Les SecretsInterdits de GatsbyOnline…
Quoi de neuf ici ?
www.GatsbyOnline.com + www.ChromesFlammes.com + www.SecretsInterdits.com : 7.000 visites/jour depuis 1998 …
Chromes&Flammes “papier”, 500.000 exemplaires mensuels en 5 langues/éditions dans le monde entier depuis 1979 …
Le marketing dans le monde digital…
Le digital est omniprésent dans notre quotidien et représente désormais un composant incontournable du marketing. Son apport a bouleversé les règles du marketing traditionnel en créant de nouvelles opportunités ; mais ces nouveaux leviers les ont aussi complexifiées, en raison notamment de la multiplication des points de contact entre les marques et les consommateurs. Maîtriser ces nouvelles tendances du marketing digitalisé nécessite de bien connaître le fonctionnement de ces leviers et de bâtir un plan d’actions marketing solide.
Comprendre le monde du digital…
En à peine 20 ans, plus de 3 milliards d’individus dans le monde sont devenus des internautes, soit environ 42 % de la population mondiale. Ces chiffres suffisent à mettre en relief le bouleversement de nos sociétés causé par le raz de marée digital. Les évolutions provoquées par l’utilisation croissante d’Internet ne sont pas seulement technologiques. Nos comportements ont profondément changé dans tous les domaines et, désormais, partout dans le monde. Simplement, si vous réfléchissez à votre vie quotidienne, vous vous rendrez compte que les moments de déconnexion d’Internet sont rares.
Répartition des internautes dans le monde…
Contrairement aux idées reçues, le continent américain n’est pas dominant dans le secteur de l’Internet, même si nombre d’acteurs majeurs en sont issus :• L’Amérique et l’Europe sont à maturité avec une population connectée représentative de la population globale.• L’Asie – déjà dominante en termes de population connectée – a encore un potentiel de croissance énorme.• L’Afrique représente un potentiel considérable. L’Internet mobile y est particulièrement représenté. En France, la pénétration est de 83 % de la population. Les 17 % non connectés sont stables depuis plusieurs années. Ils représentent une certaine « fracture numérique ».
La fracture numérique…
Fracture numérique française : on peut effectivement se réjouir du taux d’utilisation d’Internet en France qui est depuis plusieurs années bien placée en Europe. Néanmoins, il faut noter que quatorze pays dans le monde devancent la France sur ce taux de pénétration et que la Norvège est à plus de 96 %. De plus, les accès Internet sont à plus de 50 % professionnels, ce qui réduit considérablement les accès domestiques. Le taux français ne progresse pas beaucoup ces dernières années et amène à penser qu’il risque de peu progresser les prochaines années. On peut donc parler de véritable fracture numérique. 17 % des Français n’ont pas accès aux services publics sur Internet alors que ceux-ci facilitent grandement la vie et sont parfois même presque indispensables. Payer ses impôts, consulter son compte en banque, communiquer avec ses amis, rechercher un emploi, suivre la scolarité de ses enfants, etc. Autant de services beaucoup plus difficiles d’accès sans abonnement haut débit à la maison. Par ailleurs, 99 % des entreprises françaises sont connectées. Les obligations administratives et la nécessité d’améliorer la productivité ont été des facteurs déterminants du développement de l’Internet B2B.Ainsi, dans le secteur de l’administration publique, la France est très bien lotie : elle possède en effet l’une des administrations les plus performantes et modernes du monde. L’administration fiscale notamment enregistre plus de 40 % de déclarations d’impôts sur le revenu en ligne, le Trésor public ayant déjà annoncé sa généralisation progressive. Pour les professionnels, la déclaration des impôts sur les sociétés est déjà obligatoirement digitale.
Données sur les usages…
En 2002, nous passions en moyenne 45 minutes sur Internet chaque jour. En 2015, nous y passons en moyenne plus de 4 h 15 par jour ! La télévision, en baisse depuis deux ans, représente encore 3 h 45 de nos journées environ. Le trafic Web sur mobile, quant à lui, double chaque année depuis 3 ans pour atteindre plus de 30 %du trafic Internet en 2015 et environ la moitié du trafic Web en 2016. Ces données nous montrent bien la montée en puissance de l’Internet qui vient bouleverser nos habitudes et nos équilibres économiques. Avec la consommation de musique et de vidéo en streaming, le replay, et sans parler du téléchargement légal ou illégal, les médias traditionnels sont bien contraints de s’adapter et d’inventer de nouveaux modèles.
