Un caca d’Enzo aux enchères !
marc-machin@blob.com
Sam 23-11-19 20:36
Bonjour Monsieur,
J’ai lu avec une grande attention vos articles sur les tumultes de la 250 GTO.
C’est très intéressant.
Dans la 4ème partie, vous relatez l’essai avec votre ami “JJ”.
Cet essai est récent ou a t il eu lieu dans les années 80 ?
Cette voiture est-elle si fantastique que cela ?
Merci à vous.
Bien cordialement
Marc Machin
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Patrice De Bruyne
Sam 23-11-19 21:13
Bonsoir Mr Marc Machin,
C’est un essai réalisé à Vence dans les années 80′, paru dans mon magazine Calandres puis remis en actualité dans mon site https://www.gatsbyonline.com/category/ferrari/ et de même dans mon magazine Chromes&Flammes “nouvelle édition n°3” mitan de cette année 2019.
La Ferrari 250GTO est telle que décrite, intrinsèquement c’est une fumisterie Ferraresque de plus, montée “en neige” par des journaleux serviles et des magouilleurs d’affaires, un moyen de transformer une ferraillerie en or, ce qui est finalement le coté le plus intéressant de l’affaire.
JJ c’est Jean Jacques Bailly qui avait un Hôtel à Vence (ou s’est déroulé l’essai) et qui œuvre maintenant en partenariat avec DPM Motors à Monaco.
Il sera évidement fou de joie et bonheur de vous en vendre une plus ou moins authentique aux alentours de 50/60 millions d’euros ou une réplique pour le dixième destinée à “ceusses” qui ont besoin de frimer, de paraître multi millionnaires ou de s’en servir pour réaliser une escroquerie en la mettant en garantie (Jean Pierre Van Rossem était spécialisé et en a “enculé” plus d’un dans ce jeu de dupes) !
Ceci écrit, pourquoi portez vous un quelconque intérêt à cet engin ?
Dans la section “Ferrari” de GatsbyOnline vous trouverez un grand nombre d’articles sur les réalités et magouilles de la marque au cheval cabré : https://www.gatsbyonline.com/category/ferrari/
Bien à vous
Patrice De Bruyne
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marc-machin@blob.com
Sam 23-11-19 21:56
Merci beaucoup pour toutes ces explications.
Je ne connais pas le comportement routier de cette voiture et je veux bien vous croire concernant les déboires liés à celle ci mais j’en adore les lignes et formes depuis 35 ans (j’en ai aujourd’hui 47!).
Je me doutais bien que vous parliez de Jean Jacques Bailly qui est dans le milieu automobile depuis quelques décennies, j’ai d’ailleurs un ami qui le connaît pas mal.
Personnellement, j’ai un ami carrossier extraordinaire et n’ayant pas le portefeuille bien garni pour en acheter une ( ni vraie, ni récréation), j’aurais souhaité faire comme le génial Monsieur Garnier qui, à la base, s’en est faite une pour lui même sans penser aux bénéfices, simplement pour l’amour de la ligne ; dans ce cas, je trouve qu’il n’y a pas tricherie et ça reste honorable. C’est ensuite que ça a dégénéré avec des appétits toujours plus grands de spéculateurs toujours plus avides de pognon (cf le nième épisode d’envolée des prix de 2015/2017)…
Je ne sais pas si un exemplaire Garnier est toujours en France, d’après ce que vous écrivez, ce sont les plus réussis.
J’aurais bien voulu voir et contempler une Garnier.
Bien cordialement.
Marc Machin
PS: j’aime beaucoup les Ferrari (j’en ai 3 mais récentes) mais je n’adhère pas du tout à leur politique, toujours plus méprisante envers les “petits” et agressive envers les “nouveaux riches” plus les années passent.
