1935 Duesenberg SSJ Exclusive Drive Test
Rien n’est plus Politiquement-Incorrect que cette Duesenberg SSJ 1935 qui avait été commandée par l’acteur de cinéma Américain Gary Cooper, si ce n’est la seconde, identique, mais de couleur différente, datée de l’année suivante, SSJ 1936, commandée par Clarck Cable, un autre acteur… Clairement démontré sous serments et témoignages de personnages illustres et dûment révérés, nous ayant expressément demandé de n’en rien ébruiter ni de nous avoir confié l’examen des registres officiels de la célèbre marque, (remerciement à… devant rester secret), sachez chers amis et frères de “notre Communauté secrète” que seulement deux ont été fabriquées. Et ces deux SSJ, quasi jumelles, sont bien plus époustouflantes d’élégance et de performances actuellement qu’il y a près de quatre-vingt-dix ans, après leurs sorties différées sur les routes publiques d’Hollywood…
Mes 5 lignes et demi de texte ci-dessus-devant vous déployées, résument en force, avec ma maintenant légendaire élégance d’écrits trop souvent vains, que vous connaissez en personnes doctes et avisées, tout ce qu’il est nécessaire avant de tout oublier et passer à d’autres choses plus utiles pour survivre dans le monde que nous contribuons à détruire, peu à peu, certes, mais sans cesse. Fallait-il que ces deux énormités pachydermiques aient été créées pour pouvoir en papoter, ce qui est un sens commun, amplifié par l’opportunisme d’en tirer un profit spéculatif d’opportunisme vaniteux. Cette paire d’objets roulants qui s’auto-additionnent des pires vices de l’humain me plongent à l’insu de mon plein gré, dans le puits sans fond de la bêtise humaine. En viendra-t-on en un temps de fin du monde à s’illuminer que l’art du consumérisme n’est que l’utilité de fabriquer du vide intellectuel dans le vide des imaginaires ?
Et cela pour en faire une valeur abstraite qui n’existe que si on y croit, de même façon que sont bâties les religions qui ne sont que des constructions de nos cerveaux constatant qu’en amenant un mouton à sauter dans le vide du haut d’une falaise, la presque totalité du troupeau suivra… Saint-Père, nous en avons tant de fois parlé sous nos sceaux mutuels des Secrets Interdits précieusement enfouis avec les cadavres dans l’oubli de vos labyrinthes sacrés. Soyez béni de n’en rien révéler sous la foi de nos entités à jamais confondues… Les journaleux et cadors de presse, qui sont aux mains de divers milliardaires qui façonnent l’opinion pour perdurer tant que possible, sont fielleux d’inventer des questions d’opinions qui n’ont jamais eu, ni n’auront, de réponses, aux fins d’amener à ce que se crée un “quelque chose” à mettre en scène en écrits, parlottes et images, toutes choses que l’Intelligence Artificielle peut créer.
Par exemple basique, une question stupide aurait été posée au vide abyssal qui ne sait ni ne peut répondre d’autant que la réponse est déjà écrite pour amener à une discussion inexistante servant à créer une opinion/réponse présentée comme réelle… En ce cas, on ne sait qui aurait demandé à un grand ensemble d’on ne sait qui, serait amateur d’automobiles américaines, quelle marque disparue ils aimeraient voir faire son retour… La réponse qui n’existe pas va indiquer un lot de marques banalisées, mais sans mention de celle qui doit figurer dans cet article créé pour susciter de l’intérêt qui n’en est pas… Et donc, d’indiquer qu’étonnamment, peu mentionnent Duesenberg sans rien enlever aux marques susmentionnées, qui ont produit des véhicules légendaires, en particulier pendant l’âge d’or des muscle-cars.
Mais, à son apogée, Duesenberg construisait des voitures exquises qui n’étaient pas seulement extrêmement recherchées aux États-Unis mais dans le monde entier… Le brouet de sorcière est ainsi buvable pour amener la création d’un intérêt/sujet qui est l’histoire de l’entreprise qui a commencé en 1913 lorsque les frères Fred et August “Augie” Duesenberg ont fondé la “Duesenberg Motors Company” à Saint Paul, dans le Minnesota, aux USA… C’est simple comme pour créer de l’illusionnement, donc des croyances. En l’occurrence il s’agit d’alimenter la machine en créant un besoin inexistant tout en espérant qu’il y aura des lecteurs qui voudront en savoir plus sans avoir le temps et les moyens de chercher l’information et l’histoire… Dans ce registre assez fumiste, je vous avoue ne pas être mauvais, mais très bon, avec plus de 50 ans d’écritures diverses dans les magazines que j’ai créé et édité…
Je connais donc les partitions et même la musique, les gammes ainsi que les instruments… Mettez-vous à l’aise, il vous suffit de lire… Ok, je continue… Bien que la société Duesenberg a développé et construit plusieurs véhicules (principalement des voitures de course) dans les années suivantes, l’ascension de Duesenberg a été interrompue par la Première Guerre mondiale, une période au cours de laquelle les frères ont déménagé dans le New Jersey et ont commencé à construire des moteurs d’avion. Après la fin de la première guerre mondiale, Frank et Augie Duesenberg ont vendu leurs usines de Saint Paul et ont déménagé à Indianapolis, dans l’Indiana, où ils ont créé une nouvelle entité appelée “Duesenberg Automobile & Motors Company” (plus tard “Duesenberg, Inc”.). La marque n’a survécu que dix-sept ans dans sa forme finale et la plus renommée.