Chaque minute, sur Internet :
• 4 millions de recherches Google sont effectuées.
• 2,46 millions de contenus sont partagés sur Facebook.
• 347 222 photos sont partagées sur WhatsApp.
• 277 000 tweets sont envoyés.
• 216 000 photos sont partagées sur Instagram.
• 8 333 vidéos Vine sont partagées.
• 3 472 images sont épinglées sur Pinterest.
• 72 heures de vidéo sont téléchargées sur YouTube.
• 204 millions de mails sont envoyés.
Et, à l’instant où vous lisez ces lignes, ces chiffres ont encore augmenté de manière considérable.
Conclusions à tirer de ces statistiques étourdissantes…
L’époque où Internet pouvait être considéré comme un média mineur comparé aux médias de masse comme la télévision, la radio, la presse, est bien révolue.
Les silos sont tombés puisque l’Internet diffuse la télévision, celle-ci est connectée et la visualisation de vidéos sur mobile a explosé avec les nouveaux smartphones et les réseaux 3G et 4G.
-Internet est devenu le média majeur et incontournable plébiscité par les consommateurs.
-La « convergence des médias » longtemps annoncée s’oriente vers la dominance du Web, auquel les autres médias sont contraints de s’adapter.
-On parle de « TV connectée », d’offres digitales pour la presse et même de commerces connectés.
-Les nouveaux usages sont mobiles, locaux, tactiles, sans contraintes temporelles, ni matérielles. On est passé d’une logique d’interface utilisateur à une logique d’expérience utilisateur.
-Finalement, le monde entier est devenu digital. Il ne peut donc plus exister de cloisonnement entre le marketing on et le marketing off.
Un peu d’histoire…
La jeune histoire d’Internet a été mouvementée et a bouleversé nos modes de vie :
1. La première phase, à dominante technologique, a un développement très (trop) rapide. Elle s’oriente vers l’interface homme-machine, qui offre des possibilités nouvelles presque infinies. Mais on en oublie le principal intéressé : l’internaute.
2. Après l’explosion de la fameuse bulle, le Web se développe sur des bases plus saines et commence à penser « utilisateur ». Le développement se poursuit en silo sans beaucoup d’interactions avec le monde physique.
3. La troisième phase représente l’avènement du Web 2.0, c’est-à-dire l’implication et l’interactivité des internautes. Les réseaux sociaux se développent et les consommateurs génèrent et partagent leurs propres contenus. Les entreprises ayant adopté très tôt une stratégie de contenus de qualité en récoltent les fruits car c’est aussi l’époque du développement de la sémantique. On parle sans cesse de la convergence inéluctable…
4. Enfin, la phase que nous vivons voit la croissance fulgurante du Web mobile. La convergence n’est pas tout à fait celle qu’on attendait. Le digital est désormais partout présent et bien ancré dans la société.
GatsbyOnline + ChromesFlammes + SecretsInterdits se sont préparés au déploiement et au pilotage d’un marketing-communication digital performant qui suit dans son ensemble le cheminement de création d’un plan marketing digital, car le nouvel environnement digital qui nous entoure impose de peaufiner san cesse : offre, business-modèle et stratégie. Le digital agit en effet sur le fonctionnement civilisationnel, aux nouveaux comportements des consommateurs et aux impacts sur la stratégie marketing. D’où l’importance de bien comprendre, identifier et segmenter les internautes qui viennent sur nos pages-web-sites.
Internet est devenu le média majeur et incontournable plébiscité par les consommateurs.