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Patrice De Bruyne
Dim 24-11-19 02:03
Bonsoir Marc,
Je ne sais pas vous aider au delà de mes articles, si ce n’est mon ressenti tel que dans ma réponse précédente et celle-ci :
-Une réplica n’est qu’une masturbation… mais c’est gratuit… comme lire mes articles…
-Baiser la femme de chambre devient risqué depuis DSK, mais basiquement ce n’est pas cher, tout comme les 250GTO sur base Datsun qui vous exposent à des risques judiciaires.
-Les putes c’est plus pratique quoiqu’un peu plus cher sauf si vous vous endormez avec votre portefeuille dans la table de nuit, comme les Garnier/Favre en rapport des vendeurs escrocs.
-Se marier monte dans les coûts avec le risque que 2 fois sur 3 vous perdrez la moitié de vos avoirs, au cas improbable que vous en auriez acheté une de provenance semi douteuse.
-Quant à rêver coucher avec une Star, bon courage d’avoir des avoirs considérables, une authentique avec certifications en est entre 50 et 70 millions.
Joyeuses jouissances…
Patrice De Bruyne
PS : Avez-vous acheté mes magazines Chromes&Flammes et vous êtes vous abonné à www.GatsbyOnline.com ?
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marc-machin@blob.com
Dim 24-11-19 11:21
Je ne parlais pas des Datsun ou Pontiac ou autre Corvette maquillées comme des voitures volées en mutant.
Dans le monde de l’auto, il y a les spéculateurs purs et durs, ceux qui veulent frimer, et les vrais amoureux/passionnés, mais qui n’ont pas 50M€ à dépenser.
Les Garnier et autres restent des Ferrari à part entière, souvent des GTE, seul leur plumage a changé.
Après tout, c’est le châssis et la mécanique qui sont importants, le reste c’est de l’habillage, mais quel habillage .
D’ailleurs, ces voitures n’étaient pas des monocoques tout comme les voitures des années 30/40/50, seuls les châssis étaient homologués, jamais la carrosserie.
Ces voitures pouvaient donc changer de vêtements selon l’humeur de leurs propriétaires.
Je fais partie de la 3eme catégorie et je ne vois pas pourquoi les lignes d’une œuvre d’art comme la GTO devraient être réservées à une élite qui a gagné beaucoup d’argent honnêtement ou non….
Du moment qu’on respecte scrupuleusement l’objet et qu’on ne fait pas n’importe quoi.
En revanche, essayer de faire passer une recréation pour une authentique (impossible concernant la GTO), ça c’est de l’escroquerie.
Cordialement
Marc Machin
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Patrice De Bruyne
Dim 24-11-19 16:23
Hello Marc…
C’est dimanche, les mouettes crient comme des canards et la pluie a cessé…
Je vous lis et me dis que votre réponse est comme une plaidoirie, presque la même que celle de William Favre… qui a finalement gagné contre Fiat/Ferrari et consorts au désespoir du vieux pépère Enzo…, oui, les 250 GTO sont des carrosseries habillant des châssis 250 GT… et comme il faisait de même ce n’étaient pas vraiment des répliques, c’étaient des Ferrari recarrossées GTO nommées Ferrari-Favre 250GT…
C’étaient malgré tout des copies donc des fausses 250GTO.
