Hot-Rod Durty-30 Filousophiquement vôtre !
Vous ne me croirez pas, mais ce Hot-Rod surnommé “Durty’30” motorisé d’un V8 Chevy Corvette et coiffé d’un Hard-Top en cuir d’autruche a été vendu chez Barrett-Jackson pour 218.900 dollars… Créé par deux Canadiens, un père et son fils, Graham et Joel Cannon, qui œuvrent ensemble dans leur garage dédié aux réparations de bagnoles. Initialement, après avoir découvert à la décharge une Ford Modèle A plus pourrie que rouillée, ils prévoyaient d’en refaire un Rat-Rod, mais dans le processus de création, ils ont viré vers le concept-car futuriste puis en sont revenus à réaliser un Hot-Rod radicalement repensé “à la canadienne”, le pays des loups, des Ours et des Caribous !.
La carrosserie a été allongée de 200 millimètres et allongée de 150 autres, le capot a été récupéré d’une Chevrolet des années ’40, le pare-brise d’un pick-up Ford de la fin des années ’30 et la calandre d’une Hudson Vintage des années ’30. Ses portes étroites s’ouvrent contre la direction du mouvement (suicide doors) prévoyant d’avance que la peinture comprendrait quelques écailles de truites dans une nuance d’or et de cuivre… En plus d’une suspension pneumatique spécialement conçue, leur œuvre d’art pré-surnommée Durty 30 est propulsée par le moteur V8 LS2 6L0 litres extrait d’une Chevrolet Corvette rescapée d’une série de tonneaux dans la neige.
Un nouveau compresseur mécanique Vortec avait été pré-acheté de même qu’une transmission automatique à six vitesses, ainsi qu’une paire de jantes Kompression en 24 pouces avec des pneus 405/25R24 pour l’arrière et une autre paire en 21 pouces avec des pneus 235/30R21 pour l’avant. Plusieurs épaves d’automobiles américaines ont été utilisées : Ford, Chevrolet et Hudson Terraplane pour la carrosserie et le châssis, tandis que pour “la toiture” de l’édifice a été sélectionné un hard-Top recouvert de cuir d’autruche ! La peinture dévolue étant un noir Glasurit mélangé avec des flocons de cuivre or et Orange Candy, le tout surmonté de huit couches de vernis.
L’intérieur entièrement personnalisé est décoré avec des matériaux authentiques tels que le cuivre, l’aluminium, le bois et du daim. Le tunnel central a été récupéré d’une Cadillac CTS-V 2011, lequel héberge non seulement le levier de la boîte de vitesses et un bouton de démarrage du moteur, mais aussi un iPad qui joue (en double-sens) le rôle de système multimédia. Ce Hot-Rod unique a reçu plusieurs prix lors d’expositions dont le fameux Sema Show dont je cause en fin d’article (assez long, sans doute trop avec une échappée lyrique philosophique, mais je suis incapable de faire du Nitro avec des textes provenant d’algorithmes et logiciels robots… L’image de ce Hot-Rod (en Viméo ci-après) est également utilisée dans un des plus populaires jeux vidéo de voitures.
Je vous causais du style d’écriture de Nitro qui est pareillement pareil que d’autres magazines et j’ai voulu mieux en connaître. J’étais plus que dubitatif par avance du résultat du test de capacité d’écriture que j’ai fait réaliser dans une agence de journaleux-robots et le résultat obtenu ne m’a pas réconcilié avec la bêtise humaine qui prolifère au dedans des logiciels qui prétendent assister les journaleux et pigistes cherchant l’inspiration qui leur fait défaut.
Déjà noyé sous ce qu’on nomme “Les Fake-News”, débitées en tranches de gras sur LCI et BFMTV ainsi que dans Libé, Quora et autres fumisteries, mon incursion chez “Pro-Réd-action-Tool” m’a abasourdi !
