2007 Pagani Zonda R…
Le grand Barnum !
En réponse aux Ferrari FXX et Maserati MC 12 Corsa…, 2 roquettes auto-destructibles légalement interdites de mettre une seule de leurs roues dans la circulation, Pagani avait de-même sorti de la boite de Pandore par lequel on accède au puits sans fond de la connerie humaine, une version hystérique, monstrueuse, démoniaque, quasi batmanesque de son emblématique Zonda : la Zonda R !
Si les ahuris considéraient alors la Ferrari FXX comme bien trop ordinaire (32 auront été construites “d’origine” en tout et pour tout (plus celles construites neuves 15 ans plus tard avec les numéros de châssis des accidentées en perte totale), ou qu’ils baillaient de dépit devant le design raté de la Maserati MC12 Corse, ils pouvaient se réjouir de l’arrivée de la Zonda R pour participer au concours du plus abruti dans les tunnels du paradis fiscal monégasque surnommé par le regretté défunt Coluche “Le Rocher des putes”…
Produite à seulement 10 exemplaires, cette Pagani Zonda R avait été présentée officiellement comme un modèle exclusivement destiné à l’utilisation sur circuit et dans les tunnels de Monaco… le même moyen inventé par Ferrari (et Maserati)… explication “foutraque” d’un total cynisme consumériste… mais, les acquéreurs disposaient de plusieurs autres moyens tous aussi illégaux les uns que les autres pour “faire les clowns” sur les voies publiques avec ces engins…
Le fossé se creusant chaque jour davantage entre les riches et les pauvres (qui continuent d’embouteiller les routes avec leurs voitures insipidement bon marché et ce malgré qu’ils deviennent chaque jour de plus en plus pauvres…), il devenait de plus en plus dangereux de circuler dans des voitures valant un, deux ou trois millions d’€uros, donc, pour pouvoir rouler dans ce type d’engin, l’idée “Ferraresque” avait été de proposer un shéma-type.
L’usine proposait une dizaine de réunions sur les plus beaux circuits du monde, prenait en charge les véhicules (transports aller/retour, mises-au-points et réparations diverses, entretiens) et leurs propriétaires n’avaient qu’à venir passer un week-end de folie au volant de “leurs” monstres, qu’ils “pilotaient” avec l’assistance de l’usine et les conseils de quelques pilotes de F1…, tout cela pour un coût annuel d’environ le prix de la voiture… (au delà du million d’US Dollars).
En sus, c’était l’occasion (qui fait le larron) de se retrouver entre personnes (derrière toute personne il y a quelqu’un…) du même monde (rien de tel pour faire des affaires)… et le prétexte de passer (mine de rien), les soirées de ce week-end avec la et même les Maîtresses les plus intensément sexuelles et jeunettes possibles (tarification en sus)… de plus, ça changeait de la monotonie des voyages avec le yacht et permettait de ne pas être présent lors du dîner organisé par l’épouse pour recevoir ses meilleures amies…, simple, efficace… sans soucis pour les clients et hyper rentable pour l’usine.
Le succès fut immédiat pour l’Enzo FXX, d’où la sortie de la Maserati MC12 Corse clonée sur elle… ensuite, et bien, alors, c’était la vie, chacun se débrouillant au mieux… les concurrents ne pouvaient que suivre afin d’assurer leur survie tout en se constituant un extraordinaire “viatique” répétitif et sans risque puisque les voitures vendues restaient aux mains des usines tant que durait le contrat tacitement renouvelable (comprenez que ces constructeurs disposaient des voitures au cas ou les clients n’honoreraient plus les factures qui étaient assez lourdes (il n’y a pas de miracle dans cet enfer)…
Pour être certain qu’aucune fausse note ne puisse venir perturber ce manège (on doit le lire dans son sens le plus péjoratif, c’est-à-dire sous l’angle fiscal), Ferrari/Maserati obligeaient, à la vente de leurs grands jouets pour milliardaires déjantés, l’acceptation d’une clause contractuelle stipulant que les propriétaires ne pouvaient revendre leurs voitures que via certaines concessions Ferrari/Maserati…, j’ai pu ainsi être témoin du retrait de la vente d’une Enzo FXX chez Bonhams à Monaco en mai 2007.
