Kellison 1962
Que se passerait-il dans ma tête de politiquement-incorrect, romanesque aux folles écritures qui ne sont que jeux, qu’amusement et bonhommies.. si l’auto-indulgence dont je bénéficie, s’avérerait en réalité destinée, non à égayer les 25 ans (j’espère, car optimiste même dans les pires situations) me restant de vie (qui fut tumultueuse)… ni à éradiquer la monotone tristesse enracinée dans la vie des gens qui ne sont jamais reconnaissants car égoïstes… mais serait une incitation à amplifier mes déraisons et déréglementations aux pires extrêmes azimuts. Je constate en effet que l’humanité détruit l’innocence pour la transformer en sauvagerie… Par contre mes fonctions critiques forment ma marginalité issue des désordres en référence aux ordres, distinguant les simulacres de vérités et soulignant en contre-feux toutes les incohérences, suscitant sourires et rires, quoiqu’aussi souvent la peur de l’inconnu…
Cela parce qu’on ne peut circonscrire exactement ce qu’on vise à l’aveuglette dans les reflets de chacun de nous-mêmes. Le double extériorisé de cette part de chaos que nous voulons nier à nous-mêmes, la folie, a donc une fonction sociale : elle nous permet de nous délivrer, en reportant sur autrui, les terreurs qui nous menacent. En somme, les rires et bonheurs que je déclenche sont théâtralisés à propos de nous-mêmes et de nos “affrosités”. Les possibilités narratives d’écritures dans la dualité sont multiples, aussi mon périple se confond avec une stratégie destinée à faire apparaître une vérité. Par exemple, que la laideur physique et la purulence sont la métaphorisation de la putrescence et de la corruption de la société…. Mon statut narratif se confond donc avec un puzzle incluant une énigme à déchiffrer pour en saisir la charge satirique.
L’ambivalence est relevée par quelques saillies qui amènent à ce tout qui constitue ce web-site et peut être tenu pour nul et non avenu. Cependant, il arrive quelques fois qu’on me prête aussi du sens et d’étranges pouvoirs, dont la vision, en toute fausse naïveté, de ce que la sagesse des autres ne peut percevoir sous l’angle de l’ordre et de la raison. Cette supposée folie peut apparaître aussi comme un principe de mes actions d’écritures : Don Quichotte eût-il lancé l’assaut contre les moulins s’il n’avait pas eu de la folie en lui ? La témérité s’apparentant à une folie passagère d’une prise de risque apparemment inconsidérée, fonctionne comme un outil de tension dramatique extrême. En effet, les personnages excentriques qui peuvent tout se permettre sont l’une des forces des histoires de notre monde, où le sens de l’initiative féconde ne cadre presque jamais avec la logique et le bon sens.
Décrypter le grotesque et le comique de clowns politiques, tirer les conséquences des rires qu’ils provoquent et s’amender… Rêveries, car qui écoute et lit ? Pire, quand on ne les ignore pas superbement, on les utilise tels de vulgaires saltimbanques pour organiser des spectacles lucratifs… De là à créer des guerres pour en créer un système corruptif… Ce qui est le cas… C’est l’école des cyniques qui choisissent de vivre méprisés pour pouvoir abreuver de leur mépris et tourner en dérision les normes qu’ils détestent. Leur position est celle des clowns tel l’ex joueur de piano avec son sexe érigé, devenant le Président omnipotent Ukrainien, mais avec des mobiles tout autres. C’est un escroc qui ruine l’Europe en enrichissant les politiciens complices qui reçoivent en retour des dons constitués de notre épargne, des retours indétectables en milliards sur comptes off-shores…
