Little Red Corvette : Sex machine…
De même que l’évolution du vivant, depuis des milliards d’années, n’a cessé d’aller dans le sens de la complexification, de même l’organisation des sociétés humaines évolue en permanence vers plus de complexité… La mobilité des humains s’auto complexifiant même de manière burlesque avec la création de paradoxes annihilant les créations d’avancées technologiques pour obliger à revenir à des comportements primitifs basiques. Vous pensez sexe, assurément, vous avez raison et mis le doigt où il fallait, mais la déviance spermet d’autres jouissances… A quoi sert en effet une Bugatti à 16 cylindres d’une complexité et d’un coût inouï, capable d’atteindre 500 km/h, alors que les routes “de la liberté d’évoluer” sont maintenant toutes en vitesses limitées règlementées ? Aaaaahhhhhh ! Inutile de creuser plus profondément mon emplacement au cimetière (le quel ?) où payer d’avance le crématorium (idem, le quel ?), pour augmenter le temps de crémation de ma carcasse…
Cela, afin de vous venger que j’écris, avec un plaisir malsain, des réflexions qui le sont toutes autant et de surcroit volontairement malvenues avec forces détails vécus où en souvenirs resassés de quelques bons sens anciens qualifiés d’antédiluviens. Joignez-y une couronne, non pas d’or et diamants comme celle de Charles, mais mortuaire, assaisonnée d’une épitaphe caricaturale… Je ne serais plus capable de réparties assassines, l’étant définitivement.. Je devrais prévoir cette éventualité. Je ne suis en effet pas le dernier du genre emmerdeur à pré-éditer des réponses tout autant embarrassantes et paradoxales que mes questionnements et remarques, mais elles sont éditées dans mon site-web créé dans la clôture de l’apothéose de mes magazines Chromes&Flammes (et autres titres) qui n’ont malheureusement jamais été reconnus comme étant porte-parole de la défense humaine et environnementale. Que nenni…
Moi, le gars ayant amené les Dragsters au Mans il y a un demi-siècle d’ici, et prêché dans mes magazines l’amour des Kustom-cars, des Kit-Cars, des Répli-cars, et même des HotRods-cars ainsi que des Choppers et autres étrangetés conduites par des trompe-la-mort dégénérés sanctifiés dans des films propagandistes Underground avec bandes-sons Rock’N’Roll et autres “musiques nègres”, ne pouvait qu’être crucifié fiscalement via une imposition de 117 millions d’euros de l’époque maintenant cinquantenaire (une rapide calculation donne une équivalence de presqu’un milliard actuel ce qui ridiculise les plus célèbres Rock’N’Rollers Franchouilles… En tant que dinosaure en voie d’extinction, sous-estimé par le “politiquement-correct-sociétal” et surestimé par une partie de la déshumanité ambiante, j’ai trouvé refuge dans le Web… de plus entre entre Bernard et Brigitte à Saint-Tropez. Il y a pire endroit de retraite pour tapoter mes vécus surréalistes…
Notez que le dernier concerne le vol de ma voiture LéaFrancis et l’incroyable saga qui en découle et devrait se terminer (après bientôt 15 ans de luttes) par des condamnations pour escroqueries au jugement et corruptions diverses envers leurs auteurs et complices situés en haut de l’échelle sociétale brinquebalante… Un monde pourri de pourris… Je suis donc un être paradoxal… Je m’avère en effet contraire à toutes doctes vraisemblances et opinions voire à toute normalité religieuse et politique. On me reconnait d’avoir une logique implacable et d’être pourtant étrange, inconcevable, invraisemblable… Tandis que l’ère du pétrole est entrée en instabilité critique, amplifiée par les tambours de guerre et les bruits de bottes, il s’avère que la société industrielle aborde la route instable d’un collapse catabolique. Diantre, que de malfaisants ! Nous avons beaucoup de difficultés à nous préparer à voir se dérouler une autre révolution de l’emploi et du travail.
