Supercharged 1937 Cord 812 Phaeton
Ou en est-on si ce n’est nulle-part concernant les automobiles anciennes dites “de collection”, alors qu’on nous précipite dans une guerre d’usure économique à l’extérieur de l’Ukraine, militaire en son intérieur (à l’intérieur de ses frontières) et en son intériorité immorale, pour autant que ce terme signifie encore quoi que ce soit compte-tenu de la précarité intellectuelle qui affecte les jugements d’une populace lobotomisée par ses merdias subventionnés.
Il s’agit de toi, mon Popu, dans un enrobage comme pour les pralines… Je te sens déjà éperdu par cette introduction que mes détracteurs qualifieront “d’enculade”… Tu es plus que perdu, d’autant que tout augmente (les prix à payer car tes revenus diminuent) particulièrement l’augmentation de la stupidité généralisée et des Fake-News étatiques que tu ne peux remettre en cause sous peine d’être déclaré : “traitre à la Patrie”, “agent du KGB” et “mauvais Français” !
Pôvre Popu ! Pôvre con ! Rien que penser et tu es taxé de “complotiste”, “agitateur”, “terroriste”, “violeur de femmes et enfants”, “assassin de la démocratie”… En plus si tu n’es pas vacciné avec des produits emplis de nanos-robots tu deviens un “ennemi d’Etat” ! Cela est mis au point par des lobbyistes attachés aux divers gouvernements, spécialistes en histoires alternatives destinées à canaliser les masses… Alors, ou en est donc le monde des automobiles de collection ?
Il gravite dans la folie et les prières pieuses qui forment une religion de l’auto-collection. Aucun journaleux n’est par ailleurs capable de t’expliquer quoique ce soit, étant tributaire de ce que les merdias les payent pour débiter une histoire alternative enrobée dans le chic et la classe de concours de beautés, d’expositions putassières et de ventes aux enchères dont il n’y a là aussi rien à comprendre de plus que ce qu’on veut bien t’en lobotomiser…
Il se fait que les ventes d’automobiles de collection ne sont pas affectées par la vraie-pré-guerre actuelle entre les USA et l’Otan contre la Fédération de Russie… Ne t’inquiètes pas mon Popu… Ce n’est pas pire que le génocide des amérindiens par les colons européens, que l’éradication des peuples Incas et autres par les Portugais et les Espagnols, que les guerres au Vietnam, au Cambodge, en Irak, en Afrique et autres Libye, Syrie, Liban, Palestine !
Ni que l’emprise des colonies, l’Europe colonisant les niakwés, les bougnoules, les esclaves, les moins que rien qui ne croient pas en Jésus, les salauds ! Tu es un massacreur-prédateur au même titre que les ceusses partis coloniser les sous-hommes qui, même pétris de bons sentiments, s’avèrent mauvais. L’univers n’en est pas affecté, la terre continue de tourner et les humains sont programmés pour ne pas dépasser 100 ans, ce qui rend tout éphémère et illusoire.
Mon Popu, j’en reviens donc aux automobiles de collection pour t’en écrire que n’ayant plus qu’un maximum de 20 ans à survivre, je m’en tape totalement… Mais, je suis prisonnier de mon passé qui m’a fait fantasmer d’automobiles depuis que j’ai commencé à jouer avec des Dinky-Toys… J’ai finalement acheté des vraies et suis rentré dans le cercle infernal de la collectionnite et du consumérisme. Ne t’en fait pas pour moi, j’assume encore pouvant en causer relax !
Comment ? Avec mon propre argent ET mon site-web référencé avec Commission Paritaire comme “organe de presse”, je parviens à en écrire de manière libre, ce qui, vulgairement écrit : “En fait chier plus d’un”... Je vais donc te causer d’une des rares automobiles qui a été jugée digne d’être incluse au Museum of Modern Art de New York, qui est de plus, sans doute, la voiture américaine la plus facilement reconnaissable de tous les temps : la Cord 810.