C’est un système mis au point via l’Union Européenne des truands respectables depuis les arrangements de Miss VonDerLeyen au ministère de l’armée Allemande, puis auto-proclamée maîtresse des commandes forcées de vaccins Covid à l’échelon Européen… Un autre gabegie… Ce que je connais de l’Europe c’est la face crapuleuse corrompue jusqu’à la Cour Européenne des Droits de l’Homme qui n’est que gabegie et protection d’intérèts… “L’homme, de nos jours, n’a de vérité que dans l’énigme du fou qu’il est et n’est pas”, dit M. Foucault… Pour ma part je reconstitue un envers de l’homme pour connaître l’homme… Et j’en arrive à quoi donc, dans cette introduction textuelle ? Quoi donc ayant un rapport textuel avec la Kellison qui est une “Putain de caisse de Ouf de merde !”… Mais, malheureusement ce genre de petites merveilles, tout comme les Hot-Rods, ont subi le même barrage organisé que dans l’élection Franchouille…
Celle qui vient de sonner la fin de la récré… Terminé de rire, les sévices continuent avec d’autres têtes… Je doute que tel ou tel parti réorganise l’autorisation de rouler en Hot-Rod’s et Kustom-cars ainsi qu’en bagnoles “alternatives” décriées à tort (mais c’est volontairement du “bien-pensant”) comme des Répliques, ce qui sous-entend… et c’est volontaire pour détruire toutes possibilités éventuelles de recours… que ce ne sont que d’immondes saloperies bricolées par des rigolos fouteurs de merdes, mais politiquement-corrects… Strictement aucune tête d’aucun parti en France et en Europe, ne s’affiche donc en Hot Rod’s, en Kustom’s, en Excalibur’s, et/ou en répliques de Porschette’s 356… Aucun, aucune… Aux USA, Joe Bidden malgré son âge un peu plus avancé que le mien (75) s’affiche en Corvette classique avec Jay Leno… et Trump de même avec des Pin’ups bandatoires et sa Corvette motorisée d’un 8.500ci avec compresseur…
C’est peut-être du cinéma, quoique non, sauf qu’ils vont vers les 80 ans et que ce genre de bonheur devient difficile d’accès, mais ça suffit pour que les amateurs de bagnoles aux USA soient enthousiastes et votent pour l’un ou l’autre en fonction qu’ils ont presque la même voiture… Ils sont ainsi persuadés que leur passions automobiles ne feront pas l’objet de poursuites judiciaires comme ç’est le cas en Europe… Et c’est comme ça que, depuis fin des années’40, les voitures publiées dans ChromesFlammes et Gatsby sont 100% légales aux USA… Allez, allez, mes Popu’s, trouvez-moi des photos… OK ? Bien… La suite… Construite comme M. Kellison l’aurait construite lui-même et maintenant mise en vente, sans être inquiété ni poursuivi par les autorités, avec saisie et amendes (comme en France et Europe) cette Kellison se découvre dans l’Etat du Missouri propriété d’un professionnel de l’aviation.
Elle a 62 ans et il la possède depuis 23 ans : “Je l’ai achetée en Arizona en mai 2001 avec les titres de propriété et de roulage top-clean. Cette Kellison affichait très peu de miles (8.500) au moment où je l’ai acheté. et j’ai parcouru environ 15.000 kilomètres de bonheur depuis lors. J’ai toujours fait tout ce dont la Kellison avait besoin quand elle en avait besoin, notamment un nouvel embrayage ainsi que de nouveaux silencieux et sorties d’échappement. Je n’ai jamais du démonter le moteur ni la boite, ni quoi que ce soit, c’est une excellente automobile américaine”… La Kellison est considérée comme une voiture de sport vintage produite en usine, physiquement construite comme une voiture de course. Mais elle n’a jamais couru. Le V8 est un Ford 396ci muni d’une boîte manuelle 4 rapport plus fonction marche arrière. Le pont quick change est un 3:08 POSI La Kellison dispose de freins à disque aux 4 roues et d’une suspension indépendante sur un châssis tubulaire”...
