SHERP-ATV…
Un véhicule amphibie pour ceux qui n’ont rien à compenser !
On peut faire confiance aux Russes pour inventer des véhicules ridiculement badass, au design sans fioriture et qui semblent en avoir sous le capot.
Le Sherp ATV peut rouler sur la terre, sur la poudreuse et même sur les lacs gelés…
Ses quatre roues motrices font 1,60 mètre de diamètre et ce sont elles qui lui permettent de flotter sur l’eau c’est donc aussi un véhicule amphibie.
Ses pneus se gonflent et dégonflent du tableau de bord et il peut surmonter des obstacles de 70 cm (et plus) de haut.
Il fait 1300 kg tout de même !
De plus, il évacue immédiatement tout liquide qui s’infiltrerait et les villosités sur ses pneus agissent comme les pales d’une hélice pour le faire avancer en eaux profondes.
Le Sherp ATV est capable d’effectuer des 360° quasi sur place, en effet : les roues ne sont pas directrices, l’engin vire comme un tank au moyen d’un “stick” qui freine les roues de droite ou gauche…, pas de suspensions, les énormes pneus absorbant tout…, le génie du basique…
Bref, vous l’aurez deviné, cet engin n’a pas été conçu pour rouler en ville…, mais il y ferait fureur…, les chasseurs et les pêcheurs sont toutefois la clientèle qu’il vise.
2 mètres 50 de large pour 2 mètres 30 de haut, 3 mètres 40 de long et 1,3 tonne à la pesée… le tout-terrain Sherp joue dans la cour des grands malgré qu’il n’est motorisé que par un 4cyl Diesel Kubota de 44 chevaux…
Conçu par le designer Alexeï Garagachian, le véhicule, tout droit sorti d’un film de science-friction (sic !), se présente comme un cube compact, monté sur des pneus extra-basse-pression de 1600 х 600 х 25.
-“La caractéristique principale de ce type de véhicules est leurs pneus”, m’a expliqué Alexeï Garagachian.. “Plus ils sont gros, plus les capacités de franchissement sont importantes et mieux il flottera. Mais je n’ai jamais vu de tout-terrain pouvant faire autant de choses que le nôtre”…
Le fabricant Saint-Pétersbourgeois n’hésite d’ailleurs pas à parler de “révolution” dans le monde du tout-terrain :
– “Le Sherp flotte à merveille, franchit n’importe quel marais, sort de l’eau sur la glace sans encombre et franchit des obstacles de 70 cm de haut… Nous sommes allés là où l’homme n’avait jamais posé le pied : toundra, taïga, montagnes… et n’avons rencontré aucun problème”…
Le site-web américain spécialisé “Jalopnik” a d’ores et déjà qualifié le Sherp de “meilleur 4X4 que l’univers ait connu”…
Prix de l’engin : 3,850 millions de rouble, soit 43 mille euros.
Ce Sherp-ATV, est un ricanant et mélancolique chef d’œuvre Russe !
Je m’étais imaginé que le fait de raconter ma quète vers le sublime, avec cet engin, au travers d’instantanés de vie plus ou moins inspirés, s’il ne m’aiderait pas à y voir plus clair parmi les fanfreluches et les tremolos qui “ornent” ma personnalité schizophrène, du moins me permettrait-il de tuer les quelques futures lentes et pesantes journées (et nuits) de quasi solitude auxquelles ma soif d’idéal me condamne.
J’avais démarré cette aventure dans le déni le plus achevé, l’idée étant de raconter une légère et croustillante historiette, un petit conte défait…, une amusante satyre sur la vie d’un pan du monde de l’automonbile.
Bref, j’entendais, dans des détonations de champagne, dans le cliquetis des paillettes, accoucher d’une baudruche toute amusée d’elle même, mélant sur un air encore assez badin : vacheries, sexe et Show Bizz !
