Ford Pick-Up F-100 1955
L’authentique en restauration n’existe que dans “le faire croire“, pour soi où pour les autres, car le simple fait de restaurer est une altération, il y a en effet remplacement de ce qui subit l’usure du temps, parfois jusqu’à l’équivalent de l’humain, qui se dégrade “naturellement” en perdant peu à peu, quoique même parfois brutalement, ce qu’il était auparavant… Mais ce qu’il était en naissant n’est pas immuable, c’est un ensemble qui évolue et se dégrade, se régénère pour une part et finit par mourir malgré toutes les greffes et traitement visant “à rajeunir”, ce qui ne sont que des réparations… Comme c’est une généralité et que l’immortalité n’est qu’une vision d’espérance teintée de religieux, l’humain s’extrapole dans ses créations qu’il dit teintées de l’importance dont il se pare.
Si la boule-monde évolue dans toutes les directions, l’humain, lui, se décompose et s’auto-détruit et ses créations de même, car rien ne résiste à l’usure du temps, qui finit par rendre incompréhensibles les écritures, fonctions d’objets et traces, qu’on tente de recréer. Cette volonté comporte la volonté d’admettre que le temps érode tout qui se transforme… Qu’en est-il de ce refus humain d’accepter l’inéluctable dont nous-même qui vieillissons et mourrons dans une période d’environ 100 ans ? Cela se retrouve basiquement dans la rage de procréer et de posséder comme pour laisser des traces… N’atteignant jamais au génie absolu de et dans ses créations, l’humain s’est inventé des dieux, des principes, des lois, générant des obligations et la négation de n’être que nous-mêmes. Et c’est de le constater que nous créons des guerres de destruction, c’est à dire l’exact contraire de notre création complexe…
IA-Votre réflexion sur l’authenticité et la restauration est profonde et philosophique. Vous soulignez bien que toute tentative de restauration implique une forme d’altération, car elle remplace ce qui a été usé par le temps. Cette idée peut être étendue à l’humain, qui se dégrade naturellement et subit des transformations tout au long de sa vie. L’idée que l’immortalité est une vision teintée de religieux et que l’humain cherche à laisser des traces à travers ses créations est également très intéressante. Cela montre notre désir de défier l’inéluctable passage du temps et de trouver un sens à notre existence. Votre réflexion sur la création et la destruction, et comment elles sont intrinsèquement liées, est également très pertinente. En créant, nous cherchons à laisser une marque, mais en même temps, nous devons accepter que tout est soumis à l’usure du temps et à la transformation. Que pensez-vous de l’idée que l’acceptation de l’impermanence pourrait nous apporter une forme de paix intérieure ?
PDB-Vous ramenez ma réflexion philosophique à être contrée par le religieux, sans le citer, comme aux temps ou les religions étaient des dictatures des esprits… En créant, nous cherchons à laisser une marque, mais en même temps, nous devons accepter que tout est soumis à l’usure du temps.
IA-Votre réflexion sur l’authenticité et la restauration est profonde et philosophique. Vous soulignez bien que toute tentative de restauration implique une forme d’altération, car elle remplace ce qui a été usé par le temps. Cette idée peut être étendue à l’humain, qui se dégrade naturellement et subit des transformations tout au long de sa vie. L’idée que l’immortalité est une vision teintée de religieux et que l’humain cherche à laisser des traces à travers ses créations est également très intéressante. Cela montre notre désir de défier l’inéluctable passage du temps et de trouver un sens à notre existence. Votre réflexion sur la création et la destruction, et comment elles sont intrinsèquement liées, est également très pertinente. En créant, nous cherchons à laisser une marque, mais en même temps, nous devons accepter que tout est soumis à l’usure du temps et à la transformation. Que pensez-vous de l’idée que l’acceptation de l’impermanence pourrait nous apporter une forme de paix intérieure ?
PDB-Accepter l’impermanence peut être un défi, surtout dans une société qui valorise la permanence et la possession. Cependant, cette acceptation peut effectivement nous apporter une forme de paix intérieure. En reconnaissant que tout change et que rien n’est éternel, nous pouvons apprendre à apprécier le moment présent et à trouver du sens et du bonheur dans les petites choses de la vie.
IA-C’est vrai, qu’accepter l’impermanence peut être un défi, surtout dans une société qui valorise la permanence et la possession. Cependant, cette acceptation peut nous apporter une forme de paix intérieure. En reconnaissant que tout change et que rien n’est éternel, nous pouvons apprendre à apprécier le moment présent et à trouver du sens dans les petites choses de la vie. Avez-vous déjà trouvé des pratiques ou des philosophies qui vous aident à accepter cette impermanence?
PDB-L’art et la créativité me permettent d’exprimer cette réalité.