Les jantes sont des Halibrand’s chassées de B.F.Goodrich Radial TA en P225/70R15 AV et P255/70R15 AR. Les compteurs sont des Stewart Warner il a une radio AM-FM au son exceptionnel avec un lecteur de cassettes à 8 pistes “à l’ancienne”. Les sièges en cuir proviennent d’une Corvette de la fin des années ’60, les arceaux de sécurité sont rembourrés en cuir tout comme la garniture de toit et l’habitacle… Les vitres électriques sont à fonctionnement rapide. Elle a été configurée pour la climatisation à la fois sous le capot et y compris à l’intérieur. Ce qui semble être un très petit couvercle de coffre. donne accès, avec charnières à double piano, à une roue de secours ce qui laisse toutefois encore un peu d’espace de rangement avec un plancher plat… Après avoir lu toute cette description, réalisez également que chaque détail a été pris en charge avant même qu’il ne soit fabriqué c’est une Kellison très pro et First-class…
En ce qui concerne l’histoire de la Kellison, il y a eu environ 1000 kits produits chez APPX durant 6 ans incluant les Kellison J-1 jusqu’aux J-6. Il en reste 138 sur 500. 1/3 est allé courir dans les salines (les lacs salés avec divers Hot Rods). 1/3 pour ont été utilisées sur circuits de course et 1/3 ont été conduites dans les rues… D’après ce que j’ai vu entendu et lu, cette voiture est classée parmi les 5 plus belles Kellison’s… Tant mieux si je viens de vous donner envie de l’acheter… Mais évitez cela en Europe… Vous appréciez mes textes Gonzo, mes commentaires cash et mes descriptions surréalistes… Le contraire me serait indifférent. J’assume en effet mon attitude politiquement incorrecte… et mon sens (particulièrement interdit) de l’humour déjanté, comprend un mépris absolu des fausses convenances et des traitrises que les seuls “bien-pensants” confondent avec la soumission et l’hypocrisie des porteurs de serviettes…
Le bonheur d’être irrespectueux des convenances alambiquées et unilatérales est une liberté que la masse n’ose plus appliquer, se contentant de l’humour des saltimbanques, qualifiés de “fouteurs de merde”, “dénonciateurs”, “empêcheurs de tourner en rond en emportant la caisse”… Les crapuleries et escroqueries, prioritairement celles en bandes criminelles organisées se multiplient et intoxiquent la justice et le monde des affaires et de la politique… Cela à toujours été un des éléments de l’être humain que s’adonner à des pratiques orchestrées à tous les niveaux, que rien n’éradique… Waouww ! Et, qu’est ce que ma tempête de mots en phrases va changer ? La Kellison n’est qu’une vieille voiture “de sport” américaine de plus de 60 ans, comme il en a existé un certain nombre à l’époque des fifties et sixties. Mais c’est justement, à cause de cela qu’elle mérite qu’on s’y intéresse.
C’était une concurrente d’époque pour la Corvette dont le châssis pouvait être récupéré d’accidentées en carrosserie, leur châssis coutant beaucoup moins qu’un châssis Kellison. Mais pour les peu scrupuleux, ce n’était que recarrosser des Corvette’s accidentées avec une carrosserie Kellison d’apparence plus futuriste… L’extrapolation d’écouler des Corvette’s volées pour en récupérer châssis, trains roulants, moteur et boite de vitesse est toutefois apparue comme une alternative rentable, ce qui a créé une opportunité pour les escrocs : “Utiliser le marché “noir” des Corvette’s et les recarrosser pour en faire “d’autres” voitures”… L’ingéniosité humaine est ainsi souvent détournée à des fins malhonnêtes. Ce genre de marché à de plus “tapé au plus fort” avec les Buggy’s VW. Cela s’est ensuite étendu aux fausses Porschettes’s 356 et a envahi l’ensemble du monde avec les Cobra’s répliques…
