59’Corvette by Eduard Pogea Racing
Après plus d’un demi siècle sur terre, je craque !
Entre divers politiciens sodomites, tout autant de chefs de guerre sérial-killer’s, les présentatrices de journaux télévisés qui trompent leur public avec des boules de geisha… et le matraquage policier généralisé, je sens que la grande merde planétaire est pour bientôt.
Et pour cause : c’est moi qui la déclare au monde entier, ça sera désormais seul contre tous !
Je transforme ma vie et prépare ma vengeance, le massacre peut commencer…
Pourtant vénéré par l’über underground pour mes performances hardcore dans les sections Ataraxie et SecretsInterdits de GatsbyOnline… les journaleux me caricaturent comme n’apparaissant pas être au premier abord, un modèle du “politiquement correct” qui va devenir une obligation planétaire.
Les États-Unis sont en effet devenus une Dictature démocratique sur la voie d’un État totalitaire !
En effet, le 31 décembre dernier (2011 pour ceux qui liront ceci après ma mort, c’est à dire dans un certain temps après que je viens de l’écrire), le Président Barack Obama a offert au monde entier et tout particulièrement au peuple nord-américain, un cadeau empoisonné pour 2012 et au-delà : la promulgation de la loi dite d’Autorisation de la Défense Nationale.
Le discours qu’a prononcé le Président Obama (prix Nobel de la paix, Nobel était l’inventeur du TNT), pour justifier son geste fut un modèle d’hypocrisie…, car il a déclaré être en désaccord avec certains paragraphes de la loi !
Quel gag !
Quel pitre !
Quel salaud !
S’il en était ainsi, il aurait pu y opposer son veto, ou modifier le texte avec ses suggestions.
Mais il ne l’a pas fait.
Dépouillée de la rhétorique qui l’entoure, la Loi dite d’Autorisation de la Sécurité Nationale, à présent en vigueur, révoque, dans la pratique, la Constitution bicentenaire du pays.
Obama a affirmé que : “la menace d’Al Qaida à la Sécurité de la patrie a justifié cette initiative, même si elle élimine des libertés fondamentales constitutionnelles” !
A partir de maintenant, toute personne sur laquelle pèse la simple suspicion de liens avec “le terrorisme” peut être emprisonnée pour une période illimitée et soumise à la torture dans le cadre de cette loi approuvée par le Congrès.
Commentant la décision gravissime du Président Obama…, Michel Chossudovsky a rappelé que celle-ci remémorait le décret Nazi d’Adolf Hitler pour “la Protection du Peuple et de l’État”, signé par le maréchal Hindenburg en 1933, après l’incendie du Reichstag.
La référence à Al Qaida qui est une création de la CIA… et qui a été encadré par l’ONU sous supervision américaine pour prendre le pouvoir en Libye et ensuite tenter de prendre celui de la Syrie… est évidemment à cataloguer dans les mensonges d’états, en compagnie des intoxications médiatiques concernant les soi-disant armes de destruction massives de Saddam Hussein et des attentats du 11 septembre 2001…
Cette loi pour la Protection du Peuple et de l’état, dite Loi d’autorisation de la sécurité Nationale, contient également la loi Sopa, qui autorise le Secrétaire à la Justice à incriminer tout site Web dont le contenu sera considéré comme illégal ou dangereux pour le gouvernement des États-Unis…, le simple fait de placer un article dans un réseau social, sur un Blog… et même sur un site-web comme GatsbyOnline.com…, va justifier l’intervention de la Justice de Washington !
L’initiative a de suite été définie par des médias comme un séisme politique.
La panique qu’elle a provoquée fut telle que la Netcoalition.com-alianza qui rassemble des géants numériques comme Facebook, Twitter, Google, Yahoo, AOL et Amazon…, a même conduit à un blackout collectif pendant une journée pour marquer leur désaccord !…
C’est que la loi, théoriquement motivée par la nécessité de combattre le piratage numérique (sic !), est de portée mondiale.
En d’autres termes, si un Web européen, asiatique ou africain publie quelque chose que les autorités nord-américaines considèrent comme dangereux, il sera bloqué par les États-Unis par décision de la justice d’Obama !…
L’escalade de lois réactionnaires aux États-Unis marque la fin du régime démocratique de la grande République…, je l’écris depuis plus de dix ans !
Le discours par lequel Obama a justifié récemment le budget de la Défense est venu confirmer le rôle croissant du Pentagone, à présent dirigé par Panetta, l’ex directeur de la CIA, dans la définition de la stratégie de domination planétaire des États-Unis.
Pour préciser que la priorité est désormais l’Asie, le Président a affirmé emphatiquement que les États-Unis sont et resteront la première puissance militaire du monde !
Il a rappelé l’évidence…, c’est une parfaite remise à jour des Lois Nazies…
Le budget de Défense nord-américain dépasse la somme des dix premiers qui le suivent…, la dégradation du régime politique s’accentue d’année en année…, la fascisation de ses Forces Armées dans les guerres impériales est à présent indéniable.
Commentant cette évolution, quantités d’observateurs internationaux respectés, dont certains nord-américains, définissent les États-Unis en ce début du troisième millénaire comme étant devenue une dictature démocratique.
