1962 Sabra, à la recherche d’un passé perdu !
A la recherche d’un passé Juif/Israélien/automobile, perdu, j’ai fait appel à un ami Juif, psychologue, qui, de plus, est collectionneur des seules automobiles “civiles” juives-Israéliennes. Il a accepté de m’aider dans une “désintrospection” très utile m’affirmant d’entrée : “La mémoire juive peut être très créatrive et lorsque c’est nécessaire, tout juif invente simplement un passé qui devient vérité”… Voilà qui m’a aidé à comprendre l’incompréhensible.
Mon ami Juif fut soldat de Tsahal et peu ou prou, selon lui, victime, faisant partie d’une énorme machine de guerre, ou il ne faisait qu’obéir aux ordres de chefs devenus fous… Selon lui… “Le soldat Juif en tant qu’individu Juif, est un Juif impuissant qui ne peut ni refuser l’ordre d’un massacre ni arrêter le massacre que ses chefs Juifs lui ordonnent, il ne peut, tout au plus, qu’en référer à D.ieu. Il n’a ensuite que deux autres possibilités réelles : tirer et pleurer d’avoir tiré, rétrospectivement, ou alors, il peut se réfugier dans l’amnésie ou le refoulement, ce qui lui permet de faire la supposition que toute mémoire retrouvée, ou que toute narration verbale du passé, doit être reconstruite dans l’esprit Juif collectif”… C’est suite à sa participation dans le massacre de Sabra et Chatila, qu’il éprouva le curieux besoin d’acquérir une Sabra qui était restée camouflée au port d’Haïfa dans un container… Etrange coïncidence lorsqu’on sait que ma voiture de collection LéaFrancis d’une valeur sous convention de 200.000 euros, qui m’avait été volée en Belgique par une organisation criminelle, avait été exfiltrée via le système des Ports-Francs situés dans les zones Off-Shore’s, au départ des installations de Zeebrugge appartenant à l’Agent Général AXA pour la Belgique et expédiée vers Israël ! L’importance d’AXA dans le financement des colonies Juives avait amené par corruptions et subornations, à ce que le Procureur du Roi de Bruxelles vole les dossiers et détruise un enregistrement des organisateurs du show, complices du vol…
Sachez, pour vous aider à comprendre (ce que j’ai moi-même fait, mais ce ne fut pas sans risques…), que les institutions Israéliennes et Juives, ainsi que les individus Israéliens et Juifs, sont extrêmement imaginatifs et productifs, quand il s’agit de construire et d’élaborer une mémoire personnelle et collective, de la souffrance Juive, en parallèle de ce qui est commenté au paragraphe précédent… Mais que s’ils sont très bons dans l’industrie de l’armement et les finances (une spécialité), il n’en est pas toujours 100% de même pour certaines , qui, particulièrement en ce cas précis (la Sabra), fut un désastre et une grande souffrance collective… Dès lors que c’est par des Juifs qu’elle est imposée, la souffrance collective (et même personnelle) est totalement refoulée dans les cultures Israéliennes et Juives contemporaines. Une fois de plus, grâce à ma quête d’informations sur la Sabra, j’ai pu vérifier que le Stress Juif Post-Traumatique est, en réalité, un désordre dû à un Stress Israélien Pré-Traumatique… La mentalité Juive (et Israélienne) étant une préparation institutionnelle à diverses tragédies encore à venir. Tel le le génocide 2023/2024 de 44.000 hommes femmes et enfants Palestiniens dans l’enclave Palestinienne, ce qui a entrainé la Cour Pénale Internationale à inculper avec Mandat d’Arrêt, deux dirigeants Juifs Israéliens pour Génocide… Dans les conditions du Syndrome du Stress Juif Pré-traumatique (surement un gag), le stress Israélien invoqué résulte d’un événement phantasmatique issu d’un épisode imaginaire imaginé campé dans le futur ; un événement qui doit n’être jamais produit…
Contrairement au Syndrome du Stress Juif Post-traumatique, dans lequel le stress est une réaction directe à un événement qui a pu se passer (ou s’est effectivement passé) dans le passé, dans l’état de Syndrome de Stress pré-traumatique, le stress est, manifestement, le résultat d’un événement imaginaire, virtuel… Dans le syndrome du stress pré-traumatique Juif, une illusion préempte la réalité et la condition sur lesquelles le fantasme de terreur est focalisé et est en train de devenir, lui-même, une réalité terrible. Si cette illusion était poussée aux extrêmes, ce qui pourrait être le cas, des préparatifs de guerre totale contre le reste du monde ne seraient pas une réaction à exclure. L’amnésie de mon ami Juif sur les événements de Sabra et Chatila, s’explique en tant que refoulement d’une mémoire antérieure, lointaine, de l’Holocauste. C’est là, de fait, l’ultime Catharsis Juive, la résurrection de la tragédie à venir, à la lumière d’une tragédie passée. Le trauma est présent, de manière prématurée.
