2021 : Lamborghini Sián-FKP-37 + Lamborghini Tecnomar-63 = 8.000.000 $ cash !
Le monde des humains les plus riches… Qu’écris-je-là ? Non, pas le monde, mais l’Univers global des inhumains les plus riches… Je ne puis en effet être/paraitre mesquin en tant qu’organe (orgasme) de presse erectile (érectionnable) satirique le plus sulfureux, déjanté, caustique, classe, snob et politiquement incorrect de toute la francophonie mondiale ! Il me faut en effet être et présenter l’unique en tout, réservé à des gens “induplicables”, intelligents, déjantés, caustiques, amers, désabusés, humoristes, épicuriens, baroudeurs, satyres et satiriques, aimant la vie, les automobiles, les bateaux, les avions et les femmes extraordinaires… Rien que ça ! D’ailleurs un prix facial-mag’de 10 euros et un abonnement du premier mois à 0,99 euro, ce n’est pas assez chers, c’est minable… La honte ! Bref !
Selon une étude savante d’il y a un mois classifiant les êtres inhumains les plus fortunés de l’univers connu en 2021, les plus riches ont augmenté leurs fortunes personnelles alors que le monde entier des pauvres ploucs traîne-misère, se retrouvait coincé et confiné dans une pandémie mondiale organisée, dont il, vous et moi, ne sommes toujours pas sorti deux ans après le départ de cette mascarade et dont au moins 90% des humains, selon les instructions définies aux divers “Davos”, doit disparaitre… Rassurez-vous, les morts du Covid sont les morts de la généralité naturelle par le biais de calculs volontairement faux et tronqués ! Ce Barnum crapuleux que certains qualifient de nouvel Holocauste, donne l’impression que ça ne fonctionne finalement pas bien, que les “rebuts de la société” qui devaient décéder et disparaitre afin que la planète réservée aux seuls milliardaires survive…
Ben non ! Ils résistent malgré les multiples tentatives d’éradications… Mais, surprise, en fait, personne ne sait où sont les morts annoncés du Covid ni où se trouvent les centres de réanimation engorgés… Ils ont disparu par manque d’existence et de crédibilité, malgré des menaces d’amendes gigantesques sur base d’obligations nazifiantes illégales calquées sur l’Inquisition moyenâgeuse… Mais, en réalité cachée, le coup d’arnaque à fonctionné en sourdine et se compte en dizaines de milliards de dollars de profits ! Il suffisait entre-autres calculs d’acheter des actions de laboratoires pharmaceutiques et le les vendre aux affairistes retardataires… Simplissime !
Le Top 3 des plus riches de l’univers pèse plus de 500 milliards d’euros ! Dans le Top 3 du classement “Forbes” des milliardaires 2021, on trouve désormais Bernard Arnault, patron et fondateur de LVMH, qui pèse la bagatelle de 150 milliards de dollars et se retrouve à la troisième place du classement. Il n’est dépassé que par Elon Musk et ses 151 milliards de dollars et Jeff Bezos avec 177 milliards (calculez qu’un milliard c’est mille millions et que certaines personnes divorcées/rejetées ne disposent que d’une pension de réversion de 291,03€uros par mois en 2021. Je conçois qu’elles ne liront jamais cet article, sauf un homme qui m’a touché par sa détresse de ne plus avoir les moyens de me lire ni sur Gatsby “papier” ni sur GatsbyOnline et à qui j’ai fait ouvrir mes portes et qui m’a remercié en m’envoyant une bouteille de Gigondas Cécile Chassagne… Waouhh merci Didier ! Voilà ou nous en sommes
Il est plus qu’intéressant de comparer les richesses d’avant Covid de ces mêmes milliardaires. Ainsi, Bernard Arnault, toujours 3e du classement des milliardaires de Forbes, n’avait avant Covid, qu’une fortune de 76 milliards qui a donc doublé : 74 milliards en un an ! Jeff Bezos en comparaison n’a vu sa richesse augmenter que de 64 milliards. Le grand gagnant étant Elon Musk le fondateur de Tesla (dont il s’est accaparé du nom sans payer quoi que ce soit) et SpaceX, passé d’une fortune de 24 milliards à 150 milliards, soit 126 milliards de plus ! Si on continue le classement “Forbes” des milliardaires 2021 on trouve Bill Gates en bonne place qui a énormément investi dans les laboratoires pharmaceutiques de vaccins (124 milliards), Mark Zuckerberg dont Facebook traque n’importe qui ose écrire que le Covid et les vaccins sont un plan d’éradication (97 milliards)… Puis Warren Buffett, Larry Ellison, Larry Page, Sergey Brin et Mukesh Ambani, qui tous ont des fortunes supérieures à 80 milliards de dollars. Mais combien ont-il gagné en 2020 grace à la pandémie ?
