2010 Blastolène B-702 Roadster…
A un moment, soudain, un ras-le-bol nous submerge, on se rend compte qu’on ne supporte plus ni rien ni personne, que les gens et les choses s’en vont et ne reviennent plus, on a soudain conscience des secondes, des minutes, des heures, des jours et nuits, des semaines, des mois, des années… et que dans le temps qui passe sans jamais s’arrêter, des vies s’y déroulent, naissent, vivent, survivent, meurent, disparaissent à jamais sans qu’on n’en connaisse rien que des bribes parfois d’amour souvent de haine, baignant en fait dans une indifférence qu’on a rempli de passions dérisoires… Finalement, franchement, réellement, qu’est ce qu’on en a à foutre des autres lorsque les autres n’en ont encore moins à foutre de nous… À la télé restée ouverte, passent des clips-cons, dont un chantonneur débile aux dents en or qui demande en rap au vide sidéral qui l’enoure si c’est la vie qui a décidé ça. Il est coupé par une pub, puis déboulent des nananas tréssautantes du cul et des seins qui hurlent avoir besoin de baises, s’ensuivent des annoncent, des jeux, la météo et les infos-fake-news totalement déprimantes agrémentées d’interviews incompréhensibles…
De temps à autre les populeux lobotomisés se lèvent, boivent, bouffent vont chier et reviennent s’emmerder grââââve avec des yeux qui tentent de trouer le brouillard dans lequel ils vivent. Ahhhh ! Respirer, tressailler au moindre sifflement, éviter le contact froid entre les jambes des pythons qui sortent de derrière la télé…. Les pensées clapotent. Des êtres parlent à d’autres à crânes ouverts, direct dans la tête, créant comme un bruit dans la conscience-machine générale… On se lève, on se couche… Merde, t’as vu ? Une main-araignée court le long du mur. Il faut grimper aux rideaux…, Où sont les repères ? Quelles possibilités mnémotechniques ? Quels arrières-mondes en jeu dans tout ça ? De nouveaux cataclysmes surgissent.. Coupez la TV ! Ouvrez l’ordi, votre i-phone, branchez vous sur www.GatsbyOnline.com pour passer à d’autres choses. Je vais vous y causer qu’il existe des manières plus ou moins glorieuses de jeter l’argent par les fenêtres. On peut claquer ses plus-values au baccarat, entretenir moult maîtresses ou parier sa fortune sur un coup d’éclat. Il en est un qui a choisi d’acheter l’automobile déjantée qui illustre cet article… Non pas d’occasion, ni même très récente, mais… neuve !
De quoi en avoir d’autant plus le vertige. Ii y a du panache dans cet acte. Alors que le centre de gravité du marché automobile mondial s’abaisse au rythme effréné des mauvaises nouvelles, l’idée même d’acquérir une vraie fausse vieille automobile, a de quoi déclencher de sérieuses questions chez les congédiés pour cause de délocalisation forcée. Pourtant, en dépit de l’hystérie généralisée sévissant actuellement (l’Occident veut tout reprendre en main, ce qui augure une bonne branlée atomique générale), on nous signale que “notre” politique a prodigieusement bien fait son œuvre. Aurait-on touché-là le fond du puits réputé sans fond ou se déverse la connerie humaine ? J’apprécie la décadence pour parachever tout acte de foi, car à ce stade, il en faut, pour choisir de mettre plus d’un million de dollars pour une automobile surtaxable de toutes part, ininmmatriculable en dehors des USA (c’est dire qu’il reste de l’espoir dans l’illégalité), sans prestige en dehors des amateurs d’art-décoratif invendable… et surtout soumis à une dépréciation telle qu’il serait plus économique d’allumer une cuisinière ancienne avec des billets de banque.
