Auburn Boattail Speedster Replica
Cette réplique inspirée des Boattail-Speedsters construits par Auburn au milieu des années 1930, est propulsée par un V8 350ci jumelé à une transmission automatique à trois vitesses. L’équipement supplémentaire comprend une capote amovible, un tonneau-cover assorti, des roues à rayons de 15 pouces, des freins à disque avant assistés, des collecteurs d’échappement externes simulés, des feux de conduite, des garnitures en bois, la climatisation et un lecteur CD. Tout ce qui concerne cette Auburn Réplica est bouclé/écrit en 4 lignes. Le reste concerne la portée de l’absurde !
Élémentaire mon cher Watson ! Si un homme porte uniquement à gauche ou à droite, l’absurde, lui, porte partouze, et dans tous les sens. Partout ? Oui, partout. Il tourne en dérision n’importe quelle circonstance, n’importe qui, et n’importe quoi, lorsqu’il est bien utilisé. Alors pourquoi s’en priver ? Parce que certains ne trouveront pas ça marrant ? Ce n’est pas une raison. En voudriez-vous en trouver une que retentirait déjà en vous la sensation d’un échec cuisant qu’on ne retrouve que dans les discours de Jo Biden, les vieux films de Jean-Claude Van Damme ou les chansons de Mylène Farmer.
J’ai trouvé une nouvelle source de fascination : le bruit que produit la plomberie et le glouglou de l’eau qui disparait dans le drain. Elle s’écoule dans le sens des aiguilles d’une montre, comme partout dans l’hémisphère Nord. Ce mouvement est connu sous le nom d’effet de Coriolis. Je me suis alors dit qu’il me fallait vérifier si effectivement l’eau s’écoulerait à l’inverse des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère sud ! L’insolite étrangeté de cette curieuse bizarrerie dénommée Auburn Speedster me plonge dans une perplexité qui m’intrigue.
Si je me fiais à ma première impression, j’émettrais bien l’avis que d’instinct, je n’aperçois pas l’ombre d’une hypothèse de supposition concernant le tapotage d’un texte la concernant destiné à habiller les trop nombreuses photos d’elle en bord d’Océan. Comme il est aussi inutile de mettre plusieurs épithètes à un même mot que de payer plusieurs fois la même facture, je ne vous soulignerai jamais assez l’importance des détails de construction d’un article. Ce sont eux qui donnent du corps à un texte, le rendent plus riche, plus vivant, plus musical et plus personnel.
En comparaison, concernant le dit musical, il n’y a rien de tel qu’un violon d’Ingres pour passer pour un con ! C’est un vilain défaut dans toute cuirasse, en mon cas, une sorte de braguette ouverte par laquelle tout le monde s’engouffre et voit mon intime conviction, le petit bout de mon âme, le presque peu qui m’aide à survivre. Et de voir ce spectacle, chacun/chacune se dit à quoi bon, tant d’insistance, tant d’impuissance. Si vous ne comprenez pas, je cours entre mes propres lignes de texticules vous chercher un miroir, ça va vous donner à réfléchir.
Tout d’abord, il me faut filtrer les n’importes-qui s’imaginant pouvoir s’immiscer parmi tout un chacun comme le premier venu se mêlerait à tout le monde ! C’est que mon âme de poète s’effrite en particules consternées sous le poids du matérialisme ambiant ! Les attroupements entre les lignes de mes texticules sont incompatibles avec le recueillement qui m’est nécessaire. Les gens m’acclameraient, on me porteraient en triomphe, on me ferait signer des contrats… Ca lasse tout ça, ça lasse, tout comme la recrudescence tranquillement exponentielle des cancers dus à une alimentation truffée de pesticides sournois !
Ils sont déversé par mégatonnes, de firmes tentaculaires toujours plus avides d’argent, s’enrichissant sur le dos des familles indigentes ployant sous le poids de dettes sans fin, tandis qu’une bonne partie de la planète se meurt de faim, de soif et d’indifférence générale, agonisant de carences nutritives à côté desquelles le Grand Canyon est un anus de colibri… Quant à ceux qui ont la chance de survivre, c’est pour être décapités par de peu recommandables fanatiques religieux (c’est à perdre la tête !).
