La Bond’Bug, l’évidence de la sublimation eugénique !
L’évidence l’est tellement qu’elle n’apparait plus telle, mais autre, c’est l’évidence même dans sa sublime sublimation “religiosante”... C’est l’évidence qui brille dans toutes les dimensions, rien d’autre ! Et c’est tellement évident que la perfection elle-même n’apparait qu’être un spleen absolu ! Tu ne comprends pas mes propos ici re-tapotés, mon Popu ? Panique pas ! Nous ne sommes que des connards pré-lobotomisés programmés pour ne rien comprendre de ce que nous murmure le vivant et le néant dans notre survie qui se fait sans cesse plus abstraite et incompréhensible ! Voir, palper, sentir, l’évidence, exacerbe instantanément les cinq sens de base puis les autres dont le sixième… Mais rien qu’à vivre, les cerveaux se fracturent !
J’ai un rapport ambivalent avec le micmac : traumatisé de mes découvertes dans les failles que j’explore, les lecteurs de mes incivilités politiquement incorrectes ont de plus en plus de difficultés à comprendre et savoir à quoi s’attendre dans le crescendo des histoires sans fin publiées dans GatsbyOnline, que certains et certaines voudraient engluer dans la merde de l’inexistence puis diluer sous 100 mètres de béton ! “L’amour du prochain est en péril” qu’ils médisent ! C’est ce qui m’intéresse le plus de leur vide non-existentiel en dehors des discours évangéliques de Macron 1er et BHL, quoiqu’un troisième s’impose sous la forme dégénérative du nouveau Docteur Mengele, prédicateur eugéniste, prônant la vaccination comme étant la solution finale améliorée, un préchi-précha diffusé “doctement” aux heures de grandes écoutes lobomisatrices télévisées !
Tous trois ont le ton condescendant des élites qui savent et agissent pour le bien des populaires ignares. Les écouter, c’est sidérant comme les discours paternalistes d’un autre docteur de sinistre mémoire, génial propagandiste exalté de la solution finale… Avec la douce violence qui se démarque de ces personnages, les populations pré-abruties se prennent à chaque fois de vraies claques. Des discours de fous-furieux, des tours de farces pachydermiques empoisonnés puant la répression dans la dépression organisée. Chacun apprécie évidemment à sa manière la dimension eugénique d’une remise à niveau “acceptable” des terriens et terriennes. Un massacre “préventif”: tuer/massacrer tous les autres pour rester en vie, éliminer ceux/celles qui pourraient gêner.
Comme pour les “vaches folles” de leur donner de la nourriture de laboratoire inappropriée, qu’on extermine en totalité, le génocide des vaches rendues folles de notre faute, amène à nous poser cette question : “A quand l’Holocauste des vaches-sacrées dans la nazification du bétail ?”… On égorge bien les moutons de panurge, les poules qui caquettent trop, les coqs qui chantent le réveil, les canards déchainés, les poulpes au cerveau plus développé que les humains et les baleines particulièrement massacrées ! Les eugénistes donneurs de leçons qui ânonnent les communiqués de presse gouvernementaux minimisant les massacres, tueries et génocides comme s’il s’agissait de faits divers, s’ébattent dans nos TV merdiatiques en y ajoutant des commentaires hallucinants de stupidités surpayées à des plantes vénéneuses venues faire leur promo en souriant de toutes leurs belles fausses dents.
