2014 GTA Spano… Cela faisait bien quelques mois que je ne m’étais pas autant enthousiasmé pour un plaisir simple et sucré puant le sexe, les peaux en satin et les talons hauts, avec ce petit coté mélancolico-ubuesque qui fait l’apanage du genre chialer en claquant des doigts devant un coucher de soleil…
La plus grande énigme de la création de la GTA Spano, au-delà de la structure chaotique de sa réalité pré-commerciale, de ses incohérences stylistiques et techniques manifestes… et de sa production design semblant venir d’une autre planète, demeure avant toute chose son maître d’œuvre, le mystérieux concepteur, designer, financier, bateleur et acteur principal dont le nom reste inconnu de la masse gélatineuse des ahuris éternellement en pamoison devant tout et n’importe quoi…, qui est-il, d’où vient-il, quel est son réel projet, d’où proviennent ses fonds, vient-il en paix ?
Je vais tenter si ce n’est de répondre à toutes ces questions brûlantes, du moins de leur apporter l’éclairage de ma propre expérience des automobiles improbables (je vous dévoilerai son identité un pneu plus loin dans ce texte)…
Evacuons d’emblée le positif : la structure schizophrène du concept, alternant quantités de chapitres sur les innombrables présentations de voitures-maquettes de pré-production et mon expérience personnelle de ce genre automobile en tant qu’acteur-dénonciateur, émergent dans un univers impitoyaaaaa-âbleuh, qui tire de plus en plus à la ligne au fur et à mesure de la lecture, et peine à se justifier au travers de ses concordances forcées…
Il n’est pas certain qu’un réassemblage chronologique de l’histoire de ces multiples présentations eut été plus pertinent, mais le procédé se serait révèlé frustrant plus souvent qu’à son tour, mettant par trop en lumière que son concepteur-créateur-financier n’avait pas suffisamment de fond et de fonds, ni confiance en son matériau… et se sentait obligé de bousculer le public via les merdias habituels, pour relancer un intérêt plus que limité.
Cette histoire est le lot quotidien des aspirants créateurs-constructeurs, confrontés à la dure réalité de l’usine à rêves automobile…, ces vampires autoproclamés à la fortune indéterminée, à la fois égocentriques sans recul et dictatocrates manquant de confiance en eux, se projetant dès-lors dans le sillage du succès des autres pour se donner une consistance…
Quant aux évocations de la réalisation cataclysmique du bestiau, les fans comme les novices en seront pour leurs frais : la légende devrait pour une nouvelle fois être en deçà de la vérité rapportée…, l’énigme ne se révèlera à leurs yeux ébahis que par à-coups…, cela fait en effet plusieurs années maintenant que la GTA Spano tente de parvenir jusqu’à la commercialisation…
La crise qui perdure en Espagne n’a pas facilité la vie de l’audacieux (sic !) créateur de cette super(car)cherie qui arbore un loup comme logo…, la Spano a été conçue avant que la crise des subprimes ne vienne faire exploser l’économie espagnole…, depuis le début des années 2000, son concepteur continue tant bien que mal de peaufiner “sa” voiture afin de parvenir (gag !) à la commercialiser.
Sa Nième présentation au salon de l’automobile de Genève-2014, dans une livrée carbone et or qui la faisait ressembler à une Koenigsegg Hundra, démontrait par l’absurde qu’il n’y a plus d’espoir pour les super(cars)cheries exotiques…, cela sonnait d’ailleurs comme le tocsin pour elle, qui se définissait comme la voiture la plus rapide et la plus puissante jamais construite en Espagne (elle est aussi la plus chère puisque son tarif dépasse les 800.000 euros) !
Pour ce prix, elle est censée atteindre 350 km/h et revendique un 0 à 100 km/h en 2,9 secondes…, pour parvenir à cela, le V10 8L4 (Viper) a été amélioré (en réalité rendu beaucoup moins fiable !), via sa puissance augmentée jusqu’à 900 chevaux grâce à l’ajout de 2 turbos.
