Virus-Vintage ! 2002 Nubodi 250 GT – Z3 Series… Les automobiles infectieuses ne disparaissent-elles vraiment jamais ?
Alors que les journaleux auto-spécialistes des vraies anciennes, les scientifiques économiques et les autorités fiscales, croyaient en avoir terminé avec l’épidémie des Kits et Kustom-Cars qui avait fait son apparition en France dans les années ’70 à cause de l’intoxication généralisée du fameux Virus-Vintage diffusé par le magazine Chromes&Flammes, on s’aperçoit depuis 2019 que certaines souches qui subsistaient cachées par des réfractaires aux lois ont été réactivées par le retour de ce magazine !
Suite à la mutation de ce magazine sous le nom de Gatsby, le péril d’un retour en force des vieux Kits et Kustom-Cars Vintage motorisés “à l’ancienne” avec des moteurs-essence polluants, vient contrarier les directives du Nouvel Ordre Mondial ayant ordonné l’interdiction progressive des automobiles utilisant l’essence, le gaz ou le diesel, qui doivent être impérativement remplacées par des véhicules fonctionnant exclusivement à l’énergie électrique !
ll y a donc un péril planétaire qui s’étend insidieusement dans les couches jeunes de la population, peu sensibles aux mutations malgré l’Auto-Vaccination “Drire” imposée par le biais d’une répression drastique opérée par les centres de contrôles techniques rendus obligatoires ! Mais le Virus-Vintage est en constante mutation et aucun vaccin anti-Virus-Vintage n’a été pensé pour contrer les vagues successives de mutations incontrôlables qui menacent d’enrayer le processus mis en place vers le tout électrique.
La variante “Vintage+” semble encore plus résistante ! Une question se pose partouze en France : Est-il possible d’éradiquer totalement cette mutation ? Pour l’heure, seule la mutation “Tuning” avait pu être endiguée avec un certain succès grâce au vaccin “Jacky-Touch” des laboratoires “Michou-Lomel”. Les Gouvernements espéraient que la vieille souche originaire disparaitrait, mais cet espoir, reporté sur les pré-mutations, s’avère actuellement de plus en plus difficile à stopper !
Pourra-t-on venir à bout du virus ? Alors que certains professionnels tentent de relativiser “l’alarmisme” ambiant autour d’une possible “vague du réemploi précaire”, une interrogation subsiste : Parviendra-t-on à stopper l’épidémie et à l’éradiquer ? “Dans notre situation actuelle, il est très peu probable que nous puissions éliminer ce virus”, jugeait ce 10 juillet 2021 à Genève le directeur exécutif de l’Organisation Mondiale de la Salubrité-Automobile (OMS-A), Pierrot Louf, lors d’une conférence de presse : “Il y a des environnements très particuliers où cela peut se produire, des Etats hors-les-lois et d’autres endroits, mais même ceux-ci risquent des réimportations du virus”, analysait-il, ajoutant : “Nous avons vu des pays, qui avaient réussi à atteindre zéro cas ou presque zéro, permettant de ne plus réimporter le virus de l’extérieur. Donc il y a toujours un risque que la population lise un article de GatsbyMagazine et de GatsbyOnline”.
L’ex-éditeur en faillite, Michou Lomel semble partager cet avis. Il vient d’ailleurs de créer une Cellule d’Intervention d’Urgence ! Interrogé sur BFN-TiVi le 21 juillet, il a murmuré sur son lit de l’Ehpad de Loéak : “On n’arrivera pas à complètement éliminer le Virus-Vintage tant qu’on n’interdira pas définitivement la publication de GatsbyMagazine et la diffusion de GatsbyOnline, sauf si une campagne de calomnies diverses pouvait être diffusée rapidement à l’encontre de Patrice De Bruyne qui est l’équivalent en presse automobile du Professeur Rapoule, un fumiste, cela serait particulièrement efficace à l’appui du triplement des taxes ancêtres”.