On entasse en réalité des humains qu’on est allé bombarder “pour les sauver d’eux-mêmes” comme en Libye, en Syrie, en Irak, dans des camps de la mort certaine, avec tuerie en solution finale ! Faut voir comme c’est insupportable et indescriptible d’horreurs jusqu’aux enfants filmés crevés sur des plages qu’on “humorise” au nom de la liberté d’expression, jusqu’à faire défiler les pontifiants à Paris ! Fumiers de faux-culs ! Critique Macron en le caricaturant façon Charlie Chaplin dans son chef d’œuvre, mon Popu, “On est tous Charlie” (l’autre Charlie) sera oublié car le dictateur qui a l’humour unilatéral dépose plainte ! Mais la vraie mandale de ce foutoir, c’est le mélodique, les chantonneurs/neuses “à-la-chaine” qui s’époumonent, montrent leurs seins, leurs culs, leur guiboles, leurs zébrures cristallines fragiles et brèves, élaborées par des genres de proxénètes pour flinguer le palpitant des enculables, parfois une seule mini seconde de connerie répétée ad nauseam, décrétée par avance d’être la plus belle seconde de musique entendue depuis que le monde est devenu fou…
Que vous présenter comme auto, moto, bateau ou avion après cette diatribe, sinon un engin qui a marqué l’éternité, un immanquable pour les amateurs d’histoires belles à crever mais écharpées par divers. La déception peut-être grande, ternissant les joyeux souvenirs oubliés ! Je pousse à voir une bricole qui n’a rien perdu de sa superbe, un sacré morceau qui fait partir les esprits graduellement dans une montée épique, tourbillonnante d’émotions. Qu’importe le flacon pourvu que l’ivresse te fasse voler au milieu d’une pluie d’étoiles, mon Popu ! LA BOND BUG, l’évidence (automobile) de la sublimation eugénique ! Ok, ok, ce n’est pas nouveau, mais je ne connaissais pas très bien. Et vu les chiffres de production, je devais être coincé dans un sous-marin classe “U-boot” dans un périple vers la base secrète des nazis de l’Antartique qui leur sert de relais pour leur implantation sur la face cachée de la lune… Chuuuut ! C’est un terrible secret qui est loin d’être mon dada quoique j’en ai réalisé des articles soufflants ! D’autant plus soufflants quand le monde bascule en mode nazifiant avec la pandémie fabriquée !
Mais putain que la Bond Bug est belle ! J’y ai passé 15 minutes de bonheur, de beauté pure, d’abandon. J’ai redécouvert la solitude enchantée, les sentiments et la déraison avec voix d’anges en filigrane. Elle est littéralement “à crever”, tout y est progression en douceur, à pas de chats, matinée d’amour fou. Après 6min25 sur les 15 minutes qui m’étaient imparties, je savais que cette Bond Bug était un des morceaux du puzzle menant à la compréhension de l’incompréhensible ! Pas au point de faire la fête comme des cons, ! Oooooh non ! Ce fut comme danser dans une toupie instable et à sentir l’odeur de la mort proche. A 7min12 je me suis souvenu que mon père m’avait dit un jour : “Si tu n’apprécies plus l’odeur de ta femme, si tu es incommodé, c’est que tu ne l’aime plus. Et c’est pareil pour toutes choses”… A 15 minutes j’ai baisé ma voisine propriétaire de la dite Bond Bug, je raconte ça pluche loin…
“Je baise encore, affirmatif” comme le chantait Gainsbarre, mais faut voir l’engin, je cause de la Bond Bug spèce de vicieux, alors que toi, mon Popu, tu rêves que tu te perds dans le creux du cou de ton ex, en espérant que ta séparation n’est jamais arrivée et que tu t’abandonnes à une frénétique masturbation en regardant en TV la femme maîtresse d’école de notre président gérontophile expliquer le changement des rideaux de l’Elysée qui puent le tabac ! Tu as le cerveau embué mon Popu, brouillé par la peur de ce qu’il se passera juste après l’après, pas de futur, pas de projet, juste ton âme triste dans une brève bulle de joie qui tache ton slip. Pas besoin de te creuser la tête. Pas de révolution, tu fais juste qu’errer entre divagations émotives et optimisme larvé. Plaisir tout simple de milieu de nuit que tu aimerais plus longue, histoire de perdre toute notion de temps, ce qui est bien frustrant. Mais je suis là avec ma BOND BUG…
Nous sommes en 1969, l’année de mes 20 ans, la révolution de mai ’68 de l’année précédente laissait croire que tout allait changer en mieux ! Les cinémas présentaient “Easy Rider”, un navet (que je suis allé voir 5 fois avant de m’en rendre compte) qui va devenir cultissime car reflétant exactement ce que la jeune génération américaine ressentait. Liberté ! Faire “manette en grand” avec un Chopper à la longue fourche démesurée (inconduisible), au son de Creedence Clearwater Revival, c’était con…Une nouvelle ère approchait, dominée par le Verseau, tout allait devenir possible. La drogue, l’amour libre, la pilule, les couleurs psychédéliques, la mini-jupe, Woodstock, dans les oreilles Steppenwolf chantant “Get your motor running”...