Pour toutes ces raisons, je suggère que l’on attribue au plus vite la palme d’honneur à ce héros… et qu’on l’élève aux plus hauts rangs du prestige planétaire automobile. A supposer bien sûr que tel client existe encore, ce dont je doute. Depuis trop longtemps déjà, mon mauvais esprit d’éternel insatisfait m’inflige une quête sans fin du graal sur roues. Quel parangon esthétique élevant l’automobile au rang d’art majeur, quel tour-de-force technique échappant aux garde-fous de la production de masse, saurait enfin apaiser mes obsessions absolutistes ? Si le cheminement importe plus que la destination, mes investigations me préservent encore de la lassitude. Et si je le tenais, mon absolu roulant, raffiné de cœur et d’esprit, définitivement iconique ? Haro sur la décroissance et l’éloge des petits chiffres, je renoue, le temps de rédiger cet article, avec les utopies positivistes façon paquebot France, Turbotrain et autre Concorde ! N’est-ce plutôt une chimère ? La tragédie est faiseuse de mythes. Il n’est point d’évocation du sujet sans développements préfabriqués sur les conséquences de la crise mondiale. Aucun cataclysme énergétique n’a durablement écarté les vrais dingues de leur course à la folie.
Non, il suffit simplement de prendre le volant de cette automobile nommée Blastolène B702 Roadster, pour saisir l’impasse de toute synthèse. Le féru de chrono n’a que faire de son confort dodelinant quand le consommateur de berlines fuit les caprices de son V12 GMC de 702ci… Mais place au voyage qui transporte d’avantage l’âme que le corps. Le V12 est bien chaud, la ligne droite est prometteuse. “Clac-clac”, l’esthétique levier distille sa délicieuse petite musique alors que le bourdonnement débonnaire de la bella macchina mue en hurlement strident. ROAAAAAAARRR !!! Le bonheur commence au-delà des 2000 rotations par minute ! S’il devait y avoir équivalent à un tel parangon technologique, ce ne serait certainement pas la Bugatti Veyron, mais la Clénet première série qui peinait à dépasser le 140 km/h en toute insécurité ! A 140 avec l’horizon comme seul horizon (sic !), ma longue étrave vogue sur les cahots comme sur l’océan tout proche et je fais mienne la tirade des Valseuses : “Tu les sens les pavés, sous la plage mon p’tit bonhomme ?”… Presqu’un siècle plus tard, cette chose sans nom autre que Blastolène B-702…, prétend maîtriser le temps et l’espace à 200 à l’heure.
Evolution logique si l’on fait abstraction des problématiques énergétiques et de la vitesse “officiellement dépassée” depuis des temps immémoriaux ! Retour sur terre, fin des paradis artificiels. Strictement aucune vilaine cloque sous la peinture rutilante, un magnifique anachronisme rétro et pas de Bling-bling, donc pas de quoi chiffonner mon puritanisme de l’authentiquement faux. J’ai toutefois la gueule de bois et l’humeur massacrante, mais demain, sitôt l’espoir retrouvé, je me remettrai en quête du graal. Je préviendrais mes Prowler’s, Clénet’s, Excalibur’s, Hot-Rod’s et autres jouets (inutiles) qu’une Blastolène B702 pourrait venir se positionner avec elles, mes maîtresses automobiles depuis plus de quarante ans et plus… Me connaissant assez bien pour paraître crédible me concernant (sic !), je peux sereinement affirmer que les charmes vaporeux que la Blastolène déploie, indifférente à l’agitation de ce bas-monde, ont déjà fait perdre la tête et leur conscience professionnelle à bien des journalistes venus l’évaluer. Aujourd’hui, dans le siège conducteur de cette voluptueuse automobile, je survole la bassesse des pensées trop cartésiennes.
