1965 Mustang Fastback’65 Pro Street
On rage plus qu’on se lamente, moi en premier, que l’Union Européenne à assassiné le Hot Rodding, la Kustom-Kulture et quantités d’activités liées aux loisirs automobiles, pour favoriser un marché sans partage au seul profit des grands constructeurs des nations européennes. Maintenant que ces diktats qui ont ruiné les petits constructeurs, n’ont en rien augmenté les ventes des grands constructeurs, ceux-ci poussent à l’incorporation dans l’Union Européenne des anciens pays de l’Est, ex-Russie, afin d’y construire leurs productions 60% moins cher en main d’œuvre…
Manifestement l’extraordinaire Europe qu’on nous a vendu, était un mensonge au seul profit des grands groupes et des milliardaires sachant y manoeuvrer, qui de plus payent les impôts de leurs gigantesques profits dans des zones financières très très très accueillantes, via des montages très complexes incluant de multiples et incessantes corruptions… Les conséquences sont économiquement apocalyptiques, car outre que les ouvriers locaux seront licenciés, les fournisseurs de quantités de produits y liés devront également s’installer à proximité des nouvelles usines.
Cela augmentera encore l’affaissement des économies sur lesquelles nous survivions. Ce ne sera pas que pour l’automobile, dans mon cas, je témoigne qu’imprimer à Vilnius, Lettonie, membre de l’Union Européenne, mes magazines Chromes&Flammes ainsi que Gatsby en magazines “papier” coutait la moitié (y compris livraison à plusieurs milliers de kilomètres) des plus bas prix d’imprimeurs Français et/ou Espagnols… Quoique même 50% moins cher, la presse “papier” se casse la gueule (sic !) et en stoppant l’hémorragie financière on ne meurt pas financièrement…
J’ai coupé le nœud Gordien en ne diffusant qu’en numérique… Ces exemples démontrent que l’idée de l’Europe est une erreur menant à la ruine et oblige pour la minimiser, à imiter les USA qui créent au moins une guerre par an pour des raisons économiques… La guerre en Ukraine vue sous cet angle, se comprend très bien… Cela permettrait par exemple à Stellantis de fabriquer en Ukraine deux à trois fois moins cher qu’en France ou en Allemagne. Le brouet de sorcières qu’on nous force à avaler via les merdias aux ordres propriétés de milliardaires d’affaires ne font qu’amplifier le dégout…
Torpiller mes Minari’s et mes Chromes&Flammes n’a pas amélioré nos industries, le bilan industriel est catastrophique et pire, tout cela crée un ressentiment durable des populations. Les mensonges et les opérations de retours sur dons à l’Ukraine sortent peu à peu en suite des mêmes canevas que ceux liés au vaccins Covid au fur et à mesure que la corruption de la quasi totalité des politiques de tous bords dans tous les pays européens se découvre. Avec un fond suicidaire d’un geste qui éteint d’un coup toutes les conneries qui nous bourrent le crâne.
De plus en plus, diverses personnes espèrent une guerre atomique sans se rendre compte que le suicide général ainsi espéré pourrait être pire que la lente agonie actuelle, quoiqu’immédiate, mais pas sélective ce qui amènerait à bien pire… En attente, c’est la débrouille qui s’active avec le fameux pas vu-pas pris et le repli sur soi… Les affaires des Dragsters en Europe ne force en rien de destin et tout comme les Kustomisations et le Hot Rodding on se crée des illusions qui quoique perdues d’avance, aident à ne pas se laisser crever comme des condamnés à la perpétuité…
Ils n’ont comme seule distraction que tourner en rond et se branler… Profitez donc de ce web-site, je crains que devenant à un moment trop vieux (j’ai 75 ans) je n’aurais plus l’envie d’écrire “pour les couilles du Pape”... Alors, Hop Hop Hop, une branlée de Pro Street avec cet article… Je suis sympa, je vous facilite l’envie de vous changer les idées en affichant une Mustang Fastback des meilleures années… Venez… Venez vous changer les idées noires… Rêvez tant que vous pouvez encore… Bien… Le terme Pro Street est utilisé depuis des décennies, faisant souvent référence à toute voiture avec un Blower (compresseur)…
Un “6-71” traversant le capot, ça en jette, surtout si en plus il y a des wheelie’s à ressorts sous le cul… et des pneus dragster radiaux surdimensionnés cachés sous les ailes arrière. Dans sa véritable essence, cependant, le mouvement actuel Pro Street tend de plus en plus à rendre hommage à la scène des courses de dragsters des années’80 avec ses excès exubérant d’esthétiques sauvages et de moteurs de très grande puissance. Ouiiii, aujourd’hui, il y a une tendance croissante des propriétaires à convertir leurs anciennes voitures de course de dragsters en Street machin.