Bienvenue dans un autre monde… (le vôtre ?)… Horacio Pagani, prudent, avait toutefois attendu d’avoir six commandes fermes avec acompte “royal” (jamais remboursable) avant de lancer la production de cette supercar dénommée “Zonda-R” à moteur V12 Mercedes de 750 chevaux.
Malgré le tarif annoncé (1,2 millions d’euros plus taxes, mais il était possible d’organiser des échappatoires, la clientèle étant avant-tout “mondiale“…), quelques clients avaient répondu à l’appel, puisque Pagani, les avait assuré que, désireux de rester en lice dans le milieu très fermé des pourvoyeurs de voitures hyper-chères, il améliorait le système inventé par Ferrari/Maserati… et… bingo : six commandes fermes et quatre précommandes… la Zonda R, est donc devenue “le” nec-plus-ultra-rapide du génial alchimiste argentin qu’est Horacio Pagani, la voiture que les milliardaires encore amateurs de voitures hors-normes et déjantées voulaient posséder pour se démarquer de leurs relations qui s’affichent au volant d’une Enzo FXX…, ou d’une si laide Maserati MC12 Corse !
Le reste, c’était pipi de chat & co…, en fait de courses, ce fut du n’importe quoi… mais comme elles existaient, on en a discuté, ce qui faisait partie de l’effet voulu, sauf que de plus en plus d’ahuris milliardaires étaient soignés de force via divers redressements et emmerdes fiscaux… et que les survivants, moins dupes ont changé d’air et de musique…
Pagani ne s’était toutefois pas cassé la gueule de s’être foutu de celle de ses clients, car l’intérêt des productions artisanales est qu’elles peuvent être modifiées, transformées au coup par coup en fonction de la réaction et du retour des premiers clients, ainsi que de l’évolution des mœurs sexuelles et sociétales (fiscales aussi)… les unités de production étant donc, comme leurs trésoreries, flexibles et malléables… et Pagani appartenant justement à cette race de petits constructeurs qui doivent se remettre sans cesse au goût du jour, a poursuivit officiellement sa quête de l’excellence, mais en réalité des profits mirobolants… pour aller tutoyer les ténors de sa catégorie !
Horacio Pagani pour créer sa légende alors qu’il n’avait pas d’histoire, a eu l’idée-marketing d’afficher qu’il vouait un immense respect à Juan Manuel Fangio, chose d’autant plus facile à “immortaliser” que ce pilote argentin de la course automobile était mort depuis un certain temps, passant à la postérité et au panthéon des champions d’exception…
Prétendre dès-lors qu’il aurait fortement imprégné de son empreinte le projet d’Horacio Pagani par ses multiples conseils étant invérifiable…, ce pourquoi Horacio l’a prétendu… dès-lors le dire à des journaleux en quête de “papiers” ne pouvait que créer une rumeur positive débouchant sur une légende, chose d’autant plus aisée que les journaleux écrivent tout et n’importe quoi en contrepartie de cadeaux divers, les moins chers étant un porte-clés ou/et un parapluie, une balade au volant, voire plus si affinités… (Je vous accorde quelques minutes pour rire avant de continuer à pleurer sur la bêtise humaine, qui est, vous le savez, un puits sans fond, le réservoir financier de ceusses qui savent pomper la connerie des gens…) !
Bingo ! Les journaleux ont donc écrit que le résultat de la réunion des deux hommes avait donné naissance à l’une des supercars les plus efficaces et fantastiques du moment… la Pagani Zonda a alors défrayé la chronique des revues autos “spécialisées” d’autant plus facilement qu’elle était belle et spectaculaire (le Design sert avant tout à vendre) et affichait des performances (inventées) de premier plan, bien avant que les Ferrari Enzo, Mercedes SLR et Porsche Carrera GT ne soient créées en conséquence de ce marché prometteur…
Les grands constructeurs, d’eux-mêmes (par eux-mêmes, c’est simple à comprendre, non ?), hésitaient en effet à mettre en chantier des voitures de très petites séries, n’osant pas afficher des tarifs stratosphériques dépassant les valeurs d’enchères des grandes classiques anciennes : Duesenberg, Pierce-Arrow, Hispano et Bugatti Royales… entre autres… mais, voyant qu’un “petit” comme Pagani “osait” afficher des tarifs de l’ordre du demi-million d’US Dollars, ils se sont “lâchés“… venant lui voler la vedette.
