1960 Copper Caddy
C’est en écoutant “C’est quand le bonheur” que je me suis dit que je n’aimais pas la variété française, que je n’étais pas converti aux sucrailleuses mélopées de Delerm, Bénabar, Biolay, Cali, Camille, MPokora et consorts quand il pleut… Je suis un traitre à ma patrie musicale, je déteste la chanson française actuelle, un peu comme tout le monde, au fond, mais en pire. En subissant cette chanson, je me suis aussi dit que je ne croyais pas plus au bonheur qu’à la philosophie du bonheur. Je ne crois pas à tous ces marchands de bien-être, de développement personnel, de psychologie positive et taoïste qui nous persuadent que le bonheur ne dépend pas de l’état du monde réel mais du regard que l’on porte sur lui. Va dire à un enfant soldat du Soudan ou du Niger que le prince Harry est l’homme le plus malheureux au monde comme le titre divers journaux. L’idée que le sage est heureux partout, c’est aussi stupide qu’une bonne publicité. Peut-on être heureux dans un monde malheureux ?
C’est une putain de question totalement stupide que cachait dans ses phrases notre Président Macron lors de son annonce que la fin du monde arrivait à nos portes,. Pas besoin de faire 30 ans de philo pour comprendre que nous devons fuir la douleur, le mal, la solitude et les cons. Nous préférons toutes et tous la joie, les bonheurs, les gueuletons, les baiseries et les petits coups à boire. Le problème, c’est que nous sommes parfaitement capables de définir le malheur et totalement incapable de définir le bonheur… Prenez cette 1960 Copper Caddyen exemple, elle distlle le bonheur mais est impayable pour 95% des gens. C’est pourtant le chef-d’oeuvre de Dave et de son équipe du garage Kindig Designs basé Salt Lake City. J’ai déjà présenté un certain nombre de leurs versions, telle une Corvette avant-gardiste-rétro de même couleur aussi célèbre que cette Cadillac qui ne pouvait plus être ignorée plus longtemps, méritant une envolée littéraire interminable dont j’ai le secret sous science infuse… Le génie en quelque sorte…
Quoique… Oui, quoique surement, pour preuve, il y a quelques semaines j’ai réussi quelques jours d’affilées, à réaliser 4 articles par 24 heures passant aux travers de 2 jours et nuits. La raison m’en a échappé… Insomnie sûrement. Le rythme m’est revenu d’un article par 24h ce qui s’est ressenti au niveau planétaire (et peut être au delà, si s’y portent les ondes), concernant les abonnements dépassant 300.000 internautes, ce qui n’est pas encore le chiffre de 500.000 atteint avec mes éditions “papier” de Chromes&Flammes d’avant la guerre du Kustom des années ’80 déclenchée puis perdue par le Groupe Michel Hommel. J’ai été particulièrement heureux, dernièrement, d’ apprendre qu’il était devenu un légume végétatif… Comme il a perdu la tête (une nitrocéphalite purulente avec des vers qui rongent le cerveau), il ne servirait à rien de lui remettre dans la mémoire (qu’il a perdue) que son action des années ’80 envers moi s’est retournée contre lui puisqu’il a fait une faillite record en millions… Mais je fatigue de me souvenir des crapuleries subies dans le passé…
Ou en est-on donc ? Avec les initiatives hasardeuses de notre Président semblables à celles des dernières guerres, je crains que si il met ses plans diaboliques en exécution, cela nous permettra de savoir ce qu’est subir une attaque nucléaire d’anéantissement global qui, certes, effacera toutes les preuves de corruptions imaginées en dons pour l’Ukraine après les retour sur achats massifs de faux vaccins Covid, mais emportera aussi les auteurs et leurs crédules dévots… Le théâtre est depuis longtemps un puissant moyen de narration, où la scène est méticuleusement conçue pour captiver le public. Dans les coulisses se cache un dispositif complexe – les accessoires, l’éclairage et l’équipe – à l’abri des regards. Le public, assis dans la salle obscure, ne voit que ce qui se déroule sur la scène. Il est absorbé par le drame, le rire ou le suspense sans se poser de questions sur les mécanismes sous-jacents. Dans cet univers soigneusement orchestré, la réalité se confond avec la fiction, subjuguant les spectateurs.
