2015 Rolls-Royce Phantom Drophead Coupe-Cabrio…
Le monde de l’automobile de très grand luxe, plus que tout autre, se nourrit d’idéologies qu’il porte ou révèle, tantôt miroir de la société, tantôt entreprise prosélyte. A l’instar des grands mythes fondateurs (la frontière, la destinée manifeste) l’extravagance baroque conditionne l’esprit dans lequel sont produits diverses automobiles…, de fait, certaines valeurs sont mises en avant et présentées comme sacrées et nommées d’appellations étranges comme si ces engins venaient d’un au-delà fantasmagorique !
Comme toutes les Rolls Royce destinées à des sur-êtres bourrés d’alcool et de problèmes philosophiques censés donner une certaine consistance à leur vie de milliardaires sans aucun intérêt pour le social, la Rolls Royce Phantom Cabriolet est généralement issue des limbes terrifiantes des dessous de tables et autres combines incluant diverses atrocités inavouables, donc jalmais avouées…Je n’en écrirai donc rien, si ce n’est qu’elle a un style qui oscille entre un premier degré hilarant et la caricature pathétique de ses intentions consuméristes.
Ca fait un bail, donc un moment, qu’on est saoulé par ce genre de vision massacrant notre terrestre engeance…
Ce qu’on peut déjà concéder à cet engin hallucinant, c’est qu’il a quand même un peu plus de gueule qu’une Mercedes familiale dont le design est une caractérisation du luxe bourgeois à la truelle…
C’est un peu comme si un mécréant perdu dans l’équipe des ingénieurs irresponsables de sa création, avait profité d’un dimanche matin pour shooter les plans de base dans le dos des responsables, surement plus occupés à accomplir quelques génuflexions qu’à se demander comment penser correctement ce qu’ils ont sur le papier, avec son lot d’envolées pompières ou il faut (Je reconnais toutefois aux Mercedes quelques qualités techniques, certaines ne sont vraiment pas dégueu et quelques unes, frappent justes au portefeuille)…
Cette Rolls Royce doit également composer avec un lot de détails complètement foutraques à force d’accumuler diverses incohérences de design… mais ce ne sont pas vraiment les raisons qui font de cette automobile extraordinaire une beauté tellement hallucinée qu’elle en devient une magnifique horreur… presque détestable… De toutes façons, cette voiture ayant été créée pour le bonheur de l’Humanité, elle ne peut pas nous faire du mal..
Avant le destin funeste qui l’emportera, elle sait, en attente de cette fin, faire amende honorable car elle ne s’attarde bien sûr pas sur la vulgaire populace (la vulgate), n’ayant que faire du ramassis de clochards dégénérés qu’elle croise (souvent) entre deux palaces hors de prix. Reste a vous causer de mon périple (grotesque) au volant de cet engin, car, emporté par ma passion, je me suis déchu pour l’amour de l’inhumanité dont la profonde inculture sur les différents anecdotes que ressassent les quelques grandes superstitions qui dirigent le monde est rédhibitoire.
A Monaco, les tunnels ont la couleur de l’or et l’on y croise des Rolls nacrées qui y roulent comme des boules de bowling lâchées dans un immense bidet de marbre, attirées par la gravité, le stupre et la flanelle qui se dandine sous l’air du large… Le ciel y est bleu et les diamants brillent aux lobes de veuves empapaoutées comme des iguanes laqués, autochtones esseulées au milieu de lampées de touristes blêmis par leur long voyage, venus vérifier que tout est beau et bien astiqué, que tout feule sur des boudins d’air pur à valves plaquées or, venus voir si tout est plus cher alors que rien ne l’est vraiment.