Dans un livre, j’avais nommé cela : Dictatucratie…
Chossudovsky est même allé plus loin ; énonçant une évidence douloureuse quand il écrit que, aux États-Unis s’accentue la tendance à un État totalitaire militaire en costume civil.
Leur démolir la façade est devenu une exigence pour ceux qui identifient l’impérialisme à une menace pour la continuité même de la vie.
Tâche difficile, mais indispensable.Mais comme j’assume totalement, je préfère abréger toutes tergiversations…
Nous sommes proches du magma !
Seul contre tous, tout contre…, involontairement décalé, pyromane “innocent” et sexuellement polymorphe…, je vais raccorder cette totale nazification planétaire en voie de concrétisation avec une automobile extraordinaire…
Une Corvette 1959, pur produit Rock’N’Roll…, américaine jusque dans ses entrailles démontrant l’impossibilité technique, pour le génie technologique Yankee, d’aller sur la lune…, remaniée par le génie Teuton…
Au propre comme au figuré, la caricature de la Loi décrite ci-avant, mélangeant l’esprit américain à la rigueur allemande…
C’est ce que propose la firme allemande d’Eduard Pogea de Friedrichshafen, qui s’est épris pour la Corvette C1 de 1959 et l’a convertie à la sauce 2012.
C’est le dernier V8 LS3 Chevrolet de 6L2 qui trouve dorénavant place sous le capot où il développe 485 chevaux et 585 Nm.
Au bilan, le 0 à 100 est balayé en 3″9 et la Corvette atteint 288 km/h !
C’est une boîte mécanique à 5 rapports couplée à un embrayage en céramique qui envoie toute la sauce à un différentiel Dana 44, également de la partie.
Évidemment, il n’a pas été question de conserver les trains roulants des années ’60 qui étaient déjà loin d’être convaincants à l’époque !
Grâce à une structure tubulaire conçue avec l’américain Foose Design, la rigidité a été multipliée… et les trains roulants équipés de jantes en 3 parties à gros déport chaussées de pneus Bridgestone Potenza 265/40 R18 à l’avant et 305/30 R19 à l’arrière…, loin des galettes à flancs blancs d’époque mais le grip devait être au rendez-vous, autant que le freinage : des disques ventilés de 330 et 300mm avec étriers à 6 et 4 pistons, respectivement avant et arrière !
Une telle monte pneumatique ne rentrant pas dans les mensurations de la Corvette d’origine, les ailes ont donc été substantiellement élargies, de 37 cm pour être précis, portant la largeur de la ballerine à 2m09…, ce qui a permis de dédoubler les feux arrière…
Dans un esprit qui rappelle par certains aspects la démarche de Mechatronik sur les anciennes Mercedes, la société Pogea Racing a ainsi donné une nouvelle vie dans le monde moderne à une Corvette de 1959.
L’opération a coûté la bagatelle de 225.000€.
L’intérieur reprend, comme l’extérieur, une ambiance rouge et blanc, avec quelques entorses au classicisme : volant à méplat, écran pour le système de navigation Alpine ou encore une climatisation régulée.
Cultivant une ancienne et trop grande “passion” pour les voitures américaines, j’ai été ravi de pouvoir essayer cet engin, tout comme je serais sans nul doute ravi de tester les nouvelles Lois Américaines de sécurité…
Après avoir plié mes 1,90 mètres, juste derrière le volant, mes genoux contre le tableau de bord dans une position assez grotesque mes yeux ont de suite été attirés par les divers compteurs, ainsi que par le système multimédia Alpine avec écran tactile placé sur la console centrale !
Beaucoup trop excité par le son (le bruit apocalyptique) du V8 en aluminium rugissant sa puissance débridée via un collecteur d’échappement Edelbrock avec des tuyaux de 76 mm en acier inoxydable, j’ai senti battre les ailes d’anges tourbillonnants dans l’habitacle…
La suspension coilover rendait les courbes similaires à des lignes droites…, rendant les battements d’ailes plus intenses…, mais, le système de freinage de l’actuelle Corvette retardait à chaque fois le plaisir des anges de me voir dans le décor !
L’accélération était impressionnante, le son (le bruit), de plus en plus infernal !
Problème: la nouvelle transmission Tremec manuelle à cinq vitesses avec son embrayage en céramique, nécessitait un jambe extrêmement tonique et un peu de pratique d’haltérophilie de ma part… pour m’habituer.
Dans toutes ces émotions j’ai toutefois commencé à trop transpirer, m’obligeant à actionner la climatisation automatique.
Je suisse un pyromane “innocent”, ne l’oubliez pas !
Avec la crise actuelle, nous sommes dans une grande période de sécheresse intellectuelle, les valeurs morales subverties n’ont dès-lors pas plus de gravité que ce tas de plastique… et les incendies moraux que j’active dans la sécheresse de l’opinion publique sont pour moi des événements incompréhensibles !
Ma candeur (feinte) est en réalité une pureté non-souillée par la conventionnalité crasse, une dérive nietzschéenne qui me conduit à écrire du textuel brut, dans tous les sens du terme.
J’espère, avec cet article, avoir réussi à vous enfoncer en vous-même jusqu’à ce que vous trouviez, seuls, la sortie !
Ça peut être un gros piège, mais je suis un grand vivant suicidé par la société, c’est tout.
Il faut chaque jour que je produise quelque chose, sinon je me sens mal, je déprime…