Cependant, au cours de cette courte période, Duesenberg a construit des voitures de course victorieuses de l’Indy et du Grand Prix d’Europe, ainsi que certaines des voitures routières les plus élégantes et les plus avancées techniquement au monde, devenant l’un des constructeurs automobiles parmi les plus illustres de l’histoire de l’industrie automobile américaine. La série Duesenberg la plus emblématique produite au cours de ces années dans l’Indiana était sans doute le modèle J. Introduit pour la première fois en 1928, le J a été développé pour rivaliser avec les voitures les plus luxueuses et les plus puissantes du monde, de Rolls-Royce à Hispano-Suiza. Duesenberg a développé de nombreuses variantes avec des carrosseries sur des châssis à empattement long ou court standard, en option.
La puissance provenait du moteur huit cylindres en ligne à DACT de la société, vainqueur d’Indy, qui, selon le modèle, était soit atmosphérique, soit suralimenté. Alors que pratiquement toutes les Duesenberg J sont devenues des icônes de l’ère classique, la SSJ reste le membre le plus remarquable de la série pour sa combinaison inégalée de luxe et de performance. Au milieu des années 1930, Duesenberg avait du mal à naviguer dans les eaux financières troubles de la Grande Dépression, et sa chute semblait inévitable. Dans un ultime effort pour revitaliser l’image de la marque, la société a développé deux J à empattement court équipées de moteurs suralimentés renforcés en 1935 et 1936. La première voiture a été construite pour la superstar hollywoodienne Gary Cooper, qui voulait la Duesy ultime homologuée pour la route.
La légende raconte que Cooper, un grand fou de voitures et accro à la vitesse, en a eu assez de perdre des batailles aux feux rouges contre le comédien Groucho Marx et sa Mercedes-Benz SSK modifiée, qui à l’époque était censée être la voiture la plus rapide d’Hollywood. Augie Duesenberg, le génie de l’ingénierie de l’entreprise, qui a pris la relève en tant que vice-président après la mort de son frère en 1932, s’est empressé de s’obliger… et s’est mis au travail. La SSJ a été construite sur un châssis raccourci de 125 pouces (3.200 mm) équipé d’un système de suspension haut de gamme composé d’un essieu avant rigide et d’un essieu rétro-actif à l’arrière, ainsi que d’un système de freinage puissant avec de grands tambours à commande hydraulique aux quatre coins. Au sommet du châssis raccourci, la SSJ a reçu une carrosserie roadster sportive développée par LaGrande, le carrossier interne de la société.
Il comportait un long capot, une large calandre et des ailes fluides, ce qui, à la manière typique de Duesenberg, donnait une structure magnifique qui suintait le luxe sous tous les angles. Aujourd’hui encore, la SSJ est aussi époustouflante qu’elle l’était en 1935 et est considérée comme un chef-d’œuvre de l’ère classique. Sans doute plus spectaculaire que le châssis à la pointe de la technologie et que la magnifique carrosserie, le huit cylindres en ligne à quatre soupapes par cylindre de la SSJ, vainqueur de l’Indy était comme une œuvre d’art automobile. Sous forme de la centrifugeuse suralimentée standard, nommée “Blower”, le moteur, un bloc de fonte de 420ci (6,9 litres), pouvait produire de 265 à 320cv. C’était bien plus que les moteurs avancés de marques rivales, telles que Cadillac, dont le V16 ne pouvait rassembler que 185cv.
Néanmoins, Augie Duesenberg voulait s’assurer que la SSJ de Gary Cooper était la voiture de route la plus rapide d’Hollywood et l’une des plus rapides au monde. Par conséquent, il a apporté plusieurs modifications, notamment un compresseur centrifuge amélioré et un nouveau collecteur d’admission à double carburateur en forme de tête de bélier. Le résultat de ces modifications était une puissance de 400cv (brut), un chiffre exceptionnel pour 1935. Ce moteur de est devenu le plus puissant jamais installé dans une voiture de route américaine, un exploit qui ne sera égalé que par le V8 Super Marauder de Mercury en 1958, insurpassable jusque dans les années 1960. Grâce à ce moteur étonnant, la SSJ de 5000 livres (2.268 kg) était censée être capable de sprinter de 0 à 60 mph (97 km/h) dans la plage de huit à neuf secondes.
