“Le Bolide” : Le faux vaccin Bugatti !
Le grand reset approche mes Popus ! Inexorablement les temps nouveaux s’ouvrent à la déconstruction des normes et repères afin de vous faire entrer en immersion dans l’infini d’un espace d’avatars numériques vous rendant spectateurs d’en être les participants actifs ! Vous devenez contenu de votre contenant tout en étant contenant de votre contenu. Vous devenez le web qui devient vous-même, une version incarnée de notre désincarnation virtuelle d’un espace définitivement persistant, créé dans un environnement en perpétuelle évolution ou toute déconnection signifie la mort définitive ! Waouhhhh ! Attention ! Mortel mes p’tits loups ! L’immersion la plus approfondie implique l’usage d’un visiocasque (en l’occurrence le casque de réalité virtuelle “Oculus Rift”, propriété de Facebook), mais Mark Zuckerberg n’en fait pas un prérequis dans l’agrégation de divers univers virtuels existants et rendus interopérables de par ce que vous avez accepté qu’on vous injecte. Connards ! Une injection c’est une pénétration dans votre corps. En Droit c’est un viol. Un viol sexuel d’un homme sur une femme c’est une injection de force de spermatozoïdes et microbes qui vont générer des suites. Ce qu’on vous injecte ne peut s’enlever. Z’êtes piégés ! Cons mais content ! C’est comme couper un membre, jamais il ne repousse, aucun pas en arrière possible après vous êtes fait entuber bien profond ! C’est ainsi que vont s’assembler en vous, dans ces rassemblements hétéroclites de bras-cassés, débiles mentaux et crédules naïfs dégénérés, diverses visions d’univers inexistants qui vont les devenir sans fin…
Si vous avez accepté l’injection tout comme les ceusses qui acceptaient d’aller prendre une douche de Zyclon B pour être tout propret (c’est-y pas les mêmes labos pharmaceutiques ? Des contraintes similaires ?), la dégénérescence coule maintenant dans vos veines de naïfs crédules aux bonnes paroles et aux ordres gutturaux des Gauleiters de sévices ! Votre sang est vectorisé définitivement, vous êtes devenu des cobayes simiesques, vous allez vivre des visions d’autres visions, toutes deux, mêmes que d’autres s’y agglomérant. Grâce à votre stupidité héroïque de moutons bêlants, une économie nouvelle se développe et s’y substitue qui, de fait, est simultanément une économie parallèle en construction infinie couplée à des répliques numériques d’environnements réels (bâtiments, usines, chantiers) destinés à se confondre les uns dans les autres pour y créer des simulations et simultanément des contrôles… Et les premiers grands projets naissent déjà ! Le producteur américain de bière “Anheuser-Busch” a ainsi modélisé la chaîne logistique de ses brasseries avec les outils de “Microsoft”… Et “BMW” s’équipe de chaînes de montage avec ceux de “Nvidia” ! De son côté, “Facebook” a ouvert “Horizon Workrooms”, des salles de réunion accessibles dans un “Oculus Rift” grâce à une application sur le site d’Oculus auto-créé. Une économie parallèle se met simultanément en place dans ces modes virtuels.
Cette naissance re-créative reflète de véritables avancées technologiques (casques, cloud, intelligence artificielle, interfaces cerveau-machine) sans lesquelles le développement de ce monde nouveau n’aurait pas été possible. Il a suffit que vous acceptiez l’injection… Et ce n’est qu’un début. La prochaine étape, consistera à faire appel automatiquement à des gènes-robots d’intelligence artificielle pour peupler les mondes virtuels et remplacer définitivement nos anciens “nous” ! Nos avatars devenus nous, continueront de vivre quand nous seront déconnectés, donc morts, permettant à d’autres clones de se cloner eux-mêmes, entre-eux s’auto-affectant des fonctions précises. Par exemple des simples figurants numériques et des agents conversationnels. Toutes ces initiatives ne sont pas sans rappeler Second Life, créé par la société américaine Linden Lab en 2003. Ce monde virtuel avait en son temps défrayé la chronique avant de tomber dans l’oubli sans toutefois disparaître. Le “Métavers”, puisque c’est le nom du nouveau monde, connaîtra-t-il le même destin ? Trop tôt pour le dire ; le futur du “Métavers” est difficile à imaginer. D’autant que sa définition même diffère d’un interlocuteur à l’autre. Le terme, qui remonte à un roman de science-fiction des années 1990, permet donc de faire des interprétations variées des annonces récentes.