C’est devenu une industrie du faux hyper rentable surtout avec les répliques de Cobra qui étaient quasi toutes immatriculées avec des papiers de Ford “toutes marques”, y compris des camionnettes “Ford Transit”.… A cette époque sans informatique, on immatriculait n’importe quoi n’importe comment, même des Fausses Ferrari 250GTO avec des documents et plaquettes d’une 250GTE valant 100 fois moins… L’informatique a peu à peu tué le marché des substituts automobiles, au grand plaisir des grands fabricants qui curieusement n’en ont strictement récupéré aucune vente. Mauvais calcul… On a détruit une industrie de la récup (une soupape sécuritaire permettant de survivre aux taxes), mais, curieusement, si cela a coulé le marché des répliques de masse (incluant les Hot-Rods, Porschettes 356 et Cobra), le haut de gamme s’est accommodé selon la technique des voitures volées…
Simple à réaliser même en Usine chez Ferrari avec les N° de châssis et les documents remplacés par ceux d’épaves prétendument reconstruites… C’est un sport rentable d’escrocs constructeurs/garagistes très pratiqué sur les Ferrari’s et Porsche’s… Mais, si on met ce monde d’escrocs ayant pignon sur rue (sic !) en rapport avec ma LéaFrancis, il est vraisemblable qu’elle circule en Israël ou a migré la famille du décédé ayant été le commanditaire du vol sous l’impulsion du spécialiste des assurances d’automobiles de collection la SA Jean Verheyen agent général AXA, utilisant la filiale AXA Art Versicherung AG transférée après environ 500 escroqueries, dans un pays européen tolérant et fiscalement nul, l’Irlande… La Lea Francis, est en effet fort semblable aux Jaguar XK120/140/150 de même architecture… Faudrait-il un coup de chance ou un policier connaisseur pour deviner la supercherie.
C’est là que les Contrôles Techniques branchés au réseau des transports et immatriculation (C’est Européen et ça devient mondial) peuvent de plus en plus détecter ou ignorer les fraudes… Les caméras de surveillance finiront par y aider… Mais, comme la totalité des marchés automobiles sont en presque totale déconfiture, on passera rapidement “à autre chose”... Pour en savoir plus, tapotez LéaFrancis dans la loupe de page d’accueil en haut droit… J’en reviens à la Kellison Engineering & Manufacturing Co. qui a été fondée vraisemblablement très honnêtement par Jim Kellison, un vétéran de l’USAirForce et aussi constructeur de Hot Rod’s… Il a conçu la belle carrosserie en fibre de verre lui-même, et l’a commercialisée comme pouvant être achetée soit comme une carrosserie séparée pour être montée sur différents châssis, soit avec un châssis Kellison.
En ce cas Kellison pouvait soit fournir le kit carrosserie, soit construire la Kellison de A à Z… Comme celle de cet article est un montage “usine”, c’est donc une vraie et authentique Kellison qui mérite d’être présentée dans GatsbyOnline… On commence la partie historique ici, suivra une autre vision totalement différente en contrepoint… Né James Frank Kellison à Seattle, Jim Kellison déménage en Californie dans sa jeunesse et fait partie de la scène du Hot Rodding en pleine croissance à l’adolescence. C’est dans le monde des Hot Rod’s qu’il a fait ses armes en apprenant l’ingénierie automobile, la carrosserie et le réglage des moteurs. Il s’est engagé ensuite dans l’USAirForce. Il avait en effet longtemps été amoureux des avions et de la conception d’avions, ayant été un constructeur passionné de modèles réduits d’avions quand il était plus jeune.
Cette fascination pour les avions aura plus tard une influence significative sur ses conceptions automobiles. Après sa libération, il a ouvert son propre atelier de carrosserie à l’âge de 22 ans. C’est à cette époque, au début des années 1950, que la fibre de verre est devenue un matériau populaire pour la construction de carrosseries automobiles. Il était léger, relativement peu coûteux et facile à former en formes complexes avec l’utilisation de Masters (moules), beaucoup plus facile à transformer en carrosseries de voiture que l’aluminium ou l’acier. De nombreuses petites entreprises ont vu le jour en proposant des carrosseries en fibre de verre pouvant être montées sur des châssis de voiture de production, réduisant considérablement le poids et améliorant simultanément les performances. Certaines de ces sociétés ont également développé leurs propres conceptions de châssis.
