2012 Corvette Grand Sport Cabriolet…
Depuis plus d’un an, la rumeur enflait : une nouvelle Corvette Grand Sport démentielle allait être commercialisée pour mettre définitivement la pâtée aux Mustang, ces bourrins issus des années ’60.
Un engin démoniaque concocté en secret par les plus illustres ingénieurs de Général Motors…
Mais pas grand monde ne s’est demandé si la Corvette Grand Sport allait enfin évoluer…, parce que la décennie précédente a accouché parfois du meilleur, mais aussi du pire : des bouses torchées par des faiseurs de miracles.
J’avoue d’entrée de jeu (parce que donner mon avis en est un), que j’écris tout ça sans prendre en compte le contenu idéologique totalement décomplexé (douteux) de ce type de bagnole “muscleuse”, célébrant le héros reaganien bodybuildé sur le retour, réglant chaque conflit par une utilisation brutale de la force… en appuyant sur la pédale d’accélération !
Alors de deux choses l’une, soit les pontifes de la Général Motors décidaient de nous en offrir une bonne vieille tranche à l’ancienne, en réinvestissant les codes un peu surannés de l’époque des meilleures Corvette (les 427ci Big-Block ’66 et ’67)…, soit ils décidaient de ne plus re-re-re-modifier la même caisse en mettant en perspective ces mêmes codes à l’apogée de sa maturité, en reproduisant ce que les anciens ingénieurs avaient accompli… et s’ingéniaient à créer une Corvette radicalement nouvelle et innovante.
Les deux points de vue étaient séduisants, mais une fois de plus la déception est à la hauteur des attentes !
La nouvelle Corvette Grand Sport est loin d’être une bonne vieille tranche de bonne brutalité à l’ancienne… et c’est encore plus triste à dire à écrire, après avoir piloté ce bestiau en version cabriolet : je me suis surpris à me dire que je n’avais strictement rien à en raconter de fantastique, car elle ne m’avait pas amené au top !
Soyons sérieux, personne n’attendait une Corvette qui soit réellement un chef d’œuvre… et même si elle fait son petit effet, c’est surtout parce que les standards actuels sont passablement brouillons et illisibles.
J’espérais plutôt un bon trip régressif dans la veine des muscle-cars bien machos, car agrémentés de filles pulpeuses et nues…, dont les posters ont fait rayonner les murs de ma chambre d’adolescent bourgeonnant, affichant par une démonstration de testostérone que je me préparais à affronter ma puberté…, une abstraction étrange que je projetais inconsciemment sur les femelles en général (surtout celles avec de très gros seins légèrement pendouillant), qu’il me fallait arroser d’une puissance de feu virile et sans pitié…
C’était durant les années ’60…, c’était complètement con…, mais j’étais si jeune.
Tout s’effondra ensuite pneu à pneu… et ces automobiles d’action s’étiolèrent peu à peu.
L’ennemi éternel de la Corvette, jadis si identifiable (c’était Ferrari), laissa vite place à un conglomérat fumeux de menaces diverses…
Suite à cette période de restructuration, début de ce nouveau millénaire (2000), la menace bénéficia du souffle d’une vengeance quasi divine qui s’abattit alors sur les États-Unis, avant qu’une flopée de nouvelles automobiles extraordinaires ne vienne sauver le reste des rêves qui devenaient cauchemars…
Délaissant, mes américaines certains soirs de folies…, ainsi que mon air buriné et mes tenues de commando… pour un costume en latex et un masque à gaz…, j’ai cru pouvoir sauver le monde automobile sans recourir à la brutalité beauf des italiennes au sang chaud, en collectionnant quelques exemples de celles que j’imaginais être les meilleures américaines produites…
La première déconvenue, c’est que les Corvette récentes n’ont plus rien à voir avec leurs aînées.
Les mecs de la Général Motors auraient pu chier une super nouvelle Corvette, mais avoir le goût de pondre une daube toute kitsch et démodée…, ce qui aurait au moins respecté le cahier des charges !
