2022 Cadillac InnerSpace Thingamajing…
Sous sa modernité, la Cadillac InnerSpace 2022 est sournoisement (et sexuellement) Rétro Futuriste ! A cette fin, pour marquer l’esprit du public américain, une des premières photos d’accroches destinées aux présentations et informations-presse de la General-Motors, a été réalisée le 27 novembre 2021 sur le pont de Bixby Creek, en arc en béton armé, situé sur la côte de Big-Sur, en Californie, à 190 km au sud de San Francisco et 21 km au sud de Carmel-by-the-Sea, dans le comté de Monterey. Inauguré le 27 novembre 1932, il permet depuis cette date à la California State Route 1 de franchir Bixby Creek… et c’est cela qui permet actuellement à Général Motors (exactement 89 ans après l’inauguration du pont), de fêter cette sorte de commémoration opportuniste d’anniversaire, conjointement à la pré-présentation de la Cadillac InnerSpace 2022 ! Cette re-création d’un pont Rétro Futuriste sur le pont (appréciez mon trait d’esprit) fut ainsi l’occasion (ratée car il eut été logique de fêter un centenaire, ce qui n’était évidement pas possible) pour les Pontes de GM de se “spermettre” de jouir de leurs complexes circonvolutions dans l’InnerSpacing ! Ce gag est “tombé à l’eau” et l’idée du Boss de la GM enterrée suite aux remarques journalistiques d’une évidente discordance de l’Espace-Temps. Il manquait plus de 11 ans lors de la photo ! J’en ai toutefois retrouvé une !
Cadillac a ensuite mis “tout le paquet” dans une présentation en mars 2022, de son InnerSpace surnommée “Thingamajing”, avec des acteurs/mannequins chinois, en même temps qu’une sacrée paire de c…oncepts de véhicules autonomes. Le trio étant présenté comme étant l’évolution de la “Thingamajig N°1”, celle en forme de grille-pain de l’année dernière ! Mais présenter “La reine des Américaines de luxe”, qu’est la Cadillac, avec des chinoiseries alentours, a semblé être un acte mal conçu… En réalité, plaire au 1% du 1% du 1%… du marché américain n’est plus une priorité pour GM-Cadillac… Non pas qu’il y a là quelque chose de mal à cela, les américains riches aimant les voitures américaines ainsi que les robots-sexuels ! Non ! L’explication qui est venue directement aux esprits (torturés) fut que la Cadillac InnerSpace était effectivement une automobile-robot-sexuel ayant la forme et la destination d’un très grand coupé de luxe entièrement électrique et autonome, quoiqu’il ne se conduit pas normalement, car il s’auto-conduit vers une éternité supposée en offrant des vibrations sexuelles, textuelles et informaticielles, à revendre. Mais alors ? Quelle était donc le fond de cette histoire ?
Cela m’a paru intriguant… et soudain j’ai eu l’illumination de la raison de ces chinoiseries, parvenant à découvrir la cible visée par Cadillac pour fourguer ses bestiaux de même façon qu’on débite les beaufs en politique et les bœufs aux abattoirs… Ce qui présuppose qu’il fallait avant-tout donner aux cibles visées l’envie (si pas le besoin auto-créé) d’acquérir cette chose… La cible c’est le marché chinois… La base du commerce c’est d’aller où se trouve le pognon
et les “ceusses” qui le crée et le possède. Alors que Cadillac-GM cherche à réduire la voilure sur le marché américain avec le projet Pinnacle, l’arrivée de nouveaux produits ET l’ouverture d’une nouvelle usine à Shanghai ET le triplement du nombre de concessions, ne laissent pas de doute sur les intentions de Cadillac sur le marché chinois. Le futur de la marque de luxe américaine passe par l’Empire du Milieu ! Eureka et illumination !
Cadillac n’abandonnera pas son marché domestique Yankee pour autant puisque les nouveautés chinoises seront aussi commercialisées sur le marché américain pour les classes moyennes plus avares et moins fortunées quoique les résultats de ces deux dernières années ne sont guère encourageants. À son pic des années ’70? Cadillac écoulait annuellement 347.000 voitures aux Etats Unis. En 2016, c’est tombé à moins de la moitié, soit 170.006 ont trouvé acquéreurs. En 2021 tout a encore chuté en limite de 100.000 Cadillac vendues “à l’arrache”... Donc, depuis quelques années, pour survivre, Cadillac vise la Chine, ce qui explique que Uncle’Joe Biden est si poli-gentil, totalement pute, parfaitement cow-boy escroc, avec la Chine.