C’est plutôt la foisonnante disponibilité de toutes ces choses qui brillent qui attire ce magma perpétuel de terriens contreplaqués dans des villes-dortoirs du monde entier, qui y déambulent comme une délégation de pingouins de la banquise viendrait visiter un sauna aux Baléares… Mais… à dire/écrire vrai (ce qui est un mensonge)… je n’ai pas spécialement l’envie de donner l’impression d’en faire partie, venant là, parfois, comme en mai, en tant que moi-même (en personne) pour m’imprégner du suc revigorant coulant de divers vagins dilatés d’envies lubriques (à ma vue, je précise) lors de chaque Grand Prix historique de Monaco, soulignant aux ignares que je suisse à moi seul (bis) l’irresponsable-responsable du seul site de désinformations (sic !) automobiles qui ne reçoit pas de pub…
Le Grand Prix historique, est une partouze de milliardaires sans légitimité aucune par rapport au Grand Prix normal, mais qui coûte beaucoup moins cher au péquin moyen (moi, toi, vous) et permet de remplir les terrasses de touristes venus voir si tout est cher…, des beaufs qui consultent les cartes-menus une main sur leur sac comme si on allait leur aspirer leur porte-monnaie avec des tapirs lubriques avant de se dire que finalement c’est à peine plus cher qu’ailleurs sur la Côte d’Azur où ils ont posé leurs bagages…
Cher, quand même…, il suffit d’aller boire un sirop à Suippes pour s’en convaincre…, mais avant d’aller sniffer, pieusement, quelques beautés passagères (c’est un putain de double-sens), j’ai résolu de ne plus rouler en voiturette Smart pour échapper aux services fiscaux planétaires, mais en Rolls-Royce Phantom Cabrio. Pour la payer, je déambulais avec l’air le plus con possible, tenant (fermement) dans ma main gauche (un zeste de citron politique) une mallette bourrée de billets de 500 euros…, ma face (avant) transpirant (il faisait chaud) car craignant d’être poursuivi à la fois par des fiscards enragés ET par des hordes de mafiosis armés dans des grosses Maserati gris fumé !…
Du côté de la Condamine dans une rue jaune en pente, deux flics étaient en planque dans une Citroën C5 verte…, ce fut la première chose que j’ai vue en arrivant…, puis une grosse Audi avec marqué “Chopard” dessus s’est arrêtée énergiquement quelques mètres devant moi… et deux gars en jaillirent avec l’air de savoir pourquoi…
-Mouette 22 du central, Mouette 22 du central !
-Transmettez.
-Alors ça dit quoi ?
-Rien pour l’instant, la cible circule avec une mallette et une grosse Audi avec écrit Chopard dessus s’est arrêtée énergiquement quelques mètres devant lui…
-Scriptif ?
-Quatre grands, costauds…
J’arrivai plus bas, à pieds, à l’héliport…, lieu ou devait se dérouler l’échange…, il me fallait paraître affairé et surtout, pressé, voire désagréable, fuyant, peu disert…, un peu comme le bouillon houleux ce jour là. Mon objectif bis était de fendre des dizaines de corpulences empaquetées dans des costumes de fonction à 1200$ le bout, effleurer les proéminences des chargeurs de flingues drapés sous les tissus soyeux, infiltrer mon plus mince profil entre les sardines de plus en plus épaisses à mesure que je m’approchais de la mer éclatante et de la terrasse blanche, éblouissante, qui m’éclatait tellement la rétine que je fonçais tête baissée sur le marbre de Carrare s’en m’en apercevoir. Les grosses sardines, fallait que je les pousse avec agacement parce que j’étais encore plus puissant et énervé qu’eux…, encore plus chelou qu’eux, les requins suivaient, en attente…
-Ah les petits malins…, surveiller cette affaire avec 4 flingueurs sécuritaires dans une Audi avec marqué “Chopard” dessus…
Mon objectif de base et principal souci consistait a échanger cette mallette contre une Rolls-Royce Phantom Cabrio, tel que discuté la veille…, c’était sécurisé, vingt ou trente mecs de la sécurité du rocher veillaient au grain… L’appréhension que j’éprouvais à l’idée que ma vie dépende d’un rendez-vous stupide était une source d’émotion bandatoire qui se voyait nettement à mon entrejambe, suscitant l’admiration béate des femmes que je croisais…
-Central de Mouette 22 !