Ces Dragsterman’s à la retraite veulent se rajeunir avant de crever dans une possible guerre avec les Russes et les Chinois que nos gouvernements titillent pour le plaisir d’emmerder le monde… Les Dragsters de rue sont bienvenus pour s’em meettre plein la gueule car il y a toujours une puissance sérieuse sous les capots de ces machines du diable qui de plus ont conservé le look traditionnel. Mais la qualité de la fabrication a grimpé en flèche, avec une attention particulière à la carrosserie, à la peinture et à la maniabilité. Ce ne sont plus les mêmes Street Machines des années ’70 et ’80…
Par exemple, la Mustang 1965 de Phillip Tarlton a remis à jour les normes de ce que devrait être une vraie Pro Street 2024 et les photos seules ne rendent pas justice à la voiture. Mais comme vous êtes en Europe, ChromesFlammes/GatsbyOnline refait le coui des années ’70 et ’80 en vous présentant de quoi rêver et de vous faire un peu de bonheurs et d’illusions. Phillip a toujours été un fan de courses de dragsters, et en grandissant/vieillissant en Caroline du Sud, cela pouvait parfois être un mode de vie. Bien que son frère ait eu de nombreux Hot Rod’s, c’est sa Mustang qui a captivé Phillip l’adolescent.
Quelques vieilles photos le montre se tenant fièrement devant la création de son frère. La Mustang n’appartenait pas à l’origine à la famille Tarlton mais à une dame qui l’a utilisée comme Daily-Driver pendant six ans avant que le frère aîné ne l’achète et décide d’en faire sa voiture quotidienne. La Mustang est rapidement devenue une incontournable de la piste d’accélération locale, mais plus important encore, elle a enseigné au frère cadet les tenants et aboutissants des courses de dragsters de rue.
“Nous avions deux slicks à l’arrière, et une fois arrivés sur la piste, je rampais sous l’avant et enlevais les silencieux pendant que mon frère soulevait l’arrière et installait les gros pneus”, m’a expliqué Phillip. “La voiture était rugueuse, très rugueuse, mais c’est ce qu’étaient les voitures de type bracket à l’époque”... La combinaison de course était simple : un petit bloc 289ci avec des têtes de 351ci Windsor montées au sommet en sus d’une transmission à quatre vitesses avec un pont QuickChange. Le frère aîné a couru avec la voiture pendant près de 21 ans jusqu’à ce qu’il l’offre finalement au jeune Tarlton.
Bien que le timing ait été terrible, alors que Phillip construisait une maison, il ne pouvait pas laisser passer l’opportunité de posséder la voiture qu’il attendait depuis deux décennies. Il y est parvenu en vendant quelques véhicules pour remettre au TOP la vieille Fastback entre ses mains. La voiture avait vécu une vie difficile, donc la première étape serait de lui donner une nouvelle jeunesse… Mais avant d’appliquer une nouvelle peinture il y avait du travail… Le capot d’origine a été remplacé par un capot “Dragster”, transformant la voiture d’une image de ponycar en une apparence musclée.