Elle est apparue en novembre 1935, recevant un accueil enthousiaste lors des salons automobiles américains. Elle était l’aboutissement du travail d’une équipe dirigée par le designer de Duesenberg : Gordon Buehrig. Le style de carrosserie pour la 810, avec un nez de “cercueil” à persiennes, des ailes profilées et l’absence de marchepieds, ce qui se révélera extrêmement influent. Ses caractéristiques distinctives ont été empruntées par la plupart des fabricants ! t
La Cord a été renommée 812 pour 1937, lorsque des berlines personnalisées sur un empattement plus long ont rejoint la gamme de quatre modèles. À un prix compétitif dans la fourchette de 2 à 3.000 dollars, les 810/812 auraient dû être un énorme succès. Mais cela ne devait pas être le cas ! Ce fut un Flop !
Années de production : 1937 / Nombre produit : 196 / Prix catalogue d’origine : 3.060 $ / Alternatives : 1931 Ruxton / 1937–39 Packard Super Eight…
On peut dire que sans Montgomery Ward, il n’y aurait peut-être pas eu de Cord 810/812 (cherche par toi même sut Google). Des tonnes de livres ont été écrits sur la maîtrise du marketing d’EL Cord et son ascension rapide au sommet du monde automobile. À un jeune âge, il a redressé Auburn en habillant les stocks excédentaires et en réorganisant le réseau de concessionnaires. Quand Auburn a réalisé un profit, Cord a fait une virée shopping…
Il rachète “Duesenberg” devant le tribunal des faillites en 1926. Quelques années plus tard, il rachète le carrossier “Central Manufacturing” et le motoriste “Lycoming”. Viennent ensuite “Stinson Aircraft” et “Columbia Axle”, suivis de “New York Shipping” et “Checker Cab”. À la fin des années 1920, l’argent affluait et l’avenir s’annonçait radieux. Auburn a vendu 31.000 automobiles en 1931, mais en réalité l’entreprise se dirigeait vers l’extinction totale.
La Grande Dépression évinçait la classe moyenne (ce qui est occupé de se dérouler actuellement à causes des sanctions boomerang européennes contre la Russie) dont les clients d’Auburn. Au fur et à mesure que la Cord Corporation prospérait, sur la base d’investissements dans l’aviation, la “Auburn Automobile Company” devait faire face à une baisse des ventes, à une diminution des actifs et à une augmentation de la dette.
En 1927, Gordon Buehrig fut l’une des premières recrues de Harley Earl dans la nouvelle section Art et Couleur de GM. Après un passage chez Stutz, Buehrig a été embauché comme designer en chef chez Duesenberg. Cela allait devenir une relation à porte tournante, car il retourna chez GM au début de 1933 pour revenir à Duesenberg lorsqu’il fut assuré qu’ils étaient sérieux. La conception de Buehrig était basée sur un concept qu’il avait esquissé chez GM.
Le gars était un filou. Le concept ré-approprié a été construit comme un modèle d’argile à l’échelle d’un huitième. La voiture proposée avait une traction avant, des ailes ponton et des persiennes non fonctionnelles coupant l’avant du capot. Les résultats de vente pour 1933 furent cependant un désastre, avec des ventes d’environ 5.000 voitures/an payant à peine les frais d’entretien des bâtiments ! Et les résultats de 1934 furent encore pires.
Il a donc été décidé qu’Auburn avait besoin de plus d’aide que Duesenberg, et le nouveau projet est devenu “Cord”. Le problème était le financement. Les usines inactives ont été équipées pour produire d’autres produits, y compris des armoires de cuisine en acier, qui ont séduit les acheteurs de “Montgomery Ward” et ont généré suffisamment de bénéfices pour poursuivre le projet “Cord”. Cinq prototypes de berlines ont alors été produits.