Simple : 26 milliards pour Gates, 42,3 milliards pour Zuckerberg, 28,5 milliards pour Buffett, 34 milliards pour Ellison, 41 milliards pour Page, 40 milliards pour Brin, tandis que pour Ambani, en dehors du Top 20 d’avril 2020, sa fortune a au moins augmenté de 45 milliards de dollars en un an. Pour le seul Top 10 des milliardaires, selon Forbes, leur fortune, par suite du Covid19 et ses fumistes vaccins, a augmenté en un an de 520 milliards de dollars, soit pratiquement 5 fois le montant du plan de relance du gouvernement français. Et on parle bien d’augmentation de leur fortune, pas de leur fortune dans sa globalité.
Le comble du surréalisme est qu’aucun d’entre-eux n’est abonné à Gatsby, ni “papier”, ni “numérique”, ni “web-site, mais qu’un de mes fidèles lecteurs : Didier qui adore mes articles et en est “Fan”, n’avait plus les moyens de dépenser en abonnement à Gatsby le peu qu’il avait encore ! Je lui ai offert un “Pass” et il m’en a remercié en m’envoyant un bon vin ! C’était très émouvant. D’autant plus que j’offre des articles “somptuaires” à divers constructeurs qui ne me remercient en rien lorsque l’article est élogieux sauf un constructeur de motos électriques qui s’est fendu d’acquérir 1 magazine pour 10 euros ! Ceci écrit, il m’arrive de payer la moitié d’un déjeuner auquel on m’a invité pour contribuer à l’équité amicale entre hommes d’affaires (ci-dessous à l’Opéra situé sur le port de Saint-Tropez avec Jean-Paul Rosette l’ancien Boss de Duchatelet) avec qui émergent des projets !…
J’en viens maintenant à Lamborghini, à Tecnomar et à Conor McGregor, un de leur client, pour tenter de comprendre comment nous pouvons toutes et tous être si crétins et amorphes devant les actions funestes des grands de ce monde ? Après tout le Gatsby ( avouez que j’ai un air de ressemblance avec mon Polo turquoise ci-dessus) du roman qui côtoie les grandes fortunes, est assassiné par un garagiste dont la femme a été accidentellement tuée par une riche pimbêche fortunée envers qui l’amour de Gatsby lui est quasi inaccessible d’une vie de futilités… J’en frémi encore ! J’aurais presque pu finir de même façon… Fruit de la collaboration entre Lamborghini et The Italian Sea Group, le Tecnomar-63 avait une mission lors de sa création : devenir le Lamborghini Sián-FKP-37 des mers ! Une ambition de taille vu le bijou de performance et de technologie qu’est l’hypercar hybride produite à seulement 63 exemplaires. Il manquait un joyeux Gugusse milliardaire pour acheter cette paire de couilloneries de même couleur verte pour aider à parfaire la folie de la démesure alors que les nouvelles (2021) directives Européennes décident que ces types d’engins surmotorisés, grands consommateurs d’essence, hyper polluants, symbolisant le gaspillage des ressources, les vitesses illégales et le “politiquement-incorrect”, sont des chars de barbares voués aux gémonies et aux interdictions de toutes sortes !
Conor McGregor s’en bat les couilles qu’il a grosses et en or… Non content de sa collection de voitures de luxe, Conor McGregor a ajouté à son patrimoine motorisé ces deux pièces de choix, chacune du même vert Irlandais : un yacht Lamborghini Tecnomar-63 de 5 millions de dollars en plus d’une Lamborghini Sián-FKP37 de 3 millions de dollars ! Putain de merde ! Mais qui connasse ce gus qui sort 8 millions d’euros pour deux futilités dont tout le monde se f… sauf les branleurs et les branleuses ? En septembre 2018, McGregor a participé à la fondation de la marque de whisky Proper Twelve. Cette société a rapidement connu un énorme succès grâce à l’attrait du sportif irlandais. La société mexicaine Becle a acquis une participation de 20 %, qu’elle a rapidement portée à 50 %. Becle, qui possède également la marque de tequila Jose Cuervo, a pris le contrôle total de Proper Twelve et McGregor a ainsi récupéré 260 millions d’euros qui s’ajoutent aux 102 millions d’euros gagnés grâce à ses combats lucratifs en UFC. En plus il a perçu 22 millions d’euros d’Abu Dhabi pour “éponger” sa défaite contre Poirier, laissant supposer qu’il s’est laissé battre ! Mais par ailleurs, McGregor a gagné 120 millions d’euros grâce à son combat contre Floyd Mayweather.