Le chercheur honoraire en sciences de l’information François-Gabriel Roussel, auteur de plusieurs essais sur le sujet, insiste cependant sur la notion de “persistance”, qui n’existe pas encore aujourd’hui ! Les réunions dans un environnement virtuel, à l’instar des visioconférences “Zoom” ou “Skype”, ne sont que des outils. Une fois la réunion terminée l’environnement n’existe plus. Il en sera ainsi de nos anciens nous-mêmes ! Second Life n’était qu’une immersion légère mais n’était pas un “Métavers” ou on se promène d’un monde à l’autre comme on navigue d’un site à l’autre sur le Web. D’ailleurs, dans son acception finale, le “Métavers” pourrait devenir une autre manière d’expérimenter non pas seulement les réseaux sociaux mais Internet en général. Le “Métavers” exacerbe les questions déjà soulevées par la réalité virtuelle et les interfaces actuelles en attente de nettes améliorations ! Le “Métavers” à la manière d’un bureau d’ordinateur permettra à la fois de travailler sur Excel, d’aller sur Internet, d’effectuer des achats en ligne, de faire du traitement de texte, etc… Avec le “Métavers”, on va enfiler un casque de réalité virtuelle pour faire plusieurs choses et non plus une seule activité à un moment donné. Mais pour l’heure, cette notion soulève surtout des questions. Ou, plutôt, exacerbe celles que suscite déjà la réalité virtuelle. En effet, fréquenter un “Métavers” implique d’y passer bien plus de temps que dans les expériences immersives telles qu’on les connaît aujourd’hui.
Toutes les questions d’interaction, de navigation, de déplacement, de perception vont nécessiter de nettes améliorations. Les interfaces de locomotion sont encore extrêmement sommaires. La solution que l’on a trouvée jusque-là consiste à se faire téléporter virtuellement, mais il n’est pas idéal de se téléporter tout le temps ! Idem pour des activités aussi simples que saisir un objet et le déplacer. Le contrôle en réalité virtuelle souffre d’un manque d’interfaces génériques, équivalentes au clavier et à la souris de l’ordinateur. Les manipulations un peu malhabiles actuelles peuvent se transformer en vraies frustrations dans un “Métavers”. La perception pose aussi question : Comment gérer la cybercinétose (la sensation de malaise due à une désorientation en réalité virtuelle) ou le véritable casse-tête de la simulation du toucher ? Certaines solutions peuvent suffire pour quelques minutes d’immersion, pas forcément pour une ou plusieurs heures. Enfin ; “tout cela soulève des questions d’appropriation à long terme de son avatar donc de son identité”, estime Ludovic Hoyet, chercheur à l’Inria spécialisé dans la perception de l’humain virtuel. En règle générale, le sentiment d’incarnation en réalité virtuelle est très rapide mais très peu d’études ont pu mesurer les effets d’une immersion longue et régulière. Ce qui va être intéressant du point de vue de la recherche sera de voir les cas où cela ne fonctionne pas.
Est-ce qu’à long terme, le sentiment d’incarnation va évoluer, se dégrader ? Un lien va sans doute se créer avec notre personnage virtuel. Plus fort que ce qui nous lie par exemple à notre compagnon canin… C’est inquantifiable, non-mesurable. On espère qu’il n’y aura pas d’effets, alors qu’il est vraisemblable que les gens se suicident. Plus qu’un monde virtuel, le “Métavers” s’annonce donc comme un vaste univers peuplé d’Aliens qui sont nous-mêmes. Un total cauchemar dont on ne sortira plus jamais ! Aux origines du “Métavers” il y a le terme, qui vient du roman de science-fiction “Le Samouraï virtuel”, de l’Américain Neal Stephenson, paru en 1992 (Snow-crash en anglais). Il désigne le monde virtuel et urbain du livre, organisé autour d’une unique rue de 65.536 km, le Broadway, les Champs-Élysées du “Métavers”. Plus récemment, la ville sans nom du film “Matrix” (1999) et “l’Oasis” du roman “Ready Player One” d’Ernest Cline (2011), et de son adaptation à l’écran par Steven Spielberg, sont des “Métavers”. Et la Bugatti Bolide avec ses 1850 chevaux et plus de 500 km/h est un “Métavers” automobile, du rêve cauchemardé qui n’existe dans aucune réalité mais qui sera vendu une fortune, bien réelle !