Moi, marginal, je roulais en Morgan 4/4 avant de passer à la Mustang Boss 302 puis à la Shelby GT350… Cool ! J’étais architecte et j’éditais “Home” un mag avant-gardiste de déco. Les designers industriels de cette période s’adonnaient aux choses les plus branchées et les plus folles, de préférence dans le nouveau matériau plastique et de préférence dans l’orange et le violet, les couleurs du Tibet, des parfums et de l’encens. Le monde entier semblait devenir plastique, même Plastic-Bertrand qui planait pour lui-même, en orange, vert ou violet : téléphones, réveils, cendriers, tables d’appoint et lampes de table. C’est de cette époque que j’ai conçu mon fameux bureau rouge !
L’une des entreprises de design voulant révolutionner le monde était Ogle Design en Angleterre. En effet, pas de Michelotti ou de Giugiaro cette fois, mais une équipe de jeunes diplômés débordant d’idées dans Swinging London, où la mode était également soudainement déterminée, ce n’était pas une époque ennuyeuse. On baisait à tout va, il n’y avait pas de sida, pas de covid. La mode seule valait le coup d’œil sur les nananas court-vêtues : bottes jusqu’aux genoux, ultra-mini-jupes, robes tricotées transformées chaque jour en un nouveau printemps. Et, au Salon de l’automobile de Londres, il y avait un engin génial qui s’intégrait parfaitement aux temps nouveaux : la Bond Bug.
La Bond Bug (insecte) était le résultat de la reprise de la marque de tricycles extrêmement ennuyeuse Bond par une autre marque de tricycle : Reliant. Sous la conception d’Ogle la technologie basique de la Reliant Regal, avec son moteur en aluminium de 750cc et son essieu arrière rigide a été reconçue en une petite série de voitures de ville, avec deux sièges et un coffret d’espace pour les bagages. Mais comme à l’époque les bagages n’étaient qu’un “baise-en-ville” la bricole à 3 roues devint si populaire que toutes les commandes ne pouvaient être satisfaites. Près d’un millier avaient été enregistrées pendant le salon de l’auto, la fabrication en grande série devenait une tâche impossible pour une petite usine à production traditionnelle.
Une ligne de production supplémentaire a donc été mise en place en sept heures dans les usines Reliant de Tamworth et les travaux ont commencé… Mauvais calcul en réalité, car le succès s’est effondré aussi rapidement qu’il avait commencé. Rouler sur trois roues n’avait aucun avantage, sauf qu’à l’époque un permis moto suffisait. Avec sa construction légère, la Bond Bug faisait “Hot-Rod de ville” à l’Anglaise, elle était assez rapide avec 135 km/h réels. Mais entrer et sortir par l’immense porte à charnière supérieure n’était pas très pratique, la visibilité sur les côtés et à l’arrière était médiocre, de plus, pour le pays des Bentley, Rolls et Jaguar, en y regardant de plus près, l’aspect plastique faisait “pauvre” et à l’intérieur et aucun centime n’avait été dépensé pour l’isolation acoustique, de sorte qu’une radio ou une bonne conversation était de peu d’utilité !