Vous additionnez les chiffres et attrapez le tournis en constatant que la castagne aux poings peut rapporter bien plus que de la taule pour les “ceusses” qui ne savent pas se contrôler et y faire ! Tatatata ! Conor McGregor, 33 ans en 2021, domine largement le classement des boxeurs les mieux payés du monde avec des revenus estimés en moyenne à plus de 50 millions d’euros chaque année ! McGregor m’a évoqué sa vie, ses rêves et ses réalités de sportif le mieux payé de tout l’univers connu : “Je suis un homme très riche et les chiffres ne font qu’augmenter. Ma société de whisky après quatre ans m’a rapporté le double de mon investissement ! C’est un excellent whisky, lorsqu’il aura huit, douze ou vingt ans, la marque ne fera que s’améliorer et gagner en popularité. J’aurais donc du attendre un peu”.
Le magazine “People With Money” tenant compte des gains directs mais également des revenus issus des partenariats publicitaires, des royalties et tout autre investissement de McGregor, a calculé que ce boxeur-entrepreneur pèserait près d’un milliard d’euros. Outre ses gains professionnels gigantesques et ses sponsors tellement hyper-généreux que des doutes de rétro-commissions sont évoqués, doit officiellement son immense fortune grâce à : de judicieux placements boursiers, à un patrimoine immobilier conséquent, et à de très lucratifs contrats publicitaires, le principal étant avec les cosmétiques CoverGirl. Il possède également plusieurs restaurants à Dublin (dont la chaîne “Chez l’gros Conor”), un club de Football à Dublin, et il est également impliqué dans la mode adolescente avec sa ligne de vêtements “McGregor Séduction” ainsi que dans les parfums dont “L’eau de Conor”. Que des succès financiers !
Conor Anthony McGregor, est né le 14 juillet 1988 à Dublin, Irlande. Il est le fils de Tony et Margaret McGregor. Il a grandi à Crumlin et a fréquenté le Gaelscoil Scoil Mológa à Harold’s Cross, au niveau primaire et le Gaelcholáiste Coláiste de hÍde à Tallaght au niveau secondaire, où il aurait développé sa passion pour le sport, en jouant au football pour le Lourdes Celtic Football Club… À l’âge de 12 ans, McGregor a également commencé à boxer au Crumlin Boxing Club pour “se défendre contre les intimidateurs” et augmenter sa confiance ! Conor McGregor a commencé sa véritable carrière en 2007, à l’âge de 18 ans. Il a fait ses débuts en arts martiaux mixtes dans un combat amateur contre Kieran Campbell pour la promotion de l’Irish Ring of Truth à Dublin ou il a gagné par KO technique (TKO) au premier tour engrangeant 100.000 euros en participation des paris (truqués) organisés par la mafia locale.
Le 9 mars 2008, McGregor a eu son premier combat professionnel de MMA battant Gary Morris avec un TKO au deuxième tour et il a remporté son deuxième combat contre Mo Taylor. McGregor a ensuite remporté son 3ième combat contre Connor Dillon. En 2011 et 2012, il a connu une séquence de huit victoires consécutives, au cours desquelles il a remporté les championnats CWFC Featherweight et Lightweight, faisant de lui le premier “artiste martial mixte professionnel européen” à détenir des titres dans deux divisions simultanément. En février 2013, le président de l’UFC, Dana White, s’est rendu à Dublin, en Irlande, pour lui remettre une médaille d’or et une place (également en or) à l’Ultimate Fighting Championship. McGregor a affronté Dennis Siver le 18 janvier 2015 à l’UFC Fight Night et il a remporté le combat via TKO au deuxième tour. Ensuite en 2016, il a été officiellement annoncé que le combat de McGregor contre Eddie Alvarez pour le championnat des poids légers de l’UFC se déroulerait le 12 novembre à l’UFC ! Après avoir fait tomber Alvarez à plusieurs reprises au cours du premier tour, McGregor a réussi une combinaison de coups multiples pour arrêter son adversaire par KO technique au deuxième tour.
Quelques années parsemées de victoires plus tard, McGregor a affronté l’ancien challenger du championnat des poids légers de l’UFC, Dustin Poirier, lors d’un match revanche de leur combat de 2014 à l’UFC le 24 janvier 2021. Il a perdu le combat par KO technique au deuxième tour, marquant la première défaite par KO de sa carrière. Mais au grand-jeu des paris, il s’est avéré que McGrégor avait parié contre lui et donc raflé la mise ! Conor McGregor s’est ensuite fait remarquer pour des frasques extra-sportives, il a tenté de prendre et détruire le smartphone d’un fan en début d’année pour une photo compromettante (sic !). Il a aussi évité de justesse la prison après avoir frappé un homme dans un bar de Dublin qui lui disait que c’était un gros connard ! Une année agitée qui ne l’a pas empêché de gagner beaucoup d’argent qui rassemble 1°l’accord signé entre lui et la chaîne de télé américaine ESPN, 2°des partenariats publicitaires et 3°des placements boursiers.
