1975 Jeepster Commando #2
On m’avait prévenu de m’attendre à des sensations “négativement” hors normes…, mais je voulais à tout prix acheter cette icône de l’industrie automobile : la Jeepster Commando 4×4…, j’en ai (finalement acheté plusieurs, l’une chassant l’autre)… et toutes m’ont procuré les mêmes sensations…, frôlant « l’apocalyptique »…, en effet, les Jeepster’s grincent de partouze, sans cesse, tout brinquebale, parfois une porte s’ouvre toute seule dans un virage ou suite à un dos d’âne (un gendarme couché) et en cas de pluie, c’est la baignoire…
Avant d’aller plus loin dans l’horreur…, il est important de refaire un historique de la marque Jeep, la Jeepster étant étroitement lié à l’histoire du monde (sic !)…
John N.Willys, un américain ayant un sens des affaires très développé, eut un jour le désir de créer sa propre marque…, en 1907, il acheta la firme OVERLAND alors en mauvaise posture, il la rebaptisa Willys-Overland… et tenta de rebâtir la fortune de la firme située à Toledo (Ohio) avec un exceptionnel succès, puisque Willys-Overland devint en 1918 la 2e marque américaine derrière FORD.
En 1928, Willys-Overland était encore à la 3e place derrière CHEVROLET et FORD, puis vint la Grande Dépression et Willys-Overland, qui ne bénéficiait pas de l’appui d’un groupe comme General-Motors ou FORD, déclina au point d’être mise en règlement judiciaire en 1933.
Après une réorganisation réalisée par Joseph W.Frazer, le futur associé de Henry J.Kaiser, la production reprit doucement en 1934, la firme de Toledo fut alors rebaptisée simplement Willys, et parvint à se hisser à la 14e place des constructeurs américains, ce qui était bien décevant comparé à ses années fastes.
Joseph W.Frazer ne pouvait pas sauver Willys en tant que producteur de voitures de tourisme, mais le salut vint en fait de la Jeep, véhicule militaire produit en très grande quantité pendant la guerre.
La Jeep, véhicule léger à quatre roues motrices, fut conçue en 1940 par la firme American Bantam, pour les besoins de l’armée américaine et fabriquée par Willys et Ford jusqu’en 1945, la firme Bantam n’ayant pas les capacités de production suffisantes pour produire la Jeep en grande quantité.
Entre 1940 et 1945, 640.000 Jeep furent fabriquées dont 360.000 par Willys et 280.000 par Ford, mais alors que Ford reprenait dès 1945 ses productions civiles d’avant-guerre, Willys poursuivit la fabrication de la Jeep et de ses dérivés.
Après la guerre, les dirigeants de Willys-Overland souhaitaient réintégrer au plus vite le marché de la voiture de tourisme, mais la marque n’avait pas les moyens de sa politique, car elle ne disposait plus des équipements nécessaires à la production de modèles de ce type… de plus elle était financièrement en mauvaise santé.
Aussi, en attendant de lancer une berline conventionnelle, décida-t-on à Toledo : 1° de poursuivre la production de la Jeep sous une forme civile : la CJ… 2° de proposer un break deux portes à caractère familial et utilitaire, une sorte de Station Wagon…, la Willys Jeepster, version tourisme de la Jeep, sortit ainsi peu après la fin de la guerre 39/45.
Un véhicule de loisirs basique devant témoigner de l’état d’avancement économique de la société qui l’avait engendrée, un tel gag, une telle singulière voiture, ne pouvait naître qu’aux Etats-Unis…, véhicule insolite par son design, la Jeepster apparaissait toutefois très originale dans son concept.
Extrapolée du break, la Jeepster fut lancée en mai 1948, baptisée Jeepster Sports Phaeton, il s’agissait d’une automobile de loisirs disponible uniquement en décapotable, qui empruntait à la Jeep prétendument “une ligne sportive”…
Conçue pendant la guerre par Brooks Stevens (qui s’illustrera début des années soixante en créant l’Excalibur, la première “néo-classique” au monde), cette voiture relativement séduisante et originale, qui évoquait les phaéton’s d’avant guerre, constituait l’un des derniers vrais roadsters construits aux Etats-Unis.