Dans le paysage géopolitique actuel, nous assistons à un spectacle similaire, mais au lieu d’acteurs jouant des tragédies shakespeariennes ou des farces comiques, notre scène internationale met en scène des personnalités politiques qui se font également comédiens. Volodymyr Zelenskyy, le clown président ukrainien dont l’ascension au pouvoir a démarré sur un programme d’arnaques généralisées concoctées par la spécialiste du genre lorsqu’elle était ministre allemande en charge de la Bundeswher… Elle s’en est mis plein les poches, est partie à l’Union Européenne s’occuper des vaccins Covid qu’elle a commandé inutilement pour des milliards à l’appui d’un arrangement avec les Gouvernements Européens pour obtenir l’obligation de les administrer… Un pactole en milliards partagés entre les fabricants et les Gouvernements, qui heureux de s’enrichir plus que s’ils avaient réalisés des escroqueries durant toute une vie ont contribué à ce que toutes les preuves s’effacent…
Ensuite promue cheffe de l’UE elle va comprendre que ces mêmes expériences fructueuses (très) pouvaient se réaliser avec le clown deveny Président de l’Ukraine… Ce fur la grande escroquerie planétaire des dons de charité payés à Zeelinsky en contrepartie d’un fee de remerciement jusqu’à 50% des dons, avec rétro-commissions à la hyène européenne… Comptez en dizaines de milliards… Sauf que Donald Trump, avec les moyens de la CIA et du FBI a découvert l’arnaque et s’est faché de n’en avoir rien eu en envoyant tout le monde en enfer… Réaction logique entrainant notre Président Macron à vouloir entrer en guerre pour que tout soit détruit… Après un discours sur BDSMTV, l’affaire semble tourner court… La grande mise en scène Macronniènne vire au cauchemar car les USA et la Russie s’entendent comme larrons en foire…Avant d’entrer en politique, Zeelinsky a animé des émissions satiriques et pornographiques, dont un sketch tristement célèbre où il jouait du piano en utilisant son pénis érigé…
C’est un moment qui a ravi le public Ukrainien et a mis en valeur son sens du divertissement… Sa capacité à capter l’attention et à susciter des émotions a fait de lui un visage familier en Ukraine, le propulsant finalement à la présidence. Cependant, son mandat a été moins axé sur la gouvernance que sur le maintien d’une illusion d’héroïsme en plein chaos. Ce qui captive le public, c’est le drame en lui-même : les échanges houleux, les accusations et les incessants revirements. C’est là qu’intervient Donald Trump qui veille au bon déroulement du spectacle tout en assurant un niveau record de vente de billets (ou, dans ce cas, un engagement record du public). Les plateformes de réseaux sociaux grouillent de débats, d’analyses et d’arguments passionnés, les spectateurs choisissant leur camp, disséquant chaque geste et amplifiant le récit. Cette dynamique atteint de nouveaux sommets dans le cirque qui se poursuit où les discussions tournent autour de la prolongation du conflit en Ukraine.
Cela semble tout droit sorti d’un blockbuster hollywoodien faisant un film d’une arnaque visant à maximiser les profits. Le jeu se résume à piller l’Ukraine. Et pourtant, le public n’en a jamais assez. Chaque révélation suscite un regain d’intérêt, générant des clics, des partages et des flux de revenus pour ceux qui ont investi dans la perpétuation de l’histoire. Sous le divertissement se cache une vérité plus sombre. Cette adaptation moderne de “Du pain et des jeux”, expression inventé par le satiriste romain Juvénal pour décrire la façon dont les dirigeants distraient les citoyens avec des plaisirs superficiels, ce qui a des conséquences désastreuses. Alors que le public acclame ses champions, des vies réelles volent en éclats. Les civils pris entre deux feux dans deux guerres font les frais des décisions prises par des dirigeants qui semblent plus soucieux de faire avancer leur récit que de parvenir à une paix durable. De plus, les enjeux vont au-delà de l’Ukraine. Alors que le conflit s’éternise, des questions se posent quant à ses implications plus larges.