Malgré les mises en garde, et précisions, le résultat offert (sic !) par leur machinerie d’algorithmes s’est avérée plus grotesque que pitoyable et leur système de crédits façon Bitcoins fantasmagoriques m’a rendu aussi perplexe que “la calculation” des points de permis. Je ne vais pas les agonir car la presse papier est moribonde et je pense qu’utiliser leur aide très (très couteuse) à l’écriture automatisée est plus un suicide payant assisté qu’une aide à ceux et celles qui se noient dans le puits sans fond de la médiocrité humaine intellectuelle. Ayant été architecte créateur de maisons et de meubles design, mais ayant surtout édité des magazines d’architecture et décoration ainsi que des magazines automobiles dans le monde entier, ce système “Robot” me semble décadent !
Retraité je vis paisiblement à Saint-Tropez où mon amusement consiste à continuer d’écrire dans www.GatsbyOnline.com pour ne pas devenir trop rapidement Ga-gâteux… Aussi ai-je été sot d’imaginer qu’il pouvait exister un logiciel capable d’écrire la trame d’un texte pouvant aider le vieux con de 73 printemps (moi) à réaliser quelques texticules bien couillus sur des sujets hasardeux au gré des tourbillons d’abominations qu’on nous fait devoir supporter.
Donc, je leur ai éccrit : “Oubliez-moi et offrez les “crédits” que vous me jetez comme à des pigeons, aux quelques besogneux en peine, vos clients”… J’ai conclu par une note d’humour en leur souhaitant d’avoir beaucoup d”éditeurs publiant des textes robotisés, cloturant par un : “Pourvou qu’ça doure !” …
C’était l’expression souvent employée par Maria Letizia Ramolino (avec l’accent corse) en évoquant chacune des victoires de son fils Napoléon Ier… Gag !
Ehhhhhhh oui ! Dans le monde de l’automobile, il y a beaucoup de termes ET appellations qui sont lancées à la tête des beaufs qui les répépépètent comme les grenouilles croasses (pas croates) dans les mares. Beaucoup d’entre-eux ne réalisent pas que la bêtise générale génère les pires abominations et que ces textes débiles robotisés et ces termes ont tendance à s’attarder dans l’air en polluant les cerveaux non-immunisés qui ont besoin d’être redéfinis comme les ordinateurs qui affichent l’écran bleu de la mort numérique.
L’un de ces termes souvent utilisés est Hot-Rod qui maintenant génère la confusion ? Ce qui est déroutant ! Dans la forme la plus simple, le terme Hot-Rod, est utilisé depuis fin 1949 comme référence à un véhicule d’avant 1950 qui a été modifié d’une manière ou d’une autre pour le rendre plus rapide dans les courses de rue et de lacs salés. Ronald Petersen s’en est emparé pour nommer son magazine qui ne concernait pas seulement les voitures, mais toutes les machines de courses de rues ou de lacs salés (asséchés). Pas que les Hot-Rods, car les Pick-Up’s et quelques VUS modifiés y ont également eut droit. Goodguys désireux de marquer son territoire comme les félins qui urinent aux limites du leur, pour la définition a estimé d’emblée que ce terme était “OK”.
Il était centré sur cette pensée (cette définition) : “Un Hot-Rod est un engin qui fait du bruit, est régulièrement conduit dans la rue pour concourir contre les autres, et a une attitude méchante et bruyante”.… Le terme (et la définition) sont nés d’une époque qui changeait du tout au tout juste après la Seconde Guerre mondiale, car, à la fin de la guerre les soldats rentraient chez eux et certains n’ayant pas les moyens d’acheter une voiture neuve, modifiaient leurs voitures d’avant-guerre. Bien que beaucoup de gens liaient alors et encore le terme HotRod aux voitures classiques, ce terme est encore utilisé aujourd’hui pour décrire les voitures qui l’ont été . Je vous accorde que ces discussions sont l’apanage des garçons-coiffeurs qui coupent les cheveux en quatre !
