Jeep Apocalypse HellFire 6X6 2023
Mes chers compatriotes, l’heure est grave, très grave. C’est aujourd’hui l’existence même de la nation qui est en péril. Vous le savez, la croissance économique mène notre monde au suicide écologique. En effet, plus de croissance, c’est inéluctablement plus de pollutions et moins de ressources naturelles. Aujourd’hui, la pollution a atteint un seuil critique pour notre planète. Evidemment, la planète détruite, ce serait la fin de la France !
Il faut donc sauver le monde pour sauver la France. Le niveau moyen de consommation des Français est devenu insupportable pour la Terre et seule la décroissance économique permettra de réduire la pression que nous exerçons sur la nature. Ainsi, fidèle à sa vocation universelle et humaniste, la France, qui a éclairé le monde avec les Lumières, sera de nouveau exemplaire…
Elle montrera aux pays riches le chemin de la justice en réduisant de manière drastique sa consommation, ceci afin de partager avec les bientôt 7 milliards de Terriens des ressources planétaires qui ne sont pas extensibles. Aussi, je vous engage dès aujourd’hui, solennellement, à réduire, et ceci de la façon la plus radicale qui soit, votre consommation.
Chers compatriotes, gageons que nous serons plus épanouis, dans une France et sur une planète qui ne verra plus jamais l’Humain seulement dans sa dimension marchande, c’est-à-dire de consommateur. Vive la République, Vive la France, vive la Terre et vive la décroissance ! Voilà… Vous y croyez ? Vous en rêvez ? Non ? Vous n’êtes pas seuls en ces temps d’apocalypse..
Pour rentrer dans la décroissance, la première étape est de prendre conscience de son conditionnement. Le vecteur majeur de ce conditionnement est la télévision. Notre premier choix sera de s’en libérer. Comme la société de consommation réduit l’humain à sa dimension économique, la télévision réduit l’information à sa surface, l’image. Média de la passivité, donc de la soumission, elle ne cesse de régresser l’individu.
Par nature, la télévision exige la rapidité, elle ne supporte pas les discours de fond. La télévision est polluante dans sa production, dans son usage puis comme déchet. Nous lui préférerons notre vie intérieure, la création, apprendre à jouer de la musique, faire et regarder des spectacles vivants… Pour nous informer nous avons le choix : la radio (sans pub), la lecture (sans pub), le théâtre, le cinéma (sans pub), les rencontres, etc.
Plus qu’un objet, l’automobile est le symbole de la société de consommation. Réservée aux 20 % les plus riches des habitants de la Terre ; elle conduit inexorablement au suicide écologique par épuisement des ressources naturelles (nécessaires à sa production) ou par ses pollutions multiples qui, entre autres, engendre la montée de l’effet de serre. L’automobile provoque des guerres pour le pétrole dont la dernière en date est le conflit irakien.
L’automobile a aussi pour conséquence une guerre sociale qui conduit à un mort toutes les heures rien qu’en France. L’automobile est un des fléaux écologique et social de notre temps. Nous lui préférerons : le refus de l’hypermobilité. La volonté d’habiter près de son lieu de travail. La marche à pied, la bicyclette, le train, les transports en commun.
Refuser de prendre l’avion, c’est d’abord rompre avec l’idéologie dominante qui considère comme un droit inaliénable l’utilisation ce mode de transport. Pourtant, moins de 10 % des humains ont déjà pris l’avion. Moins de 1% l’emprunte tous les ans. Ces 1 %, la classe dominante, sont les riches des pays riches. Ce sont eux qui détiennent les médias et fixent les normes sociales. L’avion est le mode de transport le plus polluant par personne transportée.
Du fait de sa grande vitesse, il artificialise notre rapport à la distance. Nous préférerons aller moins loin, mais mieux, à pied, en roulotte à cheval, à bicyclette ou en train, en bateau à voile, avec tous les véhicules sans moteur. Le système engendre des besoins qui deviennent des dépendances. Ce qui est artificiel devient naturel. Comme nombre d’objets de la société de consommation, le téléphone est un faux besoin créé artificiellement par la pub.
Avec le mobile, vous êtes mobilisable à tout instant. Avec le portable nous jetterons donc les fours micro-onde, les tondeuses à gazon, et tous les objets inutiles de la société de consommation. Nous préférerons au portable le téléphone, le courrier, la parole, mais surtout, nous tacherons d’exister par nous-même au lieu de chercher à combler un vide existentiel avec des objets.
La grande distribution est indissociable de l’automobile. Elle déshumanise le travail, elle pollue et défigure les pourtours des villes, elle tue les centres-ville, elle favorise l’agriculture intensive, elle centralise le capital, etc. La liste des fléaux qu’elle représente est ici trop longue pour être énumérée ici.