Et Tout cela en combinaison avec un prix d’achat pour lequel une Mini 850 pourrait également être achetée. Et oui, une Mini, c’était une voiture chic avec quatre sièges, quatre roues et six fenêtres. En cette année 1969, la Mini a également reçu une belle campagne publicitaire dans le film “The Italian Job” avec Michael Caine. British Leyland a naturellement sponsorisé toutes ces scènes avec des Mini’s aux couleurs de l’Union Jack. La Bond ne faisait plus le Bug ! Pas d’inquiétude, la Bond Bug allait conquérir le public du cinéma dans les films Star Wars. Le réalisateur George Lucas a fait convertir trois Bond Bugs en voitures flottantes Land Speeder, créant l’effet de voler avec des miroirs, ou avec un soupçon de vaseline sur une plaque de verre devant l’objectif. Pas trois, mais zéro roue. Même Ogle n’aurait pas pu imaginer cela !
Une Bond Bug sort du lot car elle a été améliorée et réalise le 0 à 100 km/h en 3,5s et culmine à 200km/h ! Une Bond Bug supercar ? Oui ! Evidemment à l’origine, il s’agissait d’une Bond Bug 700 ES se positionnant comme un cyclecar-tricyle “sportif”. Le précédent propriétaire, un franco-anglais avait décidé de modifier le moteur d’origine par un Yamaha YZF-R1 de 1000 cc, 4 cylindres, 4 temps avec une boîte 6 vitesses ! Les trains roulants ont été revus pour supporter la puissance. Le tableau de bord de la moto a été également placé sur la Bond Bug qui est devenue une véritable fusée, immatriculée en carte grise française tricycle.
La transformation, non indiquée sur le titre de circulation (pour ne pas se faire chier la vie par des empoisonneurs fiscaux et autres gabelous), a été magnifiquement réalisée dans les moindres détails, elle est même dotée d’un chauffage qui fonctionne ! Cela en fait un véhicule atypique qui concurrence avec brio les Smart Brabus dans la circulation citadine ! Très impressionnante la vilaine ! Il ne faut pas oublier le gag de la Bond Bug-Robin qui se retourne à chaque virage… Désopilant ! Les relations entre Jeremy Clarkson et la Bond BUG via une version de la Robin également à 3 roues ont été plutôt tumultueuses et l’ancien animateur de Top Gear n’a vraiment rien fait pour se faire aimer de la célèbre anglaise à trois roues.
Jeremy Clarkson a quitté Top Gear. Mais il n’a pas pour autant oublié ses souvenirs à la tête de l’un des shows les plus regardés de l’autre coté de la Manche. Les habitués de l’émission se rappellent sûrement d’un épisode où Clarkson est aux prises avec une Robin à 3 roues. Impossible de prendre un virage sans finir sur le toit ! Pas une bonne pub pour ce monument de l’industrie automobile britannique. Jeremy Clarkson a eu des remords et a décidé de m’avouer la vérité : “Vous devez vous en souvenir : j’ai conduit ça dans les rues de Sheffield et cela n’arrêtait de pas de se retourner. Bon, maintenant c’est le moment de devenir propre. Cette 3 roues ne se serait pas retournée même si une équipe de rugbymen bourrés ne se trouvaient à l’intérieur. Mais lors d’une plongée à corps perdu pour s’amuser et se divertir, j’ai demandé à la production de jouer avec le différentiel pour que la pauvre chose se retourne à chaque fois que l’on tourne le volant. Retourner une Reliant Robin volontairement est un peu comme mettre une tortue sur le dos, c’est un acte de cruauté gratuite. Avant de se rendre compte de la mutation constante de cette chose des oscillations hypnotiques, des rythmes s’apparentant à des pulsations cardiaques interviennent comme la marée, en flux et reflux, engloutissant la structure squelettique de l’engin futuriste et pourtant étrangement organique” !