Le couple maximum de 1000 Nm est tout aussi impressionnant, surtout que l’engin ne pèse que 1.350 kg grâce à un châssis et une carrosserie en carbone (notez qu’une molette permet de réguler la puissance jusqu’à un niveau minimum de 450 chevaux)…, la boîte de vitesse 7 rapports est au choix manuelle ou automatique séquentielle dotée de palettes au volant, les coffres avant et arrière offrent 230 L de volume, le freinage est confié à des disques en carbone céramique AP racing et l’habitacle est assez large pour accueillir des personnes de plus de 2m…, hormis le fait que personne ne l’avait vraiment essayée avant Monaco-2014 !
Il y a 5 ans, lorsqu’on l’annonçait à 550.000 euros, on trouvait déjà ça cher…., mais la rumeur laissait entendre qu’elle allait être produite en petite série…, alors j’ai attendu, puis je l’ai oubliée…. et voilà que sans crier gare, elle sort du néant, ravivant mes souvenirs, car aujourd’hui, avec des Ferrari et des McLaren à plus d’un million d’euros et une Lamborghini à 3,6 millions, ce montant débile est devenu une affaire (sic !), raison pour laquelle son prix est monté à 800.000 euros !
Quelle ne fut donc pas ma surprise de croiser quatre GTA Spano (rouge, jaune, gris clair métal, gris foncé métal) dans les rues de Monaco, alors que j’avais fini par oublier cette supersportive dont la première présentation a eu lieu en 2007…
Pour cette présentation monégasque aux apparats humanitaires (gag !), le Prince aurait pu financer un festival avec fanfares et foire aux boudins…, ou alors un truc ultra expérimental, délirant, où rien ne se distingue et tout se perd…, pas ça non plus…, on est resté dans l’équilibre, les joies enfantines, où terrorisme sonore copule avec litanies faciles à chanter…, une bombe aléatoire, imprévisible et pourtant tellement logique, tellement bien agencée, qu’elle filait la frousse…, on n’en attendait pas moins de la Principauté : faire beaucoup de bien au monde en revenant mine de rien aux affaires…, la détresse de l’âme et les pleurnicheries sont sur le trone !
Oui, c’est un peu cramé…, oui, c’est épico-tragique sur-grillé…, sauf que c’est un massacre émotionnel, c’est la puissance de la déraison qui arrache le cœur, en fait des papillotes et te les enfonce bien profond dans le fignard, pour que tu puisses le sentir battre en mode tachycardie jusqu’au plus profond de tes entrailles…
L’individu à la base de cette super(car)cherie, Domingo Ochoa, est né et a grandi en Espagne, où sa passion précoce pour les icones automobiles l’a mis au ban de l’école, l’obligeant à travailler à 13 ans comme apprenti-mécanicien…, exploité sans vergogne par un carrossier-garagiste local, il se serait fait héberger par ce vieil homme désireux de coucher avec lui…, aurait été maltraité par des policiers qui l’auraient tabassé, déshabillé et relâché après deux rounds de roulette russe parce qu’il roulait sans permis.
Rebaptisé Pierre, puis Thomas et finalement Domingo, il a fui à Madrid, survivant à divers boulots indéterminés avant de rejoindre un oncle à Cadix…, émancipé de force de sa tutelle familiale, il trouvera refuge à Barcelone et y survivra tant bien que mal…, la suite est encore plus floue…, mais j’ai réussi à l’interviewer…
– Pourriez-vous en dire plus sur vous et votre GTA Spano ?
– Je ne parla po très mal le Francese et prie vous d’excusare el mauvaise nexpression de mia ma volonté de mon texte dit de vous à vous de moi.
– Allez-y, au stade ou j’en suisse tout autant que vous, personne ne s’arrèttera à ce genre de détails !