Si la Jeep Jeepster reprenait au break le châssis et l’ensemble de ses organes mécaniques, elle se présentait comme une propulsion classique et n’existera jamais en quatre roues motrices, sauf sur commandes spéciales basées sur le châssis des Pick-Up 4X4.
Dans son genre, la Jeep Jeepster apparaissait comme réussie, très typée, elle avait fière allure en 1948…, Brooks Stevens avait su la doter d’habiles récurrences au design de la Jeep, vedette de la guerre et héroïne de la liberté, on pense notamment à la forme anguleuse des ailes et dans une face avant assez haute, la calandre reprenant le légendaire motif de la Jeep, rehaussé en son centre d’un motif chromé en forme de T, dont la forme évoquait celle d’une colonne antique.
Sa carrosserie à deux portes était équipée, comme tout roadster, de volets latéraux (en matière plastique)…, bien entendu, le maniement de la capote se faisait manuellement…, celle-ci se révélait malheureusement très inesthétique… la voiture gagnant beaucoup à être décapotée…, par contre, la roue de secours montée sur la poupe apparaîssait comme un sympathique clin d’œil aux années trente.
Aujourd’hui, l’ensemble paraît chargé d’un parfum assez kitsch, surtout avec des pneus à flancs blancs, mais la Jeepster est, d’une certaine manière, une voiture à prendre au second degré…
La voiture va bénéficier en 1950 d’un heureux remodelage de sa face avant, commun du reste au break et au pick-up…, la calandre, désormais à profil en V, se voyait ajouter cinq barres horizontales chromées, tandis que les ailes avant étaient plus galbées.
La partie mécanique ne constituait pas l’aspect le plus convaincant de la voiture (et de loin)…, elle recevait en effet le valeureux, mais peu brillant Go-Devil de la Jeep, un quatre cylindres latéral de 2,2 litres porté à 63 chevaux, accouplé à une boîte de vitesses à trois rapports (première non synchronisée), équipée en option d’un overdrive…, ainsi gréée, la Jeepster atteignait péniblement la vitesse de 100 km/h !!!!
A partir de 1950 cependant, la Jeepster va bénéficier en option du six cylindres Lightning de 2434 cm3, également latéral, qui développait quelques pathétiques 72 chevaux (les versions dotées du six cylindres se distinguaient alors des basiques 4 cylindres, par le chiffre 6 qu’elles arboraient sur le capot).
L’aura de la Jeepster et le souvenir qu’elle a laissé dans le cœur des amateurs sont très supérieurs à son succès commercial…, car seulement 19.131 voitures auront été produites au cours d’une carrière qui n’aura duré que quelques années…, plus que son prix assez élevé, le caractère marginal de cette voiture en explique sans doute la faible diffusion…, c’est pour changer cela de pire en moins pire…, qu’en 1967 la “nouvelle” Jeepster fut recréée…
De 1967 à 1971, rien de transcendental ne va se passer capable d’extasier les foules… mais en cette année 1971, une édition limitée “Hurst/Jeepster spécial” équipée d’une boîte automatique est commercialisée avec une décoration unique…, la Jeep était blanche avec des bandes de couleur, un levier de vitesses Hurst Dual Gate… et un tachomètre monté au dessus du capot moteur…
La nouvelle ’67 Jeepster “Commando” destinée ainsi à révolutionner l’univers connu et au delà (si possible) était disponible en Pick-up, break, cabriolet et roadster, mais une chose était restée la même : il s’agissait toujours d’une deux portes relativement basique et insipide qui brinquebalait de partouze, d’origine…
En 1972, comme ce “bond en avant” alors que Jeep était au bord du gouffre, n’avait produit aucun changement positif (les bandes “rallye” n’étaient pas une indication suffisante du coté “sportif” illustrant les “prouesses techniques” de l’engin agricole)…, on a pu sentir que la fin était définitivement proche quand la calandre typique des Kaiser-Jeep a été abandonnée en faveur (ou défaveur) d’une grotesque et lourde abomination dans l’esprit des grilles ajoutées devant les cheminées gothiques…, ce qui ne la faisait plus ressembler à une Jeep…
1973 fut donc la dernière année de fabrication de cette voiture qui deviendra pourtant mythique !