Nous lui préférerons : avant tout moins consommer, l’autoproduction alimentaire puis les commerces de proximité, les marchés, les coopératives.
Manger végétarien. La condition réservée aux animaux d’élevage révèle la barbarie technoscientifique de notre civilisation. L’alimentation carnée est aussi une grave problématique écologique. Mieux vaut manger directement des céréales plutôt que d’utiliser des terres agricoles pour nourrir des animaux destinés à l’abattoir. Manger végétarien ou manger moins de viande doit aussi déboucher sur une meilleure hygiène alimentaire.
Quand on achète une banane antillaise, on consomme aussi le pétrole nécessaire à son acheminement vers nos pays riches. Produire et consommer local est une des conditions majeures pour rentrer dans la décroissance, non dans un sens égoïste, bien sûr, mais au contraire pour que chaque peuple retrouve sa capacité à s’autosuffire. Par exemple, quand un paysan africain cultive des fèves de cacao pour enrichir quelques dirigeants corrompus.
La société de consommation nous laisse le choix : entre Pepsi-Cola et Coca-Cola ou entre le café Carte noire et la café “ équitable ” Max Havelaar. Elle nous laisse de choix de consommateurs. Le marché n’est ni de droite, ni du centre, ni gauche : il impose sa dictature financière en ayant pour objectif de refuser tout débat contradictoire et tout conflit d’idée. La réalité serait l’économie : aux humains de s’y soumettre.
Ce totalitarisme est paradoxalement imposé au nom de la liberté, de consommer. Le statut de consommateur est considéré comme supérieur à celui d’humain. Nous préférerons nous politiser, comme personne, dans les associations, les partis, pour combattre la dictature des firmes. La démocratie exige une conquête permanente. Elle se meurt quand est elle abandonnée par ses citoyens. Il est aujourd’hui temps de lui insuffler la décroissance.
La société de consommation a besoin de consommateurs serviles et soumis qui ne désirent plus être des humains à part entière. Ceux-ci ne peuvent alors tenir que grâce à l’abrutissement, par exemple, devant la télévision, les “ loisirs ” ou la consommation de neuroleptiques. Au contraire, la décroissance économique a pour condition un épanouissement social et humain. S’enrichir en développant sa vie intérieure.
Privilégier la qualité de la relation à soi et aux autres au détriment de la volonté de posséder des objets qui vous posséderont à leur tour. Chercher à vivre en paix, en harmonie avec la nature, à ne pas céder à sa propre violence, voilà la vraie force. Les idées sont faites pour être vécues. Si nous ne sommes pas capables de les mettre en pratique, elles n’auront pour seules fonctions que de faire vibrer nos ego.
Nous sommes tous dans le compromis, mais nous cherchons à tendre à plus de cohérence. C’est le gage de la crédibilité de nos discours. Changeons et le monde changera. Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive. A vous de la compléter. Mais si nous ne cherchons pas à tendre vers cette recherche de cohérence, nous serons réduit à nous apitoyer très hypocritement sur les conséquences de nos propres mode de vie.
Une partie de nous-mêmes, de ce que nous donnons aux autres, de ce que les autres nous donnent d’eux-mêmes, est fait des histoires que nous racontons, écoutons, lisons ou écrivons. Qu’elles soient réelles ou fictives, simples ou complexes, drôles ou tragiques, limpides ou franchement hermétiques, ces histoires nous façonnent et dessinent nos identités.
Dans n’importe quelle partie du monde, chacun évolue dans un quotidien composé de mythes collectifs ou personnels, échangés, consignés, transformés, conservés… La narratologie, science de la narration initiée par les formalistes russes, cherche à rendre compte des structures communes aux multiples et diverses formes de récits.
Cela va des comptines les plus simples aux œuvres romanesques les plus exigeantes, en partant de la distinction fondamentale entre le récit, l’histoire et la narration. L’univers post-apocalyptique est un monde de ruines, c’est une évidence qui désigne dans sa généricité un univers dévasté à tous points de vue. L’agonie d’un monde réduit à ses plus élémentaires structures par les très nombreuses catastrophes dont il a hérité ne fait aucun doute.
Tout au plus cette agonie manque-t-elle de s’inscrire dans un processus temporel clair, à l’instar du temps vécu par les humains et animaux dont il n’est jamais facile de savoir quelle strate ils occupent dans le feuilletage temporel mis en place par la diégèse ambiante du narrateur extradiégétique que je suis présentement ? Or toute histoire d’apocalypse ne peut s’écrire sans interroger au préalable un statut temporel particulier…
C’est le repère qui apparaît de manière récurrente pour s’indexer à l’histoire chronologique moderne, dont le lecteur fait fonctionner par réflexe la mécanique pour comprendre… Une fois un très vague repère historique assimilé, le champ temporel qui s’ouvre à la lecture n’en accepte plus beaucoup d’autres. Il s’agit dès lors de comprendre le monde décrit comme étranger à toute chronologie.