Celle de ’68 était une manœuvre américaine finançant l’infame Cohn Bandit (sic) pour déloger le Général De Gaule Président de notre France. La même tactique sera reprise dans les pays Arabes et Africains avec en point d’orgue la fausse révolution Ukrainienne de Maïdan destinée à annihiler la Russie, la Chine devant suivre… Tout ces plans n’amènent que des catastrophes en effets boomerang que les fausses pandémies n’empèchent en rien. Je suis bien marri d’être victime de ma candeur d’avant bercée par le cinéma Hollywoodien, les Hot Rod’s et les Corvette’s… En fait, j’avoue que je râle de ne m’apercevoir de tout cela depuis la création numérique de ChromesFlammes, GatsbyOnline et SecretsInterdits… Mais pas trop tard quand même pour en écrire… Les changements qui s’annoncent risquent d’être tout aussi traumatisants que ceux qu’a entraîné la révolution industrielle. “Elle tricotait l’avenir” nous disait-on… Pffffff ! Actuellement elle se détricote.
Reste à savoir quels seront les emplois de demain, comment pourrons-nous nous reconvertir ? Du moins comment les jeunes pourront-ils se reconvertir ? Les changements dans la nature des emplois ne sont pas nouveaux. Depuis le début de l’industrialisation, des techniques nouvelles et des facteurs économiques ont vu la création de beaucoup de nouveaux types d’emplois, en même temps que d’autres sont devenus moins communs ou ont disparu. Historiquement, tandis que les civilisations ont gagné en complexité, il y a eu une tendance vers une spécialisation économique croissante. Les bases de cette hausse de la spécialisation ont été entre-autres (et pour rester dans le cadre de ce site) les surplus automobiles (avec leurs cortèges d’inutilités) et agricoles, tous voulus délibérément d’autant qu’un surplus agricole permet à la société de libérer une partie de ses forces de travail de la production alimentaire au profit d’autres rôles, tels que “soldats chairs à canons”, “artisans en petits boulots misérables” et “bureaucrates fiscaux”.
La fourniture illimitée d’énergies fossiles durant ces deux derniers siècles a renforcé cette tendance à la spécialisation des rôles, allant de l’accompagnateur de chiens au neurochirurgien et du trader au pilote de ligne, au point que moins de 4% de la population française est employée dans l’agriculture. Le collapse des systèmes socio-historiques résulte historiquement d’une réduction du niveau de complexité d’une civilisation et d’une réduction correspondante de la spécialisation économique. Un collapse catabolique est la dégradation moléculaire d’un organisme… Quatre facteurs ont œuvré à ce collapse économique : 1°le pic pétrolier, 2°le changement climatique, 3°la déplétion des ressources naturelles et 4°l’instabilité financière. La civilisation industrielle quoique déclinante, continuant sur son chemin actuel, nous allons être confrontés à un nouvel ABéCédaire :
A- Une énergie moins abondante et de plus en plus chère en raison à la fois du pic pétrolier et du déclin du retour d’énergie sur celle investie (EROEI) pour exploiter les sources d’énergie et extraire les fossiles…
B- Une nourriture moins abondante et plus chère à mesure que les effets du changement climatique allié aux pénuries en cause de la stupide guerre créée par USA/OTAN/Ukraine contre Russie, dégradent les récoltes, la diffusion de celles-ci et que les intrants à base de phosphore et de pétrole + l’eau et les terres cultivables se raréfient rapidement…
C- De moins en moins de richesses en suite de l’énorme expansion du crédit au cours de la seconde moitié du 20ème siècle qui se contracte en raison des deux points précédents, ce à quoi s’ajoutent des manœuvres apocalyptiques de création d’une masse monétaire infinie mais aussi fausse que le Métaver…