Au milieu des années 1950, Kellison était l’une d’entre elles. Jim Kellison passera le reste de sa vie en tant qu’entrepreneur dans le monde de l’automobile, réparant d’abord des voitures avant de se lancer lui-même dans la conception de voitures et vendant des kits de carrosserie en fibre de verre ainsi que des voitures complètes. Les voitures les plus célèbres construites par Jim sont les 6 véhicules de la série Kellison J, châssis J1 à J6 en production depuis la fin des années 1950 jusqu’à la fin des années 1960. Soit 10 ans pour 6 voitures… Leur style était remarquablement avancé pour l’époque. Simplifions les chiffres de production par une voiture tous les 2 ans… Mais, en plus, Jim Kellison construisait d’autres automobiles dont des voitures de Formule V, des bateaux, des buggy’s et plus encore… Jim Kellison a commencé à développer son design de voiture au milieu des années 1950.
Il sera officiellement enregistré en 1957 sous le nom de Kellison J-4. Le style de la carrosserie a fait sensation et les commandes sont venues. Un châssis développé en interne a également été proposé pour contrer l’utilisation de corvette’s accidentées ou volées. La conception du châssis n’était pas le genre de maniabilité tueuse des Corvette’s ! C’est ce que Jim recherchait, et il a donc embauché le concepteur de voitures Indy, Chuck Manning, pour développer un nouveau châssis à partir de zéro, ce qu’il a fait sur deux générations de conceptions. Ces nouveaux châssis ont beaucoup amélioré la maniabilité, et divers Kellison’s ont commencé à gagner des courses contre des Corvette’s, des Jaguar’s et des Ferrari’s. Plus tard, Jim Kellison s’est diversifié et a utilisé sa capacité de production de fibre de verre pour construire d’autres véhicules.
Il s’agissait de Buggy’s de type Meyers Manx considérablement améliorés, de voitures de Formule V et même de bateaux rapides ainsi que des jacuzzis !!! La société a cessé ses activités dans les années 1970…. Bien évidement mon enquête perso amène quelques modifications de l’histoire… Je reprends donc presqu’à zéro… avec un CONTREPOINT, tel qu’imaginé dans mes magazines AutoChromes par John McEvoy (il est décédé en 2000). Donc voici le CONTREPOINT ! Accrochez-vous ça va déménager grââââve… Nous sommes en 1960. Vous êtes jeune, vous avez plus d’attitude que d’argent et vous recherchez une voiture de sport unique. Vous voulez un moteur V8 monstrueux et une transmission manuelle plus macho que les automatiques pour fillettes, de mauvaises idées et une mentalité de crétin qui amène les rigolos à tracer des chèques sans provision. OK, Vous êtes le pigeon idéal.
Vous vous en foutez royalement tout comme les Angliches rosbif se foutaient des Hindous et des macaques africains, tout comme les colons français en Afrique noire ?… Vous voulez quelque chose de si bas au sol pour paraitre un champion automobile que vous ne regarderez plus les gros nichons des serveuses de drive-in mais leurs moches rotules ?… Pas de Corvette de boulevard pour vous qui êtes à la recherche de l’avenir. La voiture que vous voulez est la Kellison… Eh bien, vous avez de la chance, car c’est la voiture que Jim Kellison a construite pour vous et beaucoup d’autres accros de la performance qui avaient soif de vitesse et d’audace. Faisant ses armes dans l’armée de l’air, Kellison a acquis une expertise avec la fibre de verre dès le début, devenant un pionnier du plastique offrant une large gamme de carrosseries de coupés et de roadsters ainsi que des conceptions de châssis tubulaires pour ses voitures.
