2013 Tataguar Project 7 à Goodwood… Il y a quelques décennies, alors que la culture hippie prospérait, on croisait dans les gares et les aéroports les disciples de la secte de Krishna…
Tout vêtus de rose et traînant les pieds, ils se montraient peu loquaces, se contentant d’un mot de bienvenue et d’un sourire, avant d’offrir une petite fleur aux passants qui se dépêchaient pour ne pas rater leur train ou leur avion…
Même si on ne voyait pas grand intérêt à porter sur soi cette petite fleur, on l’acceptait par politesse…, si l’on refusait le cadeau, on entendait les disciples murmurer d’une voix douce : “Prenez-la, cela nous fait plaisir de vous l’offrir”…
Lorsqu’on jetait sa fleur à la poubelle dès qu’on se savait hors de vue, on pouvait constater qu’on n’était pas le premier à le faire.
Mais l’histoire ne s’arrêtait pas là…, alors que la mauvaise conscience vous harcelait, vous étiez abordé par un autre disciple de Krishna qui en appelait à votre générosité en vous réclamant un don…, qu’il recevait, en général. Cette forme de collecte de dons s’avérait si fructueuse que de nombreux aéroports ont interdit la présence de la secte sur leur territoire.
J’ai étudié de près le phénomène de la réciprocité et constaté que les individus supportaient mal de se sentir redevables.
Invité à une “party”, il y a trois week-end par une “huile” de Tataguar désireuse de me démontrer que j’avais eu tort de critiquer la dernière Tataguar type F (La nouvelle Tataguar F-Type 2013…) comme je n’avais pas de bon prétexte sous la main, j’ai accepté son invitation.
Pas de surprise : la “party” fut inintéressante au possible, telle que je l’avais prévue.
En effet, généralement je couche avec les jolies chargées des relations publiques… que je transforme en relations privées…, mais elle n’a pas voulu tant que je n’écrirais pas un article dithyrambique sur la Type F !!!
Les dieux de l’automobile également invités (en renfort ?) étaient très aimables, mais profondément ennuyeux…, néanmoins, je me suis senti obligé de rendre l’invitation sous forme d’un non-article sur ce non-évènement…, ce qui était assurément un plus, par rapport à un article critique sur l’art de plier les serviettes dans les “party’s Tataguar”.
La contrainte de la réciprocité avait ainsi offert à chaque “groupe” une occasion ratée de je ne sais quoi…, on aurait pu en rester là…, mais pas pour “l’huile” (moteur) de Tataguar, visiblement, car “elle” s’est empressée de m’inviter à la présentation de la Tataguar Project 7, à l’occasion du Festival of Speed, organisé tous les ans en juillet, dans le parc de Lord March, près de Southampton .
Les “cerveaux et cervelles” de Tataguar savent s’amuser : maintenant, je comprends parfaitement que des gens puissent se voir périodiquement pendant des années par pure réciprocité, même s’ils auraient préféré être sortis de ce cercle infernal depuis longtemps.
Tout ça pour quoi si en finale on ne couche pas ? Pour faire du bruit et du vent merdiatique…, car Tataguar cherche à vendre sa Type F via la la Project 7 affirmant (via les merdias) qu’elle est un exemplaire unique construit sur la base d’une Type F pour rendre hommage aux 7 victoires de la marque aux 24 Heures du Mans (c’est gag !)…
Plus précisément, c’est de la Type D victorieuse dans la Sarthe en 1956 et 1957 que la Project 7 prétend s’inspirer sur le plan esthétique, avec son pare-brise abaissé façon saute-vent et son appendice aérodynamique créant une espèce de dérive derrière la tête du pilote.
De nombreuses ONG récoltent des dons selon le modèle de la secte de Krishna : offrir, puis demander…, ici tout était bati sur ce même principe ! La semaine dernière (et cela faisait partie du plan diabolique)…, j’avais reçu une enveloppe remplie de magnifiques cartes postales aux paysages idylliques de la part d’une organisation de protection de la nature patronnée par Jaguar. Il était indiqué sur la lettre d’accompagnement que les cartes postales m’étaient offertes. J’avais le droit de les conserver, que je fasse un don (de sperme ?) ou pas.