De plus, la voiture pouvait atteindre une vitesse de pointe de plus de 130 mph (209 km/h). Ces chiffres de performance, qui étaient toujours impressionnants des décennies plus tard, ont fait de la SSJ “la Duesy” routière ultime et une supercar pur-sang, bien des années avant que le terme ne soit utilisé pour décrire les voitures de sport hautes performances modernes. Gary Cooper a réalisé son souhait, et son SSJ s’est avéré beaucoup plus rapide que la SSK modifiée de Groucho Marx. La seule personne à Hollywood qui pouvait suivre était une autre légende du grand écran, Clark Gable, qui a acheté la deuxième SSJ en 1936. Bien que Duesenberg voulait construire plus d’exemplaires, la société fera faillite en 1937, de sorte que les seules deux SSJ connues ont été construites, bien qu’elles aient été repeintes et ont changé de propriétaire à plusieurs reprises.
Les deux voitures ont survécu sous une forme très originale. La seconde est sous la garde d’un collectionneur privé tandis que l’ancienne voiture de Gary Cooper, la toute première SSJ, s’est vendue aux enchères de Gooding & Company à Pebble Beach en 2018 pour la somme astronomique de 22 millions de dollars, établissant un nouveau record pour la voiture américaine la plus chère jamais vendue aux enchères publiques, laissant croire de sources sures et documentées que le montant de 40 millions de dollars pourrait être atteint… Voyez comme c’est simple… Vous y croyez, c’est ce qui compte…
Je vous emmène en balade pour parfaire, ce qui au passage vous donnera de moi l’image d’un personnage extraordinaire… Le démarrage du moteur de la Duesenberg SSJ de 1935 est un processus assez complexe…
Suivez moi et prenez des notes… Il faut retirer le starter métallique de la butée métallique du tableau de bord métallique et tourner la petite clé en laiton d’un cran dans le sens des aiguilles d’une montre. Simultanément il faut retarder l’étincelle avec l’un des curseurs métalliques perlés sur le volant en bakélite noire tout en appuyant légèrement sur la pédale d’accélérateur géante en forme de sabot et il faut de plus actionner le bouton de démarrage moleté (actionné par câble) jusqu’à ce qu’il entre presque en collision avec le levier de vitesses au sol en forme de S surmonté d’une poignée de porte noire. C’est clair quand le moteur s’accroche. Le moteur huit cylindres en ligne de 7,3 litres, à double carburateur, à double arbre à cames en tête, à 32 soupapes, suralimenté par centrifugation, élevé à Indianapolis, ne hurle ni ne rugit…
Au lieu de cela, il émet une susurration puissante mais discrète, comme un chaudron d’or fondu dans l’instant avant qu’il ne bout. Thoriquement, à ce stade, je dois vivre près du dieu en qui vous croyez… Et moi de continuer avec un air nonchamant et blasé… Le truc avec une Duesenberg SSJ, c’est qu’il s’agit d’un animal entièrement différent de la J ou de la SJ, les modèles Duesenberg de moindre importance qui dérivent ce roadster légendaire qui lui est un produit extrêmement charismatique. C’est un euphémisme. La voiture est brûlante et impérieuse. Si j’avais été aux commandes plus longtemps, je serais certainement devenu un chef de secte… En réduisant l’empattement et en ajoutant un deuxième carburateur, une paire d’orifices d’entrée d’air en corne de bélier et en réalisant une carrosserie légère personnalisée, les capacités de la Duesy quelque peu dépassée ont totalement transformé ses capacités.
Le J et le SJ étaient rapides mais majestueuses. Mais le raccourcissement du châssis de la SSJ a resserré les capacités de conduite, de maniabilité et de freinage. Pourtant, c’est vraiment la puissance en ligne droite de cette chose qui est la plus impressionnante. À l’époque, avec une puissance supposée de 400 chevaux, deux fois plus que tout ce qui existait sur le marché, c’était comme si la Duesenberg atterrissait de l’espace et transformait en viande hachée toute vie humaine à proximité… Soixante miles par heure ont été atteints en moins de huit secondes, ce qui est plus rapide qu’une Ferrari 308GTB de la fin des années 1970. Maîtriser toute cette puissance n’est pas une tâche facile, surtout lorsque la route est une ruelle étroite… Des tas de branches de chêne tombées bordent les rues comme des haies agrippantes, et la circulation venant en sens inverse se compose principalement d’autres classiques inestimables.