Contrairement aux marques premium européennes, le constructeur américain n’avait jamais eu de réelles ambitions sur le plan international et s’est longtemps limité à son marché domestique. Sous les assauts répétés des constructeurs européens et japonais, Cadillac s’est fait rogner ses parts de marché à tel point qu’en 2016 aux USA, Mercedes y a vendu deux fois plus de voitures (374.000) que Cadillac (170.006). Chaque année étant pire, le mot d’ordre fut alors de viser le marché Chinois “à l’américaine” c’est à dire en créant un max d’embrouilles et chausse-trapes envers “ces connards d’Européens visant la vente de Françaises en Chine”… General Motors avait la partie facilitée par le fait que les “bouffeurs de fromages qui puent” avaient élu Président un jeune super connard gérontophile, juste bon à laisser brader toute l’industrie à qui paye avec rétro-commissions via des off-shores…
Qui plus est le p’tit coq gaulois leur est apparu comme facilement illuminable, s’enflammant pour diverses déviations (en plus de sa gérontophilie) que les sévices secrets Yankees et Israéliens ont peu à peu collecté pour obtenir ses faveurs en échange de leur silence à l’appui de quelques dessous de table. Les USA sont des “fouteurs de merde” spécialistes en scénarii bien couillus ! Coincer un p’tit jeune ado qui a 15 ans, entre-autres choses inavouables, baisait sa Maîtresse d’école de presque 50 ans plus âgée, c’était une aubaine… La France est habituée, la dernière épouse du Président Sarkozy avait été l’amante de tout le show-business… et l’autre Président, celui “comme tout le monde”, allait baiser sa maîtresse, actrice porno, casqué en scooter ! Notez que les USA sont eux aussi des baiseurs de première mais de manière plus financière, c’est-à-dire plus rentable : par exemple ils ont obligé l’industrie automobile Française à se saborder en Iran qui représentait presque 50% de son chiffre d’affaire, puis à reprendre la partie Opel de GM-Allemagne en déconfiture, pour profiter ensuite de la déglingue organisée pour la jouer en bourse en doublant la mise… Très fort !
Actuellement, Uncle-Joe à même réussi à ce que la France se tire une nouvelle balle dans le pied avec Emmanuel Macron en Jésus-Christ prêchant la morale à Vladimir Poutine et en instaurant des sanctions allant jusqu’à geler les avoirs des Oligarques Russes qui dépensaient beaucoup en France… Vous m’objecterez à raison que c’est encore plus rentable de tout leur voler sous prétexte qu’ils sont voleurs eux-même… Ouaihhh ! Il y a à boire et manger dans cette cuisine ou les dessous de tables sont plus appétissants que les dessus de table, sans “causer” des pots de vins et rétro-commissions habituelles ! L’affaire des vaccins n’ayant rien à envier à l’affaire des poisons (L’affaire éclate en 1679. Alors que les morts suspectes se multiplient, des poudres aux vertus douteuses circulent sous le manteau des courtisans et courtisanes. Le règne du Roi-Soleil bascule dans l’ombre de l’occulte)…
L’affaire des poisons fut la plus vaste affaire criminelle de ce genre de tous les temps. Poutine en comparaison est un enfant de chœur d’église ! Elle englobait d’ailleurs des pratiques de sorcellerie beaucoup plus larges. En quelques mois, de 1679 à 1680, la façade étincelante et majestueuse du règne du Grand Roi Soleil se craquèle, révélant l’envers sinistre du décor ! L’affaire des vaccins en comparaison, est évidement plus rentable et également plus mortelle… En Franchouille, affaires et politique font bon ménage jusqu’à ce que la bombe explose à la tête des coupables. Et la politique française, spécialement sous la Ve République, a toujours aimé nager dans les eaux troubles. Des Balkany à Cahuzac, des comptes Libyens à Bygmalion, les affaires et scandales ont rythmé l’actualité politique de ces dix dernières années, donnant des sueurs froides aux gouvernements successifs espérant qu’on ne découvre pas tout.