J’ai de suite deviné que c’était l’attachée de presse qui m’avait envoyé ce colis surprise…
La salope…, j’ai cru quelques secondes qu’elle avait subrepticement placé une photo d’elle nue au milieu des cartes postales, pour m’inciter (via une masturbation inévitable) à publier un article positif sur la Type F… Bien sûr, il m’a fallu du courage et un sang-froid frisant l’insensibilité pour balancer ces cartes à la poubelle, quoique la protection de la nature se limitait a avoir photographié la Tataguar Type F Project 7… devant de superbes paysages…
Ce “racket” sexuellement tout en douceur, qu’on pourrait aussi bien appeler corruption des sens, est largement répandu dans l’économie. Un constructeur automobile invite un journaliste ou son éditeur au Festival of Speed de Goodwood, tout frais pré-payés, y compris les nuitées spermatantes en 3 étoiles… et ensuite l’heure est venue, en retour d’ascenseur ou simplement pour rendre la monnaie…, de publier un reportage dithyrambique sur cet “évènement”…
Le malaise éprouvé par le journaliste en se sentant redevable vis-à-vis du constructeur est si fort qu’il s’exécute.
La réciprocité est un programme vieux comme le monde, elle dit en substance : Je te donne un coup de main, tu me donnes un coup de main…
Nous trouvons la réciprocité chez toutes les espèces animales soumises à de fortes fluctuations de la quantité de nourriture disponible. Supposons que vous êtes un chasseur-cueilleur : un jour, la chance vous sourit et vous tuez un chevreuil. C’est beaucoup plus que ce que vous pouvez manger en une journée.
Or, le réfrigérateur n’a pas encore été inventé…, vous partagez donc votre chevreuil avec les membres du groupe. Cela vous donne la possibilité de profiter du butin des autres si un jour vous revenez bredouille de la chasse : le ventre de vos compagnons est votre frigo. Une excellente stratégie de survie.
En plus basique, c’est aussi : Je te branle, tu me branles en retour…
Et en plus réel c’est plus souvent : Tu m’as enculé à donf, je te fais de même en retour…, c’est l’aspect “vengeance” de la réciprocité humaine…
L’humain aime en effet les enculades, que ce soient en sexe et en affaires…
La réciprocité est une gestion du risque parfaite, sans elle, l’humanité et d’innombrables espèces animales, seraient éteintes depuis longtemps.
Toutefois la vengeance appelle la vengeance… et l’on se retrouve bientôt en guerre. La prédication de Jésus (qui n’a jamais existé), à savoir de briser le cercle infernal en tendant l’autre joue, nous est très difficile parce que la réciprocité fait partie de notre programme de survie depuis plus de 100.000 ans.
Récemment, une femme m’expliquait pourquoi elle ne se laissait plus offrir un verre dans un bar : Parce que je ne veux pas me sentir implicitement obligée de coucher… Ce qui est très sage, mais quand je lui ai proposé de lui offrir une Tataguar Type F, elle a reconsidéré son point de vue…
J’aurais été goujat de profiter d’un telle situation !
Post coïtum, animal triste…
J’ai préféré lui dire en conclusion : La prochaine fois qu’on vous abordera au supermarché pour vous faire goûter du vin, du fromage, du jambon ou des olives, vous saurez pourquoi vous avez tout intérêt à refuser. Sinon, vous risquez fort de repartir avec une caisse entière de chardonnay alors que vous ne buvez pas une goutte d’alcool.
Force m’est toutefois ici d’en revenir au fond de la manoeuvre que j’ai vécue/subie à l’insu de mon plein gré…
Je résume : Tataguar, dans un second élan consumériste (le premier étant le design “supermarché” de la Type-F : une Miata à 150%)…, a calculé tirer profit de la 20ème édition du Festival Of Speed de Goodwood (juillet 2013), en organisant la mascarade d’une turbulente récréation sous la forme d’une F-Type grimée en voiture de course…, pour en marquer les esprits… afin que les Tataguarophiles achètent la Type-F.
