Big-Block-Powered Custom 1967 Chevy Corvette

Corvette First…  A supposer que divers, d’abord aux USA, puis ailleurs dans la diversité du monde, étaient désireux de définir l’automobile la plus emblématique, c’est la Corvette qui est apparue à tous les stades imaginables. Produite depuis 1953 elle a connu huit générations, de la C1 à la C8 et est devenue un symbole de la performance automobile américaine utilisée dans diverses courses et événements sportifs. Elles peuvent s’afficher aussi bien dans les plus misérables que dans les plus exceptionnelles exhibitions automobiles. La Corvette est devenue la reine des automobiles de rêves… Elles atomisent !!!

America First… Y a-t-il jamais eu le moindre doute en suite de la création de la bombe atomique  ? Les américains, avec la bombe, se sont directement surestimés “Les Maîtres du monde”... L’empire américain est une hégémonie exclusive, ce n’est la première fois que ce phénomène étrange survient dans l’histoire de l’humanité, mais à chaque fois ça s’est terminé en apocalypse… Le principe est de créer une force militaire suffisante pour dissuader n’importe quelle nation ou groupe de nations de défier la suprématie des Etats-Unis. Cette stratégie semble avoir remporté tant de succès qu’elle paraît invincible…

Le joug des Etats-Unis s’est imposé à toute la planète après l’effondrement du communisme, mais diverses forces n’ont pas été anéanties et s’entendent pour “remettre l’Empire à son point de départ”… Au journalisme événementiel, qui déforme plutôt que décrire l’actualité je m’évertue d’expliquer tout en opposant un effort d’interprétation aux “Fake-News”. L’Union européenne contrepoids aux Etats-Unis ? Mais aucun des pays membres ne veut ni ne peut prendre ses distances avec Washington, pas même la France désormais prise au piège du traité de Maastricht.

La Russie a été  ramenée à la situation territoriale qu’elle connaissait au début du XVIIe siècle, avant la victoire de Pierre le Grand sur Charles XII… Elle a perdu, au profit des Etats-Unis et de leurs alliés, une bonne part de son influence en Europe et en Asie centrale. C’est donc en Extrême-Orient que devrait  se jouer l’équilibre du monde, mais le Japon, sur le déclin, s’est associé étroitement aux Etats-Unis, l’Inde voit son unité menacée, l’irrésistible montée en puissance de la Chine ne prend corps que lentement, l’Afrique est à l’écart et l’Amérique latine, qui a tourné la page des guérillas, attend la prospérité…

Reste “l’arc de crise”, où l’islamisme, hier considéré à Washington comme un “barrage aux révolutions”, conduit maintenant le cortège des déceptions, des frustrations, des humiliations, mais sans être en mesure d’inquiéter sérieusement les Etats-Unis… Ecrasante, la supériorité militaire des Etats-Unis est certaine d’exclure toute nouvelle guerre mondiale. Même en recourant à l’arme chimique ou à l’arme nucléaire, aucun ennemi ne peut selon les USA, échapper au sort tragique de l’Irak.  Pareillement, ni le terrorisme, ni la guérilla, ni une combinaison des deux ne sait atteindre profondément les USA.

Maîtres du monde, comment les Etats-Unis feront-t-ils face au chaos engendré par l’ordre même qu’ils imposent à la planète ? A l’heure où l’Europe voit un Etat imploser, tous sont déstabilisés, en haut par la dictature des marchés financiers, en bas par la montée des communautarismes. Un terrible fossé se creuse, à l’échelle du monde et de chaque pays, entre riches et pauvres qui prennent également acte de l’évanouissement du rêve révolutionnaire. L’autre Moyen Age a duré des siècles : le nôtre restera-t-il longtemps comme il est, avec l’Empire qui le domine et les tempêtes qui se déchaînent contre lui ? 