-Transmettez !
-Signalons second véhicule identique au premier avec quatre autres grands costauds.
-Ah les petits malins !
-Demandons renfort pour filature des deux véhicules.
-Du renfort en cette journée de Grand Prix ça va être compliqué Mouette 22… Attente…
Les derniers zébus s’écartèrent à mon passage comme des branches sous la bourrasque…, le ciel de la côte d’Azur brillait sur mes Ray-Ban…, je n’eus qu’à tendre le bras…, ils me regardèrent, raides et immobiles, plantés là comme des éoliennes sans pales sous trop-plein de champignons mexicains….
-C’est cette bagnole ?… que j’ai dit en tendant la mallette…
-Oui, la seule disponible sur le rocher…
-J’aurais aimé la même en jaune avec intérieur rouge…
Trois-tons jaillis d’un klaxon cucaracha résonnèrent dans toute la rue…, d’où je me trouvais, je l’entendis aussi (sic !), mais j’avais autre chose à faire qu’à m’y consacrer pleinement. Je me trouvai nez à nez avec une Rolls-Royce Phantom grise cabriolet à deux portes dont celle du conducteur m’ouvrait grand les bras…, j’hésitai…., normalement pas, mais dans ce cas oui…, la couleur muraille ne m’inspirait pas…
-On pourrait la repeindre ?
-Montez, elle est à vous telle quelle !
Plus le choix…, il m’a fallut un dixième de seconde de réflexion afin de faire un point : Quoi faire d’un tel char d’assaut à Monaco, finalement ?
Ce n’était absolument pas le véhicule pratique auquel j’avais songé de prime abord…, j’étais désormais ultra-repérable dans cette principauté qui brille de mille feux.
-C’est bon… ai-je murmuré…
-Ah bon, quand même !
Une grande blonde du genre à faire fantasmer les frigoristes qui font du hockey sur glace en division 3 est alors venue s’installer sur le siège passager.
-Bonjour, je viens pour…
-Ah ça m’étonnerait, parce que mes goûts sont autres… et ensuite…
-Rebonjour…
-On va où va-t-on ?
-Dans l’idéal il faudrait que vous me déposiez à l’hôtel…
-J’ai déjà loupé deux courses, je me demande ce que je vais raconter sur les avant-guerre…
-Pourtant vous bandez !
-Quel est le rapport ?
-1000 euros l’après-midi, 2000 jusque demain…
Me voilà vernis comme un iguane roulant à travers la Principauté déchaînée où filent et refilent plein de voitures toutes énervées… et où gesticulent des agents qui nous font signe…, où que nous allions…, un hélico survolait si bassement le rocher que je croyais qu’il allait se fracasser dessus…, un vent de panique souffla en même temps que le vrai… qui fit soudain s’envoler chapeaux et ombrelles…, des grosses Audi avec marqué Chopard dessus remontaient les files de bus à toute allure mais la police ne s’en souciait guère, ni de nous d’ailleurs…
-On va aller dans un coin plus tranquille…
A ce moment, une C5 vert turquoise me barra la route, deux mecs en jaillirent.
-Police de Monaco, veuillez couper le contact s’il vous plaît, il est à vous le véhicule ?
-Oui, je viens de l’acheter, il était en vente sur Le Bon Coin d’ailleurs, s’il vous intéresse on peut négocier…
-Et votre amie, là, elle est en règle ?
-Je n’ai pas encore regardé…
-Il y a eu des coups de feu tirés dans une rue tout à l’heure à la Condamine, ça ne vous dit rien ?
-Non, du tout…
-On vous a vu vous arrêter et klaxonner…
-Avec le Grand Prix, on entend pas grand chose !
-Soyez précis…
-Des coups de feu vous dites ?