Malheureusement, aussi ratée soit elle, cette réalisation rassemble tout ce qui se fait de pire en ce moment.
On aurait pardonné la nullité si elle avait été gentiment vintage mais comment voulez vous tolérer pour un projet pareil, l’affligeante nullité de notre époque ?
L’aspect général de l’ensemble trahit visiblement un gros problème de surproduction de plastique… et je m’en f… que ce soit un manque d’audace stylistique…, parce que le résultat est proprement consternant.
J’ai même été envahi par une profonde nostalgie en voyant qu’après avoir déserté l’Europe quelques mois, la Corvette faisait son come-back dans les showrooms Chevrolet, aux côtés des… citadines Spark et Aveo !
Toutefois, deux oppositions s’entremèlent : grâce à sa carrure de déménageur, la Corvette n’a pas de mal à s’imposer aux côtés de ses frêles cousines…, mais simultanément elle est manifestement trop grosse, avec particulièrement un porte-à-faux avant ridiculement important (quoique moins crétin que celui des Ferrari), qui outre un réel gâchis esthétique et une mauvaise utilisation technique…, est un cauchemar de conduite en ville (casses-vitesse et rampes de garage) et “aux champs” (dos-d’âne, routes bombées, dénivellations)…
Il est grand temps de ne plus dessiner une carrosserie puis d’obliger les techniciens à la remplir, mais de créer une forme logique en fonction de la technique (la fonction crèe la forme)…, c’est toute la différence entre un architecte qui pense une maison de l’intérieur pour le confort de ses occupants et un branquignol qui dessine une fermette LouisXV pour lécher le cul de ses clients crétins qui se retrouveront incapables de la meubler intelligement…
D’autant que la gamme débute désormais avec cette version Grand Sport, qui conserve le V8 6,2 litres LS3, mais adopte des voies élargies (+ 30 mm à l’avant et + 38 mm à l’arrière), ainsi que des pneus au format XXL.
Résultat : une indéniable présence sur la route, mais aussi un gabarit souvent gênant…, car, taillée pour les grands espaces américains (les lignes droites infinies, les parking géants, les propriétés “à la Dallas”, l’essence trois fois moins chère…, la Chevrolet Corvette se sent à l’étroit dans les villes européennes !
Aucun modèle de la gamme de Chevrolet n’est aussi célèbre que la Corvette qui s’est toujours imposée comme le porte-étendard de la performance brutale et basique depuis son lancement en 1953.
Pour 2012, la sixième génération de la Corvette poursuit sa carrière : les sièges ont été redessinés avec un meilleur soutien latéral pour le conducteur, le volant est nouveau, on a ajouté une chaîne Bose à 9 haut-parleurs, de nouvelles couleurs sont offertes et on propose l’ensemble Édition centenaire de Chevrolet pour souligner le 100ième anniversaire de la marque…
Tout cela est assez idiot et sent le consumérisme à plein nez jusqu’à en avoir la nausée…, trop c’est trop !
La Chevrolet Corvette Grand Sport cabriolet 2012 n’est pas la voiture la plus sophistiquée, la mieux équipée ou la plus puissante pour les 100.000 €uros demandés.
Cependant, sa puissance déchaînée et son comportement brutal sont les bienvenus pour ceux désirant une supervoiture qui ne se conduit pas toute seule à l’aide d’un paquet de microprocesseurs.
Le V8 LS3 de 6,2 L produit 436 chevaux et un couple de 428 lb-pi, jumelé soit à une boîte manuelle à 6 rapports, soit à une automatique à 6 rapports avec sélecteurs au volant.
La Corvette reste discrète à basse vitesse ; vous savez, pour se pavaner en ville pendant que les jaloux observent d’un regard accusateur en attendant qu’on l’abandonne le long d’un trottoir pour y déverser une ou deux poubelles…
Toutefois, pédale au plancher, le V8 LS3 déclenche une furie sonore que personne ne trouve révoltante… et le sprint de 0 à 100 km/h prend à peine plus de quatre secondes, très utile pour s’enfuir loin des quartiers deshérités qui ont d’autres préoccupations que la Corvette et ses options.