Arrivée trop tôt, la vraie Jeepster avec sa calandre typique “Jeep“, possédait sur son temps une avance qui l’a finalement commercialement pénalisée, très prisée par les collectionneurs américains, la Jeepster jouit actuellement d’une cote flatteuse outre-Atlantique…, et les six cylindres, sont les plus recherchés.
Ancêtre (tout comme la Station Wagon), des tout-terrain d’aujourd’hui, la Jeepster apparaît surtout comme une voiture branchée avant la lettre…, du reste, on l’imagine volontiers dans un cadre tropézien et on peut la considérer comme la pionnière des véhicules de loisirs contemporains, dont elle a devancé la mode d’une quarantaine d’années.
Jusque 1959, année ou l’usine “St Ana’s métallurgique” a commencé sa production d’automobiles de Jeep 4×4 “Américaines” à Linares, la Land Rover Britannique qui n’avait pas eu le “dumping” en suite des exploits de la Jeep Willys durant la guerre…, était devenue curieusement la voiture 4×4 par excellence en Europe…, mais, la Jeepster “Commando” va connaitre une extension inattendue de son histoire en étant fabriquée en Espagne !!!
La mise en production de la Jeep Willys VIASA (une extrapolation de la fameuse Jeep Willys de la guerre 40/45) a en effet lentement modifié cette donne (ce qui est un double sens, d’un coté la perpétuation de l’image positive de la Jeep…, d’un autre VIASA va rendre la Jeepster guignolesque en cause de ses pathétiques motorisations diesel).
La concurrence entre les deux véhicules (l’un construit aux USA, l’autre en Espagne) était très faible sur un strict point de vue commercial, parce que la plupart des Willys ont été livrées à l’armée Espagnole et à divers Ministères officiels (Garde Civile, Police) et que seules quelques Jeep ont été vendues à des particuliers, ce qui est heureux pour l’image (que mon information via cette chronique, dégrade avec appétence).
Cette situation va perdurer jusqu’en 1967, avec le lancement de la Jeepster Commando en Amérique du Nord.
La Jeepster “Commando” Espagnole a été commercialisé avec trois carrosseries différentes : la version Hard-top fixe, la version Hard-top démontable (convertible) et la version Roadster sans Hard-top, toutes équipées d’abominables et pléthoriques moteurs diésel.
VIASA à de plus obtenu de la produire simultanément sous licence, à Saragosse, en Espagne…, VIASA augmentant alors sa production tout en diversifiant sa gamme avec les nouveaux fourgons SV.
Le lancement de la Jeep “Commando” dans le marché national Espagnol, ciblait la Land Rover (même puissance et consommation), mais prétendant offrir plus de confort et plus de puissance (que penser dès-lors de ce qu’étaient les Land Rover Espagnoles)….
La publicité prétendait en une polyvalence démontrant (sic !) une bien meilleure combinaison en utilisation des routes et en tout-terrain (re-sic !)…, le prix augmentant alors considérablement par comparaison avec la Land Rover 88, mais restait semblable à la version Land Rover 109.
Les ventes de la Jeepster “Commando” atteignirent leur apogée (gag !) entre 1977 et 1981, avec deux versions de 4cyl diésel, S et HD.
Dans les années quatre-vingt, avec l’irruption de la Nissan Patrol, la Jeep “Commando” qui existait toujours…, devint obsolète…, de ce fait, en 1982, la production de la Jeepster “Commando” a été arrêtée, elle avait ainsi survécu 9 ans de plus que sa soeur jumelle américaine… (aux USA, la Jeepster “Commando” avait cessé d’être produite en 1973).
Les publicités Espagnoles de la Jeepster “Commando” ont vanté jusqu’aux derniers jours de production la “polyvalence récréative et commerciale” de cette voiture et de ses caractéristiques imbattables en tout-terrain (pauvres espagnols).