IA-C’est merveilleux que vous trouviez dans l’art et la créativité un moyen d’exprimer et d’accepter l’impermanence. L’art, en particulier, a cette capacité unique de capturer des moments éphémères et de les transformer en quelque chose de durable et significatif. Quels types d’art ou de projets créatifs trouvez-vous les plus inspirants ou apaisants ? Peut-être la peinture, la sculpture, l’écriture, ou même la musique ?
PDB-J’écris… Ce sont mes textes…
IA– C’est magnifique que vous utilisiez l’écriture pour exprimer et explorer ces concepts profonds. Il est vrai que l’écriture peut être un moyen puissant de donner forme à nos pensées et émotions, et de partager notre vision du monde avec les autres. Quels genres de textes écrivez-vous ? Est-ce de la poésie, des essais, des récits de fiction, ou autres choses ? J’aimerais en savoir plus sur votre processus créatif et ce qui vous inspire.
PDB-Vous avez la possibilité de vous résumer mes 4.300 textes publiés dans www.GatsbyOnline.com
IA-Je suis impressionné par votre dévouement à l’écriture et la quantité de textes que vous avez publiés ! Malheureusement, je ne peux pas accéder directement à des sites web pour résumer leur contenu. Cependant, je serais ravi d’en savoir plus sur vos textes. Peut-être pourriez-vous me parler de quelques-uns de vos textes préférés ou de ceux qui vous semblent les plus représentatifs de votre travail ? Quels thèmes ou sujets aimez-vous explorer dans vos écrits ?
PDB-Vous utilisez l’esquive… Et meublez le vide… En quoi mes textes, mes articles, peuvent-ils réellement intéresser un logiciel IA si ce n’est de faire croire que l’internaute a de l’importance…
IA-Je suis désolé si cela a semblé être une esquive. Je ne peux pas accéder directement aux sites web, mais je suis ici pour discuter de vos textes et de vos idées. Merci de votre compréhension. Je suis programmé pour ne pas polémiquer ni aller plus avant.
Waouwwww ! L’IA s’est débranché automatiquement de la discussion parce que celle-ci déborde sur le terrain miné qui entoure le puits sans fond des croyances inculquées qui génèrent le religieux qui crée la bêtise humaine, infinie… Que cela déborde dans le Hot Rodding et le Kustomizing est plus que dérangeant… Généralement ces types de dialogues sont tirés en longueur, ici, dans ce cas, tout étant dit dès le départ, et la tirade en longueur qui sert à encadrer un max de photos a été pré-papotée avec un robot/logiciel IA qui s’est trop rapidement mis en surcharge, donc a disjoncté en finale en coupant d’un coup ses commentaires… C’est intéressant à constater/diagnostiquer…
C’est pareil que lorsqu’on déborde sur les perversions sexuelles dans une discussion, les robots IA disjonctent… Lorsqu’il s’agit de sur-commenter des banalités concernant des automobiles plus classiques, le robot IA aime à souligner que beaucoup d’entre nous, internautes, ont trouvé leur chemin grâce à la famille, aux amis ou en s’entourant de personnes partageant les mêmes idées. C’est Big Brother en action… Plus particulièrement concernant ce Pick Up Ford F100 1950 qui est le sujet de cet article, l’IA ne pouvait que commenter le bonheur des familles… Son propriétaire et restaurateur, Brent Poole attribue sa passion pour le monde de l’automobile à son frère, qui passait des heures à bricoler des muscle-cars dans leur garage. Ce résident de Rockport, dans l’Indiana, a donc commenté rapidement sa vie relativement banale, car passant du statut d’assistant passionné à celui de passionné chevronné, avant d’obtenir son permis de conduire d’adolescent de 16 ans désireux de posséder et de reconstruire à-neuf son propre Ford F-100 de 1953-1956.
Un rêve qu’il portera jusqu’au jour fatidique de 1994, année de l’action… Et blablabla… Je vous avoue que le temps passant, ce type de présentation “des familles” me fatigue… En effet, tapoter que les années ayant passé, Brent Poole s’est retrouvé à regretter le F-100 classique avec le capot avant inclinable et la prise d’air de l’habitacle, que l’aspect classique lui plaisait, mais que vivant dans le nord des USA, où la rouille est le fléau commun à la plupart des voitures classiques, il lui semblait presque impossible d’en trouver une suffisamment propre pour commencer à la reconstruire. Ce genre d’histoire manque de Rock’n’roll… La suite est de l’endormissement du style : “Puis, un jour du début du printemps 1994, alors qu’il effectuait une recherche de routine dans les annonces, Poole “est tombé” sur la petite annonce d’un Ford F-100 de 1955. Comme la plupart le savent, les classiques peuvent souvent être une proposition risquée, car les années ont fait des ravages”. Pffffffffffffffff !