– Avec la GTA Spano nous sommes en ligne avec la performance et l’esthétique exceptionnelle en fonction du marché où nous nous dirigeons, en plus d’être un pas en avant dans la technologie appliquée, avec des caractéristiques de différenciation importants tels que châssis léger l’aérospatiale et le système de construction avec la mise en œuvre de titane miel peigne en tant que composant de pointe qui pèse près de la moitié l’ensemble de notre concurrence. De plus, aucun d’entre eux dispose d’un toit de notre performance, vous permettant d’aller complètement transparent comme un cabriolet sans se sentir mauvais temps ou couverte d’un toit conventionnel, avec les avantages qu’elle apporte à la conduite. Le système de construction aérospatiale avec l’application de titane en nid d’abeille permet au châssis GTA Spano malgré que près de la moitié de toute compétition de véhicules. Nos parasols sont également électronique, éclipsant la façade en verre de nos yeux quand nous avons surpris le soleil, et c’est à des années lumière des plastiques vulgaires utilisés par toutes les voitures dans le monde pour éviter le problème courant de la conduite. Nos pilotes avec éclairage intégré dans les cristaux sont également un tout nouveau monde, comme l’électronique qui gère l’ensemble du véhicule, ce qui nous permet de contrôler la voiture n’importe où dans le monde où vous êtes, et d’interagir avec elle, pour éviter d’endommager ou effectuer le service. beaucoup de gens ignorent encore ces caractéristiques de notre voiture, mais nos clients sont très conscients de cela, et apprécient beaucoup, parce que non seulement ont un avantages esthétiques accord, mais les technologies ont appliqué loin…
– Combien de personnes travaillent sur le développement de votre GTA Spano ?
– 25 personnes travaillent actuellement et j’embauche du personnel ainsi que dans un an environ 100 personnes travaillent sur ce projet.
– Dans quelle mesure avez-vous dû modifier votre idée initiale jusqu’à ce qui est maintenant la GTA Spano ?
– D’une manière générale, nous avons construit la Spano que nous avons compris au début, seulement nous améliorons tous les processus et détails et beaucoup plus implementándole technologie de qualité beaucoup plus élevé et de ses composantes au cours de la phase de tests et d’améliorations de produits. Nous concevons, développons et construisons l’ensemble de la voiture en pleine nos installations. La seule chose qu’il ne fabrique pas mais nous assembler le moteur et les autres composants, tels que la boîte de vitesses, les freins, l’embrayage et d’autres petites pièces. Tout le reste, nous fabriquons nous pleinement avec certaines entreprises spécialisées subsidiaires qui ont moins de trente minutes de nos installations et nous avons fait quelques emplois spécifiques.
– La fabrication est-elle effectivement presque complète dans votre atelier ?
– Eh bien oui, nous avons reçu une demande pour des couleurs ou des finitions à l’intérieur avec une étrange détail, mais rien de ce qui peut être extrêmement flashy ou que nous avons un moyen de communication temps. Nous devons maintenir une certaine discrétion avec nos clients. Nous entamons actuellement la production des premières unités livrées aux clients, un record, alors nous ferons seulement quatre ans après le dépôt du projet. En règle générale, les grandes usines prennent de six à sept ans pour concevoir, développer et lancer la production de leurs modèles, nous sommes donc très heureux. Cette année, nous allons livrer les premières unités, nous allons entrer dans la moyenne vingt-cinq unités par an, ce qui est notre objectif.
– Etes-vous réellement occupé a préparer une version de course de la GTA Spano ?
– Eh bien, ne pas écarter l’idée que la plupart des ingénieurs et du personnel GTA ont formé dans la concurrence, et tout le monde reçoit beaucoup de l’idée ne concurrencent la Spano, surtout quand nous sommes très convaincus de l’énorme potentiel dont il dispose. Tout le monde nous attire beaucoup l’idée de courir la Spano, surtout quand nous sommes très convaincus du grand potentiel qui a.
– Avez-vous prévu la fabrication de nouveaux modèles ?
– Notre stratégie d’affaires est de produire des séries limitées de modèles exclusifs, et bien sûr vous arrive de Spano certaines versions, comme le cabriolet, qui va construire plus d’unités courant Spano est limitée à 99 unités. Le modèle de la série finale Spano sera une version “R” qui dépasse largement 1000 chevaux et ira à déguster sur des circuits ou des événements privés.
– Compte tenu de la situation économique et financière actuelle, quel est votre avenir ?