Rien à voir avec les Datsun carrossées en 250GTO, on n’en finira jamais d’en discuter dans le vide abyssal de ce qui est vrai ou faux, d’autant plus que Ferrari (L’exemple ci-après ou Jean Todt apparait est “parlant”) réalise également des faux : https://www.gatsbyonline.com/automobile/ferrari-enzo-crash-342741/
Il y a 80 aventures démentes accessibles en un click : https://www.gatsbyonline.com/category/ferrari/
Finalement je m’en tape totalement, chez moi j’ai décoré un mur avec la photo de mon chien Blacky, pas d’une réplique de la Joconde (en peinture ou en photo) ni d’une copie d’une toile quelconque, ça m’est indifférent…
J’ai possédé des voitures “de Maîtres” à une époque ou elle ne valaient plus rien, une Miura pour l’équivalant de 25.000 euros, une 275GTB Daytona pour 20.000, une Cobra 289 pour 15.000, une Shelby 350GT Cabrio pour 10.000, une Boss 302 Mustang pour 7.000 et quantités d’autres qui achetées de mes blanches mains innocentes beaucoup plus chères, n’étaient toujours qu’elles-mêmes : des merdes à problèmes…
Maintenant qu’elles sont toutes dans la stratosphère des prix spéculatifs, elles ne m’intéressent absolument plus, je suis fatigué de profiter de la connaissance des uns en valeurs potentielles et des malfaisants escrocs en quête d’affaires sur le dos des autres, le système est basique, acheter pas cher, vendre beaucoup plus cher en racontant n’importe quoi…
C’est partouze pareil, peintures, sculptures, bagnoles, ils y en a même qui collectionnent les restes pourris des repas de Stars couronnées, bientôt leurs cacas…
Je me demande combien vaudrait une merde d’Enzo…, pas une de ses bagnoles “à-la-con”, mais un étron devenu dur comme une brique avec une étiquette “Chié par Enzo le…xxxx”!
Je suis certain qu’il y aurait des abrutis pour l’acheter afin de le placer au milieu de leur collection de Ferrari !
Dialogue avec un grand spécialiste des enchères :
-Bonjour, je voudrais vendre une merde de Ferrari
-Quel modèle ?
-Non, une vraie merde !
-Une 250GTO ?
-Non une merde plus personnelle, intime !
-Une auto-peinture ?
-Non un vrai caca d’Enzo !
-Extraordinaire, du moment que vous avez un certificat d’authenticité…
-Effectivement, sa femme de ménage en atteste l’analyse d’un de ses slips relève le même ADN !
-De quel style est-il ? C’est très important !
-Une “TestaRossa” avec des traces rouges, sans doute une indigestion de Sant-Agata Bolognèse!
-Alors là, c’est une belle surprise !
-Effectivement, c’est totalement merdique !
-Extraordinaire, vous avez une idée de la valeur de cet étron ?
-Incalculable, je pensais à 1 million d’euros, c’est tellement intime, authentique, une œuvre sortie de son fondement, on ne peut trouver plus merdique que cette merde.
-Effectivement, on doit exposer cette oeuvre à Rétrotomobilia, ce sera la merde la plus fantastique de toutes les merdes exposées…, je vais illico demander à nos serviteurs journaleux de publier un communiqué laudatif, ce sera la merde de l’année.
Voilà ou nous en sommes…
Souffrez donc que je me retire de nos échanges textuels, je viens de jouir et à mon grand âge il me faut plus de temps qu’avant pour remplir mes bourses…
Merdiquement votre
Patrice De Bruyne
PS : Je vais en faire un article sans citer votre nom
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Peindre, sculpter, fabriquer, vendre de la merde
Depuis des siècles des artistes utilisent la merde comme médium…
Arnaud Pagès en a réalisé un article dans Vice :
https://www.vice.com/fr/article/4xbvnn/une-breve-histoire-du-caca-dans-lart
Après la dernière guerre mondiale, plusieurs artistes ont choisi le caca, soit en s’en servant pour peindre, soit en le représentant.
Forcément dérangeante, cette appropriation de ce grand tabou du corps humain dans des créations contemporaines est un acte fort qui ne laisse pas indifférent.
Preuve de l’intérêt suscité par ces œuvres si particulières, de nombreux collectionneurs, musées et critiques n’ont pas hésité à les acheter, les exposer ou à en vanter les qualités.
Soit par goût ultime de la provocation, soit par réelle fascination pour cette matière chaude, gluante et malodorante que nous produisons quotidiennement, le caca est devenu par leur biais un champ d’expérimentation artistique à part entière.
Peintures, sculptures, installations, machines tout est possible. L’art n’a pas de limite et certainement pas celle de nos déjections intimes !