Le syndrome de stress Juif pré-traumatique est l’essence de l’existence Juive, dans laquelle l’être Juif livré au monde, se résout à la lumière du passage de tragédies passées, à une tragédie future. La vie n’a de sens en Juiveries diverses, qu’aussi longtemps que les Juifs sont préparés, constamment et de manière effroyable, à quelque nouvelle catastrophe, à la lumière d’une ancienne catastrophe. La question que j’ai alors posée à mon ami Juif… et ce, en tant que pacifiste exalté, fut la suivante : “Quelle chance une identité tellement autodestructrice est-elle susceptible de laisser à la paix ? Autrement dit : comment pouvez-vous faire la paix avec un sujet qui est ainsi obsédé par sa destruction prochaine ?”… Il m’a répondu que personnellement, il n’avait pas de réponse, à ma question, la seule chose qu’il soit en mesure de faire, étant de me rappeler cette vieille blague juive : “Ce qui suit est un télégramme juif : Vous pouvez commencer vous ronger sangs. Détails suivront“…
Convaincu de toucher au but suprème, j’ai posé une question existentielle : “Si les Israéliens ont autant de difficulté à se remémorer ce qui leur est arrivé il y a une trentaine d’années (Sabra et Chatila), comment se fait-il que tout Israélien se souvienne très exactement de ce qui s’est passé, en Europe, entre 1942 et 1944, sans l’avoir vécu, quitte à nous en tartiner jusqu’à l’indigestion ?”… Très étonnamment, alors qu’il s’agissait d’une question typiquement Juive et qu’elle était plutôt du genre provocatrice, ni mon ami, ni le psychologue (ami lui aussi), n’ont montré le moindre signe d’emportement. Je suppose que les Juifs, dès lors qu’ils se retrouvent entre eux, finissent par se poser beaucoup de questions qu’ils éviteraient soigneusement d’aborder dans un débat plus ouvert, sachant que de toutes façons ils n’y répondront qu’évasivement… Toutefois, aucun n’a pu réellement m’apporter de réponse.
C’est tout-à-fait compréhensible… En effet, Israël n’est pas un pays réputé pour ses voitures : le sport automobile y est interdit, Chanoch Nissany n’a pas fait tâche d’huile et l’essentiel des ressources économiques sont absorbées par l’armée. Il y eu malgré tout un constructeur : Autocars, dont les productions n’ont pas vraiment marqué l’histoire. Les archives sur Autocars sont rares. Difficile d’écrire quoi que ce soit. C’est aussi difficile que de réaliser un reportage dans la bande de Gaza bombardée et envahie par Tsahal…
La marque fut créée dans les années 50 par Yitzak Shubinski qui débuta la production avec un 3-roues Reliant produit sous licence (un Regant MK1), dans un petit atelier près d’Haifa. Les ventes furent honnêtes dans le sens Juif du terme… et Autocars pu voir plus grand. En 1957, il passa aux quatre roues avec la Sussita (”jument” en araméen)… Ce petit break 2 portes, motorisé par un 4cyl 1000cc de Ford Anglia, possèdait une carrosserie en plastique (comme toutes les Autocars). En 1960, un deal fut signé pour les vendre aux Etats-Unis. Mais une mauvaise qualité de fabrication le ruinera.
Entre temps, Autocars s’était offert une petite usine et se mit à produire un millier de Sussita. Au British Racing Car Show de Londres en 1960, les dirigeants d’Autocars découvrirent la 1172, produite par un obscur artisan. Ils en obtinrent les droits et la rebaptisèrent Sabra (du nom d’un cactus, ou d’un natif d’Israël)… Un nouveau deal fut re-signé pour vendre cet engin aux USA.
Reliant voulut la produire également après l’avoir renommée Sabre (c’était moins exotique) ! Alors que la Sabre recevait un 1,7 L (puis un 6 cylindres 2 Litres, annonçant la Scimitar GT), sa cousine Israélienne se contentait d’un 1000cc. La production démarra en retard et la filiale US recevra d’abord des Sabre ! L’arrivée d’un coupé et de distributeurs en Europe (notamment au Benelux, premier marché) ne fit pas décoller les ventes. En parallèle à sa gamme de fantasques déplaçoirs utilitaires, la Sabra n’est même pas parvenue à s’attirer les grâces des membres les plus éminents de la jet-set Israélienne, séduits par le “product endorsment” spontané de Golda Meir… Ce disgracieux roadster connut un destin commercial des plus mitigés.
L’essai d’un véhicule d’obédience Juive, destiné à l’accomplissement de diverses tâches ludiques ne va toutefois pas à l’encontre de ma philosophie.