– Eh bien, c’est une décision que nous avons reportée à plusieurs reprises, que nous avons des accords économiques fermes principalement des pays du Golfe persan, mais aussi longtemps que nous restons en Espagne, qui est notre objectif, même si nous avons connu des retards dans notre croissance en raison du manque de financement souffrir entreprises en Espagne, mais nous savons que nous pouvons vous aider et donner l’exemple à d’autres entrepreneurs en Espagne de sorte que dans l’avenir, le tissu industriel espagnol est plus fort et aider la reprise de l’Espagne. Notre produit est vendu indépendamment de l’endroit où il est fabriqué, qui, malgré la mauvaise situation économique en Europe, notre objectif a toujours été de fabriquer ici. Je donne beaucoup de conseils qui permettrait d’éviter beaucoup d’ennuis et surtout beaucoup de pertes de temps et d’argent que les entrepreneurs n’ont pas à perdre, la vérité est que je pourrais faire une expérience pour expliquer la vie de nombreux nouveaux investisseurs d’épargner beaucoup d’erreurs et de perte de temps, et chaque fois que quelqu’un appelle-moi parler, je tiens à participer et expliquer mon expérience élaboration d’un projet de ce genre en Espagne. Je peux vous donner de nombreux conseils qui permettraient d’éviter beaucoup d’ennuis et surtout beaucoup de pertes de temps et d’argent que les entrepreneurs n’ont pas à perdre. Nous devons encore changer beaucoup d’idées fausses dans ce pays au sujet de notre capacité et surtout apprécier beaucoup la nôtre évaluée dans d’autres pays.
– Au début, quand vous avez sorti les premiers rendus graphiques, après un an sans nouvelles, le public a commencé à se méfier de vous ! Les soupçons sont qu’un grand nombre de projets de ce genre finissent par rester sur le papier. Que pensez-vous ?
– La clé de ce projet est le groupe de personnes dans GTA , vous avez été au courant de sa capacité depuis le début, et ont travaillé et lutté contre tout et tout le monde sait que nous faisions quelque chose de bien et très bon, et Nous n’allions pas laisser quelque chose ou quelqu’un arrêter sa faire de ce rêve, c’est désormais aussi le rêve et la fierté de beaucoup la réalité espagnole.
– Luis Valero, ancien PDG de ANFAC , a été récemment nommé Secrétaire Général de l’Industrie. Pensez-vous que cette nomination permettra de stimuler l’industrie automobile en Espagne?
– Les entrepreneurs et les propriétaires de petites entreprises, nous sommes conditionnés aux fluctuations du marché et la seule chose que je demande, c’est que Luis Valero regarder vers le bas, et les valeurs qui le secteur de la production en Espagne sont des PME et des indépendants. Le gouvernement précédent ne soutenu et fixé dans les grandes entreprises, mais qui est de 10% du travail de l’Espagne estimée, le reste a été abandonné. J’espère que quelque chose change maintenant. La chose la plus difficile a été de réaliser de la façon dont le monde d’un autre point de vue, et les choses que j’ai apprises en tant qu’entrepreneur dans un pays qui parle de l’esprit d’entreprise, mais qui ne met pas les moyens adéquats pour soutenir les actions d’entreprises industrielles. Les gens qui regardent les nouvelles, ils n’ont aucune idée de comment tout cela fonctionne réellement.
Ni les changements impromptus, ni les directeurs successifs, ni son incapacité chronique à retenir les solutions les plus simples, ni les incessants problèmes de continuité qu’une équipe effarée ne manque pas de lui souligner beaucoup plus souvent qu’à son goût…, n’empèchent que la GTA Spano est un naufrage d’un bout à l’autre, son capitaine un bidouilleur lunatique espionnant ses ouvriers qu’il regarde chaque jour jusqu’en fin d’après-midi, quitte à arriver systématiquement quatre heures en avance sur tout le monde.
Avalé dans la nébuleuse d’un mystère plus gros que lui, Domingo Ochoa, sait qu’il risque de vivre dans cette folie jusqu’à son dernier souffle…, il se sait condamné, et nous regarde de l’autre côté des barreaux de sa fabrique d’illusions perdues, les yeux gonflés d’espoir.
Plus de dix ans de développement plus tard, la voici enfin en démonstration sur la route…, esthétiquement la Spano fait son petit effet, les designers ne sont pas tombés dans la surenchère : l’angle le plus intéressant demeure le profil très arrondi qui laisse deviner la forme de la monocoque faite d’un alliage mêlant carbone, titane et kevlar, un procédé proche de celui utilisé par Pagani pour la Huayra qui garantit légèreté et rigidité…, pourtant, les tensions sont telles que la vitre passager n’a pas résisté au passage sur un ralentisseur…, pourtant je roulais à une vitesse adaptée.