Pourtant le conseil d’administration de Cord avait rejeté le projet à la fin de 1934. C’était une fin évidente autour du mandat de l’entreprise. Ainsi, lorsque les dirigeants de Cord sont revenus au milieu de 1935 pour approbation, ils ont dû utiliser des photographies du modèle en argile plutôt que les prototypes réels. L’approbation a été accordée et le premier des prototypes est parti pour la Californie le 29 juillet, afin qu’EL Cord puisse voir la voiture pour la 1er fois.
Personne ne semblait se demander comment une voiture pouvait être homologuée le 8 juillet et être sur la route en seulement trois semaines. Les voitures sont toutefois apparues aux salons de l’auto de New York et de Los Angeles même si elles avaient des transmissions en bois (non vues par le public) et ont été un succès incroyable. Il y a eu plus de 7.500 demandes d’informations supplémentaires et 3.000 personnes en ont demandé une immédiatement.
Quelqu’un, cependant, a commis l’erreur de promettre la livraison avant le 1er janvier 1936, et les retards inévitables ont été coûteux. Les acheteurs de voitures américains aiment le nouveau et le différent, mais ils se précipitent rarement pour l’acheter, et ce fut le cas avec la Cord 810. Environ 450 des voitures invendues ont été renvoyées à l’usine et renumérotées en 1937, modèles 812. Le 16 août 1937, EL Cord a annoncé qu’il vendait ses avoirs !
Cord Corporation est mort et le lendemain, la production de la 812 s’est arrêtée. Seules 2.320 Cord 810/812 avaient été produites. La Cord 812 de 1937 qui illustre cet article est une phaéton décapotable suralimentée qui a été achetée en 1970 par Bob McEwan, membre fondateur du Auburn Cord Duesenberg Club et ancien président du club, avant d’être vendue en 1980 à l’ancien président de l’ACD Club, Ethan Turner, intendant pendant 30 ans.
La voiture a été achetée en 2010 et a été rénovée durant six ans par “Capaldi Enterprises” ce qui comprenait une nouvelle peinture “Cigarette Cream yellow” et des révisions des systèmes mécaniques ainsi qu’une nouvelle garniture de l’intérieur en cuir rouge par le spécialiste de la sellerie “ACD Club, Rick Hulett”. La voiture est propulsée par un V8 Lycoming 288ci équipé d’un compresseur centrifuge Schwitzer-Cummins.
Les roues avant motrices disposent d’une boîte-pont présélecteur à quatre vitesses à commande sous vide. Les caractéristiques supplémentaires comprennent des vrais tuyaux d’échappement externes (pas des faux comme les répliques), une suspension avant indépendante, des freins à tambour hydrauliques aux quatre roues, des phares escamotables à commande manuelle, des phares antibrouillard et un toit décapotable beige de Rick Hulett.
Les jantes en acier peintes en rouge portent des enjoliveurs chromés et sont montées avec des pneus à flanc blanc Firestone 8.50-16, tout comme la roue de rechange assortie fixée dans le compartiment du coffre. Le volant à trois branches de couleur crème est doté d’un anneau de klaxon et partage sa colonne avec un sélecteur de vitesses Bendix électrique à la droite du conducteur. Un carénage de tableau de bord abrite des instruments.
On y découvre un compteur de vitesse de 150 mph, un tachymètre à 5 km/min, une horloge et des compteurs surveillant la température du liquide de refroidissement, le niveau de carburant, la pression d’huile et l’ampérage. Le compteur kilométrique à cinq chiffres indique 12.000 miles. Le V8 288ci comporte trois roulements principaux, des culasses en aluminium et des soupapes latérales inclinées en position presque horizontale.
Il est surmonté d’un compresseur centrifuge Schwitzer-Cummins et d’un carburateur Stromberg. La puissance est transférée aux roues avant par une boîte-pont manuelle à quatre vitesses “Detroit Gear” montée devant le moteur. Les changements de vitesse sont présélectionnés via l’interrupteur électrique monté sur colonne et sont mis en action lorsque la pression de la pédale d’embrayage complète le circuit électrique qui actionne les cylindres à vide.
Si vous voulez acheter une Cord similaire, elles se négocient plus où moins à 250.000$.