ATTENTION ! Cet article est satirique et parodique, les identités des divers personnages et lieux et faits explicités ne correspondent à aucune réalité.

Volosymyr, alias le Dragon d’Oukrainie…

Pour le plus grand bonheur des branleurs, en cette fin décembre 2022, Volosymyr, alias le Dragon d’Oukrainie, n’a toujours pas eu sa ration suffisante de milliards d’Euros obtenus moyennant retours sur dons via divers Paradis Fiscaux de son indéfectible amante autopromue cheffe de l’Europanel de quêteurs et quêteuses situé à Bruxekelles. Il persévère toutefois en créant sans cesse de nouvelles aventures musclées, toujours sous la houlette du génialissime Biddenard, qui n’en finit pas de satisfaire sa passion bienheureuse de ses shoots à l’acide.
Dès la scène d’ouverture de cette saga, où Volosymyr s’est fait sodomiser par son voisin Poutinas, impérator de la Rouchie, le monde a su que le divertissement allait être une épopée épique ! Volosymyr, alias le Dragon d’Oukrainie, co-financé par Macroléon dictator sublimissime de la Franchouille, s’est mis en tête d’une bande de nazillards qui rasaient les routes, fumaient de l’herbe et sodomisaient les esclaves Rouchisants. Soudain, ils ont été attaqués en retour de leurs actions, par des hordes de Rouches désireuses de protéger leurs frères et sœurs, cousins et cousines, sans cesse persécuté(e)s !
Mais quoique la majorité de ces nazillards ont été éradiqués, les peuplades hébétées du reste de l’Oukrainie ont été sauvés par l’intervention providentielle de Biddenard et sa clique Otanisante, qui promettent de latter les encagoulés Rouches grâce à leur art Yankee imbattable de la psychotique mondialisée en vertu !
En remerciement, Volosymyr s’est métamorphosé en Mad-Maxou guerrier de la route, c’est donc désormais le coup de foudre avec Biddenard et sa clique…

Raconté comme ça, ça parait déjà “What The Fuck” comme point de départ de ce qui est présenté par les journaleux de la presse pupute, le plus sérieusement du monde, comme étant la normalité la plus absolue…
Comme il est nécessaire pour comprendre le sens de toute cette incohérence, il faut pouvoir regarder le dessous du jeu de carte truqué et ce qui se trouve au fond des slips jaunis par les auto-masturbassions guerrières !
Après avoir été pianiste avec son pénis érigé, le héros de l’Oukrainie a eu le chic de tomber pile-poil au bon moment pour mettre au point une technique imparable basée sur les dons charitables… Le “return” étant à l’avenant de la crapulerie générale, l’afflux des dons “charitables” sur ses comptes est devenu aussi pandémique que le Covid19… Il n’est pas arrivé là par hasard, il est là parce que l’Oukrainie est gangrénée par la corruption… et que l’invention des dons charitables est encore plus rentable que les concerts Rock pour la dette du tiers monde (qu’aucun don n’a jamais alimenté que sur les comptes du génial organisateur) … Pour rafler un super max de milliards au vu du monde sodomisé au plus profond, il s’auto-proclame sauveur incontesté de l’Oukrainie ! Incontesté ? Pas tout à fait, car Poutinas impérator de la Rouchie, ne s’arrête pas aux amitiés politiques de Volosymyr, et aimerait bien pouvoir boucler le despote, l’éviscérer et l’émasculer, d’autant qu’il le suspecte d’être à l’origine d’une série d’abominations inexpliqués (et qui le resteront pour les européens ne parlant pas les dialectes financiers de l’Oukrainie)…
De son coté, son amante autopromue cheffe de l’Europanel de quêteurs et quêteuses situé à Bruxekelles, décide de montrer l’exemple des dons de charité pour leur quéquête en décrétant des centaines de sanctions Boomerang envers la Rouchie, qui occultent la destination des dons, les retours en commissions ainsi que la revente des dons d’armes à des révolutionnaires d’Afrik…
Mais notre héros doit affronter Poutinas, un adversaire coriace qui de plus voit clair dans ces jeux de duperies !

Pour illustrer ce western moderne aux enjeux mélodramatiques dignes d’une tragédie grecque fonctionnant aux pots-de-vin, le rythme frénétique et dramatique, quasi liturgique d’une myriade de Fake-News sont diffusées avec une orgie de tics de mise en scène habituels en complément de pseudo-reportages larmoyants. Pour “faire-vrai”, rien de tel que bande-son/filmique tressautante, images tantôt sous-exposées, tantôt ayant fermenté une semaine dans un baquet d’acide sulfurique, absence de transitions, plans outrés, montage fait à la tronçonneuse… Un art quasi-avant-gardiste de la désinformation, diffusé sur les chaines TV gouvernementales sur-subventionnées du monde “libre” comportant des scènes de poursuites en chars les plus incohérentes de la création ainsi que de jolies explosions fumigènes assorties de scènes épiques quasi sado-masochistes mettant en scène le Dragon d’Oukrainie.
Il faut bien reconnaître qu’en dépit de son jeu qui se contente d’alterner grimaces et monolithisme catatonique, il dégage un indéniable charisme et que son look T’shirt vert-pédé moulant lui sied à ravir. Il est vrai que les scènes TV le mettent en valeur, le filmant quasi-systématiquement en contre-plongée avantageuse. Et comme il se débrouille bien, il ne perd pas une occasion d’émerveiller les spectatrices et spectateurs (homosexuels) en faisant travailler son muscle pénien perpétuellement bandé comme un âne. Au besoin, ses exploits clownesques au piano sont repassés
Toutefois, avec une régularité de coucous Suisses, ce justicier est donc attaqué toutes les cinq minutes par des affreux Rouches, des occasions toutes trouvées pour le bodybuildé de crisper très fort les biceps, les mâchoires et de bander fort, pour montrer qu’il est invincible en tabassant les petits vieux à cheveux blancs pro-Rouches avec une rage hystérique et un style martial.

La confrontation finale promet d’être musclée et même atomisante… Mais outre ce duel méga-viril où nos deux bêtes de guerre rivalisent de testostérone Volosymyr aura à affronter Poutinas et ses troupes au cours d’une tuerie frénétique ! D’ailleurs, il me faut dire qu’en l’absence de sous-titres, je n’ai rien compris des révélations TV qui semblent étudiées pour désorienter le public. D’ailleurs, il n’est pas certain que quiconque soit en mesure de saisir toute la complexité de ces rebondissements balancés en rafales à la face des spectateurs et spectatrices tétanisé(e)s devant BFMTV et LCI…
En résumé, que l’on parle la langue ou pas, on ne s’ennuie pas un instant devant ce déchainement de violence et les expressions bovines des commentateurs et leurs invité(e)s qui prouvent que la bêtise est une valeur universelle.
Après ces moments exceptionnels, un retour aux sources des loisirs populeux s’impose tel un rendez-vous quotidien mammaire de minuit ! Cela représenterait l’essence même de l’inkulture Franchouillarde obnubilée par les putes légèrement débiles aux anatomies incohérentes mais aux bustes salement indécents et à l’accent odorant des campagnes consanguines. Des plantes vénéneuses pour qui les mots “Rimjob” et “Ass to mouth” sonneraient comme les plus belles des déclarations et pour qui “sodomie” rime avec la nostalgie des dimanches chez un grand-père libidineux. Vous savez, avec ce genre de femelle à grosse frange que vous n’arrivez jamais à baiser au bureau et qui s’est rendue compte trop tard que pomper son directeur ne lui rapportait qu’aphtes, sourires gluants et chicots…
Triste monde !

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