“MAXIM Red Screamer” Pickup 8V92 Detroit Diesel
Je vous fais un coup de vice avec ce camion Hot Rod, qui vous attire comme des chiens sur un os… Si je place “Ukraine” en titre, il n’y aura personne à me lire… Pareil que si j’indique “Stellantis” et “déconfiture européenne”, ainsi que “Macronix baiseur du peuple”, quoique… Accoler à cela un peu de graveleux transgenre avec un billet rappelant l’enculade de la dernière festivité sexuelle des jeux olympiques, ne vous amènera plus à cauchemarder sur les “prouesses Elyséennes”… Nanana trop éculé pour en extraire quoique ce soit. Par contre avec Ce camion Hot Rod en illustration, c’est comme agiter un nonoss… C’est mon coté vicieux d’éditeur qui attire des lecteurs internautes à ronger l’os, qui est de taille… Pensez-donc…
Personne n’ose avouer et reconnaître qu’en créant et finançant le coup d’Etat du Maîdan à Kiev en Ukraine dans le fil des “révolutions de couleurs”, puis en “sanctionnant” à-tout-va les pays osant braver les USA et leurs pays satellites formant l’Europe, que la réponse Russe serait d’accélérer la création d’une association mondiale d’ex-pays colonisés, exploités, “misérabilisés”, asservis et spoliés par les pays colonisateurs européens, dont les plus importants, éclairés par l’utilisation de l’arme atomique des USA contre le Japon, (Russie, Chine, Inde, Corée du nord) s’étaient dotés de la même “dissuasion nucléaire”, tout en développant des capacités industrielles permettant de produire en masse et meilleur marché, les produits phares de l’hyper consommation occidentale…
Aux tentatives USA/Europe des révolutions de couleurs dans les ex-pays sphères de l’ex Russie Soviétique, la nouvelle Russie à rétorqué en agissant de même en Afrique et au delà, pour détruire les liens colonisateurs européens (surtout Français) obtenant ainsi le pouvoir sur leurs ressources…. Au grand jeu des sanctions et du vol des avoirs, s’est infiltrée la rétorsion basique de l’accaparement de tous les biens occidentaux en Russie (commerces, usines, avions) et la fin de la livraison de gaz et de pétrole bon-marché. Aveuglés par les retours personnels sur les dons généreux de charité par millions et milliards des dirigeants occidentaux à l’Ukraine, “nos” pontifes politiques étaient seulement soucieux de camoufler leurs gains obtenus sur le calque des vaccins Covid…
Aveuglés de ses plantureux retours sur comptes off-shores personnels, ils n’ont pas vu le travail de sape de l’ami Vladimir Vladimirovitch Poutine (Влади́мир Влади́мирович Пу́тин), né en 1952 à Saint-Pétersbourg en Russie, président de la fédération de Russie de 2000 à 2008 et depuis 2012… Résultat, une tempête s’abat maintenant sur le secteur automobile européen. Les constructeurs, les filiales, jusqu’aux concessionnaires, se retrouvent en naufrage entre plusieurs vents violents. Les ventes de véhicules en Europe n’ont pas retrouvé leur niveau d’avant la pandémie (qui fut l’expérimentatiion des retours de paiements sur comptes personnels en off-shores)… et la hausse des taux d’intérêt pèse sur la demande, ce qui ruine davantage l’Europe que la Russie.
L’industrie, qui pèse 7 % du PIB de l’UE et emploie 14 millions de personnes chez les 27 pays constituant l’Europe, s’effondre (ce qu’indique le Financial Times). Le fleuron allemand ex-nazi car voulu par Adolf Hitler, Volkswagen, ferme trois usines en Allemagne, et réduit les salaires des travailleurs survivants de plus de 10 % car obligé par l’UE de se priver du gaz russe bon marché et de s’approvisionner en gaz américain 3X plus cher… Il n’est pas le seul constructeur européen à traîner les pieds : Stellantis est également impacté. C’est un groupe automobile multinational franco-italo-américain, de droit néerlandais, fondé le 16 janvier 2021 résultant de la fusion des groupes PSA, Fiat, Chrysler Automobiles, qui exploite et commercialise quinze marques.