La « convergence des médias » longtemps annoncée s’oriente vers la dominance du Web, auquel les autres médias (papiers) sont contraints de s’adapter pour ne pas mourir. On parle de « TV connectée », d’offres digitales pour la presse et même de commerces connectés. Les nouveaux usages sont mobiles, locaux, tactiles, sans contraintes temporelles, ni matérielles. On est passé d’une logique d’interface utilisateur à une logique d’expérience. Finalement, le monde entier est devenu digital. Il ne peut donc plus exister de cloisonnement entre le marketing “on” et le marketing “off”.
www.GatsbyOnline.com + www.ChromesFlammes.com + www.SecretsInterdits.com dans ce contexte, sont immédiatement visibles et lisibles dans la langue de chaque internaute grâce aux nouvelles technologies, ils forment donc le premier magazine-Web plus que quotidien, mais permanent 24h/24h… La grande épopée des multiples éditions traduites et imprimées comportant un gigantisme de traductions, adaptations, modifications, impressions multiples et transports dans le monde entier est révolue et le coût d’abonnement a chuté au minimum de moins d’un euro pour le premier mois et moins de 5 par la suite, pour une consultation immédiate continue sans limite de 4.000 articles avec section vidéo-cinéma et liseuses Hi-Tech des magazines “papier” précédent.
La jeune histoire d’Internet a été mouvementée et a bouleversé nos modes de vie :
1. La première phase, à dominante technologique, a eu un développement très (trop) rapide, s’orientant vers l’interface homme-machine, offrant des possibilités nouvelles presque infinies. Mais on en oubliait le principal intéressé : l’internaute.
2. Après l’explosion de la fameuse bulle, le Web s’est développé sur des bases plus saines et a commencé à penser « utilisateur ». Le développement s’est alors poursuivi en silo sans beaucoup d’interactions avec le monde physique.
3. La troisième phase a représenté l’avènement du Web 2.0, c’est-à-dire l’implication et l’interactivité des internautes. Les réseaux sociaux se sont développés et les consommateurs ont génèré et partagé leurs propres contenus. Les entreprises ayant adopté très tôt une stratégie de contenus de qualité en récoltent les fruits actuellement car c’est aussi l’époque du développement de la sémantique et de la convergence inéluctable… Deux sites faisant partie de notre groupe, LesAutomobilesExtraordinaires.com et SecretsInterdits.com viennent de cette époque des débuts du Web ! Ils existent toujours regroupés dans GatsbyOnline !
4. Enfin, la phase que nous vivons voit la croissance fulgurante du Web mobile. La convergence n’est pas tout à fait celle qu’on attendait. Le digital est désormais partout présent et bien ancré dans la société. Là aussi GatsbyOnline a été adapté aux Téléphones portables en conservant toutes les fonction du site-web-ordinateur
Bienvenue ! www.GatsbyOnline.com, le premier magazine numérique quotidien mondial 24h/24h réservé aux hommes, épicuriens, intelligents, déjantés, caustiques, désabusés, humoristes, cinéphiles, baroudeurs, satyres & satiriques… aimant la vie, les femmes, les autos, les motos, les bateaux, les avions et les machines extraordinaires !…
Glossaire du marketing digital
A/B testing
Technique utilisée en marketing digital afin d’optimiser la qualité d’un site web, d’un emailing, d’un visuel. Il s’agit de mettre en place simultanément deux versions différentes (A et B)d’une même fonctionnalité, en changeant une variable. À l’issue de ce test en réel, la version la plus efficace est mise en place de façon pérenne.
Ad-exchange
Plateforme automatisée qui permet d’acheter et vendre des espaces publicitaires online en temps réel. Grâce à un système d’enchères automatisées, chaque annonceur achète des emplacements publicitaires aux sites, réseaux et régies, en fonction des critères de ciblage, d’audience et de prix qu’il a définis. La publicité est ensuite mise en ligne en quelques millisecondes.
Affiliation
Pratique de marketing digital qui permet à un site web diffuseur – l’affilié – de relayer les produits ou services d’un annonceur partenaire, l’affilieur qui rémunère l’affilié en fonction des ventes, visites ou leads générés.
Atawad
Acronyme désignant l’expression « any time, any where, any device ». Cela illustre l’évolution sociétale et technologique qui fait que les individus ont l’habitude et l’envie d’accéder aux contenus quels que soient le moment, le lieu et le support (ordinateur, mobile, TV, tablette). Le terme ATAWADAC précise « any content », c’est-à-dire quel que soit le contenu.
