Après la 1978 Vector W2, voici la 2018 Vaydor Premier Motorworkz…
La Vector était une automobile futuriste et fantasmagorique créée par Jerry Wiegert, un américain de souches diverses, qui prétendait l’avoir développée par passion pour offrir (au prix fort) l’expérience et l’usage (très restreint) d’une voiture exotique qui serait la meilleure voiture de sport de l’univers…, américaine de surcroit !
Un seul être nous manque et tout est dépeuplé ; je crois que c’est par force d’habitude ; les « Vectoriens » et les « Vectoriennes » ont toujours besoin de sa présence, comme on a besoin d’un radiateur d’appoint l’hiver, en période de disette pétrolière…, il est complémentaire… et que voulez-vous que j’y fasse ?
Sa connerie pleine de bon sens, ses mufleries sur fond de tendresse, aidaient les rêveurs à exister, parce que la vie manquait de premiers secours dans les années ’70/’80, on s’agonisait alors à qui mieux mieux, impitoyablement, tant tellement les autres constructeurs de pitreries paraissaient minables et qu’encore plus ils étaient minables pour tout les autres, chiens et chats, charognes en tout genre, champions du croche-pied, salopes de partout, bilieux, aigrards, pourris !
Les gens amateurs de conneries, se rendent l’existence inabordable, jusqu’à la mort… et encore après jusqu’à l’oubli qui vient très vite ; Jerry Wiegert, le grand créateur de la Vector, il n’en finissait pas de prendre son parti sans laisser d’adresse, qu’à quoi bon une adresse, puisque personne ne songeait plus vers la fin de ses cauchemars à communiquer avec lui… et pour dire quoi ?
Jerry Wiegert avait le don de parole d’évangile, mais pas de parole d’honneur, quoi que les gens en pensent, ces tristets…, et que la parole, la vraie, ne peut servir qu’à soliloquer, monologuer, se branler l’âme en peine, quelle horreur, vive le silence intégral…
La Vaydor est une automobile futuriste et fantasmagorique créée par le designer Matthew McEntegart, un américain de souches diverses, qui prétend l’avoir développée pour offrir (au prix fort) l’expérience et l’usage (très restreint) d’une voiture exotique sans que son prix soit celui d’une authentique voiture exotique…
Le nom Vaydor a été créé pour aider à prêter à confusion avec Vector, histoire de récupérer les rêveurs pas encore morts d’en cauchemarder et d’en collectionner tout ce qui porte ce saint-nom…
Premier Motorworkz est le nom de la “fabrique” (l’atelier-usine) ou sont fabriquées les Vaydor, avec l’expérience (toute relative) :
– des expertises automobiles improbables des propriétaires de cette entreprise aléatoire…
– de leur restauration (inévitables)…
– d’applications automobiles personnalisées (l’art de recopier des voitures existantes)…,
Mais pour diverses raisons obscures, Mike Vetter est également accroché à Vaydor, quoiqu’il s’occupe plus particulièrement de fabriquer sa Vetter-Slash dont j’ai également publié un article : https://www.gatsbyonline.com/automobile/vetter-slash-418287/
Toutes ces “choses” servent à développer (et sans cesse améliorer) la plate-forme (le châssis) de la Vaydor pour pouvoir délivrer une automobile complètement finie (ou presque), prête à rouler (jusqu’où ?) après que d’intrépides clients aient payés un prix stupéfiant (dont beaucoup s’acquittent en cash grâce à la commercialisation de produits qui le sont encore plus) ce qui leur permet d’avoir le droit de tourner une clé dans le barillet ad-hoc de la Vaydor et la conduire vers l’absolu infini…
Cette voiture est en effet construite sur la base de l’Infiniti G35…, en d’autres termes, c’est un kit plastique de carrosserie positionné sur le soubassement de l’Infiniti G35…, le résultat étant un Kit-Car d’allure exotique dénommé “Vaydor”.
Le processus de construction prend plus d’un an… et la Vaydor a toujours le moteur standard de l’Infiniti G35 (V6 3.5L 280 chevaux), mais, à la demande de l’acquéreur (infortuné), une mécanique plus puissante nécessitant de multiples (et très couteuses) modifications du châssis, des trains roulants et mille autres points…, par un Chevrolet LS3 de Corvette (V8 6.2L 500 chevaux).