Alors au-delà même de la menace, est-il tout simplement possible de faire disparaître définitivement ce qui est une maladie infectieuse ? BFN-TiVi a donné au 20 heures d’hier quelques éléments de réponse : “Plusieurs conditions doivent être réunies. Il y a d’abord une question de définition. Faire disparaître l’infection que sont les Kit-Cars, signifie deux choses à mettre en oeuvre : 1° l’élimination du Gourou de la presse gonzo : Patrice De Bruyne, dans d’atroces souffrances fiscales avec ou sans restrictions géographiques. 2° l’éradication du Virus-Vintage des Kit-Cars et Kustom-Cars sur Terre pour qu’il ne circule plus du tout, y compris chez les espèces d’imbéciles potentiellement atteints par les publications de ce gourou. Pour cela, plusieurs conditions doivent être réunies. En premier lieu, il faut que le Virus-Vintage n’ait plus de réservoir environnemental, c’est à dire qu’il faut voter une Loi d’interdiction absolue d’exposition de tout ce qui est Vintage dans des shows ainsi que l’interdiction de circuler en Vintage… Sinon des réintroductions pourront se passer à tout moment”.
“Il est illusoire de supprimer tous les imbéciles pour faire disparaître la stupidité”… A souligné un contradicteur anonyme, ce à quoi le présentateur de BFN-TiVi à rétorqué : “Nous en savons quelque-chose sur BFN-TiVi. On peut toutefois éliminer ce qui n’est qu’une maladie chez l’homme, mais ne pas l’éradiquer sur la planète pour autant. Il faut penser que si on élimine tout le monde lisant les articles de Patrice De Bruyne, il ne restera plus beaucoup de cons-somateurs ! Autre condition nécessaire : Il faut que le Virus-Vintage des Kits et Kustom-Cars soit stable. Si un virus mute tout le temps, par exemple en Hot-Rod voire en Réplica, on n’arrivera pas à avoir une immunité pour toute la population. Moins il y a de variantes du Virus-Vintage, mieux on pourra lutter contre ce fléau ! Lutter contre cette infection nécessite aussi une capacité d’identification et de traçage des Kit-Cars et dérivés. Selon l’OMS-A : Seules 5 à 10% du 1,7 milliard de personnes infectées par les films Fast & Furious sont amenées à développer cette maladie du Vintage, rendant son éradication a priori impossible en l’état actuel des connaissances. Et c’est justement là que se trouve un point crucial pour lutter contre le Virus-Vintage des Kits-Cars et de la Kustomisation débridée. Pour l’éliminer il faut voter des interdictions très efficaces et proposer une récompense comme au temps des westerns !
“Faut-il encore avoir les moyens de le faire”… lui a souligné un journaliste inconscient, ce à quoi le Premier-Ministre de Marron 1er, une dizaine de minutes après cette prise de position, a tenu à préciser : “On a éliminé la rage du territoire français en vaccinant les animaux domestiques, l’homme étant un cul-de-sac car il n’y a pas de transmission interhumaine du virus de la rage qui se trouve au sein des manifestations des Gilets-Jaunes et des Anti-Pass. La rage cause 59.000 décès par an principalement en Asie et en Afrique des suites des diverses colonisations. En finir avec le Virus-Vintage s’avère donc difficilement faisable. Eradiquer la rage qui cause les manifestations voudrait dire qu’on puisse contrôler toutes les manifestations en les acceptant. Or nous avons signé des contrats et conventions avec les laboratoires pharmaceutiques qui nous ont offert en réciprocité l’équivalent de la dette du tiers-monde ! C’est donc impossible ! Nous devons penser à garder un capital pour nos retraites dans les Iles !
“Alors avec autant de conditions à réunir, a-t-on déjà éradiqué des maladies infectieuses ?”… à enchainé un journaliste téméraire avant d’être viré, ce à quoi le Premier-Ministre à rétorqué, l’air furibard : “Oui, mais dans seulement quelques cas : la variole, la peste bovine, la montée de l’extrême-droite et l’explosion de la Gauche. Reste que les virus responsables existent toujours dans notre laboratoire. Une des questions est de savoir s’il ne faudrait pas détruire définitivement les virus en ce laboratoire, même si on connaît sa séquence complète et qu’il reste d’autres virus de la même famille dans la nature… On recensait en 2008 sept maladies infectieuses à cibler en priorité : la rougeole, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite, la dracunculose, la filariose lymphatique ainsi que le tæniasis… On avait oublié le Virus-Vintage ! L’OMS-A craint même l’apparition de 200.000 nouveaux cas Vintage par an dans les dix ans à venir si l’élimination de Patrice De Bruyne et ses titres Gatsby échouait. Quant à la dracunculose, une revue scientifique rapporte que sa date d’éradication planifiée a été repoussée à plusieurs reprises, faute d’avoir pu être tenue !