Après 15 mois sans combat, opposé à Donald Cerrone, McGregor-l’Irlandais, a été déclaré vainqueur après seulement 40 secondes dans l’octogone. Une performance remarquable, et surtout très rentable pour le sportif, car le “prize-money” de l’événement était considérable : 4,4 millions d’euros avaient été budgétisés pour ce combat, qui sont donc revenus à celui qu’on surnomme “The Notorious”. En d’autres termes, McGregor a empoché la bagatelle de 110.000 euros par seconde passée dans la cage ! Un joli coup financier qui ne s’est pas arrêté là. Ses recettes liées au “pay-per-view” en Irlande, en Angleterre, en Australie et au Canada lui rapportent 70 millions d’euros par an. Si vous flippez, sachez à titre de comparaison, que son combat contre Donald Cerrone lui a rapporté 180.000 euros ! Floyd Mayweather a profité du come-back réussi de McGrégor pour annoncer une revanche. Les deux hommes se sont affrontés dans un match de boxe ou McGregor a perdu mais collecté 100 millions de dollars à son seul profit en pariant (à nouveau) contre lui-même !!!
En 2020, McGregor a été le sportif le mieux payé au monde, avec 149 millions d’euros de profits sur cette seule année en ce compris son seul vrai combat de 2020, empochant 22 millions de dollars avec sa victoire face à Donald Cerrone ! Selon Forbes, McGregor, avec ses 149 millions d’euros pour 2020, est le premier des 7 athlètes à avoir gagné plus de 70 millions d’euros en 2020. En deuxième position on retrouve le footballeur argentin Lionel Messi avec 107 millions d’euros, suivi par Cristiano Ronaldo avec 99 millions d’euros. Le quarterback des Dallas Cowboys, Dak Prescott, se place en quatrième position avec seulement 90 millions d’euros de revenus, devant la star des Lakers LeBron James qui a touché 80 millions d’euros en 2020. En sixième position le Brésilien du Paris Saint-Germain Neymar et ses 75 millions d’euros fait pâle figure de même que le petit dernier Roger Federer, bien que n’ayant disputé qu’un seul tournoi en 2020, appartient toujours au top de ce classement avec 74 millions d’euros.
Les bagnoles hors de prix sont donc élaborées pour ce type de loustic, et pas du tout pour les Bernard Arnaud & co qui ‘en ont strictement rien à f… ce qui explique qu’elles n’ont pas le look “politiquement-correct” d’une Citroën haut de gamme ou d’une Cadillac 4X4 façon Président des USA… Non le genre des bagnoles façon athlètes de cirque, boxeurs et “foootbaleux” ont le look des tutures des jeux vidéos qui sont leur passe-temps favori en complément des Bimbos de télé-réalités (des hyper-sexy’s ex-vendeuses de Carrefour et autres)… Pas de quoi s’extasier… Mais dans ce club d’hyper-friqués, les grandes stars du Rap et autres dingueries ne sont pas en reste, quoiqu’elles préfèrent les Rolls, Bentley et Maybach hyper luxueuses… J’expliquerai plus tard la troisième catégorie des milliardaires amateurs de bagnoles dites “de collection”, souvent fausses et reconstruites, qui nagent davantage dans le grand panier de crabes des subtilités fiscales ! Chacun son gâteau !
J’en arrive donc (enfin) à la Lamborghini Sián-FKP-37 et au Lamborghini Tecnomar-63 achetés cash 8.000.000 $ environ par McGrégor ! Pour mieux déceler leur lien de parenté, les deux engins ont enfilé le même habillage en fibre de carbone et le même vert métallique, tirant vers l’or. En termes de dimensions, le Tecnomar 63 n’est pas exactement ce que l’on peut appeler un poids-plume : 24 tonnes pour 19 mètres de long. Pour propulser une telle machine, rien de tel qu’un moteur V12 de 2000 chevaux ! Conor McGregor a annoncé la nouvelle sur son compte Instagram : “Mes nouveaux jouets sont prêts”, a-t-il sobrement annoncé : “Tous les deux aux couleurs de mon Irlande natale”. Elles sont “si chères” à ses yeux, d’autant plus qu’il possède aussi quelques Rolex dans ces coloris !