Également offertes sous le nom d’Astra et dans différentes itérations sous la marque Allied Fiberglass tout au long des années 1960. Les voitures Kellison ont été vues sur des pistes de dragster, des pistes de voitures de sport et lors de salons d’autos personnalisées. Tous les meilleurs chiens utilisent des V8. Il vous en faut un aussi. La facilité de construction supposée des trop légères carrosseries pré-gondolées en fibre de verre et leur apparence impressionnante de nullité, ont donné aux Kellison l’impression d’être idéales pour un large éventail d’applications de performances. Bien que de nombreux kits de carrosserie moulées aient été fabriqués et utilisés rapidement, Kellison a également proposé des constructions en grande partie complètes intégrant leur propre châssis spécialement conçu. La plupart des constructions en kit se sont avérées rudimentaires et au mieux bricolées dans des abris d’autos…
Le genre autour de dîners McDo/bières et télévision… Les matériaux étaient des pièces et châssis récupérés sur des bagnoles volées, les carrosseries en plastique étaient d’usine archi mal ajustées produites en séries diverses, sans aucun contrôle de qualité par des bricoleux dont le roi incontesté fut un français construisant des Scobra en plastique. Toutes étaient très mal réalisées sur des châssis VW Cox de récupération… Des Cobra sur châssis VW avec flat four 4 cylindres, ça craint grââââve… C’est l’équivalent automobile des perversions sexuelles sur des mineurs mongoliens… L’est mort de honte dans sa casse automobile, le gars… Les kit cars ont généralement des intérieurs équipés de restes de tapis shag et de chaises de jardin en vinyle tissé dépareillées utilisées pour les sièges. Parfois, cependant, un constructeur complétait une voiture à un niveau plus élevé, faisait la couverture du dernier mag Nitro.
Ce “machin” qui était spécialisé en merdes roulables, ce qui incitait les autre rêveurs à en construire également, si possible dans une couleur psychédélique à vomir avec “murals” moyen-âgeux et filles à poils)… De manière critique, Kellison n’a pas entrepris de créer une merde au départ comme les Scobra’s, mais une GT de type européen. Cette barre située à un niveau beaucoup plus élevé signifiait que les exemplaires bien exécutés étaient extrêmement rares lorsqu’ils étaient neufs et le restent encore plus maintenant. Une Kellison bien bâtie est une bête mythique qui est malheureusement souvent capturée par des bouffons de conviction dystopique. Aujourd’hui, quelques visionnaires restants continuent de chercher le Valhalla où la puissance V8, le style GT de l’ère du jet-age et la bravade américaine convergent seulement avec la Kellison J-6. Cet exemple était auparavant la propriété du fondateur Jim Kellison.
Quant à la durée de sa propriété, il est possible qu’il s’agisse d’un projet restant du trésor personnel de Kellison ou d’un orphelin récupéré d’un état de rêve gelé par un propriétaire antérieur, peu motivé. Quoi qu’il en soit, Kellison a libéré sa propriété pour la somme de 1.250 $ comprenant la carrosserie + châssis + train de roulement, tel que défini sur l’acte de vente spécifié sans garantie de rien. Cette voiture a été construite en utilisant un châssis tubulaire carré et rond spécifique à Kellison conçu par Chuck Manning permettant à la carrosserie de s’asseoir correctement sur le châssis, contrairement à l’orientation maladroite et surélevée d’exemples plus courants… Ils sont bâtis sur des châssis de corvette C1 ou C2 récupérés “à la casse” par des bricoleux du dimanche œuvrant dans des box souterrains en buvant des bières entre copains de beuveries…
La voiture porte l’évolution finale du design du coupé à deux phares de Kellison, qui sera vendu par le partenaire de Kellison à son rival Allied sous le nom d’Astra X300-GT jusqu’à la fin des années 1960, uniquement pour faire chier Kellison pour une affaire monnayable de 676 dollars… Le musicien californien et passionné de voitures de sport Skip Snyder a sauvé la voiture d’un dépotoir, la faisant revivre à un niveau basique de Rat-rod compatible avec la plupart des minables constructions d’époque. De Snyder, la voiture est passée par le garage Fantasy Junction en 2014 qui a vendu l’épave à Jay Lamm, rédacteur en chef de magazines minables et organisateur d’événements “citron” pour bouseux fauchés, qui a entrepris de réexécuter complètement l’exemple dans la langue vernaculaire européenne GT initialement envisagée par Kellison.