La General Motors est un géant américain, deuxième constructeur du marché chinois derrière le groupe Volkswagen. Pour eux, la France c’est litron de rouge, béret basque, baguette de pain, fromages qui puent et jolies femmes légères. En tant que Français (moi compris) on ne représente rien. Les modèles automobiles allemands sont en tête du marché Chinois et les Américaines Buick et Chevrolet (inconnues en France) sont bien plus plébiscitées par les automobilistes chinois que les Françaises. De plus, Cadillac n’est pas un nouvel entrant sur le marché Chinois puisqu’il y est arrivé il y plus de dix ans. Mais, le constructeur avait fermé les yeux sur les desideratas des clients chinois. L’échec commercial fut au rendez-vous. Mais avec la nouvelle berline CT6 et le SUV XT5, la marque premium a retenu la leçon…
Plutôt que de les importer, ils seront produits sur le sol chinois dans la nouvelle usine de Shanghai et éviteront ainsi les taxes d’importation de 25%. Pour écouler cette nouvelle production, GM met les bouchées doubles pour tripler son réseau de distribution à 900 concessions le plus rapidement possible. Les efforts paient. Si en janvier 2017, Cadillac avait vendu 18.011 voitures sur le sol chinois contre 10.298 véhicules sur le marché américain, 4 ans plus tard (2021) c’est 4 fois plus en Chine ! Le concept Cadillac InnerSpace est donc destiné à éblouir et faire rêver les chinois fortunés en continuation des concepts “Halo” de la GM, qui comprend le véhicule en forme de grille-pain susmentionné de l’année précédente nommé “Thingamajig” (vous avez enfin pigé la consonnance chinoise) et un avion électrique monoplace à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL). Les photos sont positionnées plus bas.
Je suppose que d’apprendre tout cela va vous apparaitre plutôt cool, plus encore si vous seriez un Chinois fortuné de grande taille qui va donc imaginer posséder une Cadillac pour y jouir, alors qu’en France, ce véhicule n’est vu que comme ayant la forme d’une dalle mortuaire parallélogramique qui manque de commandes traditionnelles et rassurantes : volant et pédales ! Au lieu de cela, Cadillac qui “chie à la gueule des Français”, opte pour un espace intérieur qui ressemble au pont d’un vaisseau spatial Chinois, avec un imposant écran incurvé qui englobe presque complètement les passagers. On aborde ainsi la méconduite non supervisée, spermettant toutes les facéties sexuelles auto-transmisibles même sans auto-risation préalable !
Mais bien que cela puisse sembler un pneu dangereux, Cadillac insiste sur le fait que : “l’intérieur a été conçu pour promouvoir le bien-être parmi ses client(e)s. L’électrification et la conduite autonome changeront fondamentalement le rôle des véhicules et les expériences que les client(e)s ont avec eux”. (déclaration de Bryan Nesbitt, directeur exécutif de GM pour “Global Advanced Design” et “Global Architecture Studio”. Il a ajouté (sans rire) : “Nous explorons où cela ira avec ces concepts innovants, en envisageant la mobilité comme un allié du bien-être, offrant aux clients le luxe ultime : plus de temps personnel dans les rapports intimes dans la Cadillac”... Diantre, copuler de manière déambulatoire est manifestement une évolution des mœurs !
J’ai répondu du tac-au-tac que : “Ce serait effectivement une erreur de rejeter cette Cadillac InnerSpace comme un concept de plus sans réelle chance de devenir une vraie voiture de production. Que General Motors se lance dans la production d’un gadget sexuel géant de luxe autonome est quasi une révolution”… La PDG de GM, Mary Barra, m’a répondu qu’elle n’était pas contre et que je devrais l’essayer… J’hésite encore à savoir si c’était une réponse positive à une potentielle orgie automobililesque avec elle, où si elle m’annonçait un plan visant à vendre des véhicules entièrement autonomes à des clients à partir du milieu de la décennie en cours… Je vais sonder cette histoire en profondeur !