A l’image de ces femmes un rien trop mures mais sûres de leurs charmes, cette Blastolène B-702 possède le don rare de me mettre dans sa poche en m’ôtant de l’esprit toute idée de critique ou de comparaison désobligeante (gag !)… Pourquoi diable m’abaisser à effectuer quelques dérisoires mesures chiffrées quand j’ai la chance de m’alanguir dans l’atmosphère paradisiaque de cet anachronisme roulant ? Pour tapoter cet article, je me contente de m’en remettre aux paroles d’évangile et puiser mon inspiration dans la mythologie, alors que les traditions volent en éclat un peu partouze. Bonheur des charmes surannés des courbes d’avant-guerre, effet pervers de la modernité ambiante, elle m’est apparue tout à coup étrangement suave et en fin de compte, dramatiquement mystique. Grande fut dès lors ma tentation de juger la Blastolène B-702 comme étant au sommet du style et coûtant la moitié d’un prix d’une Bugatti Veyron d’occasion et autant qu’une Rolls-Royce Drophead Coupé ou que deux Mercedes SLR d’occasion ! Le masque attendrissant de la désuétude tombé, j’ai en effet découvert cette Blastolène B-702 dans toute sa cruelle réalité, à savoir que le ridicule ne tue pas et que la Blastolène B-702 reste l’un des moyens parmi les plus coûteux de rouler en char de nabab.
Blastolène, c’est bien ça… et même, de son nom complet : Blastolène B-702 Roadster “Spécial”… Sa réalisation est exceptionnelle, toute en aluminium avec sa ligne qui mélange Bugatti, Auburn et diverses influences de la carrosserie française des années ’30, qui est due au crayon de Sneaky Pete qui a ainsi tenté de faire réfléchir sur le pourquoi du comment… et, écrivant tout ceci, je me suis choqué moi-même de découvrir que je n’avais jamais parlé de la Blastolène B-702 auparavant ! Cette bête est allée il y a presque 10 ans à une vente aux enchères Barrett Jackson et y a été vendue pour le prix de 475.000 $ plus frais. Son créateur, concepteur, fabriquant, fait partie avec des gens comme feu Boyd Coddington ou Chip Foose, de cette école du Hot-Rod qui a précédé le retour aux sources traditionalistes actuelles et qui pousse vers l’épure des lignes, allongeant et abaissant toujours plus, tout en en modernisant la mécanique et poussant à l’extrême la qualité de réalisation. Un paroxysme stylistique, qui s’est à l’époque largement nourri de la fascination qu’il exerçait sur la Californie d’Hollywood pour pousser jusqu’à l’excès les formes enveloppantes et la signature de cette école que sont les roues motrices carénées.
C’est donc, via cette recherche de la ligne de fuite ultime, un cheminement finalement assez logique qui a poussé Sneaky Pete, comme Coddington et sa Whatthehaye, vers l’âge d’or de la carrosserie française “fondante”, comme le montre cette Blastolène B-702 pleine de références et d’admiration pour Saoutchik, Figoni & Falaschi, Letourneur et Marchand ou Jean Bugatti. La Blastolène B-702 reprend sans vergogne leurs codes, en y ajoutant un autre fétiche de son concepteur : la partie arrière Boattail… Et il faut avouer que le résultat est somptueux même si on ne sait pas bien où le placer ! Trop imaginaire pour être classique, trop codifiée pour être moderne, la Blastolène B-702 “Spécial” Roadster se posera toujours des questions métaphysiques sur son identité. La grosse bête, si l’on veut la chercher, vient de la motorisation, un V12 GMC-Truck de 702ci de 1960… Ce n’est cependant qu’un non-sens pour une auto qui, avant sa vente chez Barrett-Jackson, avait passé le plus clair de son existence au repos soit sur les pelouses manucurées de Pebble Beach ou dans les showrooms immaculés de garages spécialisés dans l’exotisme de luxe et de qualité !
Depuis sa vente chez Barrett-Jackson elle à passé 99% de son temps dans un garage-salon privé au milieu d’un cinquantaine d’autres de même qualité… Je suis allé bien loin en arrière dans le Blastolène-Garage de Michael Leeds qui l’avait conçue c’est un peu comme visiter une autre planète. Vous connaissez probablement le travail de Leeds, que vous le sachiez ou non, il forme la moitié des Blastolene Brothers, un collectif de deux hommes comprenant Leeds et Randy Grubb. Ensemble, ils ont été responsables de certaines des voitures d’art les plus créatives et les plus impressionnantes de notre époque. Je suis donc allé au garage Blastolène qui se trouve dans la région de Santa Cruz, pour voir ce qui s’y est fait récemment, mais avant de commencer, un peu de contexte sur Blastolène est nécessaire; Pensez-y comme un mariage décalé de l’art et de l’automobile. Leurs grosses machines bizarres mais belles ont fait sensation pendant des décennies. Vous vous souvenez peut-être du ” Tank Car” (maintenant détenu par Jay Leno), “Big Bertha”, “Sneaky Pete”, “The Green Machine” et bien d’autres.