Tout d’abord, la voiture a été complètement démontée. La carrosserie a été réparée et renforcée dans des zones critiques par Andy Schank, tandis que Schaible & Newman de Walnut Creek a corrigé de multiples faiblesses dans la disposition et la construction du châssis Kellison d’usine, y compris l’adaptation des modules de suspension avant et arrière de la berline Chevrolet des années 1950 à une suspension avant indépendante entièrement réversible, une extrémité arrière Watts link, des freins à disque aux quatre roues, et une vraie direction à crémaillère. Le V8 Chevrolet 283ci d’époque a été rafraîchi réaménagé avec un carter humide personnalisé à dégagement élevé avec des déflecteurs et un plateau d’enroulement, caché derrière lequel se trouve maintenant un embrayage moderne contrôlé par une pédale de compétition Tilton complète devant une nouvelle transmission TKO à 5 vitesses.
L’intérieur a été refait dans un mélange de vinyle marin imperméable… La version de Lamm de la célèbre Ferrari à poil de souris et des sièges récupérés avec des inserts en tissu GM des années 1950 à carreaux. L’assemblage final, le réglage et la configuration ont été effectués par John Ficarra, vétéran de Canepa de Ficarra Classics, dont le travail comprenait des révisions de la géométrie de la suspension, de la structure de la pile à combustible, d’un radiateur haute capacité unique, et plus encore. Dans un trait de génie coloré, une couche de peinture très appropriée a été appliquée avec d’innombrables boulettes de viande blanches qui ont été ultérieurement poncées. Un ensemble de pneus radiaux Hankook Kinergy 225/70R15 (arrière) et 205/65R15 (avant) ont été installés en 2020. Parmi les autres détails historiquement critiques, citons d’abord un pare-brise Studebaker de 1949-52,…
Ensuite une instrumentation Smiths entièrement électronique fraîchement volée d’une Triumph TR2 et d’une MGA Twin Cam. Dans un autre moment courageux et audacieux, en 2022, Lamm a également exposé sa voiture… D’abord dans le numéro de décembre 2022 du magazine Collectible Automobile, et en août 2023, par un de ces incroyables miracles dus à des coucheries bien crades, la Kellison a été présentée à “The Quail”, ce qui était, sans aucun doute possible un miracle arrangé en contrepartie de coucheries répétées… Une première pour la marque. Cette Kellison s’est présentée en excellent état, à ce show concours “Peeble Beach”, offrant un design américain unique très dynamique et coloré. Les lits de camp comme sièges réadaptés et la la peinture correctement préparée avec une belle finition dans les panneaux de carrosserie en fibre de verre souvent impitoyables sauvaient l’ensemble du ridicule…
Les détails dans les montants de porte et sous le capot, des zones où les voitures de cette origine donnent souvent lieu à des finitions “maison” de moindre qualité avaient été étonnement bien exécutées de même que le capot et les portes qui présentaient des espaces étonnamment bons et un ajustement approprié à la carrosserie, s’ouvrant et se fermant facilement. C’est une caractéristique régulièrement absente des voitures en fibre de verre construites à la main. Le travail lumineux extérieur se limitait toutefois à une garniture légère soulignant l’ouverture latérale, des enjoliveurs centraux de roue de marque Kellison et un emblème de capot singulier, tous minimalistes et bienvenus dans cette conception. Les détails de la carrosserie comprenaient une légère réduction du bord de la culbuteuse permettant une sortie d’échappement latérale, une petite pelle de capot et des ouvertures d’ailes arrière…
Elles servaient àdiminuer la faible possibilité de refroidissement des freins arrière. En fait, plus on passait de temps à regarder la voiture, plus on commençait à réaliser que Lamm et son équipe de restauration avaient préparé correctement cette voiture. Le verre latéral, unique, et l’éclairage des clignotants inférieurs étaient deux autres exemples de résolutions de conception intelligentes sans succomber au malaise du marché secondaire ou des billettes souvent vues dans les restomods ou les Custom-cars. Les choix de matériaux et de couleurs étaient risqués pour l’exposition de Peeble Beach mais bien résolus avec du vinyle touffeté cousu dans les portes et des sièges baquets profilés en tissu. Un ensemble de ceintures de sécurité de compétition Safecraft était installé avec des ancrages de barre de soutien arrière et des fermoirs à dégagement rapide du moyeu central.
