Éloge paradoxal de la procrastination masturbatoire relative à des beautés éphémères hors-de-prix !
Bonjour a vous tousses mes Popus-internautes. Je suisse z’heureux de vous accueillir dans un nième article de ce web-site trois en un, regroupant depuis trente ans GatsbyOnline/ChromesFlammes/SecretsInterdits dont le contenu outre des photos et vidéos, est une compilation dantesque (donc démente) d’un ensemble de texticules couillus (des petits textes bien membrés) qui dans leur ensemble de 4.000 articles illustrés forment une part de ma vie…
L’ensemble est une sorte de roman tel que “Guerre et paix”, monument de la littérature Russe, de Léon Tolstoï, qui a marqué et influencé le monde littéraire d’hier et d’aujourd’hui, entrecoupé de réflexions politiques et philosophiques de l’auteur qui dénonce autant qu’il raconte (avec finesse) l’univers aristocratique russe, ses intrigues et ses romances, tandis que le spectre d’un conflit mené par Napoléon se rapproche, sonnant les débuts d’une guerre.
Elle marquera l’imaginaire collectif. L’exemple est finement choisi car, sans aucunement égaler ce Maître de la littérature Russe, ni les faits politico-militaires actuels, alors que nous sommes plongés dans un conflit USA-OTAN/RUSSIE quasi civilisationnel mené par les USA visant leur domination planétaire, je m’efforce de vous présenter de même façon des sujets qui vous touchent toutes et tous autant que vous êtes, même si vous ne l’êtes pas…
Quoiqu’en internautes attentifs /attentives et curieux / curieuses que vous êtes, vous vous interrogiez soudain de quoi est-ce que je vais vous causer…
C’est de la procrastination masturbatoire dont il sera plus sujet à réponses qu’à questions. Du latin pro, cras, et tinere, procrastination signifie littéralement l’acte de remettre au lendemain . C’est avoir un quelconque devoir a remplir, dans un temps plus ou moins long, et décider de l’accomplir au dernier moment.
En ce cas, la procrastination masturbatoire agit à la fois comme un motif de remettre l’acte d’écrire des texticules couillus le temps de s’en branler plus où moins copieusement (dans la mesure du possible d’un âge qui persiste à avancer, mes 73 ans commençant à peser) et à la fois de se branler la tête de même façon que de devoir écrire ce texticule alors que ce web-Site est déjà gavé de 4.000 articles que vous ne lirez jamais en totalité (de même que “Guerre et paix) !
Un texticule de plus dans une Nième éjaculation littéraire ne modifiera en rien qu’il spermate votre cerveau pour donner naissance à une vision génialissime. Par exemple, ce texte… Je l’ai commencé hier matin-même alors que ça fait des semaines que je me suis dit que je devrais le rédiger pour me soulager et en jouir… Mais il est resté en attente. Vous conviendrez que si j’avais commencé en avance, je me serais pareillement moqué de l’insondable bêtise humaine…
L’opinion commune, et par-là j’entends probablement vous-mêmes, considère la procrastination comme un symptôme caractéristique de la paresse, comme un mal rampant qui handicape le bon fonctionnement de notre société, et pire encore : comme l’obstacle principal a l’atteinte de nos objectifs personnels, de nos rêves. Eh bien aujourd’hui, je compte en très peu de temps changer complètement votre opinion sur ce sujet. Photos à l’appui du texte…
Je vais tenter vous prouver une bonne fois pour toutes qu’il est tout a fait bénéfique de pratiquer la procrastination masturbatoire. Je vous présenterai pour ce faire trois arguments. Premièrement, pratiquer la procrastination masturbatoire rend intelligent. A première vue, vous ne me croyez peut-être pas, mais considérez, les idées suivantes : En accomplissant son travail a la dernière minute, le procrastinateur-masturbatoire ne dispose que d’un temps réduit…
Le branleur a eu des heures de préparations, alors que le procrastinateur est content d’avoir devant lui ne serait-ce que vingt minutes, cela le force a oeuvrer vite et a savoir distinguer ce qui est important de ce qui ne l’est pas. Cela le force a agir plus efficacement. Ces conditions de travail pénibles sont un précieux entraînement. Pensez a tous ces queutards qui partent s’entraîner dans les toilettes : l’air pur y est rare, mais le corps s’y adapte et se renforce en proportion.