Au bout du compte, les facteurs susmentionnés vont conduire à moins de technologie tandis que la fiabilité et la disponibilité des hautes technologies va décroître en raison d’une combinaison de facteurs tels que la disponibilité des fournitures, l’interruption de la chaîne mondiale des marchandises et une base de consommation rétrécie suite au déclin (volontaire) du pouvoir d’achat. Bien sûr, l’impact de chacun de ces facteurs sera très variable selon les régions et les pays, tant en termes d’échelle que de rapidité. En effet, les civilisations, quand elles sont confrontées à de nouveaux problèmes, accroissent la complexité de leur fonctionnement économique, social et politique. Par exemple : l’Empire romain tenta de résoudre ses problèmes en élargissant son territoire, ce qui a entraîné la hausse des coûts de maintenance. Il s’agit du phénomène de gain marginal décroissant. Dans ce cas, l’effondrement résulte d’un processus politique. C’est ce qui se déroule avec la fin de l’empire américain, la guerre en Ukraine entrainant une saine réaction de plus de la moitié du monde…
La moitié étant la Russie, la Chine et l’Inde en nouveaux vecteurs. Idéalement, il faudrait se préparer maintenant, compte tenu de la vitesse de la crise, catastrophique, nous devrions déjà être en train d’anticiper le collapse des systèmes complexes dans lesquels nous vivons. Mais seules la Russie, la Chine et l’Inde s’y attèlent. L’échec des systèmes complexes va devenir de plus en plus fréquent dans les prochaines années tandis que la complexité de l’économie globale va se contracter. Là où tant d’emplois dépendent de systèmes complexes et de notre incapacité à comprendre que nous collaborons par tacites reconductions, le prochain désastre économique, écologique et financier, tous étant couplés à une déstabilisation politique générale et une crise d’approvisionnement… Mieux vaut se tenir prêt : physiquement et mentalement… Ce n’est pas le moment de faire un “nervous breakdown” quand le monde familier s’éteint. Il faut également préparer une palette de savoir faire proposant des alternatives dans l’économie formelle ou informelle.
Voilà qui sera un bon investissement dans l’avenir incertain. Faut-il donc songer à revenir à une économie domestique de subsistance ? Maraîchage, potager, fruitiers du jardin, poulaillers ? Réduire notre dépendance à l’économie formelle imposée permettrait de réduire l’impact des chocs des crises systémiques qui débutent. La baisse des intrants annonce un pays de fermiers. Raison simple : 1 baril de pétrole correspond à 25.000 heures de travail humain ou 12,5 années à 40 heures de travail par semaine… L’implication de ces chiffres est qu’à mesure que le pétrole va se raréfier, le travail basé sur une forte consommation de pétrole va devoir être remplacé. Le travail humain et animal seront une partie de la solution pour que l’humanité survive… On va assister dans la transition à venir à une hausse spectaculaire de recherche de personnes entraînées et employées dans les domaines de la permaculture, du jardinage bio, de la production de fertilisants organiques, de l’entretien de la fertilité des sols, de l’entretien des animaux, de la réhabilitation des paysages…
Sans oublier la conservation des semences et leur diffusion. Avec la grande démondialisation, les emplois délocalisés dans l’industrie vont être relocalisés car les objets technologiques de basse technologie devront être produits localement, selon des opérations plus nombreuses et plus petites, une gamme plus limitée d’objets, une combinaison de travail éduqué et simple plutôt que des lignes d’assemblages. L’industrie artisanale va revenir au cours des prochaines décennies : vêtements, savons, produits médicinaux vont donner lieu à beaucoup de créations d’emplois. Expertises en systèmes d’énergies renouvelables, systèmes à petites échelles seront très demandés et capacités de réparations d’objets de toutes sortes. La plupart sont aujourd’hui conçus pour être obsolètes, mais qu’on va vouloir par obligation faire durer, outils et appareils. Les messages martelés par les politiques et les médias sur le retour à la croissance ne contribue pas à préparer la population, qui va être absolument prise au dépourvu par le séisme des changements industriels.