Horacio Pagani n’étant pas homme à s’en laisser compter, a développé sa gamme avec l’apparition d’un roadster, puis d’une variante plus affûtée, la Pagani Zonda C12 S 7.3, toutes deux situées entre 300 et 500.000 euros hors taxes et options… mais, constatant que même à ces tarifs, les clients venaient acheter, Pagani a “kité” la Zonda soi-disant dans ses bureaux d’études et sur ses pistes d’essai (sic !) pour proposer une version encore améliorée : la Pagani Zonda C12 F (cabrio en option)… affichée près de 650.000 euros hors taxes et divers, ce qui ne va pas suffire à calmer l’euphorique flambée des bananes dans le monde… d’ou, la création de la Zonda R à 1.200.000 euros…
Pourtant, à ce petit jeu purement vénal, certaines grandes putes se sont cassées la gueule : l’Enzo “normale” a été interdite de vente aux USA en suite de certains accidents spectaculaires (vous comprenez pourquoi la FXX a été créée pour contourner cela, puisqu’elle n’est “officiellement” qu’un objet non roulable…), mais le pire fut décroché par la Porsche Carrera GT qui, elle, fut totalement et formellement interdite, la Haute Cour Américaine décrétant qu’elle n’était ni fiable ni sûre, mais assurément mal étudiée… et se comportait dangereusement pour ses occupants en cas d’accident…
Le magazine américain Sport Car Market en avait fait un large écho, mais cela avait été “passé au bleu” (comprenez que cela avait été enterré…) par la presse européenne…, la revue Sport-Auto (et d’autres) osant même écrire qu’ils ne comprenaient pas pourquoi Porsche arrêtait la production de cette “huitième merveille du monde” au beau milieu de sa production… je suis certain que vous aussi, chers lecteurs, ne le saviez pas, non plus… parlez encore que la presse informe… (cette fois-ci, c’est moi qui arrête l’écriture de cet article, quelques minutes, pour rire…)
“Si semblable et pourtant si différente”, c’était le slogan/gag commercial créé par Horracio… le “vulgum pecus” ayant déjà bien du mal à rembourser sa Renault familiale basique, s’imaginait donc que la Zonda était une machine d’exception… d’autant plus qu’il n’avait de toute façon pas les moyens financiers de l’acquérir…, mais dans cette masse de gnous qui n’était pas le festin de Pagani, il y avait l’initié, celui qui avait gagné l’€uromillion où hérité d’un oncle, voire réussi un hold-up où un enlèvement… à moins que ce n’était qu’un escroc d’affaires dont le regard était aiguisé par la passion, et remarquait le sex-appeal de la Pagani Zonda R… attirant dans les poches d’Horacio des montagnes de Dollars, de Roubles, de Yens et d’Euros… (ce facteur ne peut pas être pris à la légère car il dicte le style d’une supercar en raison des prix supersoniques visés).
Le regard de la Zonda avec ses nouveaux feux avant totalement “pompés” sur le re-design d’une autre… en ce compris la forme du capot arrière et autres détails, étaient les modifications les plus visibles.
L’habitacle offrait également son lot d’émotion (pareil que les dessous affriolants des nananas en chasse de pépètes), comprenez par là, l’expression “en avoir pour son argent“, une atmosphère encore jamais vue à bord d’une Supercar, exceptées les TVR d’alors et surtout les Spyker qui proposaient des habitacles tout aussi surprenants et originaux : cuir rouge matelassé, placages carbone et bois laqué, un volant digne des dernières Formule 1 mais avec un look “Vintage” (ce qui n’a pas empêché ces marques de se crasher) !
Comme dans le cas des deux filles de l’Enzo (la FXX et la MC12 Corse), il n’était pas utile ni question de répondre à un quelconque règlement, et Pagani a donc eu les coudées franches…
Toutefois, par manque de moyens, à la différence de Ferrari, Porsche, Mercedes et même d’Edonis et Koenigsegg… Pagani avait opté pour le V12 Mercedes-Benz AMG 7L3 de la CLK GTR… et la Zonda R avait été reconstruite autour de cette “forge de Vulcain”, avec diverses modifications obligées : la voiture étant plus longue de 394 mm, avec un empattement plus grand que la voiture de route, une aérodynamique plus “poussée” et une boîte de vitesse séquentielle)… de quoi montrer aux “indigènes” de quel bois (carbone, plutôt) on se chauffait chez Pagani.