C’est dans cette perspective que je vous soumets régulièrement des rapports d’essais, d’automobiles appelées à me mouvoir avec le panache requis.
Grâce à mon ami Juif que vous connaissez maintenant (après l’introspection psychologique ci-avant), j’ai eu l’avantage de me pencher sur le cas de ce roadster de sport produit il y a de cela quelques années dans la cité portuaire de Haïfa… et pour démontrer que je ne suis pas sectaire, j’ai acheté un des plus bel exemplaire encore existant… Sa ligne évoque le fruit régional d’Haïfa, un désaccouplement coupable et allégorique entre la flamboyance moderne et le conservatisme. Archétypique de son genre à l’excès, son esthétique traditionaliste repose sur des courbes retravaillées au moyen d’un crayon à dessin trempé dans une solution d’anabolisants. Le traitement intérieur du véhicule laisse très adroitement la part belle aux divers clichés qui constituent la représentation d’une automobile sportive dans l’imagerie populaire. Cuir, bois et moquette épaisse trouvent refuge parmi les multiples instruments de bord et le tunnel de transmission surdimensionné.
Il serait superfétatoire de vous dissimuler les origines plébéiennes du groupe propulseur qui n’avait pour autre vocation que de se voir confiner sous le capot d’adipeuses autos bas de gamme. Le moteur manifeste d’ailleurs sa jubilation d’avoir échappé à la morosité terminale d’un tel sort en émettant sur demande un feulement carnassier dont l’exaltation va crescendo au fil des rotations internes. Cette rage manifestée par le bais de la simple tubulure d’échappement joue un rôle prépondérant dans le fort sentiment d’implication que suscite la prise en main de cet engin. Abordée avec douceur et respect, elle sait se révéler suave et subtile à l’image d’un Mike Brandt désireux de s’attirer les faveurs de Yasmina Dalida, mais elle peut, dans des mains insolentes, se montrer atrabilaire et vicieuse comme l’éponyme Tzipi Livni l’est envers les Palestiniens… Pour évoquer l’expérience de conduite en termes moins métaphoriques, sachez qu’aucune bribe de sous-virage de sécurité n’a été inoculée par les ingénieurs en charge du projet.
La clarté des messages transmis par les commandes n’est altérée en rien par de castrateurs dispositifs d’assistance et aucun acronyme électronique ne vient perturber les tendances naturelles de l’ensemble à aller tout droit, tel un char de Tsahal entrant à Gaza…. Avec un nez très caractéristique, très incisive du museau, la Sabra maintient sa poupe en ligne puis la laisse échapper de manière assez subite et cavalière.
Une certaine habitude des réactions dynamiques de cette composition est souhaitable avant de ne laisser s’exprimer pleinement les velléités d’attaque que la substance de l’engin ne manquera pas d’éveiller. Il est en effet assez embarrassant de se retrouver lamentablement coincé dans la végétation luxuriante d’un fossé après avoir fait habilement l’éloge de ses capacités de pilotage à une Israélienne lovée sur le siège passager…, mais en avouant cela, cet article risque d’être taxé d’anti-sémite, je m’en abstiendrait donc ! Symbole fortuit des aspirations revivalistes qui semblent guider les leaders de tendance depuis quelques décenies, la Sabra est une automobile sans âge et sans prix. Ses postures de voiture de collection issue des années soixante, son patronyme méconnu, le bruit évocateur de son échappement, ses hanches torturées et son habitacle laissant la part belles aux clichés, sont autant d’éléments qui troublent les badauds dans l’achèvement d’un consensus sur l’étiquette à lui attribuer. Très Juive, somme toute.
Sabre Four (type SE1, 1961/1963)
Avec la Sabre Four, Reliant faisait en 1961 ses premiers pas dans le domainede la construction d’automobiles de sport. C’était un cabriolet à deux places,doté d’un moteur Ford consul de 1703 cc sensiblement amélioré (59 CV pour 800 kg, vitesse 170 km/h). Sa présentation remonte au London Motorshow d’octobre 1961. La motorisation évolua rapidement à 90 CV et pour le millésime 63, un coupé fut adjoint au cabriolet. Le style de la voiture, qui se remarquait notamment par deux boucliers avantsavants assez disgracieux, n’eut pas la faveur des foules. De plus, la puissance de cette sportive faisait pâle figure face à la concurrence (MG, Triumph …). Ces éléments incitèrent Reliant à développer une Sabre Six, redessinée, et dotée d’une motorisation plus conséquente.
Sabre Six (type SE2, 1963/1964)
En 1963 le châssis fut donc remanié, et Reliant adopta un 6 cylindres Ford Zephyr de 2566 cc et 110 CV. Esthétiquement, la face avant présentait un aspect plus classique, s’inspirant de sa concurrente la MGB. Avant d’être remplacée par la Scimitar en 1964, la Sabre Six fut produite à 77 exemplaires.