Beacons
Technologie de géolocalisation permettant à l’annonceur d’interagir en temps réel de façon personnalisée avec son client. En fonction des informations à disposition (profil, historique d’achat) et du lieu où il se trouve, l’annonceur peut ainsi envoyer un message directement sur le mobile du client.
Capping
Fonctionnalité permettant, grâce à l’exploitation de la data, de limiter la fréquence à laquelle un utilisateur sera exposé à une même publicité online. Cette technique évite la surexposition publicitaire et donc le phénomène de saturation.
Click & mortar
Expression anglo-saxonne désignant une entreprise ayant ajouté une activité en ligne (click) à son commerce physique traditionnel (mortar).
CMS
Acronyme désignant un « content management system », c’est-à-dire un outil de gestion de contenu. Ce type de logiciel permet de concevoir et de publier des documents sur internet, comme par exemple WordPress pour la gestion d’un blog.
CNIL
Acronyme de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. Cette autorité administrative française est garante de la protection des citoyens face au monde digital, notamment en matière de gestion des données personnelles. Référent dans son domaine, elle contrôle que la loi est respectée et sanctionne lorsque cela n’est pas le cas.
Cookie
Petit fichier texte stocké sur le terminal de l’utilisateur pour l’identifier. Il permet aux sites internet de reconnaître leurs visiteurs, donc d’établir des statistiques, et potentiellement de s’adresser à chacun de façon plus personnalisée.
CPM, CPC, CPA
Acronymes correspondant aux différents modes de rémunération possibles en publicité online.
CPM
Signifie « coût par mille », c’est un coût payé pour 1.000 affichages de la publicité.
CPC
Représente le « coût par clic », c’est le coût payé à chaque fois qu’un utilisateur clique sur la publicité.
CPA
Correspond au « coût par action », c’est une rémunération au résultat, qui intervient chaque fois qu’un utilisateur réalise une action définie comme l’objectif de la campagne : par exemple remplir un formulaire ou effectuer un achat.
Cross-device
Technique qui vise à personnaliser l’expérience utilisateur, en l’identifiant et en le ciblantsur les différents écrans (TV, desktop, mobile, tablette) qu’il utilise.
Crowdfounding
Tendance sociétale, également appelée « financement participatif », selon laquelle un entrepreneur ou une entreprise peut financer un projet en faisant appel à un grand nombre de personnes, généralement via une plateforme digitale, par exemple Kickstarter ou Kisskissbankbank.
Crowdsourcing
Technique de développement participatif consistant, pour une entreprise, à faire appel pour son propre projet à la créativité et au savoir-faire d’un grand nombre de personnes extérieures. Cette technique peut s’appliquer pour recueillir des avis d’utilisateurs comme pour faire un appel d’offres pour une création publicitaire.
Curation
Méthode visant à collecter des informations pertinentes autour d’un thème donné et à les partager de façon claire et organisée, sur un blog dédié ou sur les réseaux sociaux par exemple.
CX
Acronyme de « customer experience », c’est-à-dire l’expérience client. Cette expression désigne le ressenti du client tout au long de son parcours et des points de contact avec la marque, de la recherche d’informations en amont jusqu’aux échanges post-achat.
Content marketing
Technique qui consiste à développer et diffuser gratuitement des contenus (vidéos, blogs, livres blancs, articles) susceptibles d’intéresser ses prospects. Cette méthode, alternative à la publicité « push », permet de se faire connaître, de gagner en légitimité, d’acquérir une audience qui se convertira en clients.
DMP
Acronyme de « data management platform » ou plateforme de gestion des données. Il s’agit d’une plateforme qui permet de collecter, centraliser, analyser et exploiter toutes les données relatives à ses clients et prospects, de façon à mieux personnaliser ses communications et à gagner en impact.
E-merchandising
Ensemble de techniques visant à optimiser l’ergonomie d’une interface web, afin d’optimiser le taux de transformation et le panier moyen.
Growth hacking
Méthode issue de la Silicon valley, dont l’objectif est de booster la croissance en utilisant des techniques peu coûteuses, créatives, malignes et agiles. Le terme growth marketing est également employé, pour différencier les pratiques actuelles des techniques des hackers informatiques.