Il y a une signification secondaire au terme Hot-Rod lorsqu’il est utilisé par des gens qui se situent plus haut sur l’échelle sociale et qui définissaient à cette même époque aux USA, un véhicule volé… La signification ici vient des voleurs qui trouvent une voiture “trop chaude” pour être utilisée trop longtemps après l’avoir volée ! Pour un voleur d’autos, la bagnole et/où ses pièces, doivent être éliminées/vendues rapidement. Plus la voiture ou ses pièces restent longtemps dans leurs mains, plus le risque de se faire capturer/emprisonné est élevé. Maintenant que les Hot-Rods ne sont plus à 100% issus de vols, le terme Hot-Rod est normalisé dans un sens qui n’est plus péjoratif qu’aux yeux des vieux politiquement-corrects !
John Drummond, rédacteur en chef de Goodguys-Goodtimes-Gazette, avait été invité à clarifier sa compréhension du terme. Il a offert gracieusement (ce qui est rare aux USA) une explication confuse et biscornue qui ne fait qu’ajouter du sel dans la soupe populaire : “Le terme “Hot-Rod” en est venu dans les masses populaires à désigner toute mise à niveau de presque n’importe quelle bagnole comme l’a été le terme “Tuning” en Europe. Autre exemple, un musicien change les cordes de sa guitare du fil rond au fil plat, il peut dire à ses amis qu’il a hot-rodé sa guitare. Dans ce cas, l’acte se conjugue au temps d’un verbe”… Très Obscur mais éclairant pour les ceusses qui sont curieux de tout et n’importe quoi…
Le monde de l’automobile en Franchouille regorge de termes qui pourraient prêter à confusion pour les personnes qui ne connaissent pas le mode de vie automobile ou qui ont peut-être l’anglais comme langue seconde langue. Ainsi, certains termes ne sont pas aussi familiers à certains que d’autres. Le terme Hot-Rod en est l’exemple parfait. On peut facilement trouver une confusion dans le même terme utilisé comme nom et verbe. Mais j’en ai soudain ras-le-bol de tapoter là-dessus… Ca me rappelle les définitions du Custom à usage des clubs inventées par Jacky Morel et l’innénarable Fufu créateurs de la fumeuse Omlet’Baveuzzz… Ces deux compères ont ainsi coulé/détruit l’élan niais des Customizeurs Franchouilles, amorçant le guerre du Kustom et sa déglingue !
Je préfère philosopher pour remonter le niveau… Au détour d’un endroit de l’univers inondé des feux d’innombrables systèmes solaires, il y eut un jour une planète sur laquelle des animaux intelligents inventèrent “la connaissance”. Ce fut la minute la plus orgueilleuse et la plus mensongère de “l’histoire universelle”, mais ce ne fut et ne dura cependant qu’une minute. Après quelques soupirs de la nature, la planète se congela et les animaux intelligents n’eurent plus qu’à mourir. Telle est la fable qu’on pourrait inventer, sans parvenir à mettre suffisamment en lumière l’aspect lamentable, flou et fugitif, l’aspect vain et arbitraire de cette exception que constitue l’intellect humain au sein de la nature.
Des éternités ont passé d’où il était absent et s’il disparaît à nouveau, l’intellect humain, il ne se sera rien passé. Car il n’y a pas pour cet intellect humain de mission qui dépasserait le cadre d’une vie humaine. Il est au contraire bien humain et seul son possesseur et son créateur le traite avec autant de passion que s’il était l’axe autour duquel tournait le monde. Or, si nous pouvions comprendre la mouche, nous saurions qu’elle aussi nage à travers l’air avec ce pathos et ressent en soi le centre volant de ce monde. Il n’y a rien de si abject et de si minuscule dans la nature qu’une légère bouffée de cette force du connaître ne puisse aussitôt gonfler comme une outre…
Et de même que tout portefaix aspire à son admirateur, de même l’homme le plus fier, le philosophe, croit-il avoir de tous côtés les yeux de l’univers braqués comme des télescopes sur son action et sa pensée. Cet orgueil lié à la connaissance et à la perception, brouillard aveuglant le regard et les sens des hommes, les trompe sur la valeur de l’existence dans la mesure où il s’accompagne de l’appréciation la plus flatteuse sur la connaissance elle-même. Son effet le plus courant étant l’illusion. L’Homme a en effet une attitude profondément ambivalente à l’égard de la vérité : il la désire, mais ne la trouve pas ; il doute de son existence, mais ne renonce pas à la chercher. Comment expliquer cette attitude et qu’en est-il finalement de l’existence de la vérité ?