Cinq sont issues du groupe français PSA (Citroën, DS Automobiles, Opel, Peugeot et Vauxhall) et dix sont issues du groupe italo-américain Fiat Chrysler (FCAutomobiles) (Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Dodge, Fiat Automobiles, Fiat Professional, Jeep, Lancia, Maserati et Ram). Stellantis détient également de nombreuses marques de services (Finances & Services, Free2Move et Leasys), des équipementiers (dont Mopar) et des participations dans diverses coentreprises. Les premiers actionnaires de Stellantis sont des familles industrielles européennes : la famille Agnelli via leur holding Exor et la famille Peugeot via leur holding Peugeot 1810… Stellantis connaît de très sévères difficultés pouvant impacter sa survie…
D’abord sur ses sites italiens le pronostic vital de fin de vie a été diagnostiqué pour l’usine Fiat à Turin. Ensuite en France, ou les chaînes d’assemblages sont délocalisées vers le Maroc (raison du rapprochement Macronien avec le Roi du Maroc réalisé en grandes pompes avec le gratin mondain des escrocs de la République, la presse “aux ordres” occultant la réalité du désastre sous couvert de la prétendue ouverture européenne au marché Marocain… Il fallait oser ! Ce faux miracle est réalisé en abandonnant la totalité des employés et ouvriers Européens à “crever dans la misère”… Tout ce Barnum qui devrait aider à diminuer drastiquement le nombre de migrants en Méditerranée, va, selon quelques politiciens humoristes créer un flux inversé…
La réalité est qu’on arnaque le Maroc et son Roi pour lui vendre du Stellantis avant l’effondrement européen, ce qui devait aller en Ukraine est vendu au Maroc et si on lui a fait miroiter le marché européen, il est en déconfiture mais a encore les moyens d’acquérir des voitures électriques chinoises qui seront fabriquées dans les ex-pays de l’Est, les plus haut de gamme étant fabriquées dans les anciennes usines Stellantis que la Russie à saisi en rétorsion des milliards que la Communauté Européenne à volé à la Russie… Avouez que tout cela est passionnant. La crise fait des émules, les équipementiers automobiles européens ont alerté le marché sur le nombre inédit de suppressions d’emplois dans le secteur, mettant en cause le recul du marché automobile.
La demande de voitures européennes est en baisse sur le marché européen, tandis que les constructeurs s’engagent à marche forcée dans la propulsion électrique ou les attendent le coup de massue final… Du petit lait… Un nectar concocté avec amour… Les ventes de véhicules électriques ont commencé à baisser en Europe depuis fin 2023, pour tomber à 13,1 % du marché au premier semestre 2024, contre 14% en 2023 à la même période. De plus la législation européenne va rendre interdite donc impossible la vente de voitures à essence ou diesel dans l’UE (et sur d’autres marchés), après 2035. Si les rêveurs et rêveuses politiques qui s’empiffrent des retours sur dons à l’Ukraine pensaient s’en tirer par l’exportation, ils en sont pour leurs frais.
La Chine, et son géant BYD, trustent le marché du véhicule électrique, remplaçant le japon depuis 2023 en tant que premier exportateur mondial de voitures neuves. Parmi les 4,9 millions de véhicules exportés en Europe, près d’un tiers sont des voitures “propres”. L’Empire du milieu exporte à plein régime des voitures électriques de qualité et à très bas prix, ses propres producteurs cherchant à se diversifier par rapport à leur marché intérieur surchargé… Au point, que l’exportation chinoise inonde les ports européens, formant des “parkings fantôme” à quai, où croupissent les voitures en mal d’acheteurs. Et la situation ne fait qu’empirer en commençant à créer de monstrueux embouteillages qui bloquent les trafics commerciaux habituels.
Les constructeurs chinois tels que BYD, Nio et SAIC propriétaire de MG, Great Wall et Chery, construisent des voitures électriques beaucoup plus perfectionnées que les européennes, de plus les voitures électriques chinoises sont 30 % moins chères que celles des constructeurs européens (explication plus approfondie a été faite au Financial Times par Carlos Tavares, directeur général de Stellantis, qui entre parenthèse paye ses impôts au Portugal). La stratégie chinoise est payante, les véhicules électriques chinois représentent près de 22 % du marché européen, contre près de 3 % il y a trois ans… Mue par la peur d’un nouveau “choc chinois”, l’UE a suivi les États-Unis et augmenté les droits de douane sur les véhicules importés de Chine.