Cadillac est susceptible de jouer un rôle important dans cet effort de “ludicités sexuellement auto-programmables” en tant que marque de luxe du constructeur automobile américain General-Motors. D’autant plus que les véhicules autonomes sont coûteux à produire, le coût des capteurs et du matériel informatique plaçant en grande partie de nombreux véhicules d’essai dans la gamme à six chiffres. Et qui aime plus les véhicules à six chiffres que les clients chinois de Cadillac ? Je ne serais pas surpris que la première à être mise en vente ait la plaque signalétique de luxe de GM en chinois sur le devant. Alors qu’on nous présente surtout des VUS électriques à travers l’industrie, il est rafraîchissant de voir une telle voiture apparaître sous forme d’étude. Mieux, on cause ici d’un coupé, un genre qui semblait aussi en voie de disparition.
Voilà pourquoi l’InnerSpace a un petit aspect “rétro-sexuel” en ce sens qu’il va un peu à contre-courant (ce qui est le comble pour une voiture électrique). Et rappelons-nous qu’au cœur des années ’60 et ’70, Cadillac offrait des versions coupé de ses modèles ; le grand luxe et la grande classe en même temps. Aujourd’hui il n’y a plus un seul instant de la vie des individus qui ne soit modelé, contaminé ou contrôlé par un “dispositif” qui se résume en “tout ce qui a, d’une façon ou d’une autre façon, la capacité de capturer, d’orienter, de déterminer, d’intercepter, de modeler, de contrôler et d’assurer les gestes, les conduites, les opinions et les discours des êtres vivants”…
La plupart des articles de presse sont écrits aux plus près des dossiers de presse quand il ne s’agit pas simplement de correspondre le plus fidèlement possible aux souhaits des services de communication. Rares sont les médias qui s’en affranchissent. La plupart des journalistes se contentant de jouer avec les codes dans les cas les plus détachés des injonctions de la régie publicitaire. Le terme d’inféodation, aussi fort soit-il, quoique plus soft que “merdiatisation” (les journaleux sont des putes de l’info), est celui qui correspond à la réalité de la situation, ce qui a été dénoncé dans un cas précis par le site “Arrêt sur images” et de manière plus détournée, en laissant s’exprimer d’autres voix que les habituels rédacteurs “aux ordres”, par “Médiapart”…
L’industrie ne se situe pas dans une stratégie d’artification de ses produits mais dans l’identification de la représentation de sa propre appartenance comme maison de luxe, à une tendance bien identifiée : le Rétro-Futurisme étant une tendance qui utilise les représentations de l’avenir des années 1970 et 1980. On y trouve un goût marqué pour les vaisseaux spatiaux réels ou imaginaires de la conquête de l’espace, qui sont très visibles dans les lieux dits “branchés” et qui ont trouvé sans difficulté leurs places dans divers films. Ces créations sont toujours empreintes de tensions entre opulence et sobriété.
Le Larousse nous livre la définition du mot “luxe” comme étant le caractère de ce qui est à la fois coûteux, raffiné et somptueux ! Des produits et des services qui correspondent à des goûts recherchés et coûteux, et non aux besoins ordinaires de la vie. En bref, la pointe de la pyramide de Maslow. Aux origines, loin du rapprochement habituel avec le latin “lux”, la lumière, qui renverrait aux fastes et aux lustres de l’opulence, le mot luxe vient de “luxatio”, la “luxation”, le déplacement sans la cassure, ce qui sort de la naturalité sans totale rupture. Une oscillation entre hédonisme et ostentation, le luxe est une oscillation perpétuelle entre ostentation et plaisir personnel.
Il demeure à la fois un marqueur social et un plaisir qui, dès l’aube de l’humanité, a la fonction de la la “fonction d’ostentation” qui s’est imposée. L’hédonisme est ensuite devenu inséparable du luxe qui demeure un fort marqueur social, non seulement dans ses apparences mais dans la culture qu’il exige de celui qui se l’approprie pour le comprendre. C’est un aspect qui apparaît dans certaines formes de communication où une culture artistique, une connaissance précise de l’objet de luxe est nécessaire pour l’appréhender dans toute ses dimensions symboliques, esthétiques et fonctionnelles.