-Il y a quoi dans le coffre ? On peut voir ? Vous avez une immunité diplomatique ? Non ? Alors on peut voir…
Le coffre contenait tout un tas de documents…, cela n’intéressait absolument pas la police de Monaco.
-Bonne route.
Durant ma nuit de rêve, seul en compagnie d’un lit splendide dans un quatre étoiles de la rade de Villefranche sur Mer (et aucun élément publiable sur le Grand Prix historique désormais achevé en poche), j’ai, en cauchemar, pris l’autoroute et traversé les centaines de tunnels de la Ligurie qui rencontrent parfois des zones d’air libre, furtivement, histoire d’être sûr qu’il en reste, avant qu’une mésaventure survienne, annihilant toute auto-érection matinale…, quelque chose d’anormal…, quelque chose d’atypique et ennuyeux m’a sauté en pleine figure : on m’avait volé la porte avant gauche de la Rolls-Royce Phantom ! Je me demandais si j’en étais certain, mais je pouvais effectivement passer de la station débout dehors, à la station assise dans l’auto en un mouvement…, une panique neuronale face à l’imprévu me fit même envisager un quart de seconde que la porte ait pu tomber toute seule, quelque part dans mon lit…
– Ils n’oseraient quand même pas mettre sur le marché des voitures aussi mal assemblées…
Je me surpris à ouvrir un œil dans le noir profond de la nuit…, tentant de recueillir des témoignages auprès éventuels fantômes qui me prirent pour un fou…, on me l’avait pourtant proprement démontée, sans laisser traîner le moindre boulon ni la moindre rondelle…, en même pas dix minutes…, ne pouvant me résoudre à rouler sans porte, je gagnai Rapallo en stop, dans un vieux Ford Transit avec un Afro-Milanais (mi-Afro mi-Lanais quoi…) Je me rendis chez un loueur en précisant que je ne voulais pas de Maserati Quattroporte, je ne sais pourquoi…, de toutes façons elle est moche…., il me proposa une Ferrari rouge très arrogante, un odieux SUV allemand ou une Citroën C3 de secours : au secours ! Je choisis donc la C3 mais lorsque je tournai la clé dans le contact, la moitié du tableau de bord vint avec… et même la moitié de toute la voiture…, finalement, je traversai la rue et sautai dans un train pour Florence qui passait justement par là. Je m’assis en face d’une Suissesse qui s’appelait Valentina et qui n’arrêtait pas de me regarder…, mourant d’envie de me parler…, de me demander un truc précis.
-Excusez-moi…
Elle portait une sorte d’ensemble à carreaux orné de foulards de soie et d’or qui brille et des cheveux très clairs et très fins empaquetés les uns les autres avec des tiges en ivoire et sentait la même chose que sentirait la salle de bains du deuxième étage d’une maison de maître à Zürich ou à Soleure, à ce point bilingue qu’il était impossible de déterminer si elle venait de Suisse Alémanique ou non… et sans doute trop, beaucoup trop spirituelle et cultivée pour rester assise dans un train sans rien dire. Suspendue à ma réponse derrière ses très fines lunettes à la surface desquelles défilaient les collines de la Toscane diaphane, je lui répondis d’une onomatopée assortie d’un regard à la Lino Ventura.
-Plait-il ?
Ragaillardie, elle reprit aussitôt. :
-Je pense que les murs de votre chambre sont couleur Terre de Sienne…
-Heu… Oui, c’est exact.
-Vous ne croyez pas que cela influe sur votre sommeil ?
-Heu… Mais comment connaissez-vous la couleur des murs de ma chambre ?
-Je vous ai analysé…
-Ah…
-Oui, à cause de vos chaussures…
-Ah ?
-Vous êtes relativement bien habillé mais vos chaussures…, elles ont quel âge ?
-Hé bien… Je l’ignore…, quelques années…
-Nonobstant vos efforts, vous n’êtes pas du tout porté sur le paraître, vous vous habillez ainsi tous les jours j’imagine ?