Par rapport à la Corvette ordinaire, les modèles Grand Sport utilisent quelques éléments mécaniques de la version Z06 (question de rentabiliser ce qui peu l’être), dont la lubrification du moteur à carter sec, la suspension, les freins surdimensionnés avec disques perforés, les étriers à six pistons à l’avant et quatre à l’arrière ainsi que les roues et les passages de roues plus larges…, également des amortisseurs magnétiques Magnetic Ride, disponibles sur toutes les Corvette…, toutes choses vraiment très utiles pour respecter les limitations de vitesse maintenant quasi-généralisées dans le monde…
De même, soucieux de respecter un max de 130 dans diverses longues courbes d’autoroute, j’ai pu apprécier pleinement la tenue de route et le freinage de ce bolide… ce qui m’a provoqué des saignements de nez…
Je précise que vous ne risquez rien à 30km/h en ville, la Corvette demeurant incroyablement docile.
Dans la Corvette Grand Sport, il n’y a pas de gadgets modernes tels qu’un moniteur d’angles morts, un système d’avertissement de changement de voie ou un système d’avertissement pré-collision, puisque la Corvette n’en a pas.
Les bons conducteurs n’ont pas besoin de ces gadgets, pas vrai ?
Malgré les constantes améliorations apportées à la Corvette, les fondus ont du patienter jusqu’à la septième génération de la voiture pour bénéficier d’un habitacle plus cossu digne (enfin) du plus famélique des bourguignons végétariens…
L’atmosphère simpliste n’est pas le problème, mais plutôt la qualité des matériaux utilisés.
Oui, les coutures contrastantes (rouges ou jaunes) de l’ensemble “anniversaire” sur le tableau de bord et les panneaux de porte aident à agrémenter le look…, mais les plastiques bon marché demeurent difficiles à camoufler.
Les interfaces des systèmes audio et de navigation semblent avoir été conçues en 1985… et malgré sa gaine de suède, le volant semble sorti tout droit d’une Chevrolet Cobalt.
En contrepartie, les sièges ont un soutien correct et sont relativement confortables, la position de conduite est bonne, tandis que le levier de vitesses et la pédale d’embrayage fonctionnent extrêmement bien (aussi bien que la version boîte automatique en option).
De plus, cette Grand Sport cabriolet dispose d’un coffre très utile de 295 litres pour des randonnées de week-end, accompagné d’un passager ou d’une passagère qui le mérite bien.
Cette Corvette Grand Sport coûte tout juste 100.000 US$.
Avouez que ça fait mal !
Pour quelques milliers de dollars de plus, on peut acheter une BMW 650i Cabriolet de 400 chevaux ou une Porsche 911 Cabriolet de 350 chevaux.
Ces deux voitures sont technologiquement supérieures à la ‘Vette, mais pas nécessairement plus excitantes à conduire, c’est surtout à cause de la déconnexion totale, tenant en deux questions pouilleuses, pensées comme de simples annexes…
Question 1 : avez-vous vraiment besoin de l’édition Grand Sport ?
Pour se balader en ville et pour dévorer les routes de campagne, une Corvette cabriolet fait amplement l’affaire… et vous coûtera environ 72.000 US$.
Question 2 : est-elle parfaite ?
Non, elle n’est pas parfaite, mais ne prétend pas l’être non plus…, donnez-lui la place de s’exprimer et la bête fait étalage de sa puissance en apparence inépuisable.
Ses 437 chevaux lui permettent d’expédier le 0 à 100 km/h en 4,3 secondes et d’atteindre les 300 km/h.
Le plus impressionnant reste cependant le couple surabondant (575 Nm au maxi à 4 600 tr/min), qui permet de s’affranchir la plupart du temps du levier de vitesses.