En juillet, l’Union Européenne a instauré des droits dits “compensateurs” de 17,4 % au fabricant chinois BYD, de 19,9 % à Geely et 37,6 % à SAIC… Les constructeurs automobiles chinois ont décidé de contourner les droits d’importation de l’UE en ouvrant des sites de production en Europe, la surcapacité de la construction automobile européenne va donc s’aggraver et va terrasser le marché. D’ou la fuite vers le Maroc puisque le plan européen visant l’Ukraine est mort… D’autant que de manière très intelligente, les arrivants Chinois choisissent des sites de production à faible coût, dans l’est de l’Europe, dont l’Ukraine revenant dans le giron Russe, ce qui contribuera à anéantir la concurrence des constructeurs allemands et français…
Ceux-ci, sentant arriver la déconfiture, migrent au Maroc ou notre Président Macron à préparé le terrain à son profit… “Les constructeurs automobiles chinois détiendront la majorité du marché européen dans quelques années”, estime Carlos Tavares. “Et ce n’est pas qu’une question de compétitivité et de prix. Les véhicules chinois ont pris une avance considérable dans la course technologique. L’entrée des géants des télécommunications et de la technologie Xiaomi et Huawei dans le secteur automobile représente une nouvelle menace pour les groupes étrangers. La prochaine grande bataille technologique dans le milieu automobile pourrait se jouer sur la conduite autonome, terrain sur lequel même Tesla d’Elon Musk pourrait avoir du mal à rivaliser avec BYD, Huawei et d’autres rivaux chinois”...
Voilà donc ce que les Européens ont créé, un monstre qui va sans doute anéantir l’Europe, en rétorsion des humiliations que notre Président Macron à infligé à l’ami Vladimir Vladimirovitch Poutine (Влади́мир Влади́мирович Пу́тин), né en 1952 à Saint-Pétersbourg en Russie, président de la fédération de Russie de 2000 à 2008 et depuis 2012… et concernant l’Ukraine… Pour illustrer tout ce qui précède, m’est venue l’idée, apparemment saugrenue, d’utiliser ce camion pick-up Hot-Rod personnalisé qui avait été construit par Jay Ouellette de Twin Mountain, dans le New Hampshire, il y a environ une décennie, en utilisant des composants de transmission et de châssis provenant d’un camion de pompier à échelle de marque Maxim datant de 1979.
Quel est donc le lien ? Il n’y en a aucun si ce n’est que c’est FUN d’imaginer circuler avec un tel engin farfelu au milieu de la connerie généralisée qui va nous pousser dans les flammes de l’enfer de l’incendie de fin du monde allumé au Maïdan à Kiev en Ukraine par l’Europe et les USA. C’est l’exact contraire de la guerre dans la guerre concernant la production à grande échelle d’automobiles électriques chinoises. La puissance provient d’un V8 736ci Detroit Diesel 8V92 à deux temps, équipé à la fois d’un turbocompresseur et d’un compresseur. La puissance est revendiquée à 430 chevaux et 1.186 lb-pi de couple. La puissance est envoyée aux roues arrière par l’intermédiaire d’une transmission automatique Allison à quatre vitesses et d’un pont différentiel Rockwell.
Je précise que c’est avec un engrenage de 4,64:1… La vitesse maximale du véhicule est d’environ 120km/h, son poids est de 3T5. Le véhicule est immatriculé comme un camion MAXI de 1946 en utilisant le numéro d’identification attribué au New Hampshire NH0012360. Peint en rouge avec des “enluminures” blanches, ce Super Hot Rod est doté d’une cabine de pick-up Ford’46 montée sur un châssis en acier fabriqué sur mesure qui roule sur des jantes en alliage de 24,5po avec une partie avant suicidaire sur mesure, un double essieu arrière, une direction assistée et des freins à air. Toujours dans la démesure, l’intérieur est garni de peau d’autruche noire avec passepoil rouge, il a été réalisé par Lenny Quail de Quail’s Upholstery à Littleton, dans le New Hampshire.
Jay Ouellette le proprio-créateur créateur avait une entreprise de réparation de camions. Pour se faire un pub d’enfer il s’est procuré la cabine d’une camionnette Ford PU de 1946, et son mécanicien Fred Ingerson l’a montée sur un châssis fabriqué sur mesure. Glenn Grammo un autre de ses mécaniciens a réalisé la peinture Flash Red. L’équipe du Mt. Washington Cog Railway a aidé à certains travaux de machinerie et de fabrication des pièces de suspension avant. Le véhicule mesure environ 7m30 de long et un peu plus de 2m50 de large. Des jantes en alliage poli de 24,5po sont montées avec des pneus Roadmaster RM185. La banquette et les inserts des panneaux de porte ont été garnis de simili-peau d’autruche noire. Voilà…