Peindre avec du caca
Précurseur en la matière, l’artiste belge Jacques Lizène s’est fait connaître dans les années 70 pour avoir remplacé ses tubes de peinture par des excréments qui sont l’élément essentiel de la composition de ses tableaux. Évidemment, le champ chromatique se trouve réduit, oscillant du marron au jaune-beige. Mais l’artiste n’en a cure, la question esthétique n’est pas au centre de sa démarche. Son travail se veut inutile, nul et dérangeant et son utilisation du caca est avant tout une vive critique de l’estalishement artistique. Lizène se pose en pourfendeur du système des galeries et des collectionneurs en proposant des peintures de merde au sens propre du terme. Une démarche politique dont l’excrément devient le vecteur.
Au milieu des années 90, l’artiste britannique Chris Ofili, premier black à remporter le Turner Prize, avait défrayé la chronique avec son œuvre The holly virgin Mary.
Membre des Young British Artists, Offili avait représenté la mère de Jésus avec des coupures de magazines pornographiques rehaussées de bouses d’éléphants.
Le cul et le caca ont toujours eu de très bons rapports.
Tout récemment, une descendante de Pablo Picasso a révélé que celui-ci avait utilisé, lors de sa période brune, des excréments de sa fille pour peindre certains tableaux.
En effet, le maître espagnol considérait que leur couleur brune était parfaite et qu’il n’obtiendrait pas le même résultat avec de la peinture classique.
Provocateur né, l’artiste italien Piero Manzoni a été le premier à vendre ses propres excréments comme œuvres d’art.
Partant du principe que tout ce qui sort d’un artiste est potentiellement de l’art, sa série Merde d’Artiste qui date de 1961, composée sous l’influence des ready-mades de Marcel Duchamp, est constituée de 90 boîtes de conserve, hermétiquement fermées, qui contiennent chacune 30 grammes du caca de l’artiste.
Au départ Piero Manzoni avait pour ambition de vendre ces 30 grammes de caca au même prix que l’or… sauf qu’aujourd’hui chaque unité de 30 grammes est estimée au prix de 3 kg d’or !
Attention néanmoins aux fuites, certaines boîtes avec le temps ont réservé de mauvaises surprises olfactives à leurs propriétaires.
Les merdes d’artistes de Piero Manzoni
Le plasticien belge Wim Delvoye s’intéresse quant à lui de très près à nos tuyauteries internes avec son œuvre Cloaca créée en 2000 Après 8 ans de travail, il a réussi à reproduire avec minutie le processus qui amène les aliments à se transformer en matière fécale grâce à une installation spectaculaire.
Conseillé par des scientifiques et des ingénieurs, Delvoye a construit une machine de grande taille, 12 mètres de long et 2 mètres de haut, qui simule les processus à l’œuvre dans notre système digestif.
La matière qui rentre dans Cloaca – des aliments fournis par des traiteurs – se transforme inévitablement en caca en passant par six cloches en verre, reliées entre elles par un arsenal de pompes et de tuyaux, qui contiennent des sucs, des bactéries, des acides et des enzymes, le tout baignant dans un milieu très humide.
Maintenues à la température du corps, les substances subissent alors le processus de digestion jusqu’à son stade final.
Le caca qui sort de Clocoa est mis en boîte et estampillé d’un faux logo pour faire un pied de nez à la société de consommation.
Chaque unité est vendue aux alentours de 1000 dollars.
C’est bien sûr parfaitement inutile, de l’aveu même de son créateur.
À noter que cette œuvre a eu un franc succès puisqu’elle a été exposée à New York, Zurich, Vienne, Düsseldorf, Lyon, Toronto… et qu’elle a eu plusieurs déclinaisons – huit versions en tout – dont une “Turbo” pour les cacas rapides et du papier toilette ainsi qu’une poupée à son effigie.
Des industriels de l’agroalimentaire sont même rentrés en contact avec Delvoye pour pouvoir tester leurs produits, du moment où un client les ingère au moment où il les libère, ce que l’artiste a toujours refusé.