“Tout empire périra.” Et c’est justice. Car l’empire, fruit de la volonté de puissance et de la conquête, porte en lui son gouvernement par la force, la contrainte des peuples, la soumission, voire la terreur. De ces constructions nées de la démesure, la destinée annoncée est l’effondrement. L’empire, c’est le mal. Il est voué au naufrage, et les peuples en paient le prix. Napoléon, dans son île, songeait-il à cela après que l’Europe entière liguée contre lui l’ait condamné à un exil définitif ? Alexandre Le Grand, lui, a été fauché en pleine gloire avant que son œuvre ne se disloque…

Le Führer, dans son dernier bunker, a préféré livrer à l’embrasement d’apocalypse sa construction délirante. Quoi qu’il en soit, tout empire est condamné à sa propre chute. L’histoire des empires est souvent celle de leur déclin inéluctable. Les conditions de ces évolutions peuvent s’étaler sur plusieurs siècles, mais l’effondrement est inévitable. Toutefois il existe des exemples d’empires qui ont réussi à survivre à leur déclin, bien que cela soit relativement rare, leur survie dépend souvent de leur capacité à s’adapter, à innover et à évoluer avec les circonstances changeantes … Voici quelques cas notables :

Empire byzantin : Après la chute de l’Empire romain d’Occident, l’Empire romain d’Orient a continué à prospérer pendant près de mille ans. Il a survécu à des invasions barbares, des guerres, des épidémies et des crises économiques. Constantinople, est restée un centre majeur de commerce, de culture et de pouvoir jusqu’à sa chute en 1453 lors de la prise par l’Empire ottoman qui a réussi à se maintenir pendant les siècles suivants. Il a survécu à des guerres, des révoltes internes et des pertes territoriales. Au XXe siècle, il a succombé aux pressions extérieures et s’est dissous après la 1er Guerre mondiale….

L’Empire chinois : La dynastie Qing a gouverné la Chine pendant plus de 260 ans. Malgré des périodes de troubles internes et d’invasions étrangères, elle a réussi à maintenir son autorité jusqu’à la révolution de 1911 qui a conduit à la chute de l’empire et à l’établissement de la République de Chine…. L’Empire britannique : Le symbole du “colonialisme abject”, a connu un déclin progressif après la Seconde Guerre mondiale, a prétendu réussir à se transformer en un Commonwealth de nations indépendantes sur lesquelles “La Couronne” n’a plus prise, c’est un leurre dérangeant…

Les empires se disloquent parce qu’ils ne font plus rêver, ni leur monde, ni les autres mondes… Si “le rêve américain” ne fait plus rêver ceux qui l’ont vécu qui maintenant le subissent comme étant un combat sans fin qui ne mène à rien, qu’y a t’il à rêver dans les anciens empires ? Qui va vouloir rêver d’un cauchemar sans fin ?  C’est là que le déclic se produit sur ce qui a fait rêver le monde entier dès la fin des années quarante : l’automobile… La débauche d’automobile… Toutes les formes et styles d’automobiles…  En ôtant le rêve des automobiles aux gens, on a cassé un système. C’est comme casser le jouet d’un enfant.

Tout le monde aime les Jeep’s, les Mustang’s,  les Pick-up’s et les  Hot-Rods aux USA et dans tous les pays, même “ennemis”… Mais ABSOLUMENT tout le monde aime et rêve d’une Corvette, jusqu’à en transformer jusqu’à la quintescence… Qui aime et rêve d’une Citroën Ami ? En rendant les rêves inaccessibles, on les tue… Sans rêves, pas d’efforts… A quoi bon…  Reste la personnalisation, pour se donner l’illusion… Mais en appliquant des lois restrictives, on tue les rêves et on ne fait qu’amplifier une réalité de monotonies et d’obligations… Cela crée des frustrations, de l’accablement, du découragement…

Les années Rock’N’Roll, c’est le fond de commerce américain… C’est là que les Hot-Rod’s ont tiré leur force. Mais la Corvette, n’importe laquelle, restait la reine comme étant “la voiture de sport américaine”…. Revenons 71 ans en arrière, en janvier 1953 à l’hôtel Waldorf Astoria de New York, personne n’aurait prédit ce moment. L’intérêt était fort pour la nouvelle voiture de sport à carrosserie en fibre de verre de GM, certes, mais avec un six cylindres en ligne “Blue Flame” de 150cv sous le capot et une boîte automatique Powerglide à deux vitesses, ce n’était pas l’héroïne automobile conquérante d’aujourd’hui.