Sans compter la pollution, les effets de serre, le trou dans la couche d’ozone, la fonte des glaces, le réchauffement climatique, tout ça donnant lieu, entre autres joyeuseries, à la disparition progressive de pans entiers du règne animal qui n’avait rien demandé (le rhinocéros blanc, le panda géant et les abeilles, dont l’éradication prochaine entraînera, par un amusant jeu de dominos dont je vous épargne les détails, l’extinction pure et simple de la race humaine à échéance risiblement proche, si celle-ci ne s’est pas entre-temps auto décimée à coups d’armes thermonucléaires sous prétexte de la Guerre en Ukraine.
Aussi par la création accidentelle d’un virus de grippe farceur responsable d’une nouvelle pandémie impossible à endiguer ! Touché, coulé ! Vous seriez une vraie lumière si on avait ouvert l’interrupteur !!! Brossons ces préoccupations sidérantes de notre esprit avec le plumeau de l’indifférence et passons aux choses sérieuses. J’ignore d’un pied hautain les allusions malveillantes d’esprits vulgaires et lourds que mes dons d’écritures éclaboussent de mépris. Il y a des gens qui ont, en effet, le génie de gâcher les meilleures moments rien qu’en existant !
Je savais qu’il existait déjà des sculpteurs de seins doux, des essayeurs d’allumettes, des ramoneurs de périscope, mais ça… Rien que d’y penser, je ne suis plus que l’ombre de mon reflet. Des suites du vol de ma LéaFrancis, je me suis spécialisé en suivant des cours de droit, des cours de psychologie, des cours de criminologie ! Qu’entends-je ? Petits malheureux ! Ignorez-vous donc qu’avec l’oisiveté, la boisson et les bandes-dessinées, l’ignorance est la mère de tous les vices ? Je prends un cas par hasard : moi ! Eh bien, malgré tous mes dons naturels, j’eus été, sans instruction, moins brillant.
Si,si ! De nombreuses connaissances pratiques m’eussent fait défaut… J’eus vécu dans l’obscurantisme, sans savoir que l’isoplexis est un arbuste à feuilles persistantes… que le symbole du boehmite est A12 O3 H2O… ou encore que le makouke est une monnaie angolaise… que Véronèse vécut de 1528 à 1588…. et que le chaunacanthe est un protozoaire actinopode… Bref, je n’eus pas été moi même… Il devient impossible, de nos jours, de poser le pied dans la nature des gens sans buter sur des agglomérats de bipèdes inesthétiques et repoussants. Plus on s’isole, plus c’est la foule !
Mais me concernant et de quoi qu’il s’agisse, c’est avec Chromes et Flammes que je mets au service de ce site-web l’impétuosité communicative de mes facultés dilatées par la foi. L’opprobre me submerge quand je médite des choses pareilles, mais comme j’ai une volonté granitique, je me domine et refoule ma honte. Oui, j’ai toujours eu des instincts violemment artistiques… Le peuple n’est pas protégé ! En un mot comme en cent, concernant l’Auburn Speedster qui devrait être le seul sujet de cet article, je la trouve assez gracieuse. Quoique ! L’indécision me ronge !
Esthète comme je le suis, en tapoter ce texte m’emplit d’appréhension ! Il m’apparaît de plus en plus clairement que les motifs ténébreux de l’obscurité qui va venir, s’enrobent d’avance d’un mystère opaque assez peu propice aux interprétations lumineuses concernant cette automobile… Une sensation s’éparpille en moi. Comme un effroi bruyant. Diagnostic indiscutable : Ce ne serait rien, si elle n’était photographiée en bord d’océan, il est en effet de notoriété publique que… Non, ce serait trop facile ! Je ne le soulignerai donc pas. Mais je vais vous asséner une révélation…
Vous vibrez autant de ma poésie qu’un pied de marmite en fonte ! Et encore ! Il faudrait imposer un handicap à la marmite… Je me dois donc de couvrir l’explosion de mes veines sous le coup de la colère, des dégâts résultant de mes conversations politiques, la floraison bientôt printanière des jambes de bois, le bris de tous objets en béton, les courts-circuits dans les moulins à poivre, la dévaluation des fromages de tête, les pannes de machine à traire, la chute des poils de brosse à dent, les grèves des techniciens de la guillotine destinée à Manuel Macron ! L’Espagnol !