La vérité a-t-elle une réalité, ou bien est-elle un mirage que les hommes poursuivent illusoirement ? Dans cette dernière hypothèse, qu’est-ce qui pousse les hommes à croire de manière si tenace à l’existence de la vérité ? La vérité est une illusion, et sa recherche une farce grotesque qui atteint son sommet avec la philosophie à la manière grotesque de tous les Bernard’s Henry’s Lévy’s du monde (mais celui-là en particulier) ! Mais quelles en sont les très graves conséquences ? Sinon raconter un événement, tel que l’invention de la connaissance, en parallèle avec la création d’un Hot-Rod, que je m’amuse à tourner en dérision en le présentant sous un jour comique, voire carrément grotesque, mais sympathique !
D’abord un, cela se passe en un temps indéterminé (une fois) et dans un lieu incertain et sans gloire (un recoin éloigné de l’univers), lieu quelconque et relégué dans l’ombre, perdu au sein de l’immensité des innombrables. En outre cet événement a pour protagonistes des êtres mal identifiés dont on sait seulement qu’ils sont “des animaux intelligents”. Et leur seul titre de gloire qui soit rapporté, est l’invention de la connaissance sous forme d’un Hot-Rod, est ramené par ce terme d’invention à un acte arbitraire de pure fantaisie. C’est ensuite un événement dont je me plaîs à souligner la fugacité et, à travers cela, l’insignifiance : Il dure une simple minute en regard de l’histoire universelle, c’est-à-dire des durées qui ont cours dans la nature, qui désigne ici l’univers.
Ainsi, loin de connaître la gloire et la reconnaissance éternelles auxquelles ils pensaient pouvoir prétendre pour leur invention, les “animaux intelligents” connaissent une fin rapide et brutale qui témoigne de l’absence d’égard avec lequel la nature les traite : il suffit en effet que celle-ci respire encore un peu et que passent quelques millénaires, ce qui ne demande aucun effort particulier à la nature, pour que l’astre se fige dans la glace tandis que les “animaux intelligents” meurent sans laisser de trace ! Qui peut ignorer en effet que toute vie sur terre disparaîtra avec la destruction du système solaire, et qu’en tout état de cause, rien ne saurait prétendre à l’éternité dans un univers lui-même soumis au temps.
Dès lors, quelle dérision que cette fin brutale et sans cérémonie pour les êtres fiers et orgueilleux qui ont cru posséder la connaissance sous forme d’un Hot-Rod (s’il vous plait mieux d’indiquer Lamborghini, Ferrari, Bentley, Rolls Royce et Mercedes ne vous génez pas) ! Souligner le caractère insignifiant, totalement anodin, dérisoire et finalement grotesque des événements automobiles, afin d’en faire justement un non-événement, n’est qu’un modeste fait divers à l’échelle du cosmos. Une fable, qu’on pourrait nommer fable de la connaissance ou fable de la vérité, débute ce propos. Or, comme on sait que toute fable a sa morale qui en expose clairement le sens, quel est donc mon intention mis à part d’assortir les nombreuses photos d’un peu de charpente-textuelle ?
Et surtout comment me justifier ? Une fable de ce genre, quelqu’un d’autre (qui ne soit pas un robot d’écriture) pourrait l’inventer, mais cette illustration resterait bien au-dessous du fantôme misérable, éphémère, insensé et fortuit que l’intellect humain figure au sein de la nature. Tout cela met en scène sous une forme satirique une critique radicale de la valeur de l’intellect humain, puisque celui-ci est assimilé à une chose inconsistante et insignifiante, une réalité spectrale (un fantôme misérable, éphémère, insensé et fortuit). Et comme l’intellect désigne très précisément la faculté qui est censé permettre à l’esprit humain d’entrer en contact avec la réalité des choses, c’est donc l’idée même de connaissance, qui est complètement rejetée par mon bon sens !