Chevrolet n’en a construit que 300, et elles avaient du mal à trouver preneurs, on ne pouvait les acheter qu’en blanc avec intérieur rouge, ce qui n’aidait pas leur cause. La capote archaïque et les fenêtres à rideaux n’étaient pas des plus séduisantes au moment de conclure une vente. Cependant, cela a suffi pour attirer l’attention d’un ingénieur du nom de Zora Arkus-Duntov. Malgré son titre honorifique de “père de la Corvette”, General Motors n’a embauché Arkus-Duntov que cinq mois après qu’il a vu la voiture au salon Motorama dans le grand salon du Waldorf Astoria.

C’est le légendaire designer GM, Harley Earl, qui avait eu l’idée originale, son lieutenant Robert McLean l’avait stylisée, et c’est le patron de la R&D de Chevy, Maurice Olley, qui l’a conçue. En quelques années, Olley et Arkus-Duntov avaient réorienté la voiture en l’équipant d’un V-8 Chevy et d’une transmission manuelle, et c’était parti. Au-delà des voitures elles-mêmes, des associations fortuites avec la célébrité ont cimenté sa place dans la culture pop américaine, tout d’abord comme la voiture des personnages principaux de la populaire émission de télévision Route 66, sponsorisée par Chevrolet…

A la fin des années 60, la Corvette était la voiture des astronautes d’Apollo. Le chef ingénieur de Chevy, Ed Cole, a personnellement offert une Corvette’62 à l’astronaute Alan Shepard après son retour de l’espace, et bien sûr tous les autres astronautes de Mercury et plus tard d’Apollo en voulaient une aussi. Le concessionnaire de Floride et ancien vainqueur des 500 miles d’Indianapolis, Jim Rathmann, a proposé aux héros nationaux de nouvelles Corvettes pour 1 dollar chaque année jusqu’à la fin du programme Apollo. Beaucoup d’entre eux ont fait personnaliser la peinture de leurs voitures.

Aujourd’hui vous pouvez en voir plusieurs au National Corvette Museum à Bowling Green, Kentucky. La Corvette est partout où vous regardez dans l’histoire de la culture pop américaine au cours des 71 dernières années. Elle a été mise en vedette dans des chansons d’artistes allant des Beach Boys à George Jones à Sir Mix-a-Lot, et le plus célèbre, le tube de Prince de 1983 “Little Red Corvette”. Sur le petit écran, c’était la voiture préférée de Sam Malone dans Cheers. Sur grand écran, elle a été présente partout, de Terms of Endearment à la série Transformers à Corvette Summer.

Barbie a conduit un modèle de première génération modifié dans son dernier blockbuster (une conversion électrique avec des indices de style mélangés de ’56 et ’57), et elle en a eu 26 depuis qu’elle a pris la sienne en 1976. Ken et l’amie de Barbie, Shani, en ont chacun eu une aussi. Sur la piste, la Corvette a été la voiture de tête des 500 miles d’Indianapolis, 21 records, et l’équipe de course Corvette Racing soutenue par l’usine a été absolument dominante chez elle et à l’étranger. Formée en 1999, elle a remporté les 24 Heures du Mans neuf fois, les Rolex 24 Heures de Daytona quatre fois….

