1970 Dodge Challenger “Havoc” 2.400cv / 1 Million $
Je ne vais pas vous avouer que je suis responsable du vol de la Joconde (ce qui est passé inaperçu parce que remplacé par une copie de meilleure qualité), non pas que j’adore les facéties de Donald Trump concernant l’Ukraine (alors que je déteste son assistance inconditionnelle à Israël) ni vous signer que mon web-site 3 en 1 GatsbyOnline ChromesFlammes SecretsInterdits, dispose non pas de 200.000 abonnés mais de plus du double…
Je ne vais non plus pas vous relater que j’ai rêvé torturer Macronix et Zeelensky dans un mix-remake des film Gore, Hostel, Feat, et Saw dans une Fusion Gore-Transsexuellement atroce… Je n’oserai pas paraître aussi politiquement incorrect… J’emmerde l’adolescence, l’adulescence, la vieillesse, les anniversaires, la vie, la mort et tout le reste. Je conchie sur tout le reste d’ailleurs. Je hais les vacances, j’exècre le travail, j’abhorre l’oisiveté.
Je maudis la lecture et j’anathématise les références, les images, les comparaisons, les mises en abyme quotidiennes. Je hais mes voisins et je déteste encore plus les autres et tout ce qui puisse me sortir de cette détestation. J’ai surement droit à un reset, une régénération, une résurrection, un truc qui te fait repartir à zéro. Mais attention, pas de conneries, je ne veux pas de résurrection religieuse ou toute autre ineptie du genre.
Je ne veux pas de pollution intellectuelle ou de sermon d’une bouffonnerie absurde. Pas question de bouddhisme, de sophrologie, de tantrisme, de yoga ou toutes ces merdes pour quadra débile en mal de spiritualité de bazar. Le salut par quoi alors ? J’aurai voulu être un artiste, pour faire mon numéro et avoir mon bureau en haut d’une tour…Mais l’art n’est qu’une putain qu’on pense pouvoir toucher, sentir, pénétrer mais qui ne fait que renvoyer à notre inculture.
L’art est aujourd’hui un diable pour de riches abrutis absconds. L’art transforme le monde en grande surface, en bête à haïr. Reste la bouffe, le vin, et les vraies bagnoles qui bouffent 50L aux 100 et polluent… Oui pourquoi pas, certes, ce n’est pas très sain, mais je m’en cogne le saucisson, on est rarement seul pour bouffer et boire du pinard. Après quelques verres, on est moins torturé par notre mince potentiel physique et psychique.
Le vin est le meilleur des antidépresseurs. On est bien obligé d’aller vers les autres, pire s’y intéresser ! L’homme est donc fait pour être libre, boire et manger, c’est son karma et c’est la seule chose qui le rende vraiment heureux. A bien y réfléchir, la liberté n’est même pas indispensable, il ne saura jamais qu’en foutre et sera aliéné par elle jusqu’à en devenir azimuté et ira dépenser son blé chez un psy en mal de vacances à Zanzibar.
Pour ce con d’homme, il lui faut du vin, du bon vin, une bonne table et des potes à moustache. Je plaisante vous l’aurez compris, la moustache n’est absolument pas obligatoire, mais s’abonner à ce web-site, oui !!!! Comme on est là pour ne pas être ailleurs et pouvoir dire des conneries, on se lâche d’entrée… Par contre j’ose vous avouer que même ayant 75 ans, j’en ai ras-le-bol de la déperdition Franchouille des Automobiles.
Toutes me paraissent de plus en plus insipides et présentées dans des pubs TV débiles… J’en suis resté aux V8 500ci et 1.000cv avec compresseur et turbos qui bouffent par plaisir 50 litres de super aux 100kms… Quoiqu’il me faut avouer que ma Daily Driver pour Saint-Tropez reste ma Smart Brabus 1er série et que mes engins de fous furieux dorment en garage sécurisé (je tire à vue et Blacky bouffe les cadavres et suce les os pour ne pas laisser de traces)…
Les émotions sont des concepts très complexes, philosophiques avant d’être scientifiques, ce qui explique qu’elles furent longtemps dédaignées par les scientifiques. En effet, comment concevoir étudier des phénomènes aussi subjectifs, aussi personnels, aussi intimes ? Mais L’émotion n’est pas un phénomène totalement subjectif, certains éléments, certains processus physiologiques, sont communs à l’ensemble des Hommes sur la planète.