Or, je m’aperçu très vite que le texte que j’avais accouché aux forceps…, aussi fardé, poudré, camphré fut-il, se résumait à la seule glorification d’un engin basique dont le mérite s’avérait inversement proportionnel à sa simplicité…
C’est que…, ma vie s’énonce agréablement partagée entre du temps passé parfois casse burnes mais pour lequel je me passionne… et un entourage non moins ratatineur de valseuses mais qui comporte quelques gens aveuglément dévoués à ma cause.
Des problèmes…, je ne me connais que ceux que je prend malice à me créer…, pas d’effort spécial à fournir pour atteindre les objectifs qu’à vrai dire je répugne à me fixer…, pas de malhonnêteté flagrante entachant le fil immaculé de mes jours et nuits…, pas de grand crime à confesser…, aucun point de vue simpliste sur la marche du monde…, je ne posséde en somme, qu’un grand cœur écharpé mais en voie de guérison…, le lot commun de divers sexagénaires pour peu qu’ils se soient écorchés l’âme aux aspérités de la vie et des nuits.
Donc, pourquoi passer tant de temps à écrire ?
Rien que de tapoter cela, très vite, l’ancre peina à couler (sic) au fin fond du fond (jeter l’ancre c’est pas pareil que faire couler de l’encre sur une feuille)…., d’ailleurs pour tapoter un texte sur le web, il n’y a que des ancres, pas d’encre…
Les mots soudain boitèrent et je buttais sur rien…, j’avais bien du mérite, tant je me montrais de la constance à invoquer/évoquer les mânes de mes amours défuntes pour échapper aux faux semblants de celles à venir…
J’ai ainsi compris, non sans d’autres efforts, non sans réticences, qu’ il me faudrait désormais m’occuper à vivre, à revenir aux sources de mon-moi, qu’il faudrait que l’écriture me devienne accessoire ou mieux qu’elle finisse par m’encombrer.
Or elle se veux exigeante, la garce, elle me taloche, elle me talonne, elle aimerait que je lui consacre toutes mes heures.
L’existence impudique que je mène sur le web, m’est apparue soudain en subtil décalage avec mon histoire, passée ou présente, comme une version plus nue, plus franche, plus abrupte de celle ci.
Infiniment embarrassant… parce que touché d’une lucidité dont je n’avais pas toujours fait montre.
Car enfin, admettez qu’il faut être perturbé pour confier avec des mots choisis à de parfaits inconnus (vous) ce que l’on dit si mal à ces meilleurs amis ?
J’ai donc eu l’idée de cesser d’écrire du soir au lendemain, sans un avertissement, sans une explication, sans un adieu à vous chères et chers internautes…, sans regrets ni fanfares, m’engouffrer dans ce qui sonnait dans ma tête comme la dernière grande histoire de ma vie.
Sublime (en toute partialité, en toute immodestie)….
C’est que les échafauds de la terreur merdiatique ont créé une déglingue dans notre pays grâce à des factions politiques douteuses, des volte-faces, des trahisons et pire encore : des alliances boutiquières… alors qu’il doit rester au coeur des gens, encore suffisamment de sève, de finesse, de distinction supérieure pour imposer sans efforts notoires une prééminence de vie à part du commun des mortels, ne les figeant plus dans une pose fataliste qui sent la poussière et le renfermé !