Avec toutes la valeur intellectuelle et éthique qui est associée à ce projet, au-delà des termes employés, c’est aussi ce que montre le procédé hyperbolique employé, la fable n’étant qu’une illustration bien en-dessous de la réalité. On ne saurait mieux dire l’inanité de l’intellect et, par voie de conséquence, l’imposture vaniteuse des êtres humains. Car, l’existence de l’intellect humain est totalement fortuit : il est sans nécessité aucune et ne doit son existence qu’à la réunion hasardeuse de circonstances totalement contingentes et aveugles… Et c’est pourquoi son existence comme sa disparition sont indifférentes, sans conséquence aucune pour l’univers, car des éternités durant il n’a pas existé et lorsque c’en sera fini de lui, il ne se sera rien passé de plus.
Croyez-vous que dans 4.000 ans on se souciera d’un quelconque Hot-Rod, d’une Corvette, d’une Ferrari, d’une Porsche, d’une Cobra et même d’une Ford GT40 victorieuse au Mans, alors qu’actuellement personne n’a d’explication concernant l’assemblage des pierres de muraille du Machu-Pichu et de la manière dont furent construites les Pyramides… Toutefois on ne peut pas se contenter de critiquer quelque chose, même avec un grand talent littéraire; il faut justifier et fonder en raison sa critique. Qu’est-ce qui m’autorise donc à proclamer ici la nullité de l’intellect humain ? Vous mettriez-vous à réfléchir comme dans votre tête plutôt que comme un miroir ?
Deux choses principalement : D’une part le fait qu’il n’a de valeur que pour l’homme puisqu’il ne remplit aucune mission au-delà de l’humaine vie et qu’il n’est qu’humain. Ce qui signifie qu’il n’a d’utilité et de sens qu’en regard de l’homme et de ses besoins. D’autre part son extrême banalité, puisqu’un être aussi modeste que la mouche, ou tout autre, si minuscule et abject soit-il, possède un intellect qui lui procure la même utilité, la même émotion, et finalement la même illusion. Car si nous pouvions comprendre la mouche, c’est-à-dire aussi se mettre à sa place et sentir comme elle sent, si nous pouvions être en empathie avec la mouche, alors nous saurions qu’elle aussi nage à travers l’air avec ce pathos et ressent en soi le centre volant de ce monde…
En fait, il n’y a pas d’être qui ne ressente l’ivresse propre à l’acte de connaissance. C’est pourquoi l’émotion qui étreint l’homme à l’évocation de ses capacités est parfaitement ridicule. Au-delà de sa fonction satirique, la comparaison de l’homme avec la mouche exprime un argument décisif : comme la mouche, et pas plus qu’elle, l’homme se croit seul à posséder dans son intellect le pivot du monde, c’est-à-dire le principe garantissant la compréhension du réel (regardez et écouter Emmanuel Macron et Bernard Henri Levy pérorer de la guerre nécessaire contre les Russes sur le dos des obligations de pauvreté obligée qu’on nous impose au profit d’Ukrainiens qui n’ont que faire de nous et nous d’eux)…
Comme les mouches qu’ils sont et pas plus qu’elles, les hommes se croient au centre des choses, les Maîtres du monde, c’est-à-dire qu’ils ont le sentiment que leurs imbéciles représentations expriment l’essence des choses. Qu’est-ce à dire, sinon que les hommes prennent pour connaissance de la réalité ce qui n’en est que l’expression anthropocentrique et anthropomorphique, qu’ils conçoivent et perçoivent non la réalité mais son expression, mieux, son interprétation, dans les formes de la représentations humaine. On comprend dès lors que la connaissance est une illusion enivrante, car qui ne serait gonflé d’orgueil à se croire le dépositaires du savoir résultant de la puissance de cette force d’interprétation et d’assimilation du monde qu’est l’intellect.