Pour démarrer ce V12, il suffisait d’une pression sur le bouton start situé sur la planche de bord…, c’était simplissime… (vous croyez qu’il fallait tourner une manivelle ?)… avec le 0 à 100 km/h parcouru en 3,6 secondes et surtout le 0 à 200 km/h atteint en 9,8 secondes, il fallait un certain temps pour s’accoutumer aux accélérations…, d’ailleurs, lorsque la Pagani Zonda “ne poussait plus”, elle était à 345 km/h !
Horacio Pagani était resté fidèle à la coque centrale en carbone et ses deux faux châssis tubulaires avant et arrière, bien qu’identiques aux autres Pagani Zonda, cette structure était plus légère tout en étant aussi résistante à la torsion… jantes, système d’échappement et admission, coque…, tout avait été passé à la traque aux kilos : résultat, 1370 kg seulement sur la bascule dans les mêmes valeurs que ses rivales directes… quant à la motricité, aidée par un système de contrôle de traction, elle donnait une certaine agilité à la Zonda dont les freins (en céramique) généreusement dimensionnés derrière les jantes en magnésium permettaient des décélérations correctes, c’était une évolution du système Brembo monté sur la Ferrari Enzo.
L’histoire de Pagani Zonda…
Fasciné par les performances des nouvelles technologies, Horacio Pagani a créé en 1991 : Modena Design, d’abord consacré au développement de sous-ensembles automobiles en matériaux composites, à travers la sous-traitance avec des marques Italiennes, a pris corps peu à peu l’excitant projet de prétendre réaliser la meilleure automobile de sport technologiquement concevable, étroitement inspirée des légendaires «Groupe-C».
Après plusieurs années de tâtonnements, la Zonda C12 fut enfin présentée à la curiosité des fanatiques au Salon de Genève 1998, prétendant redéfinir le concept de «super-car».
Horacio Pagani n’avait pas copié le coté fantasque et brouillon de son prédécesseur Argentin De Tomaso… il avait de suite présenté sa Zonda C12 comme un objet d’art : “Chaque pièce, chaque accessoire, depuis les composants structurels de la coque jusqu’à l’habitacle, qu’ils soient en alliage léger ou en carbone, portent l’empreinte de mon affirmation créatrice”…
L’année suivante, une version S reçut la version 7 litres du moteur AMG, délivrant 550 chevaux et 720 mN de couple, dont 85% disponible dès 2000 t/mn… ce qui était destiné à combler de bonheur les “happy-few” qui en faisaient l’acquisition : GPS, direction assistée, climatisation, sellerie luxueuse, bagages sur mesure, installation hi-fi, toit transparent athermique et…, jusqu’à une boîte six vitesses ZF prétendument développée spécialement par Pagani.
Mais, Pagani très relationnel de haut niveau parvint à présenter “sa chose” comme ayant une efficacité exceptionnelle dans le comportement routier : “La Zonda suscite l’engouement des quelques élus qui ont eu le privilège de la piloter”…, aussi bidon que les armes de destruction massives de Saddam Hussein… de l’intox !
Les journaleux vont se déchainer, en rajoutent des tonnes de conneries : “Précision absolue du guidage, absence d’inertie, réponse instantanée des commandes, contrôle au millimètre des trajectoires et des appuis, la sensation est celle de la synthèse longtemps attendue entre compétition et grand-tourisme luxueux. Le secret de Pagani: une équipe d’ingénieurs de pointe, animés par un créateur visionnaire et déterminé, œuvrant dans l’obsession de la perfection pour fonder une nouvelle légende de l’histoire de l’automobile à hautes performances”.
Comme expliqué en ce début d’article, Pagani pour parachever l’intox, avait inventé avoir fréquenté à titre amical le quintuple Champion du Monde Juan-Manuel Fangio, avec qui il prétendait avoir eu l’occasion de parler de son projet d’une Grand-Tourisme de très hautes performances baptisée du nom de Zonda… (tout comme j’ai eu moi-même l’occasion un jour de parler de ma Minari à Jacky-Ickx à l’époque ou il travaillait pour moi en tant que rédacteur en chef, ce qui ne signifie pas que Ickx aurait été à la source de cette voiture et que pouvais m’autoriser à la nommer “la Jacky Ickx”…) !