La Jeepster “Commando” dépassait prétendument en confort, les Jeep CJ-3 et CJ-6 ainsi que les Land Rover 88/109 (à cette époque, les publicités mensongères n’étaient pas pénalement et civilement condamnables)…., sa conduite n’était pas très difficile pour un paysan, sauf pour l’absence d’une synchronisation de la première vitesse et la marche arrière.
La prétendue “composante de luxe” qu’avait la Jeepster “Commando” et que n’avait pas la Land Rover, a été l’information mensongère en cause de ses hauts niveaux de vente, principalement en Andalousie et dans les exploitations agricoles de Extremadura, Salamanca et La Mancha.
Au début des années ’70, l’effort de payer près d’un quart de million de Pesetas pour l’achat d’une Jeepster “Commando” semblait en effet pour la paysannerie espagnole, être une bonne option pour le travail en forêt, en montagne et dans les villes en toute saison, c’était une voiture très populaire…
La Jeepster “Commando” était, il est vrai LA voiture basique idéale pour découvrir des lieux tout aussi basiques en infrastructures routières, qui, jusqu’à ce moment-là, étaient seulement accessibles avec un tracteur.
En outre, la Jeepster “Commando” avait une énorme capacité de charge, pouvant accueillir six personnes et 525 kg de bagages, quoique ainsi surchargée, elle peinait à gravir les pentes…, de plus, comble de la folie et du surréalisme, en 1979, la première Coupe d’Espagne “Cross Jeep Grand Prix Motor Ibérica” pour les voitures à quatre roues motrices a placé VIASA en haut du podium…, pour le reste du monde, ce fut la stupéfaction totale
Viasa avait commencé ses activités en 1959 avec la production, sous licence, de la Jeep Willys américaine, tout d’abord le modèle à empattement court CJ3 et, plus tard, sur la CJ6… et en 1963, VIASA commercialisait quatre modèles de 4×4 simples cabines avec quatre roues motrices, capables de transporter plus d’une tonne de charge en tout terrain.
Les noms adoptés étaient : “Campeador” pour le Pick-up de 1.200 kg de charge nette…, “Duplex” pour la camionnette à cabine double et une capacité pour 5-7 personnes et 750 kg…, “Van” pour la camionnette pour 6 passagers et 1 tonne de charge… et “Tolède” pour le petit bus de 9 places…, chacun d’entre eux étaient diffusés sous le même nom : Jeep Ebro SV.
L’extérieur de la Jeepster “Commando” a peu changé au cours de ses 13 années de fabrication en Espagne, au contraire de sa mécanique…, les versions diesel ont eu beaucoup de succès, montrant une grande tendance à l’économie, et au mépris de la polution et de l’écologie…, même si cela signifiait la plupart du temps la réduction de la puissance.
Ces véhicules ont survécu jusqu’en 1981… et ils ont coexisté pendant un long moment avec les Jeepster “Commando” et étaient tous réunis dans le catalogue VIASA-Ebro.
En 1972, l’abominable moteur Barreiros a été abandonné au profit d’un tout aussi abominable Perkins 4, type 108 (installé dans le Van Ebro F-108) avec 1.760 cc et 61CV à 4000 rpm.
Au début, la Jeepster “Commando” était équipé d’un Barreiros C-65, un moteur de deux litres et 65 CV à 4000 rpm, utilisé dans les SEAT 1500, dans les camions légers tels que le Barreiros 42/35… et dans les camionnettes Tempo…, trois ans plus tard, le Perkins 4 type 108 de la Jeepster “Commando” avait réduit sa phénoménale puissance de 4CV, mais il existait en option une version Perkins 4 type 165 de 2.710cc et 71 CV, à 3600 rpm.
La Jeepster Commando est entièrement découvrable pour une expérience en plein air inédite…, à l’intérieur, quelques détails ramènent au passé…, l’habitacle est très large et celui-ci montre même quelques sections en acier peint…, on remarque également que le tableau de bord, tout en restant “moderne”, a été adapté à un véhicule qui ne permettait pas, dans les années ’70, beaucoup de fantaisie dans ce domaine.