Un sourire est reconnu, du fin fond de la forêt amazonienne jusqu’au cœur de la chine comme un signe de joie. Basiquement, l’émotion peut se définir comme une manifestation de la vie affective, généralement accompagnée d’un état de conscience agréable ou pénible. L’émotion est donc un trouble à durée variable, une rupture d’équilibre, contrairement à la passion, qui est un déséquilibre durable de la raison.
Longtemps méprisées, parfois diabolisées, souvent incomprises, les émotions ont fait l’objet de vives discussions, pour certains philosophes, elles constitueraient un obstacle majeur au plein accomplissement de l’action, elles fausseraient le jugement et seraient une entrave aux processus délibératifs menant à l’action. Dès-lors, comprenez que j’ai pété plombs et câbles et fusibles à la vue de ce chose surnommée “Havoc”, une Dodge Challenger 1970.
Elle est cataloguée “Resto-Mod” et primée comme étant un chef-d’œuvre absolu… C’est pas très loin ! Construite par “Rides by Kam” en Australie, cette “Havoc Challenger” est l’une des constructions parmi les plus impressionnantes que j’ai pu conduire depuis mes 18 ans. Elle a été transformée au pays de Mad Max, l’Australie. Sa construction s’y est étendue sur trois ans et environ 10.000 heures de travail “à la main” facturées 250 dollars l’heure.
Ces chiffres amenant à une valeur de 1.000.000$ plus pièces et autres (moteur, boite, suspensions, finitions)… Au départ d’une Dodge Challenger 1970, la voiture a été complètement démontée et reconstruite autour d’un châssis sur mesure “Roadster Shop Fast Track” doté d’une suspension avant à double bras triangulaire, d’une disposition entièrement indépendante à l’arrière, ainsi que d’une crémaillère de direction conforme aux spécifications NASCAR…
Havoc a certainement mérité son nom ! L’ensemble de l’avant a été remplacé par un capot en acier conçu sur mesure et fabriqué à la main pour envelopper le nouveau moteur 572ci Aluminum Hemi F3R ProCharged. Le moteur de course peaufiné par Stanton fournit à lui seul 1.000cv en version calme, compresseur débranché, mais si branché au F3R direct ProCharger, cette bête peut produire jusqu’à 2.500 chevaux !
Comme l’a déclaré le maître d’oeuvre dae la construction, Rob Zahabi, dans une interview : “L’objectif était de transformer complètement la voiture en utilisant autant de pièces fabriquées sur mesure que possible et de s’abstenir d’utiliser des mises à niveau prêtes à l’emploi”... La quantité de travail qui a été consacrée à cette construction est stupéfiante, aboutissant à un véhicule unique en son genre que vous ne trouverez nulle part ailleurs.
La grande majorité des panneaux de carrosserie ont été construits à partir de zéro, et la majorité du travail a été effectuée en interne par Rides by Kam, de l’intérieur, du câblage, de la carrosserie, de la peinture de tout l’intérieur, du compartiment moteur et du soubassement mat clair, de la fabrication et de l’ajustement final, la seule fois où il a quitté RBK était d’aller chez C.A.D Custom à Melbourne/Australie pour peindre en “PPG Charley Hutton Slanted Brown”.
Cette “Havoc” a fait ses grands débuts au “Great Meguiar’s Uncover” aux “Summernats” de janvier 2019, où elle a remporté le prestigieux titre de “Top Judged Elite”. Ces distinctions se sont étendues à l’obtention d’une place parmi les 15 finalistes de la “Battle Of The Builders” dans sa catégorie, et en tant que finaliste pour le “Goodguys Gold Award” et le “Best On Roadster Shop Award”. Puis a remporté le vénéré honneur “ULTIMATE BEST IN SHOW” à la “Barrett-Jackson Cup”.