Et aussi le championnat American Le Mans Series 10 fois, le championnat IMSA WeatherTech SportsCar cinq fois, et le championnat du monde d’endurance FIA une fois. Chevy a vendu plus de 1,8 million de Corvettes au cours des 71 dernières années, huit générations et deux configurations de moteurs avec des transmissions automatiques, manuelles et à double embrayage offrant de deux à huit rapports. Sous le capot des différentes voitures de production et concepts, il y a eu des six cylindres en ligne à arbre à cames en tête, des V-8 à arbre à cames en tête et à double arbre à cames en tête, des compresseurs…

Egalement des turbocompresseurs, un système hybride et même des moteurs rotatifs. Elles ont été présentées dans d’innombrables films, émissions de télévision, chansons et couvertures de magazines, et elles ont été possédées par plus de célébrités que je ne peux en énumérer. Elles ont été  championnes de course battant le monde entier, tout en étant le véhicule préféré des Bling-bling’s avec montres, dents, colliers-chaînes en or… Plus que tout, cependant, la Corvette est devenue la voiture de sport de l’Amérique, c’est l’icône automobile numéro 1 des 71 dernières années.

Beaucoup de choses se produisent dans la tête des 10/15 ans influencant ce qui se passera plus tard dans leur vie. Entre ses études de géographie, de mathématiques et de sciences, George Abittan, 12 ans, étudiait également l’anatomie de la Chevrolet Corvette’67 de son frère aîné Simon. Le jeune George était fasciné par les lignes épurées de cette Corvette. Tous deux rêvaient de la Corvette C2 rouge de Fast & Furious avec le personnage de Michelle Rodriguez, Letty Ortiz, au volant. La voiture était équipée d’un V8 Big Bloc avec de gros pneus tout autour, ce qui a ramené George à la ’67 de son frère.

George en a acheté une en bon état et l’a apportée à Dustin Hacker et à l’équipage de Nostalgia Hot Rods (NHR) à proximité d’Henderson, dans le Nevada, pour une cure de jouvence complète. George, lui et Dustin partagent une vision similaire en matière de construction automobile : “La plupart de mes voitures ont un trait commun : elles doivent être larges et basses. Dustin a le même goût, donc la première idée était de transformer cette Corvette en une bête. Tout au long du processus de construction, j’avais une idée et Hacker la mettait totalement en pratique et la réalisait exactement comme imaginé.

L’équipe de NHR a survitaminé la Corvette en prenant soin de franchir toutes les limites et de tout “trop cuire”, à la perfection avant d’arroser la carrosserie d’une couche décadente de noir RM.  Les touches personnalisées incluent une prise d’air de capot Stinger, des pare-chocs d’usine modifiés et des rétros extérieurs Ringbrothers. Un big bloc Bowtie 427ci surmonté d’un système d’injection FiTech GO Stark permettant 1.000cv… totalement badass ! Le châssis d’origine a été remplacé par un Art Morrison GT Sport, qui offre une rigidité de châssis accrue, un réglage accru et un choix de deux hauteurs de caisse..

Ce châssis est également équipé du Multilink IRS d’AME avec des amortisseurs à ressorts à double réglage Strange Engineering, offrant des performances de maniabilité supérieures. George préfère une expérience de changement de vitesse manuelle, donc une transmission à six vitesses TREMEC T-56 s’associe à un embrayage à double disque McLeod SFT et à un support Strange à 12 boulons armé de 3,90 vitesses. Les jantes Forgeline MS3C Concaves personnalisées (19 × 12 AV 19 × 13 AR) sont chausséees de Pirelli 325/30R19 AV, 355/30R19 AR. Le tableau de bord Dashworks est en fibre de carbone NHR.

Suspension AV : AME IFS, bras de commande supérieurs et inférieurs tubulaires, amortisseurs Strange à double réglage, ressorts Hyperco… Suspension AR : AME IRS, amortisseurs Strange à double réglage, ressorts Hyperco…  Freins : rotors Wilwood 14 pouces, étriers six pistons AV/AR, maître-cylindre et valve proportionnelle Wilwood… Les compteurs sont des Dakota Digital RTX… D’autres caractéristiques modernes incluent un volant Billet Specialties, une colonne de direction ididit, des pédales Lokar et une poignée de levier de vitesse Ringbrothers. Un système CVC Vintage Air contrôle la climatisation.