Inbound marketing
Par opposition à l’outbound marketing, qui consiste à envoyer des messages « push » à ses prospects, l’inbound marketing consiste à faire venir les clients à soi (« pull ») en diffusant des contenus qui correspondent à leurs besoins, en se rendant visible et accessible, et en facilitant la conversion.
IOT
Acronyme d’« internet of things » ou internet des objets. Cette expression désigne le fait qu’internet s’applique aujourd’hui aussi au monde physique, à travers les objets connectés et l’intelligence artificielle, qui permettent potentiellement d’améliorer l’expérience utilisateur.
IRL
Acronyme de « in real life », c’est-à-dire dans le monde physique, par opposition au monde digital.
Lead nurturing
Technique utilisée essentiellement en B to B, qui consiste à bâtir une relation forte avec un prospect (le « lead ») et à le nourrir de contenus afin qu’il murisse sa réflexion et se transforme en client.
Longue traîne
Phénomène propre au e-commerce, caractérisé par le fait qu’une partie importante du chiffre d’affaires est souvent réalisée par la somme des ventes d’une multitude de produits à très faibles rotations. Un phénomène proche est souvent constaté en référencement, le trafic pouvant provenir d’un nombre important de mots-clés, chacun d’entre eux étant peu utilisé.
Marketing automation
Ensemble de techniques et de moyens qui permettent d’envoyer de façon totalement automatisée des messages ciblés et personnalisés à ses prospects en fonction de critères et scénarios établis en amont. Cette méthode a pour objectif d’envoyer le bon message, à la bonne personne, au bon moment, via le bon canal, et d’optimiser ainsi le taux de conversion.
Media snacking
Tendance sociétale forte liée à la transformation digitale qui consiste à préférer les contenus courts, rapidement consommables. Dans ce contexte, pour capter l’attention, les marques développent du snacking content, c’est-à-dire des contenus très courts et allant à l’essentiel.
Native advertising
Forme de publicité consistant à intégrer un contenu de marque au sein d’un média. Ce modèle, qui s’est développé suite à la baisse de l’efficacité de la publicité traditionnelle, permet à la marque d’affirmer son expertise à travers un contenu pertinent, sans faire de publicité directe sur ses produits.
Opt-in, opt-out
Deux manières de collecter les données utilisateurs, pour les utiliser à des fins commerciales. Avec l’opt-in, l’utilisateur donne explicitement son accord, alors qu’avec l’opt-out, ses données sont collectées automatiquement sauf s’il émet le souhait qu’elles ne le soient pas.
Permission marketing
Concept inventé par Seth Godin, selon lequel la clé de l’efficacité des campagnes marketing est d’obtenir en amont l’accord du prospect avant de lui délivrer un message (opt-in). Ainsi, il ne perçoit pas le message comme intrusif, il y est plus réceptif et plus enclin à s’engager.
POEM
Acronyme de « paid, owned, earned media », concept qui divise les médias en trois catégories : les médias que l’on achète (paid media : la publicité), ceux que l’on possède (owned media : par exemple son site web, son blog, ses réseaux sociaux) et ceux que l’on acquiert (earned media : par exemple les retombées presse et le buzz).
RTB
Acronyme de « real time bidding ». Il s’agit d’un système d’enchères en temps réel qui est utilisé pour acheter et vendre des espaces publicitaires digitaux. Les échanges ont lieu sur des plateformes appelées « ad-exchanges » et se font de façon automatique en quelques millisecondes, selon le principe de la publicité programmatique.
Retargeting
Concept qui consiste à personnaliser les bannières publicitaires online en fonction des comportements digitaux et des centres d’intérêt de l’utilisateur, afin de les rendre plus pertinentes et donc plus efficaces. Ainsi, un utilisateur ayant regardé un produit sur un site pourra visionner la publicité de ce produit lors de sa navigation sur un autre site. Sur le même principe, l’email retargeting consiste à envoyer un email à l’utilisateur qui a regardé un produit sans procéder à un achat.
ROPO
Acronyme de « research online, purchase offline », qui désigne l’un des comportements de consommation cross-canal alliant les points de vente physiques et digitaux : le ROPO consiste à se renseigner sur internet puis acheter en point de vente, le ROBO (« research offline, buyonline »), également appelé « showrooming », désigne le comportement inverse, c’est-à-dire se renseigner et aller voir le produit en point de vente puis passer sa commande en ligne.