La colère était grande au Reliant Owners Club, lorsque Jeremy Clarkson s’est fait filmer pour le programme Top Gear dans un Robin qui faisait un tonneau plus ou moins à chaque coin de rue. Les passionnés en étaient enragés ! Plus tard, il s’est avéré que le différentiel avait été soudé/fixé pour “les tirs” et que des blocs de béton avaient été placés à gauche et à droite dans le prévisionnel. En conséquence, la voiture basculait sur le côté à chaque mouvement du volant, mais cela n’avait rien à voir avec la réalité. Bien sûr, un trois-roues est moins stable qu’un quatre roues, mais ce n’était pas si mal. Ma voisine la Contesse Angela Von Bismark qui possède une Bond Bug qu’elle m’a laissé essayer (voir quelques paragraphes plus avant) a accepté de poser avec sa voiture et d’en faire un commentaire qu’elle m’a résumé vers minuit en s’écriant : “Mein Gott, das ist wunderbar, ich hatte einen Orgasmus. Danke meine Liebe für diesen moment außergewöhnlicher Ekstase und Blendung !“… Plus toute jeune, certes, mais plus jeune que moi quand même, c’est dans les vieilles casseroles qu’on… Etc. Etc…
Voilà, tu arrives au bout de cet article mon Popu ! Tu vas te lever , l’haleine empestant la bière ou la clope, selon tes vices, le slip encore humide de ta masturbation à la vue de la femme du dictateur… La pièce tourne autour de toi, mon article t’a encore défoncé. Dans ta tête, que des flashs, et de l’excès, tu t’es bien amusé. Pourtant la demoiselle de ta vie a disparu. Alors tu rumines, tu te sens triste, même si tu as une vie de fou. Tu chantes (faux) la complainte suicidaire d’un alcoolo au cœur brisé ! C’est un peu ce que j’écris continuellement, super mélancolique, trop long et quasi expérimental dans le même mouvement.
J’ai réussi le grand écart parfait, histoire de retourner le couteau dans la plaie et de magnifier l’effet du bordel. Mais mes texticules sont cliniques, sincères, réalistes. Un jour sans fin, cyclique, un putain de tour de force ! Je me demande souvent comment des articles aussi aboutis peuvent susciter l’indifférence générale, alors que je piétine la majorité des conneries qui ont été créées. Equilibre tenu et ténu entre le vide et mes élucubrations embrumées, que tu lis en rentrant chez toi.
Ouaiiss, mon Popu, continue de vomir, je tabasse. Les RIP et compagnie, ce n’est pas vraiment mon truc. Mais quand après m’avoir lu la plus grande partie de ta vie, je vais disparaître, cela devrait forcément te faire un pincement au cœur. On ne va pas refaire mon histoire, de son importance folle pour beaucoup de gens qui en sont devenus déments. Evidemment. m’est revenu directement en mémoire divers souvenirs d’adolescence, qui me donnent un petit coup de vieux certes, mais qui sonnent toujours d’actualité, surement à jamais. Au final, la seule vraie malédiction de vieillir, c’est bien de voir petit à petit les gens disparaître, et cela de plus en plus régulièrement. T’es encore là, Popu ? Oui ? Non ? Putain, un lecteur assassiné de plus… Mais qui est derrière tout ça ? En réponse une photo de Valérie et moi au bureau…
4 commentaires
Les deux offres sont sans doute plus que raisonnables, il faudrait changer les comportements de consommation !
Je ne vous comprends pas ! Quelles deux offres ? Sans doute est-ce parce que je viens de me lever ! Il s’agit ici de la Bond Bug… et… ? Aaahhhh Oui, les deux offres, Sénéquier et le prix de l’abonnement… Eureka ! Bien,… Vite un café chimique et la journée commence…
Article on ne peut plus relaxant au milieu de la grisaille du nord de la Loire, mon cher Gatsby ! Pour moins cher qu’un café/croissants chez Sénéquier !
Dilemme ! Dois-je augmenter mes prix ou faire baisser ceux de Sénéquier ?
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