On aura donc avantage à se préparer à l’autonomie, la subsistance domestique et une palette de savoir faire. Du haut de mes 74 ans, je deviens habitué à contrarier la lente déglingue et tant que ma tête bourdonne (encore) d’idées et d’explications, je tapote mes textes avec (encore) l’humour de jeux de mots tels que “Je tapote mes texticules”... C’est jouissif dans les deux cas… Conscient que vraisemblablement j’ai certainement (vraisemblablement ?) dépassé le seuil de viabilité et les 3/4 de ma vie, ne sont pas loin du bord de du puits sans fond de cet endroit ou se déverse sans discontinuer toutes les aventures humaines (bonnes ou mauvaise) dans lequel à une date indéterminée la mort me poussera… Force m’est toutefois encore donnée de m’amuser, non de complexifications diverses, mais des aléas y menant… Je ne sais pourquoi et comment m’est venue l’idée d’y associer la Corvette plutôt que les Hot Rods équipés les uns les autres de V8 (pouvant être massifs) de plus de 6.000cc de cylindrée.
La Chevy Corvette plus particulièrement que tout Hot Rod est vraiment un fossile de l’âge des muscle cars/dinosaures, un élevage anachronique d’espèces au bord de l’extinction. La Corvette plus que tout Hot-Rod qui peu sembler une création “oeuvre d’art”, est parfois grondée comme une “voiture de quartier” ostentatoire qui sert aux hommes (surtout américains) en crise de la quarantaine comme véhicule d’évasion de leur home et de leurs épouses et marmailles, avec une secrétaire de 20 ans lovée dans le siège passager. Corvette et Hot Rod ont acquis cette réputation dans les sixties, lorsque les Roadsters compacts sont devenu des “Voitures de sport” qui étaient rapide particulièrement en lignes droites symbolisées par les couses d’accélération sur 400 mètres… Sur de plus longues distances également, mais les courbes ne devaient pas être prises trop vite. C’est particulièrement la Corvette Sting Ray (orthographié en deux mots à l’époque, il n’est devenu un mot qu’en 1968) qui est devenu un symbole…
La chanson la plus connue de ce type de “bagnoles” ne se nomme pas phonétiquement “Little Red Roadster” des Stones qui en réalité chantonnaient “Little Red Rooster” une histoire de coqs et de poules… Il en aurait été de Roadster et pas de Rooster que le monde eut peut être été différent… Mais “Little Red Corvette” de Prince, est sorti, une chansonnette qui ne parle pas vraiment non plus ni d’un coq ni d’une Corvette. L’histoire raconte que la chanson vient d’un voyage dans la voiture d’un membre du groupe après avoir passé la nuit en studio d’enregistrement. Les paroles étant venues en rafales alors qu’ils tombaient dans et hors du sommeil. Les membres du groupe auraient terminé le reste de la chanson sans dormir. “Little Red Corvette” est devenu le single le plus classé de Prince à ce stade de sa carrière. C’était sa première entrée dans le Top 10 aux États-Unis, ce qui l’a aidé à devenir une superstar. La chanson a été classée par Rolling Stone comme #108 sur sa liste des 500 plus grandes chansons de tous les temps… C’est vraiment la démonstration du délire américain… La chansonnette transmet l’image de la Corvette comme étant une belle voiture, élégante et rapide. GM devait utiliser la ligne publicitaire moyennant des versements en millions de dollars en débutant par des panneaux d’affichage de cette chanson pour la Corvette, avec les paroles “Little Red Corvette, baby your much too fast” sur l’image d’une Corvette et également le logo de Prince. Un exemplaire de ce panneau a été immortalisé en expo permanente au National Corvette Museum à Bowling Green, Kentucky depuis 2003… Le consumérisme caché est à la fois utile et écœurant
I guess I should of known
By the way you parked your car sideways
That it wouldn’t last
See you’re the kinda person
That believes in makin’ out once
Love ’em and leave ’em fast
I guess I must be dumb
‘Cause you had a pocket full of horses
Trojan and some of them used
But it was Saturday night
I guess that makes it all right
And you say what have I got to lose?