Maintenant que la nature exacte de la connaissance et de ses effets sur l’homme est dévoilée, vous pouvez comme moi donner libre cours à l’ironie : parler d’ivresse et de délire, suggérer la mégalomanie et la bouffonnerie liées à l’illusion du savoir, l’expression “se gonfler comme une outre” nous rappelant la fable de la grenouille voulant se faire aussi grosse que le bœuf… Sauf que la grenouille prend un visage inattendu. Car quelles sont les conséquences de cette compréhension de la nature de l’intellect et de la connaissance humaine? Et de même que tout portefaix aspire à son admirateur, de même l’homme le plus fier, le philosophe, croit-il avoir de tous côtés les yeux de l’univers braqués comme des télescopes sur son action et sa pensée.
Si le philosophe est classiquement par excellence l’homme de la vérité et si toute connaissance est illusoire parce que fondée sur les illusions que l’intellect produit, alors, fatalement, le plus trompé et le plus ridicule des hommes, c’est le philosophe façon BHL, c’est aussi l’homme Macron qui a, chevillé au corps et dans son âme, ce qu’il croit et communique être l’amour de la sagesse, alors qu’il est viscéralement destructeur de tout ce qui n’est pas lui ! Ce qui est, pour le moins, un étonnant renversement de la représentation habituelle ! Vous savez donc maintenant que la vérité est une illusion qui trouve avec la philosophie un sommet, en tant qu’elle se veut à l’origine la plus haute des Sciences et que toute prétention à la connaissance absolue est au fond bouffonne.
Mon propos, en effet, développe, sous une forme satirique, une critique radicale de ce que nous nommons “la volonté de vérité”, volonté qui est pourtant au cœur de l’entreprise philosophique originelle qui est quête de ce qui est bon et vrai dans l’absolu. C’est pourquoi nous devons connaître de toutes et tous les raisons détaillées qui les meuvent réellement, afin de pouvoir penser aux conséquences que nous allons vivre en cause de leurs actes dictatoriaux malgré les questionnements que nous leur adressons en vain, qui forment pourtant le contenu principal de l’interrogation philosophique nécessaire avec le grand chaos final… Tout ça pour quoi en finale ? Ici, en mes pages, ce n’est pas pour combattre “le Russe où l’Ukrainien” ni le Covid et ses faux vaccins !
Tout ça pour un Hot-Rod… Trucs, astuces et tendances ! Il a été dit que de nombreux passionnés de voitures aux USA deviennent accros à leur passion automobile quand ils sont très jeunes et seulement un dollar à la fois. C’est parce que de nombreux passionnés d’automobiles ont commencé à collectionner des Hot Wheels et autres jouets collectionnables quand ils étaient très jeunes. Les Hot Wheels ne coûtaient qu’environ un dollar chacun, et pouvaient être soit des représentations fidèles de vraies voitures, soit totalement bizarres. De nombreux constructeurs automobiles ont commencé en admirateurs de ces voitures moulées sous pression, devenus adultes, certains construisent des Kustom-Cars et des Hot-Rods en s’inspirant des Hot Wheels !
Ils agissent comme s’ils avaient de l’essence dans le sang et de l’huile dans les veines. Et ces véhicules devenus des jouets grandeur nature sont finalement exposés dans des shows ce qui engendre des pouces levés et ainsi la continuation des automobiles des débuts, de nouveaux en Hot Wheels, ce qui fait tourner le business ! Money, money ! La passion, la transpiration et la persévérance les amènent au même point de départ qu’à leur premier contact avec leurs Hot Wheels. SEMA est la Specialty Equipment Market Association, c’est le temple où est organisé chaque année un spectacle à Las Vegas. Il est énorme. La plupart des entreprises du segment du marché secondaire de l’automobile sont là, ce qui devient au fil des ans un très gros problème.