Quant au comportement routier, il est étonnamment prévenant.
Grâce au châssis-poutre en acier et à la carrosserie en composites plastiques, la Chevrolet Corvette est plus légère que la plupart de ses rivales.
En outre, le moteur est implanté en position très reculée, ce qui contribue au bon équilibre général…, de quoi se faire plaisir sans arrière-pensée…, sauf au moment de signer le chèque : la Corvette a discrètement augmenté ses tarifs d’une dizaine de milliers d’euros !
La Corvette, c’est avant tout une légende, aucune autre sportive ne peut prétendre avoir fasciné les foules pendant aussi longtemps : face à cette dame née en 1953…, même une Porsche 911 a des allures de demoiselle !
Mais l’américaine a-t-elle vraiment su évoluer avec son époque, tout en restant fidèle à ses principes ?
Aux chromes opulents des premières générations, signées Harley Earl, le modèle actuel, de sixième génération, préfère des lignes flasques, un porte-à-faux avant préoccupant et moche… et un look de phares à gerber…
Disposer de tels moyens avec des mini projecteurs pour en arriver à créer des couvercles transparent de poubelles de bureau est affigeant de connerie…
Mais les proportions subsistent… et les quatre feux arrière et les flancs creusés sont également toujours là.
Cette version Grand Sport se distingue également par ses ouïes latérales ornées de chrome et ses peintures de guerre sur les ailes avant.
Côté habitacle, même si Chevrolet a consenti quelques efforts, la finition reste éloignée des standards en vigueur chez les concurrents allemands…
Et la Corvette ne fait pas de cadeau, en facturant 4.550 € la sellerie cuir intégrale, 2.350 € le système de navigation (pourtant pas du dernier cri) et même… 400 € les logos Corvette brodés sur les appuis-tête !
En outre, l’ergonomie reste déroutante, avec par exemple deux commandes différentes pour le réglage du volant (l’une, manuelle, pour la hauteur, l’autre, électrique, pour la longueur).
Sur le plan technique, la Corvette alterne solutions modernes et archaïsmes.
Du côté des premières, on notera avant tout l’originale structure, combinant un châssis-poutre en acier hydroformé, une cellule de survie en aluminium et la désormais traditionnelle carrosserie en fibre de verre, l’ensemble étant gage d’une certaine légèreté : la Grand Sport excède à peine les 1.500 kilos sur la balance.
Modernité aussi du côté des amortisseurs, qui peuvent recevoir en option (2 200 €) un fluide magnéto-rhéologique (gag !) associé à des bobines électromagnétiques (suspension Magnetic Ride), ce qui permet de faire varier instantanément leur dureté.
Du côté des archaïsmes, on retiendra les ressorts à lames (si, si !), ou bien encore le V8 à arbre à cames central, dont les 16 soupapes en tête sont actionnées par l’intermédiaire de basculeurs et de tiges.
Si bien que la puissance affichée de 437 chevaux n’a rien d’éblouissant rapportée à la généreuse cylindrée. Lubrifié par carter sec, le V8 LS3 est associé à une boîte mécanique à 6 vitesses, une transmission automatique étant proposée moyennant un supplément de 3.100 €.
Si la Corvette intimide au premier abord de par ses dimensions et son allure bestiale, elle fait un maximum pour mettre en confiance.
La douceur de ses commandes et la souplesse du V8 facilitent la prise en main, tandis que les suspensions de l’amortissement piloté, se montrent étonnamment conciliantes en mode “Tour”.
Quant à l’afficheur tête haute (vitesse, régime moteur, indications de la navigation), il se révèle fort pratique au quotidien.
Seul le gabarit imposant et la mauvaise visibilité arrière ternissent le tableau.
Une caméra de recul ou, à défaut, un radar de stationnement seraient d’un grand secours…
Une fois libérée des contingences de la circulation urbaine, la Corvette Grand Sport révèle son vrai caractère : celui d’une GT capable d’avaler les kilomètres dans un confort seulement perturbé par le ron-ron des pneumatiques.