Après quelques teasers aguicheurs et des photos espion exclusives d’une “chose” qui n’existe pas, le temps est enfin venu de savoir ce qu’est l’inexistant ! Tout comme les vaccins Covid, tout est dans la simulation d’une réalité indiscernable, tout est mensonge, tout à l’air pourtant authentique ! Des millions de morts qu’on ne découvre nulle part qu’en affirmations, en simulations, cela est adapté aux rêves éveillés à grands slogans péremptoires… Jamais une Bugatti (qui n’existe pas) n’a été plus extrême dans l’histoire de la marque. Comme l’invente la firme de sorcellerie de Molsheim, trois mots suffisent à la décrire : “Réduite, brute, authentique”. Que du vent ! Le concept technologique de la Bugatti Bolide est donc la création d’une illusion ! Le constructeur automobile français de luxe présente ses réponses à ses questions et ose demander si Bugatti construisait un véhicule radicalement léger juste autour de l’emblématique moteur W16 de 8,0 litres, qu’est ce que ça donnerait si la puissance augmentait, et le poids diminuait ? Avec des chimères, on peut aller sur la lune sans quitter son lit. Alors, la gigantesque illusion devient une fabuleuse escroquerie à l’illusion que les naïfs se font. La réponse est une illusion d’ordinateur, comme un film capable de faire peur, rire et pleurer… Bugatti virevolte en virtuose en proposant un artefact présenté comme un monstre dédié à la course, prêt à enchaîner les tours des pistes du monde entier à un rythme jamais atteint !
Lorsqu’on nage dans le virtuel, tout est possible, d’emblée elle atteint 500km/h dispose de chevaux infinis et d’un poids divisé par deux. Aucun miracle, que de l’illusionnement ! Le fameux chiffre de 0,67 que Bugatti avait annoncé dans un teaser laissant supposer que c’était réel : le rapport poids/puissance. Les imbéciles crédules osaient à peine y croire ! 0,67 kg/ch, ça veut dire dans leurs têtes de Pifs-Gadgets, plus concrètement, que chaque cheval du moteur W16 n’a qu’un peu plus d’un demi-kilo à déplacer ! Tout ça grâce à l’utilisation massive de matériaux légers, ultra-légers même, puisque chaque vis et fixations de la Bugatti Bolide sont en titane, que la carrosserie est intégralement en fibre de carbone, et ce n’est pas tout ! Tient, bouffe ! Avale ! Pauvre con ! En effet, l’impression 3D a également été mise à contribution pour certains éléments en titane, permettent d’affiner au maximum chaque pièce, certaines ne présentant une épaisseur que de 0,5 millimètre ! Le Bolide de Bugatti mesure virtuellement 4,75 mètres de long, 1,99 mètre de large et sa hauteur a été réduite tout juste sous le mètre, à 0,99 mètre. Imaginez-vous l’imaginaire puissance mille : cette hypercar pulvérise le 0 à 100 km/h en 2,17 secondes !! ! Tant qu’à faire, on aurait pu écrire 1 seconde, quoiqu’il faut avoir un zeste de crédible !