Comme on ne prête qu’aux riches, on a que trop pardonné à ces aristos sans vertus qui croissent à l’infini entre eux, de prendre tous les leviers décisionnaires et surtout de s’approprier les médias pour en faire les merdias à leurs sévices pour lobotomiser le peuple, à qui on impose ainsi une pensée unique…
Exemples type…la Russie c’est le mal absolu…, Bernard Henry Levy est un génie doublé d’un saint-homme d’une totale abnégation…, Pujadas est le Jésus-Christ de l’info…, Drucker le maître à pensées absolues et Ruquier le Saint-Esprit façon Abraham…
Et ces aristos merdiatiques de hausser un peu loin leurs cols à guillotine maintenant que les Altesses font la pige aux vedettes de Cinéma…, maintenant que les enfants des tricoteuses et des accusateurs publics canonisent des dindes couronnées dont les brushings de premières vendeuses, les élégances tartignoles, les grâces trébuchantes, les éternelles conjonctivites…, accompagnent des destinées sentimentales de feuilleton télé…
Certains, certaines en rient, avec une pointe d’ironie tout à fait mesquine, un peu à la manière d’un obscur hobereau au spectacle d’un courtisan, lorsque tout enrubanné de faveurs Versaillaises, tout agité de poudre et de parfums, ce dernier daignait souiller ses points de Venise et le rouge Cardinal de ses talons dans le bourbier des basses cours d’ou il tirait ses carrosses et ses colifichets…
Divers journaleux, surtout TV, n’étaient pas les derniers à railler faussement leurs noms à rallonge, la kyrielle de titres qu’ils trainent à leurs basques comme une charrette nuptiale éparpille son vacarme de boites de conserves…, leurs ancêtres dont les portraits s’exposent dans les musées et leurs écrits-saints, les bibliothèques avec obligation légale de les aimer…, alors que leur gloire ne sont que des méfaits qui n’en finissent pas de ricocher sur les pages de livres d’Histoire moins biens faisandés que des romans populaires…
Il y a dans le dédain qu’il affichent une certaine part de vanité, ils en rient, certes, mais sans jamais laisser oublier qu’il en possédent une, comme il ne manquent pas de rappeler sous couvert de dérision, leurs insolentes devises familiales selon laquelle alors que le monde n’était pas encore monde, les leurs, déjà portaient les ondes…
Cherchez la faille, creusez, diguez, vous ne trouverez rien, vous ne pouvez d’ailleurs rien chercher car vous êtes obligé de croire…, officiellement ils n’ont que d’immenses qualités, sérieux comme pape en Vatican ; la “Druckérisation” et la “Pujédation” des masses me désespère chaque jour d’avantage…
Où sont les rudes scories des journalistes ?
Que sont devenus les gueules d’aboyeurs ?
Comme ils riraient, ses ogres cannibales, s’ils voyaient aujourd’hui ce que sont devenus les médias ?
Bref……
Lire Proust et “Voici”…
Ecouter Rachmaninov et les Rolling Stones…
Aimer le silence des musées et la fureur des bordels…
Se montrer calme, pondéré, serein, se révèler volcan en perpétuelle éruption, grande gueule incapable de la fermer.
Verser dans la mélancolie et la discrétion ; s’épancher dans l’emphase et l’exubérance…
Trajectoire rectiligne et circonvolutions..
C’est bon, je continue mes écrits, mélangeant le charme des regrets, aux possibilités infinies cachées derrière les portes que j’ai choisi un jour de laisser fermées et devant lesquelles je ne peux passer sans que mon imagination ne s’enflamme avec un délicieux pincement au cœur…
Baigner aux rives miraculeuses d’une Méditerranée aussi azurée qu’un manteau de Marie, dans l’espoir de se débarrasser d’un début de flétrissure, c’est somme toute très banal à mon âge, dans mon état et à l’heure qu’il est…, pour éviter de me tromper moi-même avec le premier miroir à putain venu…
Re-encombrer la sphère du web de récits extatiques de bonheurs en rire, qui du reste ne se racontent bien que lorsqu’ils sont perdus, là je m’amuse.
Donc, je vous ai présenté le Sherp, un 4X4 Russe qui devrait faire fureur auprès de ceux qui ont les moyens, 50.000 euros, c’est en effet pas donné, plus taxes… et que dire d’une homologation ?
Mais si…, alors, croyez-moi, c’est ludique, en avoir un me plairait, pour traverser le lac de St-Croix, faire le Verdon, aller de St-Maxime à St-Trop en mer… et se “taper” toutes les plages…, vachement plus “Fun” et ludique que “poser” en tout-beauf au volant d’une Bugatti Murcielago GTO…
Sherp est situé à Saint-Petersbourg en Russie :
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