Aux allures autoroutières, le V8 sommeille tout comme le conducteur… grâce à la sixième surmultipliée.
Mais il suffit de tomber un ou deux rapports et d’écraser la pédale de droite pour que voir la Corvette se cabrer et bondir vers l’horizon et les amendes salées, catapultée par un LS3 qui se met alors à hurler de rage qu’un pandorre offrira en remerciement un ticket pour un retrait de permis…
Bien qu’un tantinet trop assistée, la direction permet de placer avec le train avant à peu près ou il faut.., qui s’inscrit sans délai dans la courbe…, exemple frappant (oui ici il n’y a que les exemples qui soient frappant), à quel niveau de nullité faut il tomber pour torcher ainsi un essai tout simple sans que vous ne compreniez rien de ce qui se passe !
Comment captiver un lecteur qui ne sait pas lire entre les lignes ?
“L’incompétence est un océan sans limite sur lequel dérive le navire de ton ambition” avait coutume de me dire mon assistante sociale… et c’est sûrement sur cette mer de merde que navigue cette Corvette.
Bordel, il faut vraiment en avoir rien à f… de rien pour torcher un climax final aussi nul en pensant qu’une succession de mots douteux fera l’affaire.
Quel manque de respect pour les inconscients qui se sont assis devant leur écran d’ordinateur pour se faire assommer par tant de nullité (oui au final il n’y a que la nullité qui assomme quoique ce soit dans ce machin), chaque lecteur, déjà consterné, se sentant d’un coup propulsé loin, très loin, dans un pays où ne règne que la honte et la contrition.
Faut vraiment douter de rien pour pondre un truc pareil… et les fans qui sont prêt à gober n’importe quelle mièvrerie dès qu’elle est ânonnée par un vendeur ravagé bégayant pathétiquement sa rédemption dans des descriptions techniques, auront du mal à s’en remettre lorsque leur gaule sera redescendue à la vue de la descente aux enfers de leur compte bancaire.
Applaudir ce genre de prestation est probablement le spectacle le plus sordide que j’ai du subir depuis l’agonie de ma cousine qui avait acheté une Skoda.
Passons !
Les pontifiants de la Général Motors auraient monté une bonne mayonnaise que le public aurait eu la frite, mais face à cette voiture et compte tenu de son prix, il n’y a que le vinaigre de mon amertume qui peut me faire avaler toutes ces salades.
Les trips régressifs n’appartiennent donc pas qu’aux crétins qui savent pas boire s’éclatant le samedi soir avec leurs collègues de boulot devant des karaokés de la banlieue ouest en vomissant.
Le trip régressif frappe visiblement tout autant les geeks auto-proclamés qui se reluquaient les poils qui leur poussaient à la quéquette lorsque qu’ils se masturbaient en reluquant les posters aux filles nues punaisés dans leur chambre… que célèbre aujourd’hui la nostalgie…
La Corvette Grand Sport surfe sur cette régression d’une manière totalement artificielle et par son évidente modernité technique on peut se demander s’il y a vraiment une différence entre ça et le spectacle essoufflé d’un mythe artificiel aujourd’hui exploité jusqu’à l’os.
On peut refuser l’évidence mais si la Corvette méritait peut être un hommage, le résultat est loin d’être à la hauteur.
J’ai de la peine à imaginer le tableau lorsque les têtards qui ont aujourd’hui 10 ans fantasmeront les Corvette de leur enfance pour les faire revivre.
C’était déjà nul hier et demain ça sera encore pire, ce texte est le témoignage de ma lassitude.
Libre à vous de choisir ensuite l’attitude à adopter : la Corvette se prête de bonne grâce à tous les exercices !
Points forts : Style dévissant les têtes, performances, comportement routier, confort préservé, coffre spacieux, toit amovible fort pratique.
Points faibles : Tarifs en hausse, options chères, consommation en conduite intensive, inutilité civique.