Dans les deux cas, mais surtout dans le second…, vous devenez un délinquant… et si vous vous amusez à utiliser les documents d’immatriculation d’une voiture fantôme déjà à votre nom, ou si vous continuez à utiliser ceux de l’Infiniti G35 déjà immatriculée idem (à votre nom) vous devenez un Hors-la-loi, un criminel potentiel en regard du Droit Français (ou de quelques autres pays d’Europe si vous en seriez ressortissant) pour falsifications de documents, fausses déclarations, faux et usage de faux, mise en circulation d’un véhicule trafiqué ne répondant pas aux normes légales et j’en passe…
Et si par inadvertance ou par un malencontreux hasard vous tuez une brave vieille Mamie qui revient du supermarché avec son cabas, ou un enfant qui se rendait à l’école, ou une travailleuse sous-payée qui revenait de son boulot (sous payé) en vélo ou scooter…, vous deviendrez un assassin-criminel, un salaud, un ennemi du peuple Français…
Lisez les 9 pages du Parlement Européen concernant les Kit-Cars…
Matthew McEntegart et ses sbires, dont Mike Vetter qui s’est lançé en solo dans la construction de la Vetter-Slash… outre qu’ils n’en ont strictement rien à f… de vous et de l’Europe et de la Franchouille, ne sont pas comme nous, ils sont américains…
Attention, il ne s’agit pas là de lancer un débat oiseux sur la non appartenance de ces “génies” du plastique à l’Europe, et de leur non-respect des lois, codes et conventions…, mais bien de constater qu’une schizophrénie rampante semble “belle et bien” perturber occasionnellement les esprits dans leur pays qui fait la guerre au monde entier.
Les mythes “ancestraux”enfouis de la légende Américaine (tous inventés), qui resurgissent périodiquement tels de monstrueuses pépites difformes (souvent en cause d’Hollywood et ses films propagandistes), n’ont en effet pas fini de perturber les cauchemars des imbéciles parmis les lobotomotisés les plus pervers.
Depuis le 11 septembre 2001, il est acquis que les USA sont déviants… et les présidents qui s’y succèdent dans des parodies d’élection “démocratiques”… sont tous nantis du charisme de bateleurs sévissant sur les marchés populaires…, brouillant ce talent inné d’escrocs-cow-boys par des éclairs de démence qui en font tous (en ce compris une évincée nommée Klinton) un mélange inédit de salopards absolus dont le grotesque total n’abolit pas le réel talent de menteurs et manipulateurs !
Dans ce contexte, toutes les entreprises américaines sont devenues de même…, le gouvernement se prétendant défenseur des valeurs sacrées…, ce qui est totalement mensonger, abominablement vil, épouvantablement crapuleux, misérablement pervers et apocalyptiquement malsain venant d’un peuple qui :
– a massacré les Amérindiens autochtones dans une sorte d’holocauste “Shoahssique” infernal…
– a vécu de l’esclavage humain des noirs d’Afrique, importés en masse dans “le pays de la liberté”…
– a déclaré la guerre à tout le monde (Europe comprise)…
– a poussé le Japon à la guerre suite à un blocus de toutes ses ressources indispensables…
– a atomisé deux villes civiles du Japon après avoir bombardé diverses villes Allemandes uniquement peuplées de civils avec des tapis de bombes incendiaires (particulièrement Dresde)…
– a fait de même dans divers pays du monde (Corée, Vietnam, divers pays d’Amérique du sud, d’Afrique et du Moyen-Orient, dont la Syrie dernièrement…
– a financé de fausses révolutions, orchestré des coups d’états, assassiné des milliers d’opposants, manipulé quantité d’élections…
– a contribué à détruire une population et protégé un état-cancer qui fait fi de toutes les lois internationales… et vient de bombarder un état souverain pour les mêmes raisons que les USA utilisent depuis toujours, le cynisme total !
La liste est interminable, c’est faramineux et ne fait que prouver la profondeur insondable de l’œuvre d’un “Nouvel Ordre Mondial” qui dicte ses volontés au monde mis à sa botte (dont l’Europe)… Tout cela fait comprendre aux plus obtus que l’histoire est un fleuve de boue et de sang sans fin, pas même limité par l’intellect humain…
On passe, parce qu’on ne fait que passer nous même…, c’est le but que personne ne puisse s’apercevoir de rien avant d’être à deux doigts de mourir…
Pour “essayer” la Vaydor (appréciez que ce nom ressemble à Vector afin de kidnapper les acquéreurs potentiels qui ont rêvé sur l’autre)…, j’avais eu la (malencontreuse idée) de me laisser embarquer dans la fameuse histoire des amis qui ont des amis d’amis qui ont un ami qui connaît le propriétaire d’une voiture…
Cela m’apparaissait utile, puisque Matthew McEntegart n’avait consenti qu’à me montrer brièvement sa Vaydor et à ne m’en faire qu’un essai limité…, alors que je voulais avoir l’avis d’un véritable utilisateur.