L’hiver fripon dont la morsure taquine coagule les volontés pâteuses figées à zéro dans de trop douillettes pantoufles, fait place au printemps et aux montées de sèves… Du moins en ce qui concerne les jeunes générations ramollies par un confort tentaculaire et sournois qui enfonce l’homme dans la moquette pernicieuse du temps qui passe, les tuyauteries chauffantes omniprésentes et le siège moulé de la pusillanimité. Un maigre espoir là-dedans et c’est le déséquilibre, la panique et la capitulation…
Je sais que vous êtes fascinés par la titanesque puissance cérébrale que je mets en batterie pour remplir ce Web-Site de sujets qui n’ont de rapport avec quoi que ce soit que dans la mesure où mes texticules sont suffisamment couillus pour sortir de tout sujet étranger à l’ensemble des matières qui s’écartent des thèmes voisins de tout embryon d’étude sur le moindre dossier digne de publication. Lao-Tseu s’est aussi épuisé à le dire que moi : Celui qui méprise l’improbable est comme la chenille qui, s’élançant à travers le sentier, refuse de croire qu’on en aura fait une autoroute avant qu’elle n’atteigne l’autre côté…
Il connaissait les autoroutes, Lao-Tseu ? Puisque je vous écris qu’il s’agit d’une théorie de l’improbable… Billevesées et grotesqueries ! Psychose caractéristique des pusillanimes et des rachitiques moraux que la simple idée du plus anodin des coups de matraque ferait presque critiquer leur époque. Le jus de navet coule à flots dans les veines de mes contemporains, voilà le vrai drame ! Je ne veux même pas entendre vos explications saugrenulles et dilatordues ! Donnez moi ce papier sale, j’irai moi-même le remettre en mains propres… Bon sang de bonsoir de malédiction !
Je croyais pourtant bien que j’avais tout vu et que je m’étais tordu les bottes dans toutes les avanies que Jupiter peut répandre sur cette garce de Terre… Mais ça !… Ça, il me faudra dix ans de soleil de Saint-Tropez pour m’en consoler ! Sachez que le poids de votre concours donne à la balance de mon estime une vertigineuse inclinaison. En bref, on serait dans “Charlie-Hebdo”, je vous entraînerais dans un débat sur les mérites comparés de l’acculé et de celui qui accule, mais il se trouverait sûrement une personnalité quelconque pour nous faire saisir… je suis fâché de ça, c’est fou ce que ça me contrarie !
Si je ne craignais pas de m’offrir en spectacle je crois que bien que j’irais jusqu’à manifester un soupçon de mauvaise humeur. Oui, je comprends votre surprise. Vous vous dites : Que fait cet inestimable éditeur ? Alors, sans rire… Comment s’y prend-on ? Eh bien ! Tout d’abord, il faut une certaine patience… La France n’est plus aussi riche depuis qu’on donne tout sans compter à l’Ukraine : un peu de maïs et de kapok pour eux se bouffer les uns les autres, un élevage d’armes en gestation… Cela vous explique l’échec redoutable des tribus qui vivent encore comme du temps de Dracul-le-Grand-Zeelinsky…
Un Tarzan d’avant le cinéma parlant, celui qui ne savait même pas encore crier waou-waou… mais savez jouer du piano avec son pipeau… Vous le mesurez ? C’est un défi à la spéléologie ! Une chose dont la moindre immersion sexuelle provoque un chambardement dans l’horaire des marées ! Émouvant aboutissement d’un labeur titanesque dont les racines plongent tout droit dans l’océan secret des sentiments tumultueux qui le secoue jusqu’aux antipodes des Banana”s-Papers… De nos jours, c’est un des éléments essentiels à la promulgation irradiante des facteurs suggestionnels d’agressivité des masses.