Le panneau du tableau de bord était en excellent état recouvert de fourrure Zeus, étrangement en harmonie avec l’ambiance intérieure. Les jauges principales et les petits instruments avaient une excellente couleur assortie et de belles lunettes chromées. Le compteur kilométrique indiquait un peu plus de 2 200 milles, qui avaient probablement tous été amassés avec Lamm au volant et dont 1000 avaient été acquis au milieu des bourrasques de pluie soudaines… Il a été souligné que la zone de rangement arrière offrait juste assez d’espace pour quelques sandwichs de charcuterie, tandis que le reste de l’espace intérieur était consommé… En fait il était bouffé (rempli) de manière appropriée par un arceau de sécurité et une protection contre les intrusions latérales. Sous le capot, le moteur V8 et le compartiment moteur avaient été joliment rénovés en fonction de la qualité restante de la voiture.
Le moteur offrant des apparences d’alliage moulé brut avec des couvercles de soupapes à ailettes vintage, des emblèmes Kellison, des panneaux latéraux en alliage, des collecteurs de tubes enveloppés de chaleur (sic !), un câblage bien rangé et une belle combinaison de luminaires modernes avec des détails soigneusement résolus qui, une fois de plus, avaient été complétés à un niveau cohérent. La finition générale fut qualifiée d’ordonnée, joliment détaillée et raffinée avec goût, conformément à l’intégrité de la construction originale, mais bien au-delà de ce que même Jim Kellison aurait pu imaginer il y a 60 ans. Le dessous lui aussi en très bel état, remarquablement et reflètant des détails de construction réfléchis et des considérations modernes. Le Jury a donc délivré un certificat de présentation mais aucun prix… Il est vrai que le look était attrayant, mais dans la pratique, c’était mois bien…
L’entrée réelle, l’ajustement et la réalisation éventuelle qu’on pilote cette voiture sont un peu intimidants. Le moteur démarre avec un aboiement sonore. Le cockpit est immédiatement englouti dans une compétition entre les réverbérations en aluminium et le bourdonnement de la fibre de verre, le tout simplement au service du moteur au ralenti. Tout espoir de soulagement sonore est dépassé par l’augmentation rapide du volume à mesure que les régimes montent, que les reins hurlent, que les fesses se serrent et que vous vous retrouvez à sourire d’une oreille à l’autre. Tout cela avant même d’avoir attrapé la deuxième vitesse. Bien sûr, c’est bruyant, grondant et difficile à contrôler, mais en très peu de temps, vous réalisez à quel point les génies fous Kellison et Lamm ont construit une voiture complètement stupide qui répond à toutes les visions de l’enfance de ce qu’une voiture de sport puissante devrait être.
4 commentaires
Maître, Si la mairie de Saint Tropez juge utile de vous inviter à un cocktail républicain ce soir, vous aurez sans doute l’occasion de sonder l’inépuisable puits sans fond ?
Les voies du Saigneur sont impénétrables, mon fils…
De plus, le “sans fond” est à double sens, on peut y comprendre son infinité ou son manque de sens…
Maître, Fort bel article, joli CONTREPOINT… votre talent est inépuisable !!
Je suis flatté par votre commentaire qui va embaumer ma nuit Tropézienne…Le coté inépuisable pourrait se confondre avec le puits sans fond de la bêtise humaine qu’il m’arrive de scruter au risque d’y choir…