par le coût exorbitant du système : 10 milliards de dollars par an.
Le projet a même quitté le papier pour entrer dans une première phase concrète, désormais placé sous l’étiquette de l’Otan.
Une première phase d’un processus qui en compte quatre, censé aboutir, en 2020, à la couverture totale des territoires et populations d’Europe contre “une attaque de missiles ennemis”.
Lesquels ?
Les seuls véritables ennemis de l’Europe sont nos faux-culs et faux-amis américains, qui ont pris possession de notre tissu économique, qui sont responsables de notre dette et ont réussi à nous vendre la leur…
Du moins, si l’affaire est menée jusqu’à son terme… et là, tout reste à voir, ne serait-ce que parce que la “souris” reste coûteuse.
C’est là que le génie des affaires américano-israélien va faire merveille dans une fausse âpre bataille industrielle que les merdias (aux ordres) annoncent pour la suite, notamment pour le marché des missiles antimissiles…
Quel marché ?
Pour se défendre de qui et pour attaquer qui ?
C’est au contraire pour susciter une nouvelle guerre froide avec une escalade de dépenses inutiles basées sur le sentiment de la peur…
N’empèche, on y va…
Le dernier sommet de l’Otan, tenu à Chicago en mai dernier, a pris acte de l’existence d’une capacité de départ...
Il s’agit, pour l’essentiel, de vendre aux Européens dont les économies sont déjà exangues en cause de la suite des subprimes américains ayant déclenché la catastrophe économique et boursière…, des équipements US existants (radar, navires équipés d’intercepteurs, capteurs), placés sous commandement Otan… et déployés en Turquie (ah bon !), Espagne (qui est bien évidement aux portes de la Russie et de l’Iran), Roumanie, Grèce (il reste encore un peu d’euros à prendre), Serbie et Pologne…
Et c’est l’Union Européenne qui paye tout !
En clair, on vend aux crétins d’Européens du matériel d’occasion déjà utilisé, qui plus est du “matos” totalement inutile car aucun pays au monde ne va attaquer l’Europe avec des missiles balistiques nucléaires…
Sauf Israël… qui en a fait la menace via son président : Si Israël se retrouve en difficulté, nous n’hésiterons pas à atomiser toutes les capitales d’Europe…
Mais comme le “package” d’armes d’occasion qu’on nous refile à prix d’amis à prix d’or comporte de la technologie Israélienne, croyez bien que tout sera manipulé pour que ça explose malgré le “bouclier anti-missiles”…
Bref…, c’est comme une sodomisation à sec et à froid par les deux meilleurs amis de l’Europe…
Le cynisme ne s’arrète pas à cet acte jouissif, que nenni… “les contributions nationales volontaires sont encouragées pour compléter le dispositif dans les prochaines années”…
Car vous devez noter que nos “Alliés” américano-israéliens estiment que ce dispositif est complémentaire à la dissuasion nucléaire.
A “leur” dissuasion nucléaire…
Alors qu’on croyait (qu’est-ce qu’on aime nous sodomiser bien profond)… que l’érection l’élection de Saint Obama, prix Nobel de la paix (laquelle ?)…, allait propulser le monde dans une ère de paix…, en réalité tout a recommencé avec l’élection du dit Hussein Barack Obama et son arrivée au pouvoir à Washington, en janvier 2009…, lequel a décidé que les Etats-Unis réalisent un “reset” de leurs relations avec la Russie…, qui ne va pas en décolèrer : le projet Bush étant à juste titre qualifié de menace dirigée contre elle.
Mais, comme ce qui devait être l’apothéose de la puissance du Nouvel Ordre Mondial en permettant à la Géorgie de s’accaparer de l’Ossétie et donc de torpiller l’acheminement du pétrole et du gaz russe… a échoué grâce à l’intelligence et la main de fer de Poutine…, le président démocrate Obama a été contraint de présenter une version “light” du projet de son prédécesseur.
Toutefois, rapidement, le concept s’affine.
Il se précise au sommet de l’Otan de Lisbonne, en 2010.