Il est en effet impossible de le relier à notre contemporain. Temps et espace, sortis tous deux de leurs ornières, se mélangent dans les perceptions d’un environnement ruiné, détaché de l’épistémè, ancré dans un monde obsédé par la mélodie entêtante d’une apocalypse toute proche, le paradigme omniprésent de la ruine de nos civilisations étouffant d’emblée toute velléité d’optimisme.
Ruines nouvelles et ruines abandonnées présentent à qui s’y confronte une proximité non marquée développant un passif, subordonné au temps extensible et variable dans lequel elles s’inscrivent sans le modifier. Que la ruine date d’hier ou de milliers d’années n’y change rien. Le temps de l’habitat/réconfort va passer
Les destructions infligées aux villages et villes, ne feront qu’exécuter ce que l’évolution immanente de la technique a décidé depuis longtemps quant à l’avenir, en particulier dans leurs développements idéologiques pour un public de survivants quasi-momifiés et rapiécés qui, malgré la précarité de leur situation, celle d’une humanité réduite à quelques débris de gueusaille humaine qui çà et là encore errent sur la planète.
Ils vont sans nul doute continuer absurdement de croire à la venue d’un renouveau, d’une structure par défaut de rapports humains dépourvus d’animosité comme de bienveillance, un délabrement dans l’attente que se concrétise enfin la prophétie de la fin des temps et celle consistant à se penser comme déjà au cœur du désastre alors que l’apocalypse a déjà eu lieu.
Ces effets ont une temporalité inaccessible et incompréhensible… C’est dans ce temps que j’installe mes fictions, vade-mecum pour temps d’apocalypse. À la manière d’un Beckett ou d’un Pierre Senges, me voici déclarant qu’au cœur d’un monde détruit la littérature reste non seulement possible, mais aussi, parce qu’elle survit sous des formes mutantes, inattendues, métastasiques, proliférantes.
Pourquoi ? Parce qu’elle repousse comme une mauvaise herbe, qu’elle devient l’activité de production post-humaine par excellence. Ou par défaut. Ahhhhhhh ! J’en viens enfin au 6X6 sur-mesure qui illustre mes pages. Effectivement cette version folle de la Jeep Gladiator vient tout droit d’une société basée en Floride, appelée Apocalypse Manufacturing.
C’est bien plus qu’un simple pick-up modifié puisqu’il s’agit d’un véritable colosse appelé HellFire. Cette version à 6 roues propose un système de transmission absolu, et un V8 Hellcat de 707cv. Il est également équipé d’un treuil pouvant tracter 4.3 tonnes et l’attelage est capable de soutenir 5.4 tonnes. Ce Jeep Gladiator HellFire a été pensé pour s’adapter à tous les terrains ou tracter des véhicules embourbés, rien ne lui fait peur !
On connaît à fond l’histoire de l’automobile. On ignore encore d’où vient le désir d’inventer un véhicule qui se déplace de lui-même. L’homme s’y est employé avec un acharnement contre toute raison, alors que pendant des siècles, les voitures à cheval ont été incomparablement plus rapides que toutes les automobiles plus ou moins fantaisistes ou grotesques issues de son cerveau. Cela nous fait plonger dans l’inconscient humain…
Jusqu’à l’époque où la Renaissance enfante le monde moderne : les hommes sont alors saisis du rêve de ressusciter les dieux et de les imiter en se mouvant comme eux, afin d’avoir le sentiment d’échapper à leur condition de simples mortels. Elle retrace l’aventure de cette tentative d’auto-divinisation qui habite l’Occidental contemporain. De la sorte, elle éclaire bien des liens obscurs qui attachent l’homme à son véhicule.
Côté prix ce 6×6 commence à partir de 150.000 $, moitié moins cher qu’un Mercedes Classe G…. Construit professionnellement ce Jeep Gladiator Apocalypse Hellfire 6×6 2023 est prêt pour les invasions de zombies, les astéroïdes inattendus, la fin du monde telle que décrite ci-avant, une excursion à travers le pays ou une aventure épique en boîte de nuit…
La personnalisation conquérante renforce les capacités légendaires de la Jeep avec un mélange unique d’équipements sélectionnés, d’ingénierie exclusive et de luxe artisanal. La carrosserie conçue sur mesure comprend des portes et un toit amovibles et un pick-up de 8 pieds. Les pare-chocs avant et arrière sont en acier, tout comme le blindage de pare-brise, tandis que divers revêtement en kevlar sont à découvrir….