La Sián FKP 37 est la première Lamborghini supersportive alimentée par un V12 hybride basé sur des supercondensateurs ! La puissance du moteur V12 associé à un turbo électrique (!) donnent naissance à un bijou d’ingénierie et de technologie qui coute une fortune en euros et en temps d’attente des pièces, s’il tombe en panne. Pourtant “Sián” veut dire “éclair” dans le dialecte de Bologne, cela soulignant notamment sa vitesse dépassant 350 km/h, pas le temps nécessaire aux multiples réparations… Le design de la Huracán EVO prétend introduire des solutions aérodynamiques sophistiquées tout en restant fidèle au design emblématique de Lamborghini… Pffffffff ! C’est la vue d’un esprit dérangé par les jeux vidéo japonais ! C’est en fait une automobile type de “Cannonbaaleurs”…
À l’intérieur de la Lamborghini Sián FKP 37, le luxe de l’artisanat italo-indien (Hindou ?) fusionne avec une technologie ultra complexe (volontairement ?) et le confort rudimentaire de luxe pour masochiste friqué. En effet, les intérieurs ne sont pas étudiés pour offrir une expérience de conduite optimale mais une sensation d’accélération riche en adrénaline ! L’innovation la plus extraordinaire est le système architectural-mild-hybrid incluant un supercondensateur lithium-ion invisible qui serait trois fois plus puissant qu’une batterie classique du même poids qui vaut 200 fois moins… Il s’agit en fait d’un système à basse tension de 48 Volts atteignant des pointes de courant allant jusqu’à 600 A. Alimenté par ce courant, le moteur électrique envoie le couple moteur directement aux roues arrière et, au freinage, il exploite l’inertie pour recharger le supercondensateur, d’un flux de puissance électrique symétrique !
La chaleur produite étant pire que l’échappement d’un Dragster, des volets d’aération autonomes thermosensibles sont toutefois présents sur la partie arrière du capot moteur. Ils sont actionnés par des déflecteurs s’ouvrant de manière autonome quand la température devient trop élevée, sans l’aide de commandes électriques ni de capteurs, simplement en exploitant la déformation thermique des matériaux utilisés. Avec la monocoque en carbone, les soupapes d’admission en titane, l’aérodynamique active et les roues arrière-co-directrices, la technologie de pointe est omniprésente tout comme les complications du premier système hybride au monde basé sur un supercondensateur. Pour générer un max de flouze, le véhicule a été étudié pour offrir la plus vaste gamme de personnalisations possible : des extérieurs pouvant être entièrement en carbone apparent, avec des couleurs basées sur des échantillons, des peintures dégradées et des livrées spécifiques, jusqu’aux intérieurs avec une décoration dédiée et une infinité de possibilités de combinaisons de couleurs et matériaux. Un cuir innovant “touch and feel” est également disponible.
Mode Corsa, 80km/h, deuxième vitesse. Je poinçonne l’accélérateur. Poussée instantanée de qualité militaire, et soudain, c’est le râle du mâle en plein essor d’éjaculation émis par le V12 6,5 litres qui se transforme en un cri de terreur similaire à un quidam dont on massicote les coucougnettes. Quelques mouvements rapides sur la pagaie centrale : troisième… quatrième… cinquième… La ruée frénétique de l’accélération est à peine perturbée d’une envie de pisser. Et tout à coup, je pars en crabe à 235 km / h. Oh oui, la Lamborghini Sián FKP 37 est tout et son contraire ! L’édition limitée Sián est basée sur l’Aventador avec un look extérieur redessiné exubérant qui semble avoir été stylisé pour un rôle principal dans Cyberpunk 2077. Elle emballe 602kW, ce qui en fait la Lamborghini la plus couteuse, puissante et dangereuse jamais construite ! Les ingénieurs affirment qu’elle a le meilleur rapport poids/puissance de tous les moteurs V12 Lambo et que la Sián serait capable de sprinter de 0 à 100 km/h en moins de 2,8 secondes et d’avoir une vitesse de pointe de 350 km/h. Les déclarations d’intention ne sont pas beaucoup plus puissantes que cela.
Bien que le prix soit d’un montant “farouflant” de 3,9 millions de dollars plus emmerdes, frais et taxes et que la bête est construite en nombre limité (seulement 63 coupés sortiront de Sant’Agata Bolognese et ensuite 19 Roadster prévus pour la production plus tard cette année), la Sián est tout simplement un jouet pour ultras-richos. “Avec cette voiture, nous nous sommes lancé le défi de créer la meilleure solution hybride pour une super voiture de sport Lamborghini, première étape de notre stratégie d’électrification” m’a déclaré Maurizio Reggiani, directeur technique de Lamborghini. Bien sûr, les supercars hybrides ne sont pas nouvelles : les Porsche 918, McLaren P1 et Ferrari LaFerrari sont toutes apparues en 2013, la Sián sortie actuellement est un peu en retard à la fête, mais elle apporte “le supercondensateur”. En termes simples, un supercondensateur stocke l’énergie électrique, mais contrairement à la batterie lithium-ion qui fait maintenant partie intégrante des groupes motopropulseurs hybrides construits par tout le monde, de Ferrari à Toyota, un supercondensateur ne lie pas cette énergie dans une réaction chimique. Au lieu de cela, le supercondensateur stocke l’électricité dans un état statique.
