Charger SRT Hellcat eXoMod C68 Carbon
Rick Katzeff est sorti ravagé de la lecture de mon article sur la Stellantis Dodge électrique 2025 et m’a direct envoyé un message qu’il me considérait IRREDUCTIBLE et révolté, politiquement incorrect, comme lui, d’où sa considération indéfectible (textuellement et sexuellement au garde-à-vous) et m’a présenté sa démarche (chaloupée) pour esquiver les problèmes dérivant entre deux os, consistant à tenter de commercialiser une vraie authentiquement fausse Dodge Charger d’aujourd’hui dénommée SRT Hellcat eXoMod C68 Carbon, fonctionnant exclusivement à l’essence et aux sens…
Cela m’a causé un choc positif de savoir que je n’étais pas le seul à m’insurger ! La monstresse de Rick Katzeff développe 800 chevaux et s’affiche dans un style intemporel comportant toutes les commodités du 21e siècle que les propriétaires américains patriotes tenaient pour acquises avant de se de sentir trompés, floués, ravagés par l’imposition commerciale d’une Stellantis/Dodge électrique au look désuet… Mieux encore que Donald Trump Président à peine élu début 2025, annule par décret (je souligne dans les minutes suivantes d’avoir prêté serment), toutes les traitrises de Joe-Bidden-le-tricheur…
J’ai direct agi providentiellement comme Trump l’avait fait présidentiellement… et demandé d’en recevoir une à Saint-Tropez munie d’une immatriculation américaine en ordre avec un sauf-conduit en tant qu’ambassadeur de Rick Karzeff… Le lendemain matin, c’était fait… J’avais même déjà pu conduire la monstresse en suivant les directives reçues en urgence, indiquant la méthode à suivre par implant carboné via nos ordinateurs respectifs impliquant de me fourrer la fiche de la fibre optique dans le cul… De ce fait apparemment simple mais osé, j’ai pu voir cette merveille au plus près de mon moi profond…
J’ai ainsi été durablement enflammé mais également impressionné d’ainsi pouvoir conduire l’eXoMod C68 Carbon sur les routes de mon imaginaire ou circulait cette automobile, pour bien comprendre ce que Katzeff avait créé le plus exactement possible… C’est la même méthode qu’utilisent les membres érectiles venant dans les SecretsInterdits.com… La vue des vidéos et des photos “gonflant” leur imaginaire comme leur pénis, amenant à une éjaculation d’autant plus violente que le sont les scènes BDSM. C’est magique et plus de 200.000 abonnés peuvent témoigner que tout ça pour un euro c’est cadeau.
Par contre, aucune somme d’argent, de main-d’œuvre ou de pièces modernes ne peut faire rouler une vieille voiture comme une neuve. Rick Katzeff l’a appris à ses dépens après avoir investi quelque 3.000 heures de travail dans un Restomod issu d’une Dodge Charger de 1969. Rick Katzeff n’est pas plus novice que moi non plus. Il a reçu des éloges pour son travail de restauration de plus de 25 classiques Mopar en faisant transpirer des détails comme les marques de peinture d’usine sur les fixations. Pourtant, même avec son expérience cela ne lui spermet pas de concurrencer mes résultats…
Et cela même avec les meilleures pièces que ses centaines de millions de dollars pouvaient acheter. Sa Charger 1969 s’est ainsi transformée en une Dodge de 550.000 $ qui ne pouvait égaler le confort et le plaisir d’une Dodge Charger SRT Hellcat originale de 75.000 $. Il lui a donc fallu être créatif. Avant d’en venir à la partie conduite, que j’ai maintenant stockée au plus profond de mon moi, je dois vous causer préalablement de la conception de la C68 Carbon, car c’est ainsi que toutes les conversations sur cette voiture doivent commencer. Il serait trop facile d’imaginer tenter d’utiliser d’autres voies et moyens.
Par exemple, transformer une nouvelle Challenger en une Charger classique en ajoutant quelques modifications, tels des phares escamotables, des revêtements de porte festonnés et des feux arrière ronds au thème du design rétro de Dodge. Mais Rick Katzeff n’est pas le genre de personne à prendre le chemin rapide et facile. En commençant par la reproduction des panneaux de carrosserie, il a modifié les emboutissages en acier pour qu’ils s’adaptent à une Charger nouvelle, et les a utilisés pour créer des moules pour une carrosserie complète de 1968 réalisée en fibre de carbone de 2025.