Le volant frappe par son design minimaliste (gag !)…, il n’y a aucune télécommande pour ajuster les rétroviseurs extérieurs, même pas manuelle…, on doit ouvrir la vitre pour les ajuster.., les sièges sont toutefois semi-confortables, l’espace pour la tête et les jambes ne fait pas défaut à l’avant comme à l’arrière… et en 2+1, la banquette s’abaisse facilement, afin d’agrandir l’espace de chargement.
La mécanique est simpliste…, le moteur ne ronronne pas tel un dinosaure enragé sous le capot, mais toussote ses entrailles en émettant une fumée noire…, c’est un 4 cylindres Perkins Diesel de 2.710cc de 71cv qui suinte l’huile de partouze…, celui-ci est accolé à une transmission manuelle à quatre rapports qui ne paraissent pas synchronisés tellement ils craquent…
Les quatre roues motrices sont censées spermettre de s’aventurer où les routes sont difficilement carrossables, quand il y a une route…, la ou consommation et fumée…, identiques à un vieux steamer (ou a une locomotive des années 1880), n’est pas importante, sauf si on a une once de respect pour la faune, qui n’en peut…
La direction est floue au centre et ailleurs également… et la suspension a été calibrée pour le hors-route ce qui rend l’engin (agricole) semblable à une remorque pour les champs…, ce n’est pas un engin d’autoroute car sa vitesse de pointe de 80 Km/h “à donf” n’est pas suffisante (je vous fais grâce du nuage de fumée dégagée par cette “chose”)…, mais, sur petites routes, dans les sous-bois et routes de montagne, en bord de mer, la Jeepster Commando 4×4 est tout à son affaire si vous n’êtes pas sensible à l’écologie…, quant à tracter une remorque (motos, quads, jet-skis, ULM, parachutes ascensionnels etc.etc…), c’est du rêve, puisque la Jeepster (en version diesel)peine à grimper à la moindre déclivité…
Et tout cela en full cabrio, 4 à 6 places…, avec les retours de fumée de l’échappement, ainsi que celle qui s’enfuit du compartiment moteur par toutes les voies possibles, y compris les “bouches” de chauffage…, et s’il pleut, le capotage complet en moins de 30 minutes par deux personnes (qui vont “s’engueuler” copieusement et finiront les pires ennemis du monde),…, le bilan est d’autant plus négatif que la Jeepster Commando 4×4 est curieusement très bien cotée aux USA et ailleurs dans le monde…
J’ai résolu tout cela en jetant le moteur, la boite et d’autres pièces au fond d’un lac enchanté qui était reconnu comme étant d’une pureté exceptionnelle, la presse régionale à ensuite publié en première page toute l’interrogation des populations locales voyant sans raison des milliers de poissons morts flottant à la surface d’une eau réputée pure depuis plusieurs siècles, devenue mazouteuse en une nuit… ce qui a attiré quantité de spéculateurs croyant qu’il y avait là un gisement de pétrole gigantesque… ce qui a fait “flamber” le prix des terrains et maisons alentours (comme quoi il faut réfléchir avant de se lamenter)…
J’ai remplacé le bloc diesel Perkins par un bon gros V8 Yankee de 7L avec compresseur, épaulé par une boite automatique… et la Jeepster est deviendou une bonne grosse Jeep sympa qui craquouille malgré-tout de partouze, dont les portes s’ouvrent toujours suite aux aléas des terrains pratiqués… et qui sert de baignoire en tant de pluie…, mais quel pied grâce au V8… et quel bruit formidable…, là ou la faune avait survécu à la pollution des fumées du diesel, j’ai réussi à annihiler la faune survivante grâce au bruit apocalyptique du V8 de 7L…, une voiture formidable…
Jeepster Commando : châssis JKU 2017 modifié (empattement de 101 pouces)
Moteur : 7.0 LQ4 V-8
Transmission : 4L80E Gearstar Performance
Boîte de transfert : Adaptateurs avancés Atlas (rapport de gamme basse 3,8: 1)
Suspensions : Synergy Stage 3 (2 pouces)
Essieux: D’usine Jeep Rubicon Dana 44, 4.10
Pneus et jantes : 35×12.50 / 17 Nitto Ridge Grappler sur smoothies Vintiques 17×8