CHEVY HELL AIR TRI FIVE FUELIE 1957 1300cv
Dans l’univers de “l’illusionnement du public” concernant les modes de produits consuméristes présentés comme des besoins indispensables, figurent les automobiles, chaque marque étant repositionnée par des Pontifes auto-proclamés surpayés d’en dire et écrire des louanges savamment calculées, qui ne sont que des évolutions adaptées aux classes sociales visées par les sempiternelles Fake-News. C’est même devenu une habitude pour les marques de grand luxe, vêtements, parfums, montres et automobiles. C’est une technique poussée au paroxysme avec l’appui et les conseils d’agences de pubs et d’évènements, par les incontournables influenceurs et influenceuses qui sévissent dans les réseaux asociaux pour promouvoir des produits “tendances” ce qui leur “spermet” d’obtenir des “retours d’ascenseurs” par millions d’euros/dollars/yens. Ces mondes des “Tendances” ne visant qu’à “faire de l’argent” ne prônent que les marques les plus chères (celles se situant à des niveaux “exorbitants”) capables d’assurer de très larges retours financiers.
Un de mes voisins Saint-Tropezien prénommé Bernard (je vis entre lui et Brigitte) situé dans le TOP des plus importantes fortunes de notre planète Terre, fait ses supers-profits de ce système en payant officiellement (pour déductions en frais généreux de déclarations d’impôts complexes car morcelées par entités fiscales en divers pays) des Mannequins-Stars-Starlettes-Chanteurs-Chanteuses, Footbalers, boxeurs, catcheurs, coureurs, mettant en lumières vélos/motos/autos/bateaux/avions avec des promo’s et pub’s sexy’s en diable. C’est du business consumériste. Cela s’est infiltré partout où il y a beaucoup d’argent en jeu et est utilisé avec plus où moins de “finauderies” pour les faux vaccins, les élections, les guerres, etc.. C’est à en avoir le tournis… Tout étant ainsi faussé et manipulé, c’est presque considéré comme “normal”, par habitude et “laisser-faire”... Le très chic et classe a donc ses codes et ses monuments scripteurs/scripteuses avec les TOP’s du cinéma, des Palaces, des automobiles hors de prix, et des vedettes y consacrées toujours d’un chic époustouflant…
Pour rester dans le domaine automobile, priorité de ce web-site, je souligne que la presse avant de se tourner vers le numérique était “papier” et que les articles laudatifs permettant les publicités étaient l’apanage de diverses prétendues grandes plumes et en réalité grandes gueules avérées, caviardées en exemple par la famille Bellâtre père et fils, plumitifs d’éditions ruineuses, symboles “absolutoires” de livres/bibles de luxe, y partouzant dans les catégories du Top-Asocial en y pratiquant l’art du dédain hautain et de la superficialité. Agissant tels des apôtres auto-proclamés ils ont contribué avec d’autres plumes, à la sanctifications de “Bibles” descriptrices d’objets-d’art automobiles n’ayant références et révérences qu’en celles des firmes pouvant leur concéder quelques miettes de leurs gâteaux indigestes de suffisances, Ferrailleries et Porscheries en tête qualifiées d’emblématiques immortelles, usant de descriptions minutieuses telles que des tranches de tomates fourrées à l’intérieur d’un sandwich éjecté par un distributeur…
Mais, effets du temps, usant et abusant de tropismes, d’infimes, presque imperceptibles mouvements de conscience analysés et disséqués inlassablement, par érection/réaction, la Saga filmique des Mad Max’s est arrivée et s’y est greffée diverses stars jusqu’à l’Opus Furiosa employant l’égérie de Chanel sortant quasi nue d’un bain d’or liquide. Une féconde révélation pour changer de point de vue sur les œuvres automobiles aux fins d’y découvrir et en approfondir d’autres aspects. Est ainsi arrivé mondialement le Hot Rodding poussé par le Rat Rodding et les Choppers, des monstres mécaniques dopés par des compresseurs, tous pilotés par des mutants dénommés Chromes s’explosant pour aller au Valhala… C’était le signe que la mode et les produits hors de prix s’infiltraient dans l’univers Chromes&Flammes… De là à en avoir quelques piécettes, c’était vain espoir, chacun ne fonctionnant que pour ses intérêts, d’où mon éclair de génie calqué sur Médiapart de donner accès aux contenus numériques pour un euro/dollar le premier mois et 5 les mois suivants…
Ne fut-ce que d’en avoir entre 100.000 et 300.000 (d’autant que c’est mondial avec traduction automatique IA) et c’est l’autonomie sans plus avoir recours aux mendidités de la publicité qui sont de plus en plus obtenues si le contenu vante les produits des annonces publicitaires… Du coup, la presse papier décline à vue d’œil et les milliardaires qui ont racheté la presse-papier poussent les faiseurs/faiseuses d’opinions orientées…. Ahhhhhhhhhhhh ! Quel jouissif bordel… L’analyse minutieuse et inlassable des sentiments, états d’âmes, impressions, désirs, regrets, colères, aussi éphémères et imperceptibles soient-ils/elles, et tout se résume entièrement en diverses successions de réactions psychologiques élémentaires peu exprimables. Et les objets (bagnoles) ont beau être nombreux, il semble que leur statut soit accessoire, secondaire là-aussi, par rapport aux états psychologiques des personnages qui les fabriquent. Et que leur fonction soit uniquement celle d’auxiliaires complexes et polysémiques mis en abyme…
On y cause en écritures de rivalités, de jalousies, de complexes, de conflits, de portes, de capots, de jantes, de pneus, de moteurs, de boites de vitesses, de suspensions, de châssis, de de sièges, de bancs et parfois de poignées, mais rien, ou pas grand-chose, ne semble faire référence à l’œuvre, au travail d’écriture incluant des mises en abyme inversées. Autrement dit d’images, et non de l’œuvre dont elles font partie. En fait j’écris non plus des articles, mais des romans de la complexité où, pour être plus précis, des romans de la révélation de la complexité, en apparence simples, univoques, immédiatement lisibles… Et j’accomplis un travail de dissection, d’analyse au sens étymologique du terme : je décompose et montre que ce qui affleure en surface n’est qu’une apparence… Tout cela reflète les innombrables remous, méandres et marécages de ce qui se passe, de façon souterraine. Le travail de l’écriture est ainsi un travail de mise en évidence de la folie inhérente à n’importe quelle situation. Comme pour mieux faire ressortir, par contraste, l’entreprise de complexification… J’avoue m’y complaire et quasi en jouir… Le nombre d’abonné(e)s y étant pour part non négligeable.