Il réside dans le potentiel énergétique d’influence magnético-persuasive sur la mémoire rétinienne. Êtes vous d’accord ? Soulevé par le coup de massue de cette révélation, l’orphelin, trempant dans le vieil encrier familial débordant de larmes, une plume émoussée mais vibrante trace sur une page de cahier ces quelques mots : “Cher et honoré, envoyez-moi-en encore”… Du moment qu’on revient à temps aux choses importantes, c’est très stimulant, de tâter un tout petit peu de l’absurde, ça ouvre l’esprit, je trouve ! Notez qu’il donne son avis sur des problèmes dont il ne comprend pas le premier mot…
Et cela avec une vigueur telle que vos méninges à le voir blablater, tressautent comme des marrons pétant sous la cendre…Quid ? Découverte éblouissante et retentissant choc moral ! Le livre qu’il a promis de faire écrire est dû à la plume fracassante d’un certain Comte du Bylan de la Banqueroute… et s’intitule : “Art et tactique du bon usage et de la politesse suractivée”… C’est une somme en milliards et un sommet digne d’être Européen. La méfiance et le scepticisme s’empoignent violemment en moi. Je suis conquis et bouleversé. Le soleil de la vraie politesse perce les nuages de mon horizon moral.
C’est très incomplet, on ne dit rien de la façon de siphonner encore plus… Ce n’est plus une facture, c’est l’arme absolue ! A côté d’un chiffre pareil, la dette mondiale à l’O.N.U ressemble à une étiquette de monoprix ! Ah ! voilà : Internationalement célèbre pour la poésie de son œuvre… Dix-sept fois titulaire et médaillé de hautes récompenses… Dix-sept fois récupéré au sommet de la cheminée de son immeuble, car on le dit un peu timide… Pour les âmes discrètes qui savent encore savourer la poésie des explosions de bombes dans les grandes villes abandonnées d’Ukraine, on me suggère de suggérer des suggestions !
Coup de canon du sort dans le ciel jadis limpide de mon amour propre : l’adversaire a touché juste ! L’insolite étrangeté de cette curieuse bizarrerie me plonge dans une perplexité qui m’intrigue. Si je me fiais à ma première impression, j’émettrais bien l’avis que d’instinct, je n’aperçois pas l’ombre d’une hypothèse de supposition. Miracle sans précédent ! Le titan de l’apophtegme patoisant trahi par sa propre glotte excédée, déverse enfin la pluie bienfaisante d’un silence opaque et réparateur. C’est tout de même contrariant tout ce temps qu’on perd dans la vie à devoir matraquer sauvagement les forces brutales.
Celles de l’hostilité, bien sur, pour aplanir les obstacles les plus anodins au marteau-pilon de la volonté pacifique ! Pour ma part, je remonte subrepticement la pente chaotique et savonneuse d’un rétablissement moralement acrobatique ! Il y a ceux qui écrivent l’histoire et ceux qui ont besoin de lunettes pour la lire ! C’est la première fois avec Zeelonsky que je vois un type se battre avec lui même. Si vous voulez mon avis c’est le comble de l’agressivité ! Je ne désire pas de rafraîchissement : je m’abreuve de philosophie ! L’orateur le plus torrentiel de la profession réduit à des onomatopées de klaxon mal réglé ! Pffrrrrt !
Le moulin à paroles bat de l’aile ! Hihih, il y a une justice ! Vous connaissez la grande loi de notre bel apostolat, rien ne s’arrête jamais ! Affamés de photos, de taches et de fautes d’orthographe, les Popu’s me supplient à deux genoux, douze mois sur vingt-quatre heures… Par mon initiative, les internautes, enfin libérés, me découvrent ! Quoiqu’un léger nuage d’incertitude flotte avec persistance dans l’azur habituellement immaculé de Saint-Tropez ou j’ai échoué… Une voix mystérieuse, au plus profond du dedans de moi- même, me susurre que pourraient bien jaillir des évènements saisissants.
Vous ne connaissez pas mais c’est normal, Il faut être instruit ! Je suis promis à un plan d’austérité auprès duquel la disette chez les nomades du désert fait figure de ripaille délirante. Je garde mon calme dans des circonstances où les moines contemplatifs des lamasseries les plus reculées du Tibet se mettraient à mordre rageusement les murs. Remarquez que je n’oblige personne. On ne lutte pas contre la sélection biologique naturelle. Mais ne venez pas vous plaindre quand vous serez éteints, vous et ceux de votre tribu de pusillanimes…
Si vous êtes dépourvus de la moindre volonté, que vous avez le muscle blafard et le grand flemmard hypertrophié, on ne saurait vous le reprocher : c’est de toute évidence la lente dégénérescence d’une consternante lignée de pantouflards qui aboutit en vous a l’inévitable faillite. En revanche, prenez mon cas : aucun mérite. Paf : dès le berceau, voilà que je me suis retrouvé de ceux qui vont fouiner dans les volcans ou faire des trous dans la banquise, histoire d’ajouter quelques anecdotes au patrimoine de l’humanité. Il y en a qui écrivent l’histoire et d’autres qui ont besoin de petites lunettes pour la lire.