L’objectif était d’entrer dans la zone des 6 secondes au 1/8ième mile avec de l’azote. Il a remplacé la boîte à quatre vitesses par une C6 automatique. La Mustang faisait le job en 7,02 au début des années 90. Phillip a toutefois changé le moteur par un 408ci Stoker permettant de réaliser un 5,70, ce qui, dans les années ’90, était un temps respectable pour une voiture homologuée pour la route. Il était temps de passer à une combinaison plus Funny… Une chose en entraînant une autre, c’est là que Philipp est passé de la chute des extraterrestres à la chute des mâchoires…
Il s’est lancé dans la refonte totale d’une voiture en une reconstruction complète, la Fastback se retrouvant sur une rôtissoire de carrosserieau fur et à mesure que de nouvelles pièces affluaient. L’avant av été converti en une unité TCI Engineering complète comprenant des combinés filetés, une direction à crémaillère et des étriers de frein Wilwood à quatre pistons. À l’arrière, une configuration à quatre bras Chris Alston Chassis Works avec des amortisseurs à double réglage Strange Engineering et une barre antiroulis de 1 pouce a été installée. Un boîtier Fab 9 abrite des essieux “Strange” et un rapport de 5,14.
Le châssis, l’arceau de sécurité et la tôlerie ont été méticuleusement fabriqués par Jim Pettigrew. Pour conserver l’image de Pro Street, les passages de roues ont été élargis de 5 pouces pour accueillir des jantes Billet Specialties beadlock chaussées de pneus Hoosier 33×18.5-15 AR et 26×4,5-15 AV.Bien que la voiture ait “l’air de la pièce”, c’est ce qui se trouve sous le capot qui capte la majorité de l’attention. Poursuivant le thème de toute une vie dans le compartiment moteur, un autre V8 Ford 434ci en aluminium de chez Ford Performance a été installé, il comprend un vilebrequin Bryant Racing,.
Il y a aussi des tiges Carrillo et des pistons JE. À l’intérieur, se cachent des têtes Ford Motorsports SC-1, il y a aussi des cames à rouleaux et des poussoirs Comp Cams, ainsi que des culbuteurs Jesel. Pour maximiser la puissance, un système de carter sec à six étages Auto Verdi est utilisé. Cette configuration développe une puissance impressionnante de 844cv et un couple de 665 lb-pi. Le moteur est alimenté par une pompe à carburant MagnaFuel chapeauté d’un carburateur Holley 850. Un réservoir de carburant en aluminium stocke le carburant et la configuration des systèmes de protoxyde d’azote.
Avec 400cv chevaux d’azote disponibles en plus… Avec le nouveau moteur installé, la plomberie gérée par Brown and Miller Racing Solutions et le câblage électrique supervisé par Rick Elgin de Racewire Technologies, il était temps de revenir au plan initial d’installation d’un nouvel ensemble de collecteurs. Pettigrew a une fois de plus préparé la soudeuse et a fabriqué un ensemble de tubes d’échappement ovales de 3,5 pouces. Après la conversion de la voiture Pro Street, elle a été présentée à la Mustang Week, au NMRA Mustang Day et à de nombreux événements à travers l’Etat de Caroline.
Alors que la voiture a trouvé une nouvelle position sous les projecteurs, Phillip n’a pas changé et continue de démolir les rues avec elle. Le Pro Street n’est pas mort… Du moins aux USA… Pour combien de temps, là, je ne sais le deviner… Pas trop… Il ne devrait pas y avoir une autre génération surtout avec le passage à l’électrique. La Mustang 1965 de Phillip Tarlton rend non seulement hommage aux courses des années Chromes et TopWheels ’80 et ’90, mais court depuis plus de 50 ans et plus. J’espére que Tarlton continuera à démolir les recouvrements des rues, laissant deux épaisses marques noires…