J’en ai trouvé un, en la personne d’Abdull Gemmelek, un joueur professionnel de football “à l’anglaise”, un sport pas vraiment hyper populaire aux USA ou les beaufs lobotomisés préfèrent le Foot-Ricain qui s’apparente plus à du Catch-Boxing-Rugbyrisé…
Mais que m’importait…, sauf que j’ai du me farcir un vrai match de Foot ou Abdull Gemmelek, un serbo-croate américanisé par un mariage avec une native indienne elle-même issue d’un mariage entre une fille de l’Alaska et un noir de Harlem… était propriétaire d’une Vaydor, suite à l’utilisation d’une voiture de cette marque dans un des derniers épisodes du cycle-cinématographique “Batman”…
Je l’ai contacté, il m’a fait parvenir des tickets d’entrée à un grand-match… et j’y suis allé au péril de ma vie…
J’ai pieusement conservé la retranscription de mes commentaires, pour la postérité, que je vous livre ci-après en première mondiale (je n’ai pas eu le droit de publier des photos de ce match car j’ai refusé de payer les 45.000 US$ exigés pour un set de 6 photos “officielles”)…
Le stade est quasi vide, dans la tribune officielle, l’ambassadeur de la Croatie, ceint du grand Cordon de chanvre de l’ordre de la rédemption universelle, voisine avec le secrétaire principal du secrétaire adjoint au vice-sous-secrétaire d’Etat délégué au secrétariat des Sports de Californie.
Soudain, ovation : les deux équipes font leur entrée sur le terrain.
L’équipe du club local porte le maillot de l’équipe du club local et, fait unique dans les annales (me dit-on comme un fait important), celle de l’université de la ville voisine porte le maillot de la dite université….
Pour les non-initiés, je crois bon d’en rappeler les couleurs : culotte rose à bande rose, maillot cerclé de rose et rose…, les joueurs sont de solides gaillards qui se caractérisent par des vésicules, une sécrétion séreuse et une desquamation, c’est vous dire !
Aussitôt, la musique des pompiers locaux attaque l’hymne national.
Les deux chefs d’équipe échangent des fanions et des poignées de main en attendant d’échanger des coups de pied.
L’arbitre lance une pièce de monnaie, la perd dans l’herbe, en lance une autre (la fédération locale est riche) et c’est le capitaine du club local qui a le choix…, il prend le coté droit, lequel se trouve à gauche de la tribune d’en face…, la foule est survoltée.
– J’ai idée qu’on va assister à une sacrée rencontre, dit mon voisin que je n’ai jamais vu… Sur qui que tu paries mon gars ?
Je n’ai pas le temps de répondre par une boutade, le coup d’envoi est donné…., aussitôt l’équipe locale prend le meilleur, comme disent les comptes rendus sportifs…, il faut voir cette envolée, les gars !
Truc-Muche passe la balle à Machin, qui la passe à Trouduc, qui dribble Gemmelek (le proprio de la Vaydor)… et descend vers les buts adverses.
– Il va marquer un essai, prophétise mon voisin.
– Impossible !
– Ah oui ! Et pourquoi ?
– Parce que ces gens-là jouent au football et pas au rugby.
– Fotebal ou rugueby, dit-il, quelle différence y a, à part le ballon ?
Mais il se tait…, la phase de jeu est décisive…, aujourd’hui, l’équipe locale parait être en état de grâce…, un nain connu d’ici (mais pas de moi) vient de feinter un joueur adverse, et de faire une passe à un Yabon Banania, ce dernier plaçant ensuite un coup de pied retourné ce qui catapulte sa chaussure mal lacée qui, arrivant sur la frime du goal, fait partir celui-ci sur la tête d’une spectatrice qui tombe inanimée…
L’arbitre siffle…, la foule trépigne.
On fait respirer une substance illicite au goal…, ça le ranime illico…, on essaye avec la spectatrice, mais elle reste inerte, une personne fait un signe en passant sa main sur sa gorge…, elle est décédée “pour le sport”…, le goal opine du bonnet, crache, ramasse le ballon et dégage très loin, au-delà de “la ligne médiocre”…
Cette fois, les gars de l’équipe universitaire réagissent…, superbe combinaison de je ne sais qui… un kiki qui lance à un autre qui passe à un autre autre qui envoie à je ne sais qui… qui kikiki dit bonjour à l’arbitre (qu’il n’avait pas encore vu de la journée) qui demande des nouvelles de sa femme qui est sa maîtresse… et c’est le but !
Le goal a été trompé par la feinte de je ne sais qui d’autre… (il l’a été aussi par sa femme, mais c’était au cours d’une autre rencontre) et l’équipe universitaire marque un premier but.
Nouvel engagement…, le stade hurle son mécontentement, certains inconnus brandissent des fanions et entonnent un chant patriotique…, le tumulte est à son comble.
Je mets mon pied sur la robe d’une dame qui ne s’en rend pas compte et qui hurle, à l’intention d’un joueur de l’équipe locale apparenté à l’assureur du frère du jardinier qui taille les rosiers de sa belle-mère : “Vas-y mon Baby-YO !” …
Une telle familiarité donne un sursaut à ce “Baby-YO”…, justement, c’est lui qui engage.