C’est comme ça. Je vais vous dire, vous êtes si sensible qu’une belle carrière de thermomètre aurait pu vous attendre si vous n’aviez de surcroit été trop mou. Notez que je suis là à rire parce que c’est dans le tempérament expansif de tous les énergiques, mais on a failli s’inquiéter de la prolifération des échantillons de votre sorte qui annonceraient la disparition de l’espèce. Heureusement, la technologie est là et demain, tout un tas de machines fortes combleront votre déficience… D’ailleurs pas de panique, sur le plan social aussi, on prend chaque jour de nouvelles responsabilités.
Les actifs et les florissants veillent déjà sur les pensionnés, les veuves et les orphelins, les politiciens et les handicapés. On finira bien par protéger aussi les inopérants et vous serez sauvé. Et puis, je ne suis pas loin. Chaque fois que la terreur vous gagnera parce que le baromètre annonce une brise, souvenez-vous qu’il y aura toujours un bol de textes sous formes d’articles à déguster dans www.GatsbyOnline.com c’est certes une soupe pour vous en compensation naturelle, je ne suis pas de ces privilégiés qui écrasent ceux qui n’on aucune chance.
Nouvel astronaute de l’imagination, je plonge avec ivresse dans l’espace virginal du non-être où tout devient possible ! Après l’anti-matière et la contre-révolution, notre époque indomptable redécouvre la connerie généralisée ! Doté d’un sens aigu de l’humour littéraire ainsi que d’un important cartable d’auto-dérision-par-inadvertance, je vous sert régulièrement (pour peu qu’on me lise) mes élucubrations qui feraient rougir tout jongleur de lettres de plaisir comprenant de superbes trouvailles linguo-stylisées ! Je dégager l’allée avec souplesse, vélocité, et ma pelle.
Stratégie navrante ne peut conduire qu’à ces Thermopyles aggravées d’un zeste de Waterloo. J’ai horreur de m’imposer, mais le sens du devoir n’est pas toujours celui de la modestie. J’interviens. Je m’en moque dans des proportions qui vous donneraient une idée de l’infini. Sachez que j’ai capturé un aviateur Ukrainien rien qu’en lui tendant une tartine de confiture, moi. Un léger nuage d’incertitude flotte avec persistance dans l’azur habituellement immaculé de votre crédulité ? Des murmures d’incrédulité qui vous agitent me beurrent le cœur de gratitude. Admirable, calme, mais granitiquement résolu.
Allons faire le point devant un café puissant. Cette nuit blanche m’a donnée des idées noires. L’absurde a t’il un sens ? Et si on se place en trois dimensions, forcément, il y aurait aussi haut et bas. Mais grève de plaisanteries. Ne pas prendre l’absurde au sérieux serait une erreur grâââââve. Effectivement, je suis le garde fou de tous les honnêtes hommes face à la bêtise des autres. Si vous n’avez pas lu le début, je ne le développerai pas plus en détails. Tout simplement car l’absurde casse les liens classiques de l’humour et surprend en créant d’autre liens moins évidents.
Donc, sans vous embarquer plus loin dans un démonstration auto-suffisante, et pour terminer sur un point positif, gardez à l’esprit que si l’absurde ne vous fait pas tilter, cela ne signifie par que vous n’avez pas d’humour pour autant…
2 commentaires
Mon cher Gatsby, Votre sens de l’humour et votre capacité à exprimer des idées complexes avec une finesse tant linguistique que stylistique sont véritablement remarquables ! Délicieux nectar pour vos lecteurs…
Je dois avoir acheté/vendu une petite dizaine d’Auburn Speedster Réplica, dont certaines se découvrent en tapotant “Auburn” dans la loupe Sherlock Holmes du haut droit de la page d’accueil de GatsbyOnline.
Le plus difficile est de ne pas sans cesse (à chaque article) ânonner les mêmes rengaines. Je pense que je serais finalement malheureux d’être mort, même si c’est comme s’endormir car “mort de fatigue”…
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