Sabra Sport, par Autocars (1961/1968)
La Sabra Sport fut présentée durant l’été 1961, au New York Motorshow. Elle était quasiment identique à la Sabre Four. Ce partenariat avec Reliant répondait à un besoin pour la firme israélienne Autocars de développer les ventes de sa filiale américaine. Elle fut assemblée en Israël jusqu’en 1968, soit bien après que la Sabre ne soit retirée des chaînes en Grande Bretagne. La justification officielle des énormes boucliers avant était les sévères normes de sécurité US de l’époque.
Extraits d’un dépliant publicitaire diffusé par l’importateur exclusif sur le Bénélux
Prendre un virage à toute allure est un réel plaisir avec Sabra… Une conduite sûre dans une automobile de classe… Sa remarquable légèreté (la carrosserie) vous apporte une réelle économie en benzine… La fibre de verre ajoute à la valeur de Sabra puisqu’on la trouve sur des voitures beaucoup plus chères…
Sur les 171 Sabra assemblées en Israël jusqu’en 1968 (soit bien après que la Sabre ne soit retirée des chaînes en Grande Bretagne), seulement 41 d’entre elles furent exportées vers les Etats Unis. 21 voitures furent vendues localement, tandis que l’importateur Belge écoula 68 Sabra dans le Benelux. Quelques exemplaires furent commercialisés en Suisse (22 voitures) et en France (10 voitures).
http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAF97035831
En 1963, une berline 2 portes Carmel fut présentée, équipée d’un 1200 Ford. La Sussita finira par disparaître en 1966 avec l’arrivée de la Carmel Station Wagon (2 portes). L’année suivante, une 4 portes rejoignit la gamme, la Gilboa. En parallèle, Autocars déménagea dans une vraie usine, près d’Haifa. Trop ambitieux ? La compagnie fit faillite.
En 1967, British Leyland racheta Autocars, tandis que Triumph remplacait Reliant comme partenaire. En 1968, Autocars décida d’arrêter les frais.
Conséquence N°1 : les mécaniques Ford des Carmel et Gilboa furent remplacées par des 1300cc Triumph (même si certains disent que le 1200cc subsistera jusqu’en 1969). Conséquence N°2: des Triumph 1300cc, rebaptisées Zafer, seront assemblées en CKD à Haifa jusqu’en 1973.
British Leyland et BMC fusionnent en 1969. BLMC veut faire d’Autocars sa tête de pont au Proche-Orient. Il faut compléter la gamme.
Du coup, Marcos est chargé de créer un véhicule sur la base du break Mini, à produire par Autocars. Le projet fait long feu et seuls quatre prototypes seront construits.
Dans les cartons de BLMC traînait le Triumph Pony, un tout-terrain mort-né (avant même l’arrivée de Land Rover dans le groupe).
BLMC le ressuscite en Israël, où il prend le nom de Dragoon. Disponible en version pick-up ou en quatre portes, il obtiendra un certain succès et sera fabriqué sous licence en Grèce et en Iran.
En 1974, nouvelle faillite. Autocars devient Rom Carmel et BLMC s’en va. La Gilboa évolue en 1300cc et en 1979, elle reçoit un lifting et est rejointe par un break 4 portes. Mais la production s’écroule et Rom Carmel ferme ses portes en 1981, les Israéliens préférant désormais acheter des Etrangères… Ce qui est un double sens…
La Sabra ne pouvait carburer qu’à l’essence Juive, et à l’époque, cette essence faisait cruellement défaut ! Grâce à Nael,un ami garagiste Arabe situé dans le nord Parisien, cette voiture Juive a pu être vendue, par l’intermédiaire d’un Grec, à un Mormon de New-York… Remerciements à mon ami Juif (qui a toutefois tenté de m’arnaquer sur une autre “affaire” automobile) et à mon ami psychologue qui m’ont réellement aidé à comprendre l’essence Juive automobile qu’incarne la Sabra… Merci à D.ieu qu’il n’y a eu que la Sabra Kasher en tant que voiture Juive Israélienne…
Ces deux illustrations de la Zion Oil & Gaz Co vous montrent le pourquoi du Génocide à Gaza destiné à laisser les champs gaziers et pétrolifères libres d’exploitation, sans devoir payer d’indemnités aux Palestiniens qui occupent (légalement) leurs territoires qui sont situés sur les points rouges et verts et les zones d’extractions en eaux territoriales Palestiniennes qu’Israël a décidé d’exploiter sans partage depuis les confrontations y relatives à l’époque de Yasser Arafat. Comme cette zone inclus les eaux territoriales du Liban et au delà en Syrie, ces deux pays sont également envahis.