Que signifie Blastolène ? Voler des mots de leur site Web et il y est écrit que “Le Blastolène est une distillation hautement concentrée d’essence cosmique pure, très demandée et faible en offre. Pratiquement inestimable, l” Blastolène est fondamentalement un “conditionneur attitudinal”. Lorsque vous ouvrez une boîte de Blastolène, c’est comme ouvrir une boîte de “Whuppass”… Alors, sans plus tarder, faites un pas dans cet univers, où vous trouverez une incroyable variété de projets qui ont tous leur propre punch. En tant qu’oeuvres d’artiste, ceux-ci s’étendent bien au-delà du monde de l’automobile. Il y a des dessins en cours, des peintures, des œuvres d’art restaurées et des sculptures occupant tous les coins et recoins de l’espace de l’atelier. On m’a même montré une photo de studio du Big Boss qui a été mannequin pour Ralph Laureen dans sa jeunesse ! Il voit l’automobile comme un autre moyen de créativité, et dit qu’il aime la plupart des projets qu’il fait pour lui-même (sic !) En fait, il ne travaille pas vraiment pour les autres, choisissant plutôt de se concentrer sur la construction de ce qu’il veut. Cela lui donne une liberté créative sans avoir à revenir en arrière ou à faire comme quelqu’un d’autre le préférerait, ce qui est vraiment le seul moyen pour un véritable artiste de s’exprimer. Il dit qu’il a toujours été captivé par les choses sur roues, décrivant la construction d’une voiture et la conduite dans celle-ci comme une expérience d’un autre monde.
Il dit que les voitures qu’il a construites à partir de zéro deviennent des prothèses mécaniques et des extensions de lui-même. Nous approfondirons notre discussion lors d’une prochaine visite, car son garage/ boutique a beaucoup à dire et à découvrir. Sur le sol de l’atelier se trouvent un certain nombre de voitures sauvages. Big Bertha se démarque particulièrement, principalement parce que cette chose est énorme. À partir du châssis d’un camion de pompiers, Big Bertha a beaucoup évolué au fil des ans. La boutique est également bordée d’œuvres d’art et de matériaux variés. On trouvere bac après bac et tiroir après tiroir plein de matériel ainsi que tous les outils que vous pourriez souhaiter. A l’étage se trouve un salon qui a été envahi par des dessins et œuvres d’art. C’est le genre d’endroit qui a des tonnes de caractère et d’histoire à la hauteur. Vous pourriez facilement y passer un après-midi entier à jeter un coup d’œil aux choses qui se cachent sur les étagères. Je me suis intéressé un moteur d’avion V12 suralimenté de rechange pour la Blastolène. C’était pour une utilisation dans le “The Flaming Sword Of Truth” qu’on peut voir au San Diego Automotive Museum dans le parc Balboa.
Aussi incroyable que la boutique a été à visiter, j’étais là en fait pour papoter de la Blastolème B-702 conçue et créée par les Blastolène Brothers. La Blastolène B-702 est un roadster fait main qui s’inspire des voitures de grand luxe françaises des années 1930. Michael Leeds et Randy Grubb ont utilisé un châssis nickelé pour construire cette énorme machine. Sous le capot se trouve un moteur à essence V12 connu sous le nom de “Twin-Six General Motors” qui l’a créé pour ses camions intermédiaires. Le moteur pompe un énorme couple de 650 livres-pied à seulement 850 tr / min. Bien que le design soit évidemment américain il a emprunté les courbes françaises classiques des Bugatti et Delahaye des années 1930 jumelées à un gigantesque moteur.