Attention également aux conducteurs de voitures de location distraits qui les regardent bouche bée. L’embrayage est léger, mais l’engagement se fait tout en haut de la longue course de la pédale, un point physique auquel mon genou pousse le coin inférieur gauche du volant. La transmission à trois vitesses a un poids bien huilé, comme l’arbre de contrôle de débit d’une bétonnière d’occasion, et il s’agit d’une conception non synchronisée avec un motif en H asymétrique. La marche arrière est en haut à gauche, tandis que la première est tout en bas, presque dans le coussin du siège. Le deuxième est un étirement vers la droite, frappant le levier contre le tableau de bord, et le troisième se sent à peine un pouce en dessous. L’engagement s’accompagne généralement d’un grincement. Le volant a une circonférence à peu près égale à celle de l’équateur, et les pneus qu’il dirige ressemblent à un terrain de football !
Le pare-brise coupé, diffusant peu à travers leurs zones de contact étroites et éloignées, sauf des nouvelles qui se sont déjà produites, il ne faut pas oublier que les freins à tambour n’ont qu’une faible capacité à peser sur l’inévitabilité inertielle de plus de 5000 livres de métal irremplaçable ; les arrêts complets doivent être télégraphiés à l’avance jusqu’à la station suivante… La chose la plus proche de la conduite en comparaison est une Corvette C1 avec des amortisseurs qui fuient et des freins grillés. Mais l’attrait d’une voiture comme celle-ci ne réside pas dans la façon dont elle se conduit, mais dans la possibilité de la conduire…. Est-ce glorieux ? Je dois enfoncer mon pied profondément dans la course de la pédale d’accélérateur avant que la jauge de suralimentation à gauche de la roue ne s’éloigne de zéro, mais quand je le fais, la ruée est littéralement “transportante”.
Contrairement à presque tous les autres classiques, la Duesy accélère sec, et ne semble pas enclin à abandonner le faire, à peu près pour toujours. Le compteur de vitesse à aiguille de lune et à face blanche passe à 150 mph. L’altimètre va au ciel. Le sourire sur mon visage va jusqu’à mes lobes d’oreilles. Ces voitures ont été le dernier souffle de l’usine Duesenberg, car elle est morte pendant la Dépression. Avec un chômage national atteignant 30 % et une gamme de produits atteignant l’obsolescence, les banquiers, les industriels et les membres de la famille royale qui étaient autrefois au cœur de la marque avaient perdu à la fois la capacité et l’intérêt pour des objets de statut aussi ostentatoires. Un endroit où la demande existait encore c’était Hollywood. Et la demande était de deux mêmes.
La voiture que je conduisais appartenait à la star de l’écran Gary Cooper. Lorsque son ami Clark Gable l’a vu, Gable a persuadé le concessionnaire Duesenberg local de lui prêter l’autre. Collier est entré en possession de la voiture de Gary Cooper lorsqu’il a acheté la collection Briggs Cunningham dans le cadre de la collection Collier de son institut REVS, un musée et des archives pour étudier l’histoire de l’automobile en relation avec le présent et l’avenir : la voiture comme lentille pour interroger la modernité. L’automobile a été une forme précoce de technologie perturbatrice et sa longévité donne l’occasion d’examiner comment une technologie perturbatrice fonctionne sur une période de 100 ans, comme un salut, comme un fléau et comme tout ce qui se trouve entre les deux… Donc, soyez l’Elu milliardaire ayant pu et ayant osé acquérir le Saint-Gral automobile. Qu’est ce que 40 millions pour vous ? Rien…
Mon premier point d’entrée dans près d’un demi-siècle d’obsession automobile, en tant qu’enfant précoce de huit ans, a été une affection pour les grandes voitures de l’ère classique. Les Duesenberg étaient mon totem suprême, un rêve, comme celui de Dorothy dans Le Magicien d’Oz, rendu dans des couleurs scandaleuses ; un contraste avec la corvée terreuse de ma jeunesse de l’ère du malaise. Quand j’étais enfant mon gâteau avait la forme d’une Duesenberg suralimentée. Mais même dans le glaçage, un roadster SSJ était hors de ma portée. Mon cerveau d’adolescent ne pouvait évoquer qu’un coupé SJ Rollston gris formel. Dans ses flammes, j’ai vu les chromes et la promesse de vérité intégrée dans tous les grands fantasmes. Si vous faites un vœu et soufflez les bougies, un jour ce vœu pourrait se réaliser. Voilà… C’est terminé… N’oubliez pas de me faire un don conséquent de quelques milliers d’euros ou dollars pour avoir daigné vous conseiller et guider vers les félicités éternelles…