Pour expliquer les telles difficultés indiquées par son Premier-Ministre, le dictateur Marron 1er a évoqué : “Des poches de résistance, notamment dans les pays développés, dues à un manque de culture scientifique et à la propagation de fausses nouvelles contre l’utilisation des vaccins visant le Virus-Vintage, outre des oppositions d’ordre quasi religieux. Se posent aussi les questions de l’état inégal des systèmes dictatoriaux mis en place dans divers pays ! La stabilité politique est en jeu à cause des articles publiés dans Gatsby ! Faut-il donc se résigner ? Ma réponse est NON. Je vais donc donner instruction aux Sévices Secrets de faire le ménage !”...
Pour l’historien automobile Sergio Bellâtre, ennemi juré des Kits-Cars Vintage, auteur d’une tribune dans un magazine consacré aux Ferrailleries et Porscheries ubuesques nommé “Moi, Je sais tout !”, a souligné le caractère “irréaliste” de l’éradication du Virus-Vintage qui oblige à déclarer l’état de guerre civile et permettre divers moyens radicaux d’exception en France : “Il y avait dans les années 1970 une sorte de confiance aveugle dans les progrès de l’automobile. On imaginait éradiquer toutes les automobiles infectieuses une à une” ! Même si on subprime Patrice De Bruyne et ses publications Gatsby, il y aura toujours des Kits-Kustom-Cars qui surgiront de nulle-part. Un vrai cauchemar ! Cela apparait clairement au fur et à mesure que les variants du Virus-Vintage émergents ou réémergents circulent ! Pour l’instant, il n’existe que des projets de vaccins encore inaboutis. Impossible, donc, d’éradiquer totalement le Virus-Vintage même s’il est possible de juguler l’épidémie en augmentant taxes et contraintes. D’autant que son origine exacte reste encore peu claire. De toute façon, on n’éradiquera pas toutes les variantes du Virus-Vintage. Il en existe des milliers ! Nous devons accepter le fait que le Virus-Vintage fait partie de notre quotidien et composer avec cette situation ! Il faut vivre avec, mais quand même se protéger en évitant les manifestations de Kits-Kustoms-Cars Vintage. Je rappelle que pour le VIH, là aussi, des mesures barrières ont été mises en place lorsque l’épidémie est survenue, comme le port du préservatif. J’en porte un, depuis lors, en permanence !
“Le Kit-Car qui sert d’auto-révélateur du drame vécu mondialement porte le numéro le numéro d’immatriculation Britannique Y250GT, le numéro de châssis WBACN52080LJ41385, le numéro de moteur 25285039, affiche seulement 3.809 kms à son compteur et a été estimé par d’éminents spécialistes comme ayant une valeur située entre 43.000 et 57.000 £ parce qu’il aurait appartenu au neveu de Patrice De Bruyne, le Footballeur Kevin De Bruyne, arrière petit-neveu du coureur cycliste Fred De Bruyne qui est l’oncle de Patrice De Bruyne, ce qui donne une certaine valeur à ce Kit-Car” a dénoncé Olivier Fayoux, chef illustrateur de Gatsby, justifiant ses dires par le fait qu’il attendait une augmentation qui tarde à venir ! !
“C’est d’autant plus évident, qu’il faut dire avec force qu’il avait racheté la Mustang Boss d’Eddy Merckx et employé Jacky Ickx comme Rédacteur d’AutoChromes Magazine dans les années ’80, toutes choses assurant une valeur infinitésimale à ce Kit-Car dont rien que la restauration complète à couté environ 50.000 £ ! Toutefois, il faut avouer que le Kit-Car était vendu 5.000£ départ usine, le même prix qu’une Citroën Ami électrique, ce qui laisse supposer un bénéfice insolent avec lequel il aurait pu assurer mon augmentation”, a ajouté Olivier Fayoux l’air brumeux ! !