Sellerie intérieure : moquette bouclée noire, panneaux de porte et console centrale en fibre de carbone personnalisés réalisé par Nostalgia Hot Rods (Henderson, NV). Sièges : stock modifié enveloppé de cuir avec inserts en daim avec logo Stingray. Entertainment System : unité principale Rockford Fosgate, amplificateur, 5×6 Haut-parleurs de 2 pouces (quatre), caisson de basses. Cout de fabrication total : 800.000$. Estimation de revente du propriétaire : George Abittan, Henderson, Nevada, plus d’un million de US$…  Appréciation personnelle : Sidération ayant abouti à la réalisation de cet article…

Si à cette lecture, vous n’avez même pas pu crier parce que les mots étaient comme coincés dans votre gorge. Si actuellement vous ne pouvez pas bouger non plus,si vous êtes tétanisé, sachez que vous êtes victime d’une agression textuelle, d’un viol de vos convictions et croyance… Stop… Restez immobile et muet, ne vous débattez pas de toutes vos forces, vous êtes victime d’un psychotraumatisme, c’est la résultante d’un ensemble de réactions neurobiologiques face à une situation anormale, celle des valeurs indiquées. Face à cette agression, votre cerveau vous prépare à survivre en produisant lui-même du stress…

Vous êtes comme un animal qui se retrouverait soudain face à un prédateur. Cet état de stress vous prépare à réagir physiquement : en général, à se défendre ou à fuir. Votre cerveau évalue automatiquement la situation. Mais s’il est saturé de stress, il décide lui-même que vos meilleures chances de survies sont de ne pas bouger du tout. Dans ce cas, votre cerveau prend les mesures qui s’imposent, et au lieu de vous doper à l’adrénaline, il va produire de quoi vous anesthésier. Vous allez entrer en état de sidération. La surcharge émotionnelle crée la même réaction qu’un fusible qui saute.

Lorsqu’un fusible saute, c’est pour éviter la destruction du circuit, et le circuit se coupe. Votre cerveau relâche actuellement ce qu’on appelle des neurotransmetteurs, qui vont avoir l’effet inverse de l’adrénaline. Le but est de ralentir brutalement et intensément tout votre organisme.  Vous allez être “shooté” par votre propre organisme : vous ne ressentirez plus rien, vous allez vivre une anesthésie physique et psychique, comme si votre corps et votre cerveau étaient provisoirement éteints.  Un état de dissociation va maintenant vous donner l’impression de contempler la scène de l’extérieur…

Restez calme… Les secours ont été prévenus… Ils sont en route… Votre cerveau ne peut plus traiter les informations comme il le fait habituellement, et notamment faire son travail de gestion de la mémoire. Le risque est que le montant présumé de cette Corvette soit stocké dans une partie de votre cerveau qui n’est pas accessible en permanence consciemment, à l’inverse des souvenirs de tous les jours. La scène peut revenir de manière soudaine, comme des flashs. Ces flashs peuvent être provoqués par une odeur, un bruit, un lieu. Ne pensez pas m’attaquer en justice, l’état de sidération n’y est pas encore connu…

Ni dans le milieu juridique (avocats, magistrats, juges) ni du côté des victimes ! C’est pourquoi je ressens un fort sentiment de culpabilité. Les internautes, victimes, ont plus tendance que les autres à adopter des conduites à risque, se mettant en danger de diverses manières, on suppose que puisque qu’elles n’ont pas manifesté une opposition importante, c’est qu’elles voulaient bien lire…L’agresseur devrait donc seulement être condamné pour agression textuelle, ce qui n’est pas interdit dans la loi…