SEO, SEA, SMO, SEM
Termes utilisés pour définir les différents types de référencement d’un site web.
SEO
Signifie « search engine optimization » et correspond à l’optimisation de la visibilité du site via son référencement naturel. Ce sont toutes les techniques permettant d’améliorer sa position dans les moteurs de recherche.
SEA
“x_elementToProof” représente le « search engine advertising ». Il s’agit d’un référencement payant qui offre une visibilité en tant que lien sponsorisé en tête des résultats de recherche, grâce à l’achat de mots clés, les « adwords » de Google par exemple.
SMO
Correspond au « social media optimization ». Ce sont toutes les techniques visant à donner plus de visibilité à la marque sur les médias sociaux, et donc à développer par ce biais les visites sur le site.
SEM
Représente le « search engine advertising ». Il s’agit d’un référencement payant qui offre une visibilité en tant que lien sponsorisé en tête des résultats de recherche, grâce à l’achat de mots clés, les « adwords » de Google par exemple. Le SEM couvre la visibilité globale du site et de la marque, il englobe le SEO, le SEA et le SMO.
SoLoMo
Acronyme qui désigne l’expression « social, local, mobile ». Cela couvre l’ensemble des pratiques marketing cross-canal qui intègrent dans leur approche à la fois l’utilisation du mobile, les échanges sociaux, et la proximité. Par exemple : une marque qui pratique le click & collect envoie un sms à son client lorsqu’il est géolocalisé près de sa boutique, organise des jeux concours sur Facebook.
Social commerce
Pratique qui consiste à utiliser les réseaux sociaux pour développer ses ventes. Cela comprend à la fois les possibilités de ventes directes (grâce au bouton « buy » ou dans les boutiques virtuelles) et la capacité à utiliser les réseaux sociaux de façon à valoriser suffisamment sa marque et ses produits pour générer de l’engagement et donc développer ses ventes de façon indirecte.
Social media intelligence
Ensemble des méthodes et techniques qui permettent d’« écouter » les médias sociaux. Il s’agit d’analyser les échanges afin de mieux comprendre les comportements, attentes et insatisfactions de ses clients et prospects, et d’identifier des insights, sources d’innovation.
Trigger marketing
Ensemble des techniques marketing de personnalisation consistant à envoyer automatiquement un message ciblé lorsque le prospect fait une action (exemple : premier achat du client) ou lorsqu’un événement se produit (exemple : anniversaire du client) selon des scenarii prédéfinis.
UGC
Acronyme de « user generated content », qui désigne le contenu produit par les utilisateurs ou les visiteurs, par opposition au contenu créé par les marques et médias traditionnels. Les réseaux sociaux, les sites communautaires contiennent par exemple du contenu créé par les utilisateurs.
UX
Acronyme de « user experience », c’est-à-dire l’expérience utilisateur. Cette expression désigne le ressenti et la réaction du client tout au long de son utilisation du produit ou service de la marque. L’UX design consiste à concevoir le site web de la marque de façon à optimiser l’expérience de l’utilisateur.
Web 2.0
Terme très utilisé à la fin des années 2000, englobant les sites dits de « seconde génération », qui intègrent des modalités communautaires et collaboratives et permettent à l’utilisateur de devenir acteur, comme les blogs et les réseaux sociaux.
Web 3.0
Terme aux contours par définition mal définis, car il représente le web de demain, celui qui, en utilisant les nouvelles tendances et technologies digitales, succédera au web 2.0.
Web analytics
Ensemble des outils permettant d’analyser et suivre des KPIs digitaux, donc de piloter son activité digitale. Parmi les plus utilisés, Google analytics permet d’analyser le trafic sur son site en provenance du moteur de recherche, et donc d’optimiser son site en fonction des résultats.
Web to store
Dispositif également appelé « drive to store » par le lequel la marque incite ses visiteurs à venir sur les points de vente physiques. Le principe du « click & collect » est par exemple de commander en ligne puis de venir chercher sa commande directement sur le point de vente choisi.