Cela signifie qu’il peut être rechargé jusqu’à 1000 fois plus rapidement et peut contenir plus de puissance qu’une batterie lithium-ion typique de la même taille. De plus, la capacité de stockage d’un supercondensateur se dégrade moins au fil du temps et il peut fonctionner à des températures extrêmes que la plupart des chimies de batterie n’aiment pas ! De plus, les supercondensateurs peuvent désormais être imprimés en 3D, ce qui les rend plus faciles à emballer dans une voiture qu’une batterie encombrante… Quel est le hic ? Il y en a plusieurs. Les supercondensateurs perdent 50 pour cent de leur charge en 30 à 40 jours, soit dix fois plus qu’une batterie lithium-ion au cours de la même période, de sorte qu’ils offrent une densité d’énergie relativement faible. Les cellules supercondensatrices ont également une tension inférieure à celles au lithium-ion. Et les supercondensateurs sont beaucoup plus chers que les batteries.
Néanmoins, Toyota a expérimenté des groupes motopropulseurs hybrides supercondensateurs et, en 2019, Tesla a dépensé 218 millions de dollars pour acquérir le fabricant de supercondensateurs Maxwell Technologies. Le supercondensateur de la Sián se trouve juste derrière les occupant(e)s téméraires et inconscients, dans la cloison entre la cabine et le compartiment moteur. Trois fois plus puissant qu’une batterie du même poids, trois fois plus léger qu’une batterie produisant la même puissance, il alimente un moteur électrique de 25 kW monté sur le côté de la transmission manuelle automatisée à sept vitesses de la Sián. Le flux axial entre le moteur et la transmission de la McLaren Artura pompe 70kW ; l’unité similaire dans la Ferrari SF90 fait 117kW… Mais le système hybride de la Sián est conçu pour une tâche très différente. Le moteur électrique n’est pas là pour l’énergie électrique, il est là simplement pour fournir un remplissage rapide du couple à des vitesses allant jusqu’à 130 km/h.
Une ruée “à donf” à travers les engrenages en mode Corsa (le plus agressif des trois modes de conduite de la Sián) m’a révélé rapidement un avantage clé du système : Fini le choc brutal façon “pelle-assénée-à-l’arrière-de-la-tête” qui est la marque de l’Aventador ! C’est le résultat de la transmission à sept vitesses n’ayant qu’un seul embrayage, ce qui nécessite l’arrêt de l’allumage pendant “les quarts d’heures d’arrêt de travail” (sic !) pour gérer les charges de couple. Au lieu de cela, la Sián glisse succinctement d’un engrenage à l’autre, même avec mon pied droit écrasant la pédale d’accélération du V12 hurlant comme un supplicié à l’agonie ! Dans ce genre de moments d’extases lubriques il faut tenir bon en espérant l’explosion sexuelle salvatrice qui a du mal a venir ! Avec l’écran tactile central, on peut voir le supercondensateur alimenter le système en énergie à chaque changement de vitesse., un régal qui m’a toutefois presque amené dans le cul d’un camion !
Même en conduite “nouille” en mode Strada, avec la transmission réglée sur automatique, la Sián se sent plus lisse que l’Aventador, plus conforme que prévu. Un ingénieur Lamborghini m’a dit que le système rendait la Sián plus de 10% plus rapide dans les vitesses inférieures que l’Aventador SVJ non hybride, augmentant la force de traction de 10 pour cent en troisième vitesse et rasant 2 centièmes de seconde du temps d’accélération de 30 km/h à 60 km/h… “Dans les vitesses supérieures, le moteur électrique augmente la force de traction de plus de 20%, permettant de gagner 1,2 seconde du temps d’accélération de 70 km/h à 120 km/h”. C’est légèrement plus sophistiqué que l’Aventador, mais la conduite est tendue, fatigante et sans compromis, la direction est charnue et directe. C’est brut et plus fatiguant que n’importe quelle Ferrari moderne à 12 cylindres : les ingénieurs du châssis de Maurizio Reggiani ont peut-être composé un parfum de menace plus fort que celui qui se cachait autrefois dans la Murcielago (et la Diablo), mais, avec ce moteur et cette transmission derrière, c’est une voiture vicieuse qu’on doit traiter avec plus de respect qu’une Ferrari 812 Superfast.
Le cœur et l’âme de cette Lamborghini restent ce glorieux V12 à aspiration naturelle. Maintenant équipé de soupapes d’admission en titane, il a été modifié pour fournir 577kW à 8500rpm, la sortie la plus élevée jamais produite par un moteur Lamborghini. Le système hybride n’a rien fait pour diminuer la sensibilité de la réponse de l’accélérateur du V12 à grande vitesse, ni sa bande sonore hargneuse, crépitante, choc qui inspire davantage la crainte que le respect. La Sián est trop caricaturale en particulier dans sa couleur vert satin Verde Gea avec jantes dorées et des lignes diagonales s’étendant vers l’arrière jusqu’à la pelle avant qui font écho au graphisme avant de la Countach, en ce compris le toit qui rappelle le tunnel “periscopio” qu’était le rétroviseur central de la Countach d’origine.