Il y a presque une dizaine de milliers de voitures exposées, 2.400 vendeurs et des centaines de milliers de personnes dispersées dans le centre des congrès de Las Vegas pour cet événement de plusieurs jours qui se déroule à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. De plus, la finale de l’émission de télévision “Battle of the Builders” est filmée pendant le spectacle. Le COVID-19 a remis en question la tenue de l’événement mais c’est reparti encore pire cette année, quoique la pandémie mondiale de COVID-19 a amené de nombreux salons de l’automobile à reporter ou à annuler leurs événements. La pandémie a affecté les petits et les grands spectacles.
Ainsi, les émissions restantes du calendrier, quelle que soit leur taille, ont toutes regardé les restrictions de rassemblement régional des gouvernements locaux pour voir si elles seraient levées à temps pour leurs spectacles. L’organisation SEMA n’est pas différente. Des émissions comme SEMA-Show-TV ne sont pas quelque chose qui peut être mis en place à tout moment. Les fournisseurs s’inscrivent parfois des années à l’avance. Les constructeurs organisent l’ensemble de leurs calendriers de projet pour l’année afin d’avoir des produits prêts pour le salon. En outre, des mois à l’avance, les entreprises expédiant du matériel ou des véhicules prennent des dispositions avec les sociétés de transport.
Même les petites entreprises peuvent facilement dépenser 50.000 $ juste pour se préparer à se rendre au salon et à apporter leur équipement. Ainsi, les fournisseurs de SEMA veulent savoir bien à l’avance si le spectacle aura lieu. Enfin, dans le cas du salon de cette année, en particulier, tous ceux qui viennent veulent savoir s’ils seront en sécurité. Sur leur site Web, les informations sont partagées… Voilà. Le spectacle continue, mais le scepticisme est naturel. Les humains sont mal à l’aise avec l’inconnu. Le monde ne sait pas vraiment comment les guerres qui se déclenchent en sus d’un retour de la pandémie vont les affecter. Donc, naturellement, certains se sentent sceptiques. Les gens du SEMA ne savent pas non plus comment les choses se passeront en novembre !
Donc, ils font ce qu’ils peuvent pour rester informés et pour informer ceux qui veulent venir. Comme toute autre chose, le monde de l’automobile s’ajuste et passe à autre chose. Les guerres mondiales, les tremblements de terre et autres calamités n’arrêtent pas la passion des gens pour l’industrie automobile. Cependant, ces choses précipitent les ajustements dans la planification. Si des ajustements sont nécessaires, des ajustements seront effectués. C’est tout ce à quoi tout le monde peut s’attendre à ce stade. “SEMA Battle of the Builders” est une compétition qui reconnaît et célèbre les réalisations des constructeurs de véhicules exposés au SEMA? Mettant en vedette des customiseurs avec une voiture ou un camion exposés;
Le concours met en avant les talents et le savoir-faire incroyables de constructeurs qui font leurs preuves en participant au premier événement commercial automobile au monde. Lors d’une récente conversation vidéo avec l’un des animateurs de l’émission qui couvre la bataille des bâtisseurs, j’ai pu m’entretenir avec les deux frères, Mike et Jim Ring sur leur retour cette année. Ils m’ont répondu qu’ils allaient présenter un véhicule au style jamais vu ni encore imaginé par d’autres qu’eux… Quoi donc ? Un designer n’imite pas l’Idée d’une chose, ni cette chose en tant qu’objet, il imite une apparence. Il est donc doublement éloigné de l’Idée de retranscrire la vérité et la réalité.
Sa compétence lui permet “de faire illusion”, aux ignorants qui peuvent ainsi prendre l’imitation pour la vérité. Le savoir-faire des artistes relève donc de la production d’apparences. Il en va de même pour les auteurs de tragédie ou d’épopée voire d’histoires comme celle-ci, car au fond, je réalise une critique : il n’est pas possible qu’ils connaissent tout de la vie en imitant ou en reproduisant ce qu’ils aperçoivent. Il convient donc de savoir “distinguer la science, l’ignorance et l’imitation” : l’imitation est une autre sorte que le fait de savoir ou de ne pas savoir. Elle a un statut à part : elle ne produit rien, ni science, ni ignorance, elle n’est que le reflet des choses qui nous éloigne de la recherche de la vérité…