Ce tour de piste final, était le numéro de cirque d’un programme savament calculé d’invitations diverses préalables (dont la “party” mémorablement nulle), la Project 7 étant flanquée d’une meute de type-F conduites par des baroudeuses lascives et des play-boys acidulés, chargés de faire la “retape” auprès des clients potentiels…
Cette exhibition, à mon sens foireuse, permettait toutefois de se rendre compte que le design de la Type-F est loupé en comparaison de la magnifique Type-D… et que le bricolage “maison” consistant à lui donner des allures de Type-D, accentuait encore davantage la lourdeur/laideur de la Type-F…
Lord March, l’héritier des terres de Goodwood, situé dans le Sussex, à plus d’une heure du sud de Londres, ne se préoccupe pas de cela, tout fou-fou que les Livres Sterling tombent dans son coffre-fort. Créé à son initiative en 1993 pour relancer le domaine familial, le Festival of Speed est devenu “the place to be” pour tous les constructeurs de la planète.
Sous prétexte de faire gravir les neuf virages des 1,86 km de la course de côte tracée dans le parc du château, sans aucune notion de performance et de classement, tous les plus grands champions automobiles et toutes les plus belles automobiles de collection et d’aujourd’hui se pressent chaque année à Goodwood.
Devenu un petit coin de paradis pour les passionnés d’automobiles, pour ne pas dire la Mecque du genre…, cet événement est devenu un passage obligé pour les marques qui peuvent se prévaloir d’une grande tradition sportive et d’une histoire en compétition.
Pour ma part, à chaque fois que je suis allé au Festival Of Speed de Goodwood, je me suis fait chier grââââve !
J’y suis allé sans savoir, mais les files d’attente pour tout, les parkings boueux, la disparité des pseudos-évènements dilués au hasard à tous les endroits les plus inaccessibles du lieu… et les plus éloignés les uns des autres au possible…, m’ont dégouté.
C’est du grand n’importe quoi consumériste destiné aux badauds qui n’ont rien à faire et ne savent pas quoi faire d’autre que bouffer des saucisses en regardant des voitures qui leur sont financièrement inaccessibles !…
Certains constructeurs sont racollés fort cher par les organisateurs pour profiter de ce rendez-vous “qui attire plusieurs dizaines de milliers de spectateurs et le gratin des passionnés”…, pour présenter leurs nouveaux modèles à tendance sportive…, même si ça ne sert qu’aux relations-presse, car je doute qu’on vende autre chose à Goodwood que de très mauvaises saucisses, tièdes comme la bière anglaise sans mousse…
Ce fut le cas l’an dernier de Mercedes qui dévoila, sur les pelouses de Goodwood, la CLS Shooting Brake. Cette année, pour ses 50 ans, McLaren effectuait les premiers tours de roue publics de la P1…, la supercar du constructeur de Woking partageant la vedette avec la Féline de Coventry caricaturée en Type-D, la Project 7 ayant été réalisée en seulement quatre mois sous la houlette de Ian Callum, directeur du design de la marque… et du designer Cesar Pieri.
Derrière le pilote installé à droite, une dérive en fibre de carbone, singeant celle qui équipait la Type D et la plupart des barquettes de Sport à partir du milieu des années 1950, a été installée. Par rapport à une F-Type de série, les autres modifications touchent : la calandre…, l’adoption de jupes latérales et le pare-brise abaissé dans le style d’un speedster… et un énorme et très hideux aileron surplombant inutilement le capot arrière.
La décoration et la peinture bleue ont une symbolique importante, elles doivent rappeller celles des Type D victorieuses dans la Sarthe en 1956 et 1957 sous la bannière de l’écurie Ecosse…. et le nom de baptême fait référence aux sept succès de Jaguar aux 24 Heures du Mans, entre 1951 et 1990.