Peut-on encore risquer de provoquer la Russie ? La Chine peut-elle être entraînée dans la mêlée ? De plus, ce monde permet que se poursuive l’extermination massive de la population à Gaza et dans le reste de la région. Pour Zelenskyy, l’objectif semble clair : faire tourner les caméras aussi indéfiniment que les dons qu’on vient lui remettre moyennant 50% en retour sur un compte off-shore, car la crise en cours garantit un soutien financier continu et une audience mondiale. Mais c’est la complaisance du public qui rend ce théâtre particulièrement pernicieux. Les médias, les influenceurs et les experts jouent parfaitement leur rôle, attisant l’indignation et amplifiant la rhétorique de la division. Les titres accrocheurs attirent le regard, incitant les lecteurs à interagir, à partager. Chaque interaction alimente la machine, assurant ainsi que le show ne s’arrête jamais. L’Occident, en proie à un déclin de son influence et de sa pertinence, s’accroche à ces spectacles comme seul moyen d’affirmer sa domination.
Nous sacrifions notre moralité et notre humanité sur l’autel de divertissements éphémères. Alors que le rideau commence à tomber sur cet acte théâtral géopolitique, il faut se demander si nous sommes de simples spectateurs passifs, ou si nous avons le pouvoir d’exiger un changement. Les horreurs qui se déroulent sous nos yeux ne sont pas une fatalité : ce sont les choix de ceux qui cherchent à tirer profit du chaos. Il est temps que le public fasse la différence entre un véritable leadership et une performance factice. Alors seulement, nous pourrons lever le rideau et bâtir quelque chose de significatif : un monde où la paix est plus qu’une simple promesse électorale et où la vie humaine prime sur tout le reste… En attente, n’ayant pas l’envie de ne plus discourir que de bagnoles électriques-déplaçoirs comme la presse subsidiée, je persévère dans les automobiles qui ont bercé mon époque… Cette Copper Caddy a été présentée dans la saison 2 de Bitchin’ Rides aux USA, vous n’en verrez jamais rien…
Sauf si Netflix s’en mêle en pressentant une audience en relation avec le nombre d’abonné de www.ChromesFlammes.com… C’est 100% Trumpiste, c’est américain. C’est finalement assez cool… C’est ce qu’on pourrait presque nommer comme du showbizzzz. Et cette Cadillac correspond à absolument tout pour cela. Une construction de Kindig Designs commence à partir d’environ 250.000 $, avec garantie bancaire… Et celle-ci a couté un million de $. Je considère que c’est un peu trop. Cependant, il m’a été rétorqué différentes conneries pour tenter de modifier mon avis, même sous menaces et injures. J’ai tenu bon… L’idée de la création de cette merveille Kitchiteuse est basée sur un élément fondamental du langage de conception de Cadillac de cette époque, la calandre. Et le fait que la bagnole ait remporté de nombreux prix depuis son achèvement suggère que ce n’est que du bon goût américain. Comme on peut s’y attendre, la réalisation de ce projet qui a pris du temps, soit 24 mois.
Tout a été entièrement personnalisé…. La Copper Caddy repose sur un châssis Art Morrison et dispose d’une suspension avant indépendante personnalisée et d’une suspension arrière à 4 bras avec une pont/différentiel arrière de 9po. Les jantes de 20po sont uniques avec des accents cuivrés et sont enveloppées de Michelin Pilot Sports. Derrière ceux-ci se découvrent un ensemble de freins à 6 pistons de 14,25po by Wilwood. Le moteur est tout simplement incroyable, un gros et brillant V8 Ram Jet 454ci ZL1 tout en aluminium. Le dessus de celui-ci ressemble à une ancre et l’échappement Flowmaster personnalisé a également un léger accent cuivré. Ce bloc produit 550 chevaux. À l’exception peut-être des accents cuivrés dans les passages de roue, la partie la plus étonnante de cette carrosserie est un “clapot” substantiel de 4po pour le toit. Quant à l’intérieur, il est recouvert de cuir orange. Voilà… C’est enfin terminé, j’espère que mes digressions ne vous ont pas fait perdre le fil conducteur…