Une aile pleine largeur nichée dans la carrosserie arrière avec des bords extérieurs affleurant avec les ailettes des protections arrière qui tranchent vers le bas jusqu’au diffuseur arrière ajoutent au design “Goldorak” ! Les quatre petites languettes dans la carrosserie entre le bord de fuite du capot moteur et le bord d’attaque de l’aile sont des aubes de refroidissement actives qui s’ouvrent automatiquement pour fournir une ventilation supplémentaire lorsqu’elles détectent des températures élevées dans le compartiment moteur. Bien qu’il y ait beaucoup de morceaux et de pièces de récupération puisées dans les stocks en surplus de l’Aventador, des panneaux redessinés sur les portes, un tableau de bord légèrement recontourné avec des garnitures différentes et une nouvelle console centrale avec moins d’interrupteurs et un écran tactile au format portrait, confèrent à la cabine de la Sián, une ambiance luxueuse de l’âge spatial.
Autre nouveauté, un petit panneau de verre électrochrome dans le toit qui bascule entre opaque et clair en appuyant simplement sur un bouton. Les pièces les plus cool à l’intérieur de la Sián, cependant, sont probablement les quatre bouches d’aération dans le tableau de bord. Ils n’ont pas l’air spéciaux, mais ce qui est spécial, c’est la façon dont ils sont fabriqués. Ils sont imprimés en 3D, tout comme le bouchon de carburant. Une technologie largement utilisée en Formule 1, l’impression 3D offrant aux constructeurs automobiles comme Lamborghini la possibilité de fabriquer des composants personnalisés à faibles volumes sans avoir besoin d’outillage coûteux.
Vous pourriez me soutenir que le système hybride supercondensateur de la Lamborghini Sián nettoie simplement les problèmes de maniabilité qui affligent l’Aventador en raison de sa transmission manuelle automatisée à embrayage unique, mais vous ne soutiendrez jamais cela parce que vous n’avez jamais possédé ni conduit cette voiture. Alors que le remplacement de l’Aventador a été repoussé à 2024, au milieu de vraies questions quant à savoir si son charismatique et passionnant V12 de 6,5 litres à aspiration naturelle est capable d’atteindre de nouveaux objectifs d’émissions et de consommation de carburant, la Sián pose une question fondamentale sur l’avenir du constructeur de supercars le plus extravagant et le plus extrême d’Italie : une supercar hybride peut-elle être une vraie Lamborghini ? Ne vous méprenez pas, la Lamborghini Sián est incontestablement un pas timide vers l’électrification pour une entreprise qui a bâti sa réputation sur de gros moteurs à combustion interne puissants et bruyants. Mais c’est prometteur, en effet.
Je passe maintenant au Tecnomar… Très souvent, en particulier chez les concessionnaires automobiles, vous pouvez trouver des accessoires ou des vêtements portant le logo des fabricants les plus célèbres au monde, tels que, par exemple, Ferrari, Lamborghini ou Mercedes-Benz. Tout ce merchandising contribue à fidéliser la clientèle et, bien sûr, à augmenter les revenus de l’entreprise. Cependant, la gamme des marques automobiles va bien au-delà des T-shirts, des chapeaux ou des porte-clés, comme le montrent les yachts créés par ces marques (ou avec leur collaboration). Développé par Tecnomar, avec la contribution du Lamborghini Style Center, le Lamborghini 63 s’inspire de la Lamborghini Siàn FKP 37, la super voiture de sport hybride décrite en ce début d’article, avec un design radical, de nombreuses peintures de coque et nombres de détails personnalisés. Ce yacht n’est toutefois pas qu’un simple exercice de style et de design reprenant deux éléments de base du concept : vitesse et légèreté.
“Le Lamborghini 63 est un yacht à moteur qui, j’en suis sûr, deviendra une icône futuriste comme la voiture de laquelle il est inspiré. Des propriétaires sélectionnés dans le monde entier posséderont non seulement le yacht à moteur Tecnomar le plus rapide de la flotte, mais aussi un Tecnomar unique pour Lamborghini 63” m’a expliqué Giovanni Costantino, PDG de The Italian Sea Group. Le design extérieur se caractérise par une silhouette super sportive, avant-gardiste et hors de tout schéma typiquement nautique. La superstructure repose sur une coque extrêmement performante conçue par une équipe d’ingénieurs navals spécialisés dans l’étude de l’hydrodynamique. Ils font ainsi revivre de manière contemporaine les lignes historiques créées par Marcello Gandini pour les voitures emblématiques Lamborghini Miura et Countach des années 1960 et 1970. Le T-top rigide s’inspire des modèles de roadster Lamborghini, et garantit des performances aérodynamiques surprenantes et en même temps une protection contre le soleil et le vent. Les phares avant étant un hommage au concept-car Terzo Millennium et à la Lamborghini Sián FKP 37, signature distinctive des styles Lamborghini.