C’est maintenant le Yabon Banania qui a la baballe…, il descend au petit trot (il peut, ayant relacé sa godasse) vers la cage adverse…
A quelques encablures du rivage, il shoote en direction de son ailier droit tellement hors-jeu que s’il s’était trouvé à ce moment-là à la terrasse, il ne l’aurait pas été davantage.
La foule s’égosille, because l’arbitre n’a pas sanctionné la faute.
On le hue ! On le conspue ! On l’invective ! On le restitue ! On le destitue ! On l’insulte ! On l’accable ! On le dégrade ! On le flétrit ! On le profane ! On le déshonore ! On lui dénie le sifflet ! On le lui nie ! On le lui noue ! On le lui coupe ! Mais il semble s’en moquer, l’arbitre, autant que de son premier hamburger.
Un joueur ne joue plus, il est allongé sur le terrain, le naze dans l’herbe, il ne remue plus.
D’autres joueurs l’entourent, certains font des gestes avec les bras pour alerter les soigneurs…., je vois des zigs armés de petites valoches traverser le terrain en courant.
M’est avis que c’est grave…, on ne voit pas l’arbitre parce qu’il est entouré de populo ; mais à l’attitude des joueurs, très relaxés, on comprend que la partie ne va pas reprendre tout de suite.
Le goal du club local se met à tricoter son filet.
L’arrière gauche du club universitaire réclame un jeu de cartes pour montrer un tour au gars qui le marque. et ce dernier demande s’il ne pourrait pas faire une passe après la partie (car c’est la première fois qu’il vient ici (ses rencontres précédentes, il les a faites sur le trottoir de son quartier).
Sur le terrain, c’est la panique, les soigneurs gesticulent…, des flic armés jusqu’aux dents (qu’ils n’ont plus toutes) vont les rejoindre.
Quelque chose me dit que ça pourrait être intéressant…, je ne sais pas pourquoi, je vous jure…, une force obscure… et je dévale la travée jusqu’au terrain.
Merde…, je n’avais pas bien vu, c’est Abdull Gemmelek, le serbo-croate américanisé par un mariage avec une native indienne elle-même issue d’un mariage entre une fille de l’Alaska et un noir de Harlem… qui est au sol, foudroyé…, pour mon essai, c’est foutu de foutu, va me falloir me contenter de la balade à-la-con réalisée avec Matthew McEntegart…
Comment résumer plus ?
Hé bien, on ne peut pas…., sauf qu’il n’est que bien sûr possible de résumer l’intrigue, dont la méconnaissance du satanisme n’empêche pas de saisir les (très) grandes lignes…., mais l’affaire elle-même ne se raconte pas, elle se vit, comme un long voyage hallucinatoire aux confins de l’hystérie.
Cette Vaydor est donc 100% américaine, un concentré de ringardise secoué dans le shaker d’un design parkinsonien, cette “chose” repousse toutes les limites connues et imaginables de l’humainement concevable.
Elle s’avère comme étant la plus violemment débilitante que j’ai eu l’occasion de voir et d’essayer depuis très longtemps…, un ami (faux-cul quand-même) m’avait pourtant prévenu : “C’est pas très très joli, tout ça”…
Il ignorait pourtant la perversion cachée de cette Vaydor qui est un véritable coup de poing dans la gueule, un bras d’honneur intégral à toute notion de mesure et de bon goût, un assaut contre tout concept de crédibilité et de sobriété, le tout agrémenté d’une sauce quasi Hollywoodienne mal dosée.
On ne remerciera jamais assez les Américains pour leur absence de complexes : la folie n’est pas morte aux USA, elle prospère toujours !
La mondialisation économique et culturelle nous promet sans nul doute de belles années de démence : la démesure Yankee fracasse toutes les limites communément admises du non-sens.
Vu de Franchouille, les bagnoles américaines sont souvent des trésors de kitsch ; autant dire que cette Vaydor est de très très grosse envergure, pulvérisant tous les records existant réservant à chaque utilisateur une surprise lamentable après l’autre…
Qui plus est, dans la même veine que Jerry Wiegert, le Boss de la Vector, chez Vaydor le nationalisme y est outrancier et sans complexes, les dirigeants sont méchants et profèrent des “vérités” absurdes.
Attention, il convient donc de se mettre dans de bonnes dispositions d’esprit pour se mettre au volant, mais, pour peu que l’on sache l’apprécier, cela constitue un bouleversement de tous les critères artistiques et intellectuels.
J’ai terminé mon périple, pantelant et accablé, effondré par la débilité de ce que l’Amérique peut nous offrir de pire.
Une vraie expérience à part..
Concernant la Vector :
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