Mes lecteurs internautes semblant en permanence se livrer à l’entreprise exactement inverse, tentent de réduire la complexité de leur intériorité ou de celle d’autrui en l’équivalant à ce qui n’est qu’un objet en énumération, en rythme ternaire, avec une gradation syllabique, parfois avec l’énumération des gens et sociétés américaines qui ont collaboré à la création d’un Hot Rod mis en vedette qui parfois incarne l’inauthenticité et la fausseté… La vraie valeur symbolique d’un objet rassurant et homogène d’un objet fonctionnant comme indice d’une incertitude et d’un vacillement. Tout cela apparaît avec plus d’évidence encore avec la métaphore de la “belle construction”, qui appartient à un temps bien révolu, celui du plus-que-parfait, au temps de la simplification rassurante, et qui s’oppose à ces morceaux de matières qualifiés d’art, situés dans un monde à part, irréductible au monde quotidien dans lequel nous sommes immergés, un monde qui se situe sur un plan totalement différent de l’univers que nous connaissons…
C’est une idolâtrie en confusion entre deux univers qui devraient rester absolument distincts, puisqu’à l’épreuve de la réalité, ces Hot Rod’s perdront toute leur magie, toute leur aura… Transposer ces objets d’un domaine à l’autre, du domaine de l’art à celui de la réalité, sans voir que leur intérêt vient justement du cadre dans lequel ils évoluent est folie… Ce ne sont pas des œuvres d’art, car ces objets ont été déracinés, transplantés, arrachés à leur milieu d’origine… Cela afin d’être greffés ailleurs, sans que ne soit tenu aucun compte du milieu auquel ils appartiennent essentiellement, celui du baroque flamboyant qui enthousiasme et soulève, quand la soif de conquêtes porte…. Waouwwwww ! Il y a ici, dans ces entassements de choses étranges, l’équivalent d’un butin fabuleux amassé par des pirates… J’adore cette désinvolture… J’adore également cette Chevy 150 “Fuelie” Tri-Five de 1957 surnommée “Hell-Air” qui dispose de 1.300 chevaux que vous aimeriez posséder. C’est une illusion…
Cette Chevrolet Hell Air de 1957 n’a brûlé que son logiciel IA jusqu’à ce qu’elle soit croustillante… et moi de la publier, il y a ici plus de 250.000 internautes (1 euro le premier mois et 5 euros les mois suivants avec possibilité de se désabonner, mais personne ne le fait) de par le monde qui pensent pouvoir faire fonctionner cette Chevy Hell-Air… Les Chevrolet Tri-Five de 1955, 1956 et 1957 étaient assez révolutionnaires à leur apogée. Elles ont ainsi engendré un culte parmi les collectionneurs de voitures anciennes et les amateurs de StreetMachine. Naturellement, tout le monde a ses favoris et Timothy Adry Emmanuel, l’artiste virtuel derrière le compte adry53customs sur les réseaux asociaux, se contente de jouer la carte de la Street-Machine extrême avec la One-Fifty (alias Chevy 150), le modèle qui était surtout considéré comme l’entrée économique dans la gamme du constructeur Chevrolet à l’époque. Mais son interprétation virtuelle est certainement bien loin de l’époque orientée vers les affaires de la deuxième génération de One-Fifty…
Au crépuscule de sa carrière en 1957, elle était surtout remarquable pour les débuts du V8 à petit bloc 283ci de Chevrolet. Maintenant, Timothy Adry Emmanuel, maître des pixels a décidé d’un retour exceptionnel en frappant le monde de l’imagination automobile avec sa vision d’une Chevy 1957 Hell-Air, équipée de toutes les cloches et sifflets du Hot Rodding dans une version impossible. Notez la position allongée qui voit le gros-porteur ’57 One-Fifty tomber au sol à tel point que même les fourmis craindraient pour leur propre vie. Ensuite, vérifions d’abord l’arrière. C’est là que réside un ensemble de caoutchoucs plus larges que nature ainsi qu’un peu de stéroïdes NASCAR via le système d’échappement latéral Boom Tube. Ohhhhhhhhh ! Maintenant, vous pouvez boucler la boucle et rêver. Ai-je oublié quelque chose ? l’Habitacle ? Ahhhhhhhh !Plus que probablement pas puisque, malheureusement, il n’y a pas de vue intérieure à proprement parler…