And honey I say
Little red Corvette
Baby you’re much too fast
Little red Corvette
You need a love that’s gonna last
I guess I should of closed my eyes
When you drove me to the place
Where your horses run free
‘Cause I felt a little ill
When I saw all the pictures
Of the jockeys that were there before me
Believe it or not
I started to worry
I wondered if I had enough class
But it was Saturday night
I guess that makes it all right
And you say, “Baby, have you got enough gas?”
Oh yeah
Little red Corvette
Baby you’re much to fast, yes you are
Little red Corvette
You need to find a love that’s gonna last, ah huh
A body like yours
Oughta be in jail
‘Cause it’s on the verge of bein’ obscene
Move over baby
Gimme the keys
I’m gonna try to tame your little red love machine
Little red Corvette
Baby you’re much to fast
Little red Corvette
You need to find a love that’s gonna last
Little red Corvette
Honey you got to slow down (Got to slow down)
Little red Corvette
‘Cause if you don’t you gonna run your
Little red Corvette right in the ground
Je vous laisse traduire… Sachez toutefois que la Corvette Sting Ray est un faux mythe, elle n’a jamais été basée sur une quelconque voiture de course GM, malgré que le “Chevrolet Engineering Research Vehicle” (ou CERV 1 en abrégé) a dépensé des fortunes pour y faire croire et cacher que la première Corvette était un char à beaufs craquant de partout (en double sens) sur base d’un châssis rustique quasi agricole motorisé d’un 6 en ligne archaïque et poussif… Tout ce f… de g… n’a pas forcément aidé son image. Les choses se sont améliorées avec le temps, les purs et durs préférant le mytne “Hot Rod” plus ravageur.
Ouaisss ! Ce sont les images des folles équipées dantesques mises en films par Hollywwod qui viennent en tête… Ensuite les deux styles ont grandit ensemble, mais le mythe Corvette s’est vraiment détérioré en novembre d’il y a quelques années, lorsque le journal britannique “The Mail” a annoncé que les joueurs de football très bien payés de Manchester United ne voulaient même pas toucher aux quinze Corvettes fournies gratuitement par General Motors… Etait-ce les 15 dernières avec moteur à l’avant… Etait-ce les 15 nouvelles Corvette à moteur central ? Qu’importe. Mais c’était vraiment injuste.
L’avant dernière Corvette avec moteur à l’avant ne méritait pas ça. De même que la nouvelle Corvette à moteur central arrière, quoique certes, le moteur V8 volumineux qui est presque ironiquement appelé “le petit bloc” qui a servi de moteur standard des Corvette depuis 1955 est contrôlé par un seul arbre à cames central et se trouve à l’avant, comme c’était autrefois approprié pour les supercars. Malgré l’électronique moderne, les roues motrices avaient souvent du mal avec un élan avant cohérent qui faisait littéralement monter en fumée le caoutchouc des pneus, ce que les Corvettistes admettaient.
Le blocage électronique du différentiel, cependant, permettait des virages extrêmement rapides, bien que la suspension arrière soit toujours basée sur le principe du ressort à lames, que la brochure GM appelait élégamment “ressorts composites montés transversalement”... ou non. Malgré l’électronique moderne, les roues arrière motorisées ont souvent du mal avec un élan avant cohérent qui fait littéralement monter en fumée le caoutchouc des rouleaux géants, ce que la majorité des conducteurs de Corvette admettent. De ce point de vue, la voiture est un choix évident pour un chill-out au lever du soleil…
Bien évidement après une nuit de fête à Las Vegas, au lac salé asséché d’El Mirage. La Stingray, V8 Small bloc 6.192cc développe 466cv, accélère de zéro à 100Km (96,6 km / h) en moins de quatre secondes, dispose d’un couple de 630 Nm à 4,600 tr/min. Le grand frère de la Stingray, la Corvette Z06, dispose de 650cv son couple est de 880 Nm et, malgré ses ressorts à lames, sa tenue de route est formidable, la Z06 passe toujours facilement pour une tueuse de Ferrari. Seul l’intérieur peut ne pas être en mesure de suivre les Lambo’s, Aston’s et Ferrari’s… Ouaissss : Faut voir les “quoique”…
Quoique n°1 tout est relatif, quoique n°2 les palettes de changement de vitesse en plastique semblent bon marché, et quoique n°3 le bruit du moteur compense, même dans la version plus douce de la Stingray… A bord toutes les beautés sulfureuses prêtes à l’Amour, laissent leur pouls monter en tours au gré des courbes. Du plaisir, du plaisir et encore plus de plaisir est au programme, même avec des chaussures à plateforme… Ou surtout alors… De même, comme les merdias aiment à vous l’écrire, une auto sportive (sic !) doit proposer au moins 500 cv pour être “Street crédible” et attirer l’attention.