Dans ce monde virtuel, oubliez la tendance actuelle à l’électrification avec des supercars hybrides, comme les Ferrari SF90 et autres Koenigsegg Jesko, pour ne citer qu’elles. Ici, la firme de Molsheim conserve son W16, à l’ancienne pourrait-on presque dire, avec ses cylindres, ses pistons, et aussi ses 4 turbo compresseurs qui soufflent sans relâche. Mais la fiche des performances est encore plus incroyable que l’imaginaire : le 0-400-0 km/h, c’est-à-dire une accélération jusqu’à 400 km/h puis freinage brutal pour s’arrêter de nouveau, est annoncé en 24,64 secondes. Si ça ne vous parle pas, alors mettons-le en perspective : la Koenigsegg Regera, détentrice du titre sur cet exercice, l’a fait en 31’49 secondes… C’est de ne pas exagérer l’exagération qui rend l’exagération crédible, l’escroquerie est un art ! Autre chiffre ahurissant : la Bugatti Bolide annonce un tour du Nürburgring en 5 minutes, 23 secondes et 1 centième. Soit 4 secondes de moins que la détentrice actuelle du record, la Porsche 919 Hybrid Evo, double vainqueur des 24 Heures du Mans en LMP1, avec son temps de 5’19”54. Puisqu’on est dans les chiffres, Bugatti parle d’une accélération latérale de 2,8 G, et d’un système de freinage évidemment au garde-à-vous : 4 disques en magnésium forgé de 340 mm à l’avant et 400 mm à l’arrière, pincés par des étriers à 6 pistons, chacun ne pesant que 2,4 kilos !
C’est là que l’art du pâtissier-sorcier excelle, car il susurre que ; “Toutes les Bugatti produites à ce jour se caractérisent par des formes non conventionnelles, mais toujours guidées par la recherche de la beauté, la Bolide suit au contraire l’idée d’une forme qui suit uniquement et exclusivement la fonction”... La performance même préfère dire la marque alsacienne. Parce que l’efficacité inventée sur la piste l’emporte sur une esthétique séduisante, pour fendre l’air avec la meilleure efficacité possible (sic !) le nez (la calandre “fer à cheval”) est écrasé, les entrées d’air sont élargies, l’aileron arrière prend des proportions jusqu’alors jamais vues chez Bugatti. Autant d’éléments qui appuient l’hypercar au sol, permettant une force d’appui de 1800 kg à 320 km/h. Sans oublier la dérive centrale et une prise d’air de toit innovante ! La totale ! Cette dernière aurait en effet une enveloppe extérieure spéciale, jamais vue, déformable qui, à mesure que la vitesse augmente, change de forme pour réduire la traînée aérodynamique jusqu’à 10 % lors des pointes à grande vitesse. Elle permet aussi de réduire 17% des forces de levage. C’est fort, là, très fort…
Enfin, il y a le cockpit, qui ne ressemble manifestement pas du tout à celui de la Chiron, ni à celui de ses sœurs, mais qui peut tout de même accueillir 2 personnes placées sur des baquets aussi fins que peu confortables (sic !) avec la coque en fibre de carbone. Derniers mensonges et enculade bien profonde par toute l’équipe qui claironne que c’est une véritable voiture de course à part entière, conforme à toutes les réglementations de la FIA en matière de sécurité, avec un système automatique d’extinction des incendies et une compatibilité HANS ! Mais que faut-il véritablement comprendre dans cette Bugatti Bolide ? Pourquoi est-elle là ? Est-ce un concept de voiture pour participer au championnat d’endurance dans la classe LMP1 ? Est-ce un simple exercice d’ingénierie poussé à son paroxysme ? La réponse officielle de Bugatti est la suivante : “Réservez-là avec un déposit conséquent, il n’y en aura pas pour tout le monde” ! Tout ça pour une entreprise de consumérisme classique… Et la firme de Molsheim de rajouter qu’elle n’a toujours pas décidé de produire en (petites) séries le Bolide d’autant plus qu’elle vient d’être rachetée par un fabricant Slave de voitures sportives… Des photos espion d’un faux prototype roulant permettent quand même d’espérer un peu plus qu’une simple étude de style, non ? Le genre qui fait attendre sans oser réclamer ! Tous pourris ! La honte !
2 commentaires
La photo tout en noir avec les sabres rouges a un petit côté uniforme noire de la SS !
Du cousinage sans doute…
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