Plus question de déploiements spectaculaires de nouveaux dispositifs américains aux portes de la Russie…, le risque de vraie guerre nucléaire est réel, alors que le but était d’envahir économiquement l’Europe et de la rendre vassale à tout jamais (comme le Reich de mille ans)…
Le projet unilatéral estampillé US est donc transféré sous le parapluie de l’Otan, ce qui s’avère une bien meilleure affaire, c’est comme si d’une simple signature, les Européens vendaient leurs armées et la totalité de leur arsenal militaire aux USA…, qui peut les utiliser sous sa seule autorité…
Terminé les rebuffades de Chirac et de Villepin à l’ONU, lorsque la France encore plus ou moins souveraine, s’opposait aux mensonges de Georges W.Bush…, ils les ont d’ailleurs payé cher, les sévices secrets américais, fort mossades…, y ont mis tous leurs moyens pour les couler politiquement…
En 2008, au sommet de Bucarest, les Alliés de l’Otan avaient déjà fini par céder à la pression américaine et déclaré qu’un bouclier serait éventuellement : “une contribution utile à la sécurité en Europe”.En réalité, l’Europe n’existait déjà plus…
Mais comment avancer sans entrer en collision frontale avec Moscou ?
C’est que Poutine est redoutable, il voit clair et à long terme…
L’Alliance avait eu l’idée d’instituer avec la Russie en 2002 un forum permanent de concertation, le Conseil Otan-Russie.
Il a vivoté, mais il devait surtout permettre d’insister, pensait Obama, sur la notion de partenaire… plutôt que d’adversaire.
Et cela a marché…., un temps…
Au sommet de l’Otan à Lisbonne, en novembre 2010, le président Medvedev a accepté l’invitation et fait le déplacement.
Révolutionnaire, croyait-on !
Il fut convenu de travailler “ensemble” sur ce nouveau projet de bouclier, désormais placé sous la coupole de l’Alliance (gag !).
La coopération semblait sur les rails, pour autant, évidemment, que Moscou puisse placer (vendre !) ses propres équipements et que Medvedev recoive des pots-de-vin à hauteur de besoins illimités créés de toutes pièces….
Mais il n’a pas fallu plus d’un an pour voir la promesse de cette coopération s’enliser, Medvedev ayant eu l’habileté de conserver les dits pots-de-vin comme preuve de la volonté américaine de compromettre et corrompre tous les dirigeants du monde… et l’Otan (en réalité dirigée par les USA) refusant d’accéder au degré d’association (et de contrôle !) voulu par les Russes.
Depuis, le regel est annoncé.
Vladimir Poutine est revenu aux affaires et, après avoir boudé le G8 de Camp David, personne ne pensait sérieusement au sein de l’Alliance pouvoir le convier au sommet de Chicago.
De plus, la Russie craint d’être le dindon d’une farce américaine planétaire et n’a plus confiance en l’ONU depuis l’affaire Libyenne qui n’était qu’un règlement de compte de Sarkozy envers Kadhafi… règlement de compte recevant un coup de pouce salvateur des puissances de l’argent voyant d’un très mauvais oeil que Kadhafi fédère les pays arabes et crèe une monnaie arabe bien plus forte que le dollar…
C’étaient ça les vrais motifs…
Le reste, c’est comme pour la Syrie, on nous enfume…un affaiblissement de son potentiel de dissuasion…
En campagne électorale, Poutine a même promis un réarmement sans précédent de la Russie.
Et le chef d’état-major russe a brandi la menace de mener des frappes préventives sur des dispositifs du système en Europe de l’Est…, parodiant avec un humour typiquement russe, les délires américano-israéliens d’atomiser l’Iran de manière “préventive”… !
La friction autour du bouclier a donc repris de plus belle.
Le climat s’est à nouveau envenimé, sur fond d’autres polémiques : l’Iran, l’objectif de l’intervention en Libye et, désormais, le bras de fer autour du sort du régime de Bachar el-Assad en Syrie.
Et après l’agitation électorale en Russie, c’est au tour des Etats-Unis de vivre pleinement ce rendez-vous avec les urnes, propice aux musculations diverses.
En finale, ne vous inquiétez pas, on va tous mourir…
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