Il s’agit d’un authentique et véritable Kit-Car inspiré benoitement d’une des plus importantes voitures de course GT de son époque, la 250 GT Berlinetta SWB qui utilisait un empattement court pour une meilleure maniabilité ! Sur les 176 exemplaires construits, des carrosseries en acier et en aluminium ont été utilisées dans diverses versions de route et de course. Cette voiture étant en Polyester, il s’agit donc d’une pièce rarissime dans cette aventure ! Le développement de la 250 GT SWB Berlinetta ayant été assuré par Giotto Bizzarrini, Carlo Chiti et Mauro Forghieri, la même équipe qui a ensuite produit la 250 GTO !
Basée sur la BMW Z3, la Nubodi 250 GT Z Series n’est donc pas qu’une évocation construite par Nubodi Automotive Reading, offrant l’apparence et le style de la Ferrari 250 SWB d’origine sans ses éternels et incessants emmerdements techniques, car elle utilise authentiquement la totalité du soubassement/châssis, trains-roulants et la mécanique d’une BMW Z3 bien plus moderne et fiable qu’une Ferrari ! Il se pourrait même selon des sources à vérifier que Giotto Bizzarini se serait inspiré de cette Nubodi qui lui serait apparue dans un rêve prémonitoire !
Ce superbe exemplaire est en excellent état tout au long d’avoir été méticuleusement restauré ces dernières années. Acquis en 2019, le vendeur qui est le neveu footballeur du célèbre éditeur de nombreuses fois cité plus avant, a commandé une vaste restauration entreprise par Bristol Classic Car Restorations qui comprenait une refonte structurelle et une “repulvérisation” du métal nu de la carrosserie Rosso Corsa que vous voyez aujourd’hui, comprenant un capot modifié et une ligne de toit retravaillée, de nouveaux vitrages, une reconstruction complète du moteur, des cadrans Veglia de style Ferrari, un volant Ferrari Nardi d’origine, un nouveau métier à tisser de câblages divers et un nouvel intérieur en cuir véritable ! Le tout de bien meilleure facture que les Ferrailleries d’époque ! Ayant été achevée à un niveau si élevé, nous sommes sûrs et certains que c’est le meilleur exemple de Kit-Car Nubodi sur le marché, offrant le look d’une Ferrari 250 SWB compressée des années 1960 !
La Vraie et authentique Ferrari 250 GT Coupé a été présentée au Salon de l’automobile de Paris en 1954. C’était la première tentative du constructeur italien de construire une voiture pour l’automobiliste “normal”. La carrosserie a été construite dans l’atelier de Pininfarina, qui rapidement n’a plus pu répondre à la demande. Le carrossier Boano est venu à la rescousse et a aidé à la fabrication des carrosseries, produisant environ 80 unités en un an. La forme générale était très similaire à celle de la Ferrari Europa GT et seul un œil exercé pouvait remarquer les différences, la principale étant la distance plus courte entre le passage de roue avant et le montant A. Certaines versions de course étaient construites avec une carrosserie en aluminium, mais généralement, les versions de route (appelées Lusso) n’avaient que les portes, le couvercle du coffre et le capot en aluminium.
A l’intérieur, il y avait de la place pour deux passagers. Certains exemplaires étaient équipés d’une banquette arrière rembourrée, mais c’était uniquement pour les déclarations aux compagnies d’assurance et obtenir une réduction d’impôts, car les véhicules pour quatre passagers bénéficiaient à cette époque d’une déduction dans certains pays. Mais il ne s’agissait que d’une plate-forme à bagages rembourrée. Le châssis était constitué de deux tubes longitudinaux principaux avec des renforts transversaux et des supports pour la carrosserie. Il avait une suspension avant indépendante et un essieu arrière avec des ressorts à lames semi-elliptiques et des amortisseurs hydrauliques. L’évolution la plus importante a eu lieu sous le capot, où l’ancien moteur Lamperdi “long bloc” a été remplacé par un Colombo “bloc court”. Cette modification a permis d’obtenir un empattement plus court par rapport à l’Europa. Et c’est pourquoi la distance entre le passage de roue avant et le montant A était plus courte !