La dernière Ford Mustang haut de gamme faisait 662cv et grimpait à 200 mph, même se sentant parfois à moitié endormie. Dodge avait de son coté construit une berline familiale de 707cv. En ce qui concerne la puissance, l’industrie automobile est généralement reconnue pour vivre l’équivalent des derniers jours de Rome, et pourtant les chiffres ont continué d’atteindre la lune et “LA” Corvette C8 à moteur central est arrivée en tant que supercar américaine avec 650cv pour un coût de 78.995 $, la rendant à la fois absurdement rapide et remarquablement bon marché.
Comme cette voiture, la Z06 offre des amortisseurs magnétorhéologiques standard et certains panneaux de carrosserie en fibre de carbone… Contrairement à cette voiture, elle est dotée d’une direction assistée électrique, d’une manuelle à sept vitesses, d’une boîte automatique à huit vitesses en option et d’une commande électronique à blocage variable à glissement limité. Plus un panneau de toit amovible et un modèle cabriolet en option.. Il y a plus ici qu’un simple moteur de dingue. Comme disent les Boy’s de la NASCAR : “Cette chose n’est pas stupide”…
En effet, les amortisseurs commandés par ordinateur communiquent avec le différentiel commandé par ordinateur, l’ordinateur de gestion du moteur et le matériel d’assistance électrique. Tout ce gâchis est également de mèche avec les nounous de traction et de stabilité de la voiture et leur armée de capteurs de châssis. Comme beaucoup de voitures modernes et la Corvette Stingray sur laquelle elle est basée, la Z06 est donc une grande suite d’algorithmes, sa maniabilité étant constamment ajustée….. Vous étiez probablement beaucoup plus intéressé par la première partie philosophique de cet article.
Mais, stop… Je m’écarte du sujet… Donc arrêtons-nous et discutons philosophie. Les troglodytes automobiles ont maintenant quitté cet espace. Les troglodytes ne méritent pas mes articles, c’est le sens de la nuance qui vous y attire. Naturellement, vous voulez jeter un coup d’œil derrière le rideau. Pour un certain ensemble, tout cela suscitera des questions. Les internautes se renseigneront sur l’utilité d’une Corvette qui permet à des mortels à peine entraînés de dériver à des vitesses infernales…. Mais pourquoi donc ? Pour faire tourner la tête de la passagère souvent occasionnelle à 1.000 euros la passe.
Pourquoi construire un tramway qui ne peut pas utiliser un dixième de ses capacités dans la rue ? Le vrai triomphe ici n’est pas la vitesse, mais l’accomplissement de la création d’une voiture constamment variable capable de vous faire obtenir un coït masturbationnel réciproque… Il a fallu du courage pour tirer pour cela, des cerveaux de la GM pour le fabriquer et le faire par vous même, une branlette devrait vous satisfaire.. Appelez cela une victoire pour l’ère numérique, une victoire pour la vieille école et l’un des meilleurs maillages de voitures, d’ordinateurs et de nananas de l’histoire… Pfff !