De la même manière donc, le procrastinateur-masturbatoire, a force de se branler des pires conneries, aiguise et affûte son imaginaire, de telle sorte que face a n’importe quel problème, il ne lui faudra que quelques tapotages bien placés, tandis que le branleur et son esprit aussi mou que son attribut viril s’acharnera sur le même problème, comme un homme des toilettes-cavernes. Voila donc mon premier argument.
Je pense avoir été clair et concis : pratiquer la procrastination-masturbatoire rend intelligent. Mais je passe sans plus attendre a mon deuxième point : Pratiquer la procrastination-masturbatoire rend heureux. Oui, heureux, rien que ça ! Pourquoi ? Pour commencer, et c’est une raison triviale, mais fondamentale : le procrastinateur-masturbateur a bien plus de temps. Parce que ses périodes de travail sont courtes !
ll jouit donc d’une réserve considérable de temps libre qu’il peut employer a sa guise. Vous connaissez tous, mes Popus, cette grande contradiction de notre
société, qui veut que nous soyons a la fois bombardés d’incitations aux loisirs et débordés par nos occupations de travail qui nous empêchent d’accéder a ces fameux loisirs. Eh bien le procrastinateur-masturbateur que je suisse deviendou a résolu le problème !
En y travaillant juste ce qu’il faut, il lui est permis de s’adonner a toutes sortes de passions déviantes (ce dont il peut être fier), et conserver son énergie à d’autres besoins inavouables, tel se donner le droit de faire ce qu’il veut, s’accorder et écouter au lieu de dire, regarder au lieu de pointer du doigt ! Prenez l’exemple de la lecture de mes articles. Quand vous avez pour la première fois été capables de lire un de ceux-ci, vous ne pouvIez plus vous en décrocher….
Vous voulez toujours plus d’histoires, plus de contes, plus d’aventures. Car ce sont bien les délais et les obligations qui minent nos existences. Si je donne virtuellement un Hot-Rod équipé d’un V8 Hémi 7L à compresseur a un internaute, il en jouera (en jouira peut-être s’il ne paye pas taxes, essence et frais) avec toute la joie qui est caractéristique à un jouisseur qui ne doit pas payer son auto-branlage. S’il doit payer, il se branlera tout seul sans magie et sans lui.
Et voici la seconde raison qui fait que pratiquer la procrastination-masturbatoire me rend heureux. Travailler d’écritures doit être un plaisir, et pas une fin. C’est pour cela que la majorité des articles tapotés par des “périprestéticiennes” (je viens d’inventer ce mot, traduisez par “les putes de l’info”) n’est qu’un moyen consumériste de vous attirer dans les illusions perdues d’avance. Le mot travail en lui-même vient du latin tripalium, qui était un instrument de torture.
Qui donc, parmi vous, souhaite passer huit heures par jour, cinq jours par semaine, quarante-cinq semaines par an, sur un instrument de torture ? Personne ! Et pourtant la plupart d’entre vous sont dans cette situation ! Et j’en arrive a mon troisième et dernier argument : Pratiquer la procrastination-masturbatoire rend la société toute entière plus heureuse. C’est un acte de révolte contre la société d’aujourd’hui.
Remettre au lendemain, pour utiliser ce même temps à s’en branler, c’est proclamer haut et fort que ça ne va plus, que la machine ne marche pas, que la société ne fonctionne plus pour ceux-là mêmes qui la constituent. La procrastination-masturbatoire est un acte citoyen, je dirais presque un devoir civique, car sans cela, comment saurons-nous a quel point la situation va mal ? Comment résoudre les problèmes, si nul signe ne nous montre que ceux-ci existent.