Assemblé par “Stanton Racing Engines” (les gens qui ont construit les moteurs NASCAR de Mopar à l’époque), le gros bloc tout en aluminium de 572-ci (9,4 litres) était livré avec des alésages améliorés, des soupapes de course, des culasses, un énorme corps de papillon de 120 mm (4,72 pouces), des injecteurs colossaux de 2.200 cm³. L’alimentation forcée en air par un compresseur centrifuge F3 ProCharger a plongé les bancs d’essai dans une frénésie débile…
Et ce en atteignant 2.400cv ! Accompagné de freins Baer à 6 pistons (avec un badge Havoc personnalisé) se trouve un ensemble de roues emblématiques “American Legend Blackhawk” associées à des pneus Mickey Thompson. La combinaison fournit l’environnement parfait. Le tunnel de transmission est intégré au centre du cockpit, ce qui permet de maintenir le véhicule aussi bas que possible par rapport au sol !
Toute cette puissance est envoyée aux roues arrière de 15 pouces de large par l’intermédiaire d’une boîte manuelle à six vitesses Tremec Magnum T56 personnalisée et d’un différentiel Roadster Shop de 9 pouces (228,6 mm). En entrant à l’intérieur, vous trouverez une finition pas comme les autres, composée presque entièrement d’acier fait à la main. Des sièges baquets personnalisés sont associés à des ceintures de sécurité “Simpson Racing Harness”.
Le levier de vitesses “squelette” est une invention de “Ring Brothers”. Les paillassons et les accents sont tous recouverts de cuir brun cousu au diamant pour compléter les surfaces peintes en acier. L’emblème “Havoc” orne le véhicule, à l’intérieur comme à l’extérieur, d’une manière à la fois accrocheuse et sophistiquée. Pour créer l’ambiance avec accentuation LED personnalisée, de l’intérieur du cockpit au compartiment moteur lui-même,
Dakota Digital a fourni le groupe de compteurs rétroéclairés dans le rouge du cockpit afin d’accompagner le tableau de bord construit sur mesure. Le design à double bosse fait un clin d’œil aux voitures de sport anciennes, tandis que l’iPad encastré au centre fait entrer le véhicule dans le 21e siècle. Bien que l’avant du véhicule ait été presque entièrement reconstruit, la calandre emblématique est la calandre d’origine, modifiée pour s’adapter à la partie avant.
Le savoir-faire brille vraiment dans les détails, avec tout les encastrements, ainsi que des poignées des portes et des accents Dimple Die emblématiques dans tout le véhicule. En 2022, Havoc a été désaccordé de 101 à 91 en carburant à la pompe afin de le rendre plus pratique pour la conduite fréquente, mais réduisant le véhicule à ne plus avoir 2500cv mais seulement à 1200 cv. Le véhicule a été surélevé de 1,5 po supplémentaire du sol pour faciliter la conduite.
Il s’agit d’une occasion rare pour les collectionneurs d’obtenir un véhicule qui a redéfini la culture du Resto-Mod telle que nous la connaissons. Voici les données techniques : Moteur V8 572ci Dodge Hemi “Rides By Kam” • Compresseur : F3 ProCharger • Têtes : Mopar • ECU : Lien G4 • Injecteurs : 2200cc • Arbre à cames : Mopar • Haltérophiles : Mopar • Pistons : Diamant 10,0:1 forgé • Villebrequin : Scat 4240 forgé • Pompe à huile : Milodon grand volume • Système d’alimentation en carburant : Walbro 460 (x3) • Refroidissement : radiateur PWR, ventilateurs SPAL • Échappement : collecteurs de 2 pouces, système de 4,5 pouces • Allumage : ICE TRANSMISSION : • Boîte de vitesses : Tremec Magnum T56 à six vitesses • Embrayage : Céramique à deux disques • Diff : Roadster Shop 9in • Arbre de queue : 1350 unis avec étrier Strange CHASSIS & FREINS : • Avant : Roadster Shop double bras triangulaire, billette ShockWaves • Arrière : Roadster Shop IRS, billette ShockWaves • Crémaillère de direction : NASCAR power rack-and-pinion • Freins : étriers Baer à six pistons, rotors de 15 pouces (avant et arrière) • Maître-cylindre : Wilwood INTÉRIEUR: • Sièges : VF Commodore • Garnitures : Principalement en acier peint • Volant : Billet Specialties • Instruments : Dakota Digital • Manette : Ringbrothers • Mélodies : Fusion et Pioneer • Ceintures de sécurité : Simpson