L’intox et l’auto-fabrication d’une légende ne s’arrêtaient pas là…, les journaleux recopiant servilement ses communiqués de presse en échange d’un essai d’une journée…, du coup on devait lire et croire que : “La division Composites a collaboré avec des partenaires aussi prestigieux que Lamborghini, Ferrari, Dall’Ara, en outre, Horacio Pagani lui-même a été un collaborateur de Lamborghini, et dessiné notamment les lignes de la Countach 25ème anniversaire”... ce qui aurait pu être une anti-publicité, tant ce re-design est raté dans un style “tuning” de très mauvais goût !
Juan-Manuel Fangio n’a jamais, strictement jamais, rien eu à y voir (aussi bien dans le projet automobile de Pagani que dans l’édition de mes magazines en Argentine), mais Pagani, très au fait des techniques marketing et sachant que la rumeur positive se crée de même façon que la rumeur négative, avait lancé le bruit que sa voiture aurait du s’appeler “Fangio“… dans le style fumiste, farce et attrape de haut vol, on touchait au sublime !
Il existe même une photo retouchée ou “ils se serrent les paluches”, photo qu’on aurait pu évidement légender de la manière voulue…, mais Horacio Pagani y a renoncé, non pas en raison du décès du grand champion mais parce qu’il risquait de sérieux retours de bâton de la part de qui possédait la vraie photo ou Juan-Manuel Fangio serrait la paluche d’une autre personne…
Quoiqu’il en soit, la stratégie de vente tournait d’abord sur une sorte de réassurance des esprits, et ce n’était pas simple pour une nouvelle marque sans aucun passé et dont les tentatives de briller en courses automobiles de prestige s’était soldé par un échec aux 24 heures du Mans.
Pourtant, très snobs, les personnes en charge des ventes, c’est à dire les huit concessionnaires répartis dans le monde, affirmaient péremptoirement qu’il n’y avait aucun doute sur la validité d’un tel placement qu’était l’achat d’une Zonda neuve…, affirmant : “Voilà pourquoi les plus heureux des passionnés, disposant des moyens que leur ont donné leur travail ou leur talent, n’hésitent pas à passer commande d’une Pagani Zonda. Le prix est tout-à-fait raisonné et proportionné à la somme d’ingéniérie, de compétences, de matériaux précieux, de savoir-faire et de ferveur qui entrent dans la composition d’une Zonda. Voici les prix de base des modèles disponibles (Tarif Février 2007) : Zonda F C12S 7.3 & Zonda F C12 S 7.3 Clubsport : les vingt-cinq exemplaires ont été vendus…. : Zonda F C12 S Roadster 7.3 : une seule encore disponible. Version 602 Chevaux: 592.200 € HT. Version Clubsport : 616.560 € HT. Version Zonda R : 1.200.000 € HT. Une fois la décision prise, tout commencera vraiment par une journée inoubliable au cœur de l’Emilie Romagne, chez Pagani Automobili, où vous serez accueilli par Horacio Pagani en personne… En effet, chez Pagani, la production en petite série par des techniciens hautement qualifiés autorise la définition individualisée de chaque exemplaire selon les souhaits et préférences de chaque client : couleurs et finitions, cuirs et garnitures, et bien évidemment la nuance de la peinture correspondront exactement à votre volonté. Tout besoin d’équipement sur mesure peut être pris en compte, dans la tradition des constructeurs les plus prestigieux. Chaque voiture est accompagnée de bagages en carbone et cuir réalisés par Cuoio Schedoni, incluant deux housses à costumes intelligemment conçues pour se suspendre verticalement derrière les sièges. Car la Zonda est véritablement une automobile qui se conduit, s’apprécie en touring détendu ou sportif à travers les routes du monde, et fait pénétrer son possesseur dans la vraie vie : le plaisir des jours et des lieux, beauté, luxe, performance, sécurité. La livraison s’effectue actuellement sous un délai de l’ordre de huit à douze mois, qui varie selon le plan de charge de l’usine et les commandes en cours“…
Pas la peine d’en rajouter…, sauf pour écrire que les Pagani Zonda sont réellement de superbes automobiles, mais qu’il n’est et n’était pas utile d’en rajouter avec d’aussi grossiers fils blancs…
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