Mike Cross, l’ingénieur en chef de Jaguar, était chargé de faire tonner le V8 dans la montée de Goodwood quelques fois durant le week-end.
La Tataguar Project 7 ne se limite pas à une transformation cosmétique, les ingénieurs de Jaguar ont retravaillé le V8 à compresseur pour obtenir 55 chevaux de plus que la version de série, soit 550 chevaux au total, le couple atteingnant désormais 680 Nm.
L’habitacle a été entièrement enlaidi (revisité) : le siège baquet en cuir matelassé (gag !) bénéficiant d’un harnais quatre points, installe le pilote 30 mm plus bas que dans un roadster F-Type de série (sic !)…, des inserts en fibre de carbone et un pédalier en aluminium complètent l’équipement de ce prototype qui ne doit pas être vu autrement que comme une récréation-fantaisiste (fantasque ?) grimée en voiture de course. Une machine destinée à alimenter les rêves utopiques.
S’il est vrai que la plus perdue de toutes les journées est celle où l’on n’a pas ri (Chamfort), alors la moins perdue de toutes celles que j’ai passé au Festival Of Speed, est le jour où j’ai découvert la Tataguar Project 7…, engagée dans une pitrerie grotesque sous forme d’une énième bourrinade patriotique comme seul l’esprit des Indes en produit à la pelle, mais avec un tel niveau de folie furieuse, un tel excès dans la surenchère, qu’elle parvient à déstabiliser le spectateur le plus maître de soi.
Le script de cette mascarade consumériste s’est peu à peu révélé à mes yeux ébahis : Les spectateurs sont des personnages amnésiques qui se découvrent peu à peu (grâce à la vision sidérante de la Tataguar Project 7), des aptitudes hors du commun et vont chercher à découvrir son mystérieux passé.
Ainsi, on présentait, dans des décors reconstitutifs…, d’abord la Jaguar Type F Project 7… puis, à ses cotés, une Type-D coulant des jours paisibles, au milieu de sa famille d’autres Jaguar, dans un petit village reculé du centre de la perfide Albion…, avec un zoom sur le pilote, sans son casque en cuir d’époque, mais affublé d’une magnifique moustache de velours, d’une coupe de cheveux indéformable façon banane de loulou des années ’50…, le message subliminal étant par conséquent : Tout pour être heureux d’être au volant de la Type-D !
Pourtant, certaines choses clochaient dans cette reconstitution réalisée comme à Bollywood (Jaguar est la propriété de Tata, un fabricant automobile leader en Inde) : c’était un vrai ouf dans sa tête qui était une sorte de caricature ultime d’un terroriste Hindou…, il ne connaîssait ni son nom ni son passé… et quand un péquenot a surgit pour lui demander un autographe…, il s’est découvert de façon fortuite qu’il parlait couramment le Punjabi, alors que dans son village tout le monde parle le Telugu… et que la langue officielle en Inde est le Hindi !
Les responsables des relations publiques et presse de Tataguar ont fait semblant de rien mais lui…, le héros, finit quand même par se douter de quelque chose d’incompréhensible à son mental…, à savoir qu’il n’était qu’un figurant débile au volant de la Type-D qui n’était qu’un faire-valoir à l’abominable Project 7… Mais pourquoi en plus, avait-il l’air si méchant ?
Un élément de réponse est apparu durant la pause pipi, ou quelques journalistes d’investigations, formés aux reportages en Afghanistan et au Pakistan…, ont retrouvé cet infâme personnage porter un karakul, le couvre-chef cher à Muhammad Ali Jinnah, le père fondateur du Pakistan, pourtant ennemi de l’Inde… Quel micmac !
Non mais là c’était plus possible les mecs…, j’ai alors décrèté une fatwa contre les irresponsables des relations publiques de Tataguar, incitant mes cons-frères à prendre le re-cul nécessaire pour se rendre compte qu’ils s’étaient fait enculer manipuler par des Bollywoodiens engagés pour créer ce non-évènement !