Pour construire sa C68 carbonée façon eXoMod il a fait enlever les panneaux d’acier de la vraie Charger, meulant les soudures par points pour tirer le toit, puis a fait boulonner et coller les remplacements en fibre de carbone à l’aide de 16 tubes d’adhésif de qualité aérospatiale… La carrosserie totalement modifiée a toutefois nécessité une nouvelle lunette arrière et des nouveaux panneaux de custode arrière. Et pour dépasser et non imiter le modèle 68, le réservoir de carburant a été déplacé de côté vers le haut dans l’aile arrière coté du conducteur. Un œil averti ne se laissera toutefois pas berner.
Katzeff ne peut toutefois pas cacher les épais montants A de la Charger moderne, son pare-brise incliné ou l’absence de vitre de custode avant, mais sa conversion (et sa conversation) est suffisamment convaincante pour tromper la plupart des badauds ayant de quoi s’en payer une. Surtout que la C68 Carbon a les bonnes proportions, aidée par le fait que l’empattement de la Charger 2025 n’est que d’un pouce plus court que celui de la Charger 1968. La carrosserie en fibre de carbone allongeant le nez de la Challenger de 6po et la queue de 4po pour correspondre à la longueur de la bête originale.
De plus, l’habile travail de conception masque le fait que la C68 est trois pouces plus haute et près de quatre pouces plus large. La qualité de la construction m’a donc et toutefois impressionné, d’autant plus que la fibre de carbone ne permet pas de régler chaque installation comme le ferait l’acier. On peut dire sans risque de se tromper que les Charger’s ne sont pas sorties de l’usine en aussi bon état en 1968… Katzeff laisse le style vendre sa voiture. Les seules autres modifications notables sont un ensemble de jantes Forgeline et de cuir Katzkin installés sur les sièges et sur les panneaux de porte.
La voiture est par ailleurs intacte depuis qu’elle a quitté l’usine. Cela signifie qu’elle est dotée de commodités modernes et qu’elle peut être entretenue chez n’importe quel concessionnaire Dodge.. Pour la France l’absence de cons-cessionnaires réparateurs oblige au systèle “D” tel le coup de la fibre optique dans le cul qui devrait pouvoir se généraliser. Cela signifie également que cet exemplaire de 349.000 $ restera une rareté… J’ai allumé le V8 de 6,2 litres et appuyé sur l’accélérateur (qui était la queue de mon Cocker Blacky), et la C68 a libéré une combinaison indubitable d’aboiements de mon chien-Cocker meurtri…
C’était semblable au cri déchirant d’un compresseur hurlant et d’échappements en plein essor traversanr les frontières de toutes limitations d’ordre public. La conduite de ce retour dans le subspace est la “hootenanny” habituelle de toute Hellcat, avec le pied droit tapant alternativement du frein à l’accélérateur pour exploiter les 800 chevaux et 707lb-pi de couple que les pneus spermettent avant de fondre ou d’exploser. Les pneus Nitto NT555 G2 à l’arrière sont des 315/35R20, soit 10 millimètres de plus que les 305 d’origine de la Redeye, mais ils ne sont toujours pas suffisants pour contenir la bête impie de Dodge.
Comme pour les Hellcat d’origine, il faut lancer la C68 en deuxième vitesse en utilisant environ 30 % de l’accélérateur et la retenue d’une nonne… Tout ce qui est plus agressif que cela transforme votre lancement en un burnout digne d’un film d’horreur, c’est toutefois un spectacle de fumée impressionnant. Ma meilleure course rêvée avec l’eXoMod C68 Carbon a donné un sprint de 4,0 secondes à 60 mph et un quart de mile de 11,9 secondes, correspondent à ceux d’une Charger SRT Hellcat Redeye qui m’avait possédé en 2019, bien que nous n’avons pas vécu la naissance d’une voiture à pédales…
Ben oui… pour fêter les tendances Présidentielles… Le hasard et Jésus Fisc m’ont octroyés un redressement “Flicscal” en seulement 3,8 secondes. Dans un test de comparaison j’ai toutefois pédalé dans une Charger R/T 440ci de 1968 revendiquant 375cv, le 60 mph en 6,5 secondes et le quart de mile en 14,9 secondes à 94 mph… J’avais préalablement testé une Hemi de 425cv, pouvant affirmer avec confiance à mon réveil qu’aucune Charger de 1968 ne pouvait à l’époque se déplacer comme la C68 aujourd’hui si ce n’est en forçant la temporalité. Tapotez ce terme sur Google pour pallier à vos faibles connaissances.