Aussi j’en appelle a vous tous, chers procrastinateurs-masturbateurs. Débarrassez-vous des chaînes de la culpabilité ! N’écoutez plus ceux qui vous rabâchent que sans obéir aux ordres, vous n’arriverez a rien. Gardez en tête les Infirmières dépossédées de leur gagne-pain pour contribuer par l’exemple aux milliards versés aux laboratoires qui remercient les politiques par des dons versés en off-shore indétectables… c’est de la dictature !
Rappelez-vous toujours que le problème ne vient pas de vous, mais bien des autres, ceux qui “vous cassent les couilles” !!! Et finalement, je vous en conjure, élevez-vous contre la tyrannie, et cela dès aujourd’hui ! … Ou demain, peut-être !… En cette période de confinement qui revient, et des coupures de gaz et d’électricité, à tout bien peser, et le mot est bien choisi, je suis las de m’astreindre à de grandes réflexions intellectuelles sur la vie, la mort, la religion, l’amour.
Ma place dans la société, l’épanouissement dans le travail, la nature, le réchauffement climatique ou les milliards que nos chefs offrent à l’Ukraine pour en avoir 50% ristournés dans un paradis fiscal ! Bref, e sont les petits morceaux de métaphysique quotidiens ! Mais la seule chose qui m’intéresse vraiment, en finale d’une vie trop passées avec les pires ahuri(e)s et imbécilités-crapuleuses, c’est de savourer mon plaisir d’écriture.
Avant, aveugle au bien-être animal, j’aimais déguster un agneau noir du Velay, cuit dans sa croûte de foin avec une réduction d’œufs brouillés aux truffes et de l’ail en chemise ou une énorme côte de bœuf black-Angus maturée avec une béarnaise maison et des frites croustillantes à souhait et salées comme la mer morte. Maintenant je me rend compte m’être (et avoir été) trompé par le consumérisme qui se moque de la vie animale et humaine.
Mais, mon animal, lui s’en moque, mon Cocker Blacky semble me répéter tous les jours ; “On ne philosophe bien que le ventre bien plein”... Et croyez bien qu’il préfère la bidoche aux croquettes ! Il m’a même foutu la honte en croquant quelques pigeons dans ses chasses sur les quais du port des pécheurs en eaux-troubles de Saint-Tropez. Vous me répondrez “télépathétiquement” que ce sont les commerçants qui font la chasses aux pigeons lécheurs de leurs vitrines…
C’est pas faux, mais, comme dans la peinture, le cinéma ou la musique, les artistes ou pseudos artistes d’aujourd’hui cachent trop souvent leur manque d’inspiration (leur misère), sous de fumeux étendards : la déconceptualisation dans le néant de l’art conceptuel, la philosophie, le consumérisme. Au plus le commentaire/baratin est fumeux, nébuleux, plus les marchands font monter la cote et plus les collectionneurs collectionnent et plus le marché marche…
Et surtout : Au plus les prix s’envolent (comme leurs fumeuses théories). Quand nos politiques se prennent pour des artistes, ils utilisent les mêmes ridicules artifices et abusent du mot philosophie pour justifier leurs dons à l’Ukraine et leur business avec les laboratoires. Ce qui rend la politique si passionnante, c’est qu’elle est au croisement exact entre le don d’orgasmes et le savoir-faire des putes de l’info. La diversité des crapules et des crapuleries est infinie.
Tout ce dont on nous force à croire via les Fake-News officiels n’est que verbiage et bavardage. Après la vaccination obligatoire triomphante et chimique, dans un mouvement de balancier inverse, les idéalistes de la génération suivante, voulant racheter les fautes des pères, vont peut-être donner trop d’importance à la nature. Aujourd’hui, point d’alternative. Soit on est un connard parmi les autres, soit on est rebelle !