L’inspiration automobile propose des éléments emblématiques de Lamborghini, tels que des hexagones et des lignes épurées. Les couleurs et les matériaux sont, enfin, 100 % personnalisables grâce au programme Ad Personam. Le tableau de bord rappelle celui d’un cockpit automobile, mais dans une version nautique. Tous les systèmes de navigation et de surveillance sont entièrement intégrés. Comme dans la Lamborghini super sportive, il y a aussi les détails en fibre de carbone, notamment avec l’utilisation du Carbon Skin dans les sièges super sport et le volant. Enfin, le bouton incontournable “start & stop” (présent sur le yacht en deux unités, une par moteur) est exactement le même que celui qui démarre la super sport Lamborghini Sián .
Grâce à la présence de deux moteurs MAN V12-2000HP (4000 Chevaux au total), le bateau est capable d’atteindre 60 nœuds et s’avère être ainsi le bateau le plus rapide de la flotte Tecnomar de l’Italian Sa Group, capable de répondre aux besoins des collectionneurs (sic) et de ceux qui aiment profiter de l’expérience de la mer ! L’utilisation de la fibre de carbone, un élément typique des voitures Lamborghini, garantit son classement dans la gamme des bateaux ultra-légers avec un poids maximum de 24 tonnes pour 63 pieds de longueur.
Le yacht “Tecnomar for Lamborghini 63” est disponible en trois versions d’aménagements principales :
VERSION LOUNGE : Le concept est un open, fonctionnel et essentiel, avec une cuisine entièrement équipée, une cabine avec des rangements, un grand espace ouvert avec des canapés et une armoire. Enfin, il dispose d’une la salle de bain privée pour le propriétaire pour préserver l’intimité.
VERSION 1 CABINE : Il conserve le design et le style de la version lounge. La cuisine est séparée de la zone avant, permettant ainsi d’avoir un lit king size à l’avant. La cabine avant est donc équipée de grands espaces et d’une salle de bain propriétaire dédiée.
VERSION 2 CABINES : La solution idéale pour optimiser l’espace et avoir le meilleur du confort. On y trouve deux cabines indépendantes. La cabine propriétaire avec son très grand lit maintient un niveau de confort digne d’un super hôtel de luxe. La cabine d’invité a été créée pour accueillir un couple d’amis ou deux enfants grâce à la possibilité d’avoir deux couchages séparés, qui peuvent être réunis en un grand lit king size. La salle de bain commune a des espaces importants avec de nombreux rangements et une douche de rêve.
Les moteurs Lamborghini ont longtemps servi de groupes propulseurs aux puissants bateaux de courses off-shore comme les Tullio Abbate, par exemple. Aujourd’hui, c’est surtout le design anguleux des bolides italiens qui inspirent les passionnés de vitesse sur l’eau. Le chantier naval The Italian Sea Group s’est donc rapproché du “centro stile” Lamborghini, en lorgnant sur la silhouette de la Sian hybride de 819 chevaux, afin de créer le “Tecnomar for Lamborghini 63”. Les plus férus de culture automobile sachant qui le chiffre 63 fait référence à l’année de fondation de la marque Lamborghini, en 1963 donc !
Ainsi ce bateau racé construit en grande partie en carbone, reprend tous les codes stylistiques des dernières productions Lamborghini, à commencer par une silhouette profilée avec des angles acérés, taillés pour la grande vitesse. Le résultat s’avère époustouflant : un long bateau pointu de 12,8 m doté de deux moteurs diesel V 12 MAN de 2000 chevaux chacun. De quoi permettre à ce speed-boat d’atteindre 60 noeuds, c’est-à-dire l’allure absolument démentielle de 110 km/h sur l’eau.
Avantage de ce partenariat auto-bateau qui n’est pas donné à tout le monde (cf Officina Armare ou le A88 GranSport), le nom de Lamborghini figure en bonne place sur la plage arrière et sur le volant. A bord de cette vedette une dizaine de convives peuvent trouver à s’assoir, et disposent de toutes les commodités indispensables pour passer une belle journée en mer (WC, douche d’eau douce, bain de soleil…). Mieux, la cabine peut même offrir une grande couchette afin que les plus déluré(e)s puissent passer une nuit d’amour à bord. Tout ça après avoir déboursé entre deux et cinq millions d’euros selon les finitions choisies…