Une fois les portières ouvertes, première déception, la finition de l’auto n’est clairement pas à la hauteur : joints de portes ballants, alcantara et cuir flottants…, les divers plastiques d’une qualité très discutable ne sauvent pas la mise…, tout n’est pourtant pas négatif : la GTA offre un toit panoramique en cristaux-liquide qui permet de moduler son opacité.., une idée qui modifie réellement l’atmosphère à bord selon le mode choisi !
Le premier contact avec le volant en cuir et carbone fut très agréable…, la ballade effectuée en ville le fut beaucoup moins : la Spano n’y étant clairement pas dans son milieu naturel…, à bas régime la mécanique n’est pas à l’aise et les suspensions sont beaucoup trop rigides pour offrir un confort décent aux occupants…, une fois la célèbre route de la Turbie atteinte, les choses sérieuses commencent.., mais, malgré ce que la fiche technique laisse présumer, l’accélération n’est étonnamment pas des plus brutales…, ca pousse certes, mais rien de vraiment impressionnant au regard de la production actuelle…, les sensations sont à chercher ailleurs : notamment au niveau du train arrière qui a la désagréable tendance à se dérober dès que l’on sollicite la puissance…, aucune assistance électronique si ce n’est un contrôle de traction…
Je ne m’hasarderais pas à le déconnecter, la route étant propice aux changements de rapports…, mais à ce jeu la transmission séquentielle manuelle s’est avèrée des plus amusantes…, rempli d’enthousiasme je me suis toutefois retrouvé à devoir solliciter fortement le système de frein en carbone-céramique…, chaque pression sur la pédale étant un coup dans l’estomac.
La GTA Spano ne manque pas d’ambition…, cependant le modèle que j’ai eu entre les mains ne m’a pas convaincu : elle est à la traîne en comparaison des standards du moment…, en cause notamment trop d’imperfections techniques et une finition qui laisse à désirer…., mais elle n’est cependant pas une sportive désagréable, loin d’être une lutte permanente, sa conduite requiert toutefois la plus grande attention que l’on aurait parfois tendance à oublier au volant des références actuelles quasi-parfaites.
La Spano est certes intéressante mais ses performances et la qualité de sa conception ne justifient clairement pas le prix de 800.000 euros…, il n’y a qu’à regarder une Pagani pour s’en convaincre…, si on rajoute à cela une image de marque inexistante et un développement qui n’est vraisemblablement pas tout à fait abouti, j’ai un peu de mal à cerner la clientèle visée par l’entreprise espagnole.
Il faut parfois faire bien gaffe aux commentaires peu avares en superlatifs… et en comparaisons parfois ubuesques dans un enfumage total…, si l’on est rarement à l’abri d’une mauvaise surprise (je suis déjà tombé sur tellement de conneries que je suisse blasé), on est parfois plutôt bien manipulé via des souvenirs que l’on a tous, emmêlés dans notre cortex, mélangeant rémanences mélancoliques,et escapades mentales martelées par des plaisirs cachés sous le lit.
Quand je repense à mes longues nuits passées à me noyer dans le sommeil pour oublier cet essai pendant que mon ange-protecteur se tapait des crises d’épilepsie en voyant ce à quoi je pensais… et bien sachez que le délire neurasthénique qui me hante depuis que j’ai roulé en GTA Spano…, me rendant compte que c’était une bagnole de branleur rachitique à la ramasse…, c’est comme me passer du papier de verre sur les couilles en regardant un film d’horreur avec un transsexuel qui chie sur mes lunettes 3d…, c’est une objection de conscience, un cocktail Molotov balancé en pleine face…, j’ai même eu l’impression de me faire rouler dessus par une défoncée au crack sans permis…, absolument parfait pour se transformer en Zombie…, mais bordel, qu’est ce que ce fut jouissif !
Une autre folie Espagnole, à voir et à lire ICI : http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=493&cat=auto