Les préjugés commandent des généralisations abusives ! Plus pernicieux, les préjugés dictent les commentaires des putes de la désinfo officielle. Le charme des belles Tropéziennes, le sourire canin de mon Blacky, un poème maison, voilà l’ordinaire d’une soirée Macron qui s’annonce. J’ai quand même sorti les bannières de GatsbyOnline, ChromesFlammes et SecretsInterdits pour la fête ! Pour ne pas être tenté par mes préjugés, j’ai laissé Valérie prendre des notes.
On se commence avec un faux Champagne “Champony”, une vieille connaissance, une grande bouteille qui avait été salopée par quelques peu concentrés. Ensuite un cuby local à l’oxydatif maitrisé. On passe aux choses sérieuses, la fausse charcuterie surette-marché sans viande, une belle expérience vomissive. Le cuby Provençal est idéal car c’est un vin de faux saucissons. On lèche même l’assiette vide tellement on a faim.
Philosophe ésotérique pour me remettre psychologiquement de ces saloperies, je raconte de biens belles histoires, des histoires sur la fin d’un monde ! Grâce à de mystérieux mécanismes biologiques et génétiques qu’on a développé, le peuple, lui, emmagasine de grandes quantités de conneries TV. Les putes de l’info s’infiltrent dans la masse et ça fait remonter de vieux souvenirs. C’est à ce moment que le soixante-huitard que je suis, se lâche et fache…
Faute de crachoir à disposition, j’ai fait un burnout sévère. Je n’ai pas éclaté une couille, c’est mon foie qui est parti en sucette. J’avais l’impression qu’une compagnie de CRS chargeait dans ma tête. J’avais la désagréable impression qu’un troupeau de saumons fumés me léchait les amygdales, j’avais la grâce d’un mérou et les yeux d’un merlan qui comprend qu’il va finir dans la friteuse fiscale. Bref, j’étais HS.
Avec l’âge, je déguste des vins de sacristie, finies les dégustations à l’arrache, on boit entre amis, sans se prosterner à genoux, c’est drôle, la connerie, ça repose, c’est comme le feuillage au milieu des roses. Alors, pourquoi porter un regard philosophique ? C’est tout aussi incongru que de proposer une réflexion portant sur la philosophie du Pepsi-Cola ou de la sardine grillée. Les grands philosophes ont plus consommé qu’écrit.
Quoique dans Le Banquet de Platon, la consommation de vin est tout sauf modérée. C’est plus un prétexte à se rencontrer, parler, boire et manger qu’un objet de philosophie en soi. Les philosophes n’étaient alors que des soiffards avant l’heure. Alors, quand je serai repu, gras et gavé comme une oie à la Noël, on reparlera de philosophie, de l’infini d’ici-bas et d’ici là, bonne merde à vous tousses…
Le “Goblin mode” fait le bonheur des plus casaniers et solitaires. Ce mode de vie se rapproche du quotidien des gobelins, ces petites créatures mythologiques qui vivent recluses dans des grottes et agissent de manière primitive, sans honte aucune. De plus en plus partagée sur les réseaux sociaux, cette tendance prône donc le lâcher prise, loin de toute culpabilité par rapport aux injonctions sociales entretenues sur un fond de lassitude généralisée.
Ce néologisme désigne le rejet des attentes sociétales et l’acte de vivre de manière hédoniste sans se soucier de l’image de soi. “Hédoniste” est un terme qui fait référence au principe philosophique éponyme, édicté par Aristippe de Cyrène. Il s’agit le plus souvent d’un qualificatif pour définir une personne qui focalise ses objectifs sur la recherche du plaisir sous toutes ses formes. La jouissance tient alors à expliquer le sens de l’existence humaine.
Cela implique également d’éviter toutes souffrances qu’elles soient d’ordre physique ou mental. On notera que la notion de plaisir demeure subjective en fonction des attentes, des aspirations et du caractère des individus. Il existe néanmoins quelques plaisirs partagés ou communs, comme les arts culinaires, la sexualité, l’amitié, le savoir, la pleine santé.