S’accrocher et transporter ce qui reste du monde n’est pas un problème grâce à deux anneaux en D avant, un treuil de 9.500 livres et un attelage de remorquage de 15.000 livres. Un lettrage exclusif pour hayon, un badge 6×6 et un ornement spécial en stylisation d’un nuage/ champignon atomique ajoutent une touche finale.
Le démarrage par bouton-poussoir enclenche le moteur et l’équipe de transmission automatique à 8 vitesses. La suspension active et une transmission exclusive avec des modes sélectionnables à 4 ou 6 roues motrices s’associent pour un contrôle tout-terrain. Les marchepieds électriques activés par la porte offrent un pas en avant dans la cabine habillée en cuir de qualité marine cousu à la main.
Des sièges de luxe avec matelassage façon diamant surpiqûré contrastant et une console centrale rejoignent une suite technologique comprenant un système audio haut de gamme, la navigation, une caméra de recul, une connectivité Bluetooth et Apple CarPlay. Les phares à LED à haut rendement avec un anneau halo à changement de couleur.
Un groupe de lumières LED avec un contrôleur Rough Country MLC-6 à 6 commutateurs transforment la nuit en jour. L’Apocalypse Hellfire a été spécialement conçu pour rouler sur les routes, les zombies et les rochers sur des jantes en alliage FUEL et des pneus Toyo Open Country M / T de 40 pouces à 10 plis.La vue pure de l’Apocalypse Hellfire 6×6 est celle d’une bête massive prête à régner, à la fois sur route et hors route.
Sans aucun doute, cette Jeep assez badass d’Apocalypse Manufacturing est une voiture qui vous émerveillera ! En regardant l’Apocalypse, vous avez l’impression que c’est quelque chose qui sort tout droit d’un décor de film futuriste de James Cameron et Steven Spielberg et il est difficile de ne pas comprendre pourquoi. La Jeep a une apparence extérieure frappante et ressemble à quelque chose avec lequel vous survivriez à l’apocalypse.
De plus, il est équipé d’un kit de gros-porteur complet qui affiche des passages de roue élargis qui permettent un débattement prolongé des roues. À l’avant de la Jeep, vous trouverez un pare-chocs avant entièrement en acier d’un quart de pouce d’épaisseur et un treuil LBS. Et si vous pensez que cette voiture n’est pas construite pour une véritable apocalypse ou une zone sinistrée, attendez de voir son pare-brise en acier…
Celui-ci protège des débris tranchants, solides et rugueux sur un sentier ou venant de l’espace intergalactique… Les voitures s’inspirent parfois d’autres marques et l’Apocalypse Hellfire 6×6 ne manque pas d’inspiration, utilisant un boîtier à plateau de style fastback, un clin d’œil au système de revêtement métallique à verrouillage roulant de la Tesla Cybertruck.
Pour une Jeep de cette taille, on parlera toujours de références hors route, et les fabricants de la Hellfire le savaient lorsqu’ils l’ont équipé de pneus de 40 pouces. La configuration de la suspension a subi une reconstruction et comporte des amortisseurs Falcon et des bras de suspension personnalisés. L’articulation du châssis est de premier plan et cela est dû à la course de 13 pouces vers le bas et de 8 pouces vers le haut de l’essieu arrière.
Il y a plusieurs choses géniales et l’une d’entre elles est le mécanisme de transmission qui alimente le système à six roues motrices. Il s’agit d’une innovation interne conçue pour fonctionner aussi facilement et efficacement que possible sans boîtiers de transfert ou arbres de transmission secondaire. Rien ne se compare à la qualité de conduite à l’intérieur d’une voiture d’une telle qualité…
L’Apocalypse Hellfire 6×6 a les qualités pour le montrer. Il y a un groupe de contrôle de l’éclairage LED à haut rendement à six commutateurs et un affichage permanent pour la caméra de recul. Cependant, cela constitue plus un ajout nécessaire qu’une autre caractéristique compte tenu de la taille de ce 6X6 massif. Le feu de l’enfer offre également plusieurs ajouts optionnels, comme la vision nocturne thermique.
Il n’est pas rare d’avoir de gros camions avec des prix de départ tout aussi élevés, et l’Apocalypse Hellfire 6×6 a un prix de départ de 150.000 $. La société Apocalypse Manufacturing construit également d’autres variantes de projets tout aussi cool basés sur Gladiator nommés Sinister 6 et Doomsday. Ces camions monstres sont livrés avec différents modèles de plate-forme.
Bien que les prix de ces jeeps soient un peu plus élevés, c’est à dire au delà de 200.000 $, ils ont toujours des gens prêts à dépenser leur argent.