Le caca, moyen d’expression radical des artistes
Très ostentatoire, le plasticien américain Paul McCarthy ne fait pas les choses à moitié. Chantre du mauvais goût et apôtre du non politiquement correct à qui l’on doit notamment des travaux autour des plugs et des godemichets, il a exploré en 2008 le thème du caca avec sa sculpture géante gonflable Complex Pile rebaptisé de façon plus appropriée Complex shit.
Cette œuvre représente, d’une manière tout à fait esthétique, une grosse merde de chien de quinze mètres de haut !
Exposée à Berne au Zentrum Paul Klee puis à Hong Kong où elle fut endommagée par une tempête, cette œuvre marque la volonté de l’artiste de se moquer ouvertement de ce que peuvent penser le public et les critiques.
Self Portrait, Andres Serrano
Andres Serrano, photographe majeur de la scène artistique contemporaine, sulfureux à souhait via des sujets dérangeants qui touchent à la religion et à la politique, et qui avait subi le feu nourri des critiques – notamment en provenance des milieux catholiques – avec sa photographie Piss Christ s’est quant à lui auto-représenté sous la forme d’un gros étron photographié en gros plan dans son œuvre Self Portrait.
Provocante, cette œuvre qui date de 2008 a été réalisée en pleine période de doute intense de Serrano,comme si l’artiste voulait nous dire qu’il n’était qu’une merde.
Gold Poo et les merdes de chiens
Plus récemment, c’est dans les rues de New York que le street artiste Gold Poo officie avec un concept original : recouvrir de peinture dorée les merdes de chien qui jonchent les trottoirs. En essayant de couvrir prioritairement les quartiers où les chiens ont tendance à se lâcher davantage. Reste à savoir si marcher dans la merde dorée du pied gauche vous rendra riche.
2 commentaires
C’est comme une diarrhée en apéritif…
Art et culture populaire :
Dans le film South Park les 4 garçons regardent une vidéo sur internet dans laquelle un allemand défèque sur la mère de Cartman
Dans Team america police du monde, Gary urine sur Lisa lors de rapports sexuels En retour Lisa défèque sur Gary
Dans Salo ou les 120 journées de Sodome film de Pasolini, notamment au cours du 2ème tableau intitulé Girone della Merda les 4 notables font manger à leurs victimes leurs excréments et se baignent dedans
Taper « caca et art » dans la zone de recherche de votre browser (butineur) et vous aurez pleins de photos Avis aux amatrices / amateurs Qu’on se le dise ! Il y a encore mieux ! « Peinture scatologique «
m.huffingtonpost.fr
Art et excréments : les artistes qui osent tout !
http://www.vice.com
Une brève histoire du caca dans l’art
http://www.topito.com
Top 10 des œuvres d’art scatologiques, du caca en veux-tu en voilà !
http://www.observatoire-art-contemporain.com
Esthétique de l’excrément
http://www.ouest-france.fr
Étables Le collectif Art Redire se joue des tabous « pipi caca » (ce stade existe aussi chez les enfants)
Art Redire exposé son projet « Pipi Caca »
inferno-magazine.com
Tribune : « L’Art contemporain, le caca et la « perte créative »
Lorsque le microbiote (?) vient à se dérégler il joue un rôle dans le développement de maladies dixit Harry Sokol, gastro-entérologue (?) à l’Hopital Saint-Antoine de Paris
Une équipe du département de Psychiatrie de l’Universite de Calgary tente de remplacer le Prozac (pub) par des gélules à base de matière fécale humaine dans le traitement de certains troubles psychologiques
La greffe fécale serait aussi efficace par capsules que par côlonoscopie (a vos souhaits)
Greffe de matière fécale : toutes les selles ne se valent pas
Sous Louis XIV (14) les médecins examinaient ses selles (excréments) pour déterminer l’état de santé du roi
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