Il est également difficile d’imaginer un Restomod améliorer ce que l’énorme budget de développement de Dodge permettait alors… Que soit et fi donc… La C68 n’est pas seulement une meilleure voiture basée uniquement sur la puissance, bien sûr, sa transmission automatique à huit rapports et ses pneus modernes, ainsi que toute la finesse d’ingénierie qui lie la voiture en un tout cohérent, rendent la C68 Carbon à la fois plus sauvage et plus civilisée que son inspiration le laisse penser… Freud n’aurait pu réaliser meilleure analyse ! Les Hellcat ne sont toutefois pas respectées et c’est dramatique.
En effet, leur maniabilité est conforme aux normes élevées établies par la Chevrolet Camaro ZL1 et la Ford Mustang Shelby GT500, mais le cadre de référence change lorsque la voiture semble être sortie du plateau de Bullitt. Dans cette comparaison de 1967, je me suisse demandé jusqu’où je pouvais aller d’autre, tenant compte qu’il m’a fallu un demi-siècle pour en arriver là… Mais la réponse à cette question va brouiller les cerveaux, car, selon les normes des Muscle-car’s des années 1960, la C68 pourrait aussi bien être un rêve auto-facile à auto-placer dans mes fondements…
Et de plus prévisible dans la façon dont je prend les virages, même si à bientôt 76 ans je ne tourne plus très exactement net et immédiat. En 1967 j’avais de meilleures et plus dures et performantes érections tout en ayant ma tête non entre les jambettes des belles, mais dans la prémonition d’une révolution… Malheur, je n’ai pas choisi la bonne qui n’aurait pas demandé mieux que ma voisine… Toutes ces années plus tard, le gros coupé Dodge accorde toujours une grande priorité au confort, cédant la bataille pour les vantardises de la meilleure maniabilité à Chevrolet et Ford. Cela donne à la C68 une connexion…
Ouiiiiii elle est de surcroit spirituelle avec la Charger qu’elle imite. Même si la C68 affiche une adhérence décente de 0,89 g dans les virages, la carrosserie se prélasse dans les virages avec une inclinaison amusante. En raison d’un problème d’approvisionnement les Hellcat quittent l’usine avec des pneus avant et arrière de même taille dans une médiocre tentative de minimiser les couts ET le sous-virage dans ces voitures à l’avant lourd. Mais l’eXoMod utilise des caoutchoucs avant étroit pour l’esthétique et le dégagement. Dynamiquement, c’est un compromis pour vaincre le sous-virage d’un coup d’accélérateur.
Mais les longs arcs de parcours exigent de la patience, une vertu rare. Bien sûr, peu de gens vont acheter une Muscle-car de 349.000 $ avec l’intention de s’attaquer à la queue du dragon à la limite absolue. L’objectif de cette C68 Carbon est d’offrir l’expérience que les acheteurs recherchent dans un Restomod. Cela signifie avoir suffisamment de puissance pour surpasser tout ce que vous pourriez rencontrer à un feu rouge, mais avec une fiabilité et un confort éprouvés à l’appui. Une Charger/Challenger eXoMod signifie ne jamais avoir à faire face à un carburateur capricieux ou un distributeur défectueux.
Cela signifie que la climatisation souffle froid et que les sièges chauffants vous grillent les fesses. C’est le confort assuré et la tranquillité d’esprit de savoir que vous rentrerez chez vous sans l’aide d’une dépanneuse (également sexuelle). Ce prix de départ de 349.000 $ couvre le coût d’une Hellcat de 717cv pour servir de base, tandis que la mise à niveau vers la Redeye de 800 chevaux fait grimper le prix de 20.000 $. Certains faux culs vont imaginer que la plupart des acheteurs de Hellcat deviennent des acheteurs de Lamborghini lorsqu’ils ont cette somme d’argent disponible.
Rick Katzeff a découvert, cependant, que ses clients ne sont pas seulement les amateurs habituels de muscle cars de Detroit. La Hellcat habillée comme une américar classique attire les collectionneurs qui possèdent également des voitures de sport européennes et des supercars modernes. Pour les acheteurs qui ne sont pas imprégnés d’histoire et de la nostalgie de Détroit, une C68 Carbon offre l’ambiance sans la dynamique de conduite à l’ancienne. Voilà, je suis heureux que l’introcuction analytique est terminée, je vais pouvoir m’éclipser et me déconnecter de toutes ces conneries…