La Blastolène B-702 est apparue dans de nombreux salons de l’automobile et a impressionné les foules avec ses ailes plongeantes et son capot de longueur sous-marine. La carrosserie en aluminium formée à la main repose sur un châssis personnalisé qui a été nickelé. Le moteur est une rareté en soi, nommé “Twin-Six” par GMC, ce V12 a un bloc en fonte surmonté de quatre culasses séparées et de deux collecteurs d’admission.
Avec un couple d’usine de 650 pieds-livres à 850 tr / min, le V12 n’a aucun problème à déplacer le Blastolene sur la route. Le V12 est soutenu par une boite Allison à 4 vitesses. À l’arrière se trouve un pont Ford Currie de 9 pouces. La Blastolène est peut-être plus grande que nature, mais c’est dans les détails qu’on y trouve quantités de trésors personnalisés uniques, telle que la calandre en verre taillé et biseauté et tels les feux arrière en verre soufflé à la main. À l’intérieur, le conducteur est assis sur des sièges recouverts de cuir marron et suit la progression du monstre via un groupe de compteurs provenant d’une Lincoln Zephyr. La Blastolene B-702 (lot #2507) avait traversé le bloc d’enchères Barrett-Jackson à Scottsdale le samedi 17 janvier 2008 à l’occasion de la mise en vente aux enchères de la collection Ron Pratte lors de la 44e vente aux enchères Barrett-Jackson Scottsdale. Les véhicules de Pratte (141 en vente) représentaient les numéros 2000 à 2109 et continuaient avec les numéros de lot 2500 à 2530 .
“J’étais sans voix lorsque j’ai posé les yeux pour la première fois sur la Blastolene B-702” m’a déclaré Craig Jackson, président-directeur général de Barrett-Jackson Auction Company. “Jamais auparavant je n’avais vu une automobile aussi massive avec une attention extrême aux détails et une exécution de conception sans faille. Les Blastol7ne Brothers sont à juste titre réputés dans le monde de l’automobile aux USA pour leurs créations à couper le souffle. LA Blastol7ne B-702 allie la passion de l’Amérique pour les moteurs de grande cylindrée de grande puissance avec des éléments de design européens raffinés, en particulier ceux des classiques français des années 1930. La carrosserie en aluminium formée à la main coule sans effort d’un bout à l’autre, accentuée par une séparation spectaculaire des ailes de style pod, des barres de calandre en verre, des phares Woodlight et des feux arrière en verre soufflé à la main. La carrosserie sensuelle repose sur un châssis personnalisé entièrement nickelé? donnant au B-702 une touche glamour pour compléter sa stature dominante”. Célèbres pour leurs voitures personnalisées et surdimensionnées et leurs Hot-Rod’s, les Blastolène Brothers ont fait irruption sur la scène automobile en 2002 avec la conception et la construction du “Jay Leno Tank Car”. Semblable à cette création, le B-702 a été exposé lors de rassemblements automobiles à travers le pays avant la vente en janvier.
“La Blastolene B-702 est une automobile remarquable qui a attiré les foules lors de certains des plus grands événements automobiles américains”, a ajouté Steve Davis, président de la Barrett-Jackson Auction Company. “Après avoir volé la vedette au Quail Lodge de Monterey pendant la semaine du concours de Pebble Beach 2007, nous avons présenté la Blastolène B-702 sur notre stand SEMA à Las Vegas et c’était la vedette de la fête d’annonce Barrett-Jackson à Mandalay Bay. Elle a été exposée au Petersen Automotive Museum”..., “Le mélange phénoménal de beauté classique et de composants mécaniques scandaleux fait de la B-702 l’une des voitures les plus extraordinaires au monde”, a déclaré Dick Messer, directeur du Petersen Automotive Museum. “Randy Grubb et les Blastolène Brothers ont prouvé une fois de plus que si vous pouvez le rêver, ils peuvent le construire. Nous sommes ravis que la Petersen soit la dernière étape de cette partie de l’histoire de l’automobile avant de trouver un nouveau propriétaire chanceux”…