2011 Edo Koenigsegg CCR Évolution EVO 817…
La gastronomie scandinave mitonnée à l’allemande, voilà ce qui définit le mieux la cuisine Koenigsegg CCR à la sauce Edo Compétition Motorsport GmbH…, un met considéré comme le meilleur du genre.
Zoom sur cette cuisine 100 % environnementale.
“Je fais en sorte que les choses qui vivent ensemble dans la nature se retrouvent ensemble”…, ainsi parle l’ingénieur en chef de Edo Compétition Motorsport…, “cette approche qualifiée d’environnementale affole la planète, surtout depuis qu’en 2011 nous avons été sacré meilleur préparateur d’Allemagne par divers magazines”.
A quoi ressemble une 2011 Edo Koenigsegg CCR Evolution EVO 817 pour qu’elle soit parvenue en peu de temps à se hisser au sommet ?
A une évidence.
Pour s’en convaincre, il faut avoir piloté cet engin.
Pour cela, nourri à l’odeur de la terre après la pluie je me suis glissé dans la peau de l’une des figures les plus anciennes de l’humanité : le chasseur-cueilleur dont la silhouette courbée inspecte le moindre centimètre carré du monde à la recherche des graines du génie humain occupées à germer…
Fort d’un butin, into the wild, tant métal que subliminal, désireux de comprendre le grand secret du chef-ingénieur, j’ai résolu d’entrer en totale immersion scandinave…, j’ai remplis une casserole de galets, coquillages, eau de mer, algues, oignons et choux sauvages…, au centre de la cocotte, laquée de gris anthracite métallisé, j’ai déposé une huître plate garnie de raifort, des baies de sureau, des fleurs et des graines d’oignons sauvages…
J’ai laissé l’ensemble mijoter pendant un certain temps à feu soutenu.
La cocotte laquée de gris anthracite métallisé était cuite, tout comme les carottes le sont en finale….
La première surprise fut olfactive : le simple fait d’ôter le couvercle (le toit), le bestiau étant cabriolet, les convives (le conducteur et sa passagère) ont été enveloppés d’effluves en forme de véritable balade iodée.
La seconde surprise fut gustative : Edo parvenant à sublimer le goût et la texture de la Koenigsegg CCR, entre le cru et le cuit, via un bouquet de sensations incomparables, à savoir ce qui constitue le contexte immédiat de l’animal avant qu’il ne termine dans le décor…
Pour arriver à ce niveau de maîtrise exceptionnel, le chef-ingénieur de Edo, a sillonné la Scandinavie pendant six mois au volant d’une Koenigsegg CCR.
A travers ce voyage quasi initiatique, il a pu entretenir un lien tacite avec les biotopes septentrionaux dont il s’est attaché à reproduire les moindres nuances qui ne constituent que la face visible d’un iceberg bien plus vaste.
L’automobile sportive nordique s’apparente en effet à une lame de fond qui gagne en importance chaque année, car les talents scandinaves déploient une gamme de valeurs qui touchent le goût de l’époque en plein cœur : retour au naturel, accent sur le produit, fournisseurs de proximité, décors minimalistes et goût pour la simplicité.
Difficile de ne pas s’enthousiasmer pour ce que certains nomment le versant ligne claire de l’automobile, du fait que la Koenigsegg CCR ne s’y avance jamais masquée.
La force de l’esprit scandinave, est de se référer aux traditions Viking…, c’est même vivement recommandé.
De plus, être chef-ingénieur chez Koenigsegg est une profession sur laquelle plane une aura positive.
En Scandinavie, c’est carrément le 2ième métier le plus prisé, juste après directeur de Koenigsegg !
Dernier élément : les gouvernements locaux multiplient les événements et les communications vers l’étranger pour promouvoir l’esprit scandinave, tels par exemple les efforts réalisés pour attirer définitivement le patron de Wikileaks de venir y goûter les joies post-sexuelles débridées…, efforts en passe de devenir une véritable vitrine de l’art de vivre scandinave.
En Norvège, les saisons sont brèves, les gens n’ont que quelques semaines pour s’exprimer.
Une grande réactivité créative en résulte…
Bref, avec cette 2011 Edo Koenigsegg CCR Évolution EVO 817, le chef-ingénieur d’Edo Motorsport a obtenu plus de puissance et une meilleure maniabilité pour cette supercar extrêmement rare.
L’accent allemand a été mis sur la configuration des deux compresseurs Rotrex qui alimentent le V8.
Les rapports de transmission ont été modifiés, l’objectif étant d’augmenter la puissance tout en maintenant une courbe de couple plus large que la plage de régime toute entière…, le moteur atteint ainsi son couple maximal plus tôt et développe 891 chevaux…, selon le niveau de la mélodie.
Afin d’assurer la fiabilité à long terme de la suralimentation, la ligne rouge du moteur a été abaissée à 7.200 tr/min, ce qui se traduit par une vitesse de 390 km/h sur le sixième rapport de boîte.
D’autres modifications ont été apportées à la conception de l’habitacle et l’extérieur.
La console centrale redessinée, accueille maintenant un nouveau système “d’infotainment”, y compris une l’image de la caméra de recul.
Pour des raisons de sécurité, un système TPM informe maintenant le conducteur de la pression des pneus et des températures diverses.
Toutes les modifications ont été effectuées chez Edo Compétition Motorsport GmbH à Ahlen (Allemagne).
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