En effet, dans la grande tradition de l’industrie automobile Indienne, la Tataguar Project 7 était présentée de manière à être littéralement idolâtrée par le grand public et toutes ses composantes aussi… Pour les enfants, elle devait être la voiture-jouet idéale… et pour les hommes, elle devait s’avérer un modèle absolu, symbole de force et de virilité…, le tout brossé avec une absence de subtilité stupéfiante.
Sans grande surprise, la suite va me révéler, via une illumination monumentale (Vischnou ?), que le pilote de la Type D se nommait Vijayendra Varma, en fait, un ex-colonel de l’armée indienne qui luttait en première ligne dans la guerre contre le terrorisme et qui, sept ans auparavant, était même devenu un héros national après avoir accompli quelques-uns de ces exploits grandiloquents dont les héros indiens ont le secret.
Il avait été récupéré par Bollywood en tant que conseiller militaire avant de finir comme chef des opérations d’infiltrations cérébrales chez Tata-Motor.
Seul Vichnou sait pourquoi il termine misérablement sa vie comme figurant pour Tataguar…
Bien entendu, la mise en scène de la Tataguar Project 7 étant une pure production du pays de la vache sacrée, on y trouvait inévitablement quelques éléments sacrés plus navrants que drôles… et autres éléments à biffer d’un volumineux cahier des charges.
Ceci étant écrit, ce que la voiture a perdu en crédibilité à Goodwood suite à ces pitreries, elle l’a gagné évidemment en potentiel comique involontaire, que vous retrouvez ici, sur GatsbyOnline, regardant tout ce barnum avec avidité pour le plaisir de vous empifrer gratos d’une grosse tranche de lard…
Sur le fond, la Project 7 dispense un discours ultra-patriotique tendance Britannia for ever…, mâtiné d’une vengeance larvée des anciens colonisés maintenant propriétaires de Jaguar… En termes de délire mystico-patriotique, c’est sacrément trapu !
Je résume : J’avais donc vu caché sous son casque, un héros au charisme de pruneau d’Agen (déjà mâché, oui) qui conduisait une Jaguar Type-D chargée psychologiquement d’une foultitude de métaphores ultra-patriotiques à la gloire de l’Angleterre sacrée et éternelle…, cliché destiné à faire croire aux beaufs que l’abominablement laide Type F Project 7 en serait la résurrection 2013….
Je l’écris comme je le pense : c’était indiscutablement kitsch et foncièrement génial par son degré de bêtise. Célébrer ainsi l’union sacrée entre une Jaguar Type-D et une Tataguar Type-F grimée…, c’est comme se glisser silencieusement derrière les spectateurs et soudain leur hurler dans les oreilles : LA SUBTILITE C’EST POUR LES FILLETTES !
Si on transposait ça dans le genre français, c’est un peu comme si Renault faisait de la promo pour Alpine en utilisant des clones de Vercingétorix, Saint Louis, Charlemagne, Clovis, Jeanne d’Arc, Robespierre, le Maréchal Pétain et le Général de Gaulle…, tous réincarnés dans la silhouette de Jean Dujardin costumé en pilote de course…
Un Dujardin coiffé d’un béret et d’une cocarde tricolore, armé d’une épée-saucisson, entouré d’accordéons volants et de coqs enflammés en images de synthèse,
Je suis ressorti de Goodwood sonné et incrédule mais, bizarrement, j’en redemandais, tant j’aime les conneries, surtout les plus abominables ! La “portée idéologique” de cette affaire fut, de fait, complètement désamorcée par son jusqu’au-boutisme Bollywoodien pour le moins simpliste, ses nombreuses maladresses et sa naïveté désarmante.
Ne restent au final que cette générosité à tout crin dans l’excès de bétises… et un souci permanent de la surenchère du pire, qui font à mes yeux tout le charme de la Tataguar…
Si vous voulez continuer à rire, allez lire ceci : La nouvelle Tataguar F-Type 2013…