Ainsi l’art, souvent incompréhensible au non-initié apparaît comme un vecteur de communication très ancien du luxe, quoiqu’à l’inverse, l’inculture du luxe, si elle a fait le succès économique de produits qui n’avaient d’autre valeur que la marque qu’ils portent, signalait aussi l’absence d’éducation esthétique. Le luxe est aussi une différenciation, une transgression dans une aspiration continue de l’humanité à embellir la vie à côté des préoccupations essentielles de survie. Mais de l’étymologie latine aux dernières tendances du marketing, les mots du luxe et de l’art, le parcours est long et semé d’embûches, car depuis la philosophie grecque, le superflu, première manifestation du luxe, n’a jamais cessé de susciter des réactions des philosophes à chaque époque depuis vingt-cinq siècles.
J’en reviens (enfin) à la Cadillac InnerSpace. Elle n’a que deux portes, mais comme il s’agit d’une voiture électrique sans moteur à l’avant, son profil a été dessiné afin de mettre l’accent sur un toit en verre étonnamment bas et allongé, plutôt que sur un long museau et un arrière étiré pour la présence d’un coffre immense. Imaginez-vous une Cadillac DeVille 1976, par exemple. Ce profil que propose l’InnerSpace est rendu possible grâce à la position des occupants et grâce au système de gestion des batteries sans fil que GM est en train de développer, car il permet de répartir ces dernières à distance à travers différentes parties de la voiture, plutôt que de les regrouper dans le plancher. Ainsi, de cette façon, on peut jouer avec l’espace intérieur, d’où l’appellation du modèle.
L’InnerSpace présente également une partie avant basse, large et anguleuse, ainsi qu’une partie arrière effilée. Pour entrer et en sortir, deux grandes portes donnent accès et le panneau de toit se soulève pour faciliter les manœuvres. De plus, les sièges pivotent vers l’extérieur pour accueillir les passagers, ce qui est une autre caractéristique des voitures du siècle dernier. On se souviendra notamment des Chrysler 300 de la fin des années ’50 qui proposaient cette avancée technologique d’alors. Les sièges de l’InnerSpace sont également dotés de poufs escamotables qui peuvent être utilisés pour le repos des jambes ou comme espace de rangement. Toutefois, ce qui domine la présentation, c’est l’écran “DEL” qui s’étend sur tout le tableau de bord et qui semble même cacher la vue à l’avant.
Il faut ici se rappeler que ce n’est pas important, car l’InnerSpace est censée être une voiture à conduite entièrement autonome et qu’elle n’a pas de volant. Cadillac affirme que l’écran peut fournir un affichage de réalité augmentée ou présenter du divertissement ou des environnements relaxants. L’InnerSpace est un concept au sens le plus pur du terme. Il est évident que nous ne verrons pas un modèle de production lui ressemblant de sitôt. Cependant, certains des éléments mis en avant pourraient se retrouver à l’intérieur d’autres produits. En attendant, le véhicule va faire rêver les Chinois un peu au futur…
2 commentaires
L’iconographie automobile a bien changé depuis les temps où Tintin faisait rouler ses autos en Afrique et en Asie, et où Helmut Newton photographiait des femmes attachées en laisse à des Citroën DS.
Mon cher Gatsby, puisque les automobiles s’adressent aussi à notre libido pour plaire… cette femme plus âgée que le riche asiatique est-elle son jouet sexuel, ou bien est-ce l’inverse ? Sont-ils réellement ensemble ? Se détestent-ils ? S’aiment-ils ?
Ce sont les photos de la farde (numérique) de presse Cadillac-GM… Ayant une expérience de la publicité (j’ai eu une agence avant la création de C&F) et sachant que Cadillac s’adresse à la Chine pour vendre des voitures deluxe, je constate et en cause dans mon article, que Cadillac vise le marché haut de gamme Chinois. Le choix des modèles d’apparat destinés à valoriser la voiture dans une mise en condition psychologique, est donc calculé… C’est “quelque-part” aussi, comme l’attirance des jeunes-hommes pour des vieilles… automobiles ! La classe, la perversité, le savoir faire jouir, l’aura… Sans doute aussi les vices cachés, une forme de pratique du bdsm plus sophistiqué que le Hop-Hop-Hop bête et risible des jeunes femmes qui confondent genre, transgenre et pas de genre du tout. Vous avez trop de boulons, pas assez de vice et sans doute qu’une rondelle et un écrou bloque votre filetage ?
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