-Heu…
-Vous êtes journaliste ?
-Editeur…, vous savez, toute science humaine a ses limites…
-Je contemple votre pénis érigé comme la Tour de Pise, en mourant d’envie de vous demander un truc précis…, je suis curieuse, j’aimerais bien savoir ce qu’il y a dedans…
-Un corps caverneux…
-Oh. Ca me plaît.
-Ah bon ?
-Hé oui. Et je dois le prendre comment ?
-Je ne sais pas, entre vos doigts me semble le plus indiqué…
-Je ne suis pas voyante extralucide…
-Vous vous débrouillez bien…, dites-moi, vous pensez que je vais rester célibataire longtemps ?
-Oui…
-Ah !
-Moi aussi je voudrais vous poser une question.
-Je ne suis pas aussi doué que vous pour les réponses mais je ferai de mon mieux.
-Comment savez-vous que je m’appelle Valentina ?
-Hé bien…, mais… je l’ai pensé dans mon rêve… et comment savez-vous que je sais que vous vous appelez Valentina ?
-Je sais que vous l’avez pensé ! Quel point précis vous a fait savoir que je m’appelais Valentina ? Essayez de vous souvenir.
-Je pense que c’est la couleur de votre ensemble. Et le fond de teint que vous utilisez. Vous avez une tête à vous appeler Valentina. Je suis sur que vous venez de Soleure ou de Zürich.
-Ma mère est de Soleure, mon père de Zürich.
-Ah !
-Continuez.
-Hé bien… Je ne sais pas…
-Vous savez très bien. Plongez-vous, laissez-vous aller, souvenez-vous…
-De quoi ?
-De moi.
-De vous quand ?
-Appelez-moi si vous avez besoin d’aide.
-C’est gentil, mais je n’ai pas votre numéro.
-Si vous en avez besoin, vous l’aurez.
J’ai alors décidé de partir à Londres, j’avais envie de pluie et de froid…, monter vers le nord pour cause de descendre si bas dans le pathétique des clowns en quête de piécettes, révèle par trop l’image du cirque automobile qui continue d’offrir des parapluies publicitaires en cadeaux de dix sous aux journaleux qui sans chiens écrasés à raconter vivraient la misère ! Réveillé, je me suis précipité au parking et constaté qu’on avait remis la porte de la Rolls-Royce en place…, du coup, j’ai fait trois fois le tour du patelin…,
Parti sans numéro de téléphone, insoucieux de mon métabolisme, j’allais bientôt me faire repérer à tourner en rond dans cette zone artisanale déserte un samedi matin peu avant midi…, j’allais surtout repartir comme un con toujours en érection matinale, sans avoir joui… Il est vrai que quand on connaît le dessous des cartes, truquées, ce qui est publié (et ce n’est pas qu’en automobile) n’est qu’un fourre-tout misérable de lèche-culs et bottes, destiné à perdurer un système qui a trompé tout le monde, ruiné les espoirs et saccagé la planète sous l’étendard des vanités…
L’histoire de l’automobile, n’est qu’une suite de souffrances ayant toutes abouti à des redressements judiciaires, des escroqueries et des faillites (comme Tucker, Bricklin, DeLorean), voire à des disparitions complètes (la liste est longue comme un jour sans pain : Duesenberg, Pierce-Arrow, Bugatti, Hispano-Suiza et des centaines d’autres marques de prestige)… Même les grands noms ont du se faire aider, refinancer ou se sont fait absorber (Ferrari, Lamborghini, Maserati, Jaguar, Rolls-Royce, Bentley)…, tandis que la totalité des petits constructeurs tous plus arrogants les uns que les autres (Excalibur, Clénet, DeLaChapelle, Vector, sans oublier les kit-cars), se sont ramassés la gueule plus bas que terre…, c’est catastrophe au milieu du strass et des paillettes éphémères.
Voilà…, fin (provisoire) de cet épisode !
@ pluche !