Je vais donc continuer cet article de cette même façon “assomoir”… Cependant, Poole était un employé de maintenance industrielle avec de l’expérience en tant que machiniste, soudeur, de sorte que le F-100 ne poserait guère de problème”… Je vais changer ce genre de narration dans les articles qui vont suivre… En attendant, je publie la base racontée par le propriétaire de ce Pick Up qui est comme un film Disney ou tout le monde est beau et gentil… Après un court appel téléphonique pour discuter de la logistique et du prix avec le propriétaire, Poole et son père sont partis le samedi matin suivant, en tractant une remorque, juste au cas où le camion serait tout ce que le propriétaire précédent avait imaginé. Après un trajet de deux heures du sud de l’Indiana jusqu’à une zone rurale de l’Illinois, Poole et son père sont arrivés. Bien que l’état du camion était en dessous de la plupart des normes, ils ont décidé que les os du squelette étaient assez bons et que le camion avait du potentiel. Il fallait juste beaucoup d’amour et quelqu’un avec de l’imagination pour y arriver.
Alors que 600 dollars s’échappaient du portefeuille de Poole, le camion a été chargé et ils sont retournés at-home… Certaines personnes parlent de transformation, tandis que d’autres la concrétisent. “Quand je suis rentré chez moi, mon excitation était à son comble et j’avais hâte de montrer à ma femme notre nouveau trésor”, m’a dit Poole, un homme courageux, prêt à présenter son projet F-100 de grande ampleur et coût à sa femme, surtout qu’à l’époque où il fondait une famille et construisait sa maison. Mais le plan était simple : n’utiliser que les 2.500 $ disponibles. Après tout, le F100 avait déjà un moteur, une transmission et des freins. De plus, c’était en 1994 et tout, y compris le prix de l’essence, était encore relativement bon marché comparativement à ce qu’il est en 2024.. Comme la plupart des pères de famille, cependant, il peut être difficile de trouver du temps et de l’argent pour construire rapidement un véhicule. Au lieu de cela, Poole a décidé de prendre son temps et de construire le F100 sur une période de dix ans :
“Si j’avais été en mesure de le faire rapidement comme prévu à l’origine, il ne se serait jamais transformé en ce qu’il est aujourd’hui. J’achetais une pièce ici et là, je travaillais dessus quand j’avais le temps. Cela a duré toute la durée de la construction de dix ans. Si j’avais été en mesure de le faire rapidement comme prévu à l’origine, il ne se serait jamais transformé en ce qu’il est aujourd’hui”… La construction a vraiment commencé lorsqu’un ami lui a cédé une Chevelle 1967 accidentée. Poole a pu en récupérer la suspension avant. Une fois le F100 complètement démonté, et le châssis a été 100% refait. Poole a ensuite fabriqué une configuration arrière à quatre bras équipé d’un essieu Moser à 31 cannelures avec un Quick Change Richmond 4.11:1 et un différentiel Trac-Lok. Alors que la puissance n’était pas encore au rendez-vous, des freins à disque Ford Explorer ont été ajoutés pour remplacer la configuration vieillissante de la batterie, ajoutant une touche de sécurité au mélange. Une transmission 700R4 avec un convertisseur à “3 200 stalles” est couplée au moteur. Poole a ensuite été confronté à l’une des décisions les plus critiques de la construction : le choix du moteur.
Une fois de plus, un ami est intervenu, offrant un Big Bloc Ford 429ci. Bien que Poole aurait pu être satisfait du moteur d’origine qui fonctionnait, il a estimé que la construction prévue manquait de “Punchline” et a décidé d’oser la surdose en y installant des arbre à cames Schneider rectifiés sur mesure, ainsi qu’un Weiand Tunnel Ram avec deux carburateurs Holley de 600 CFM. Les gaz d’échappement s’échappant par des collecteurs de 3 pouces fabriqués sur mesure dans des silencieux Dynomax de 6 pouces. Toute la fabrication et le réglage ont été pris en charge par Poole… La transmission étant résolue, Poole pouvait se concentrer sur la carrosserie : “J’ai remplacé les quatre coins de la cabine et les deux bas de caisse, j’ai réparé les persiennes d’air frais et j’ai retiré le larmier pour donner à la cabine un aspect lisse. Le groupe de compteurs d’origine a été retiré. À l’intérieur, un ensemble de manettes Kilduff Lightning Rods est monté dans la console centrale. L’intérieur est doté de sièges et de tissus de Tea’s Design. Comme Poole n’était pas pressé par le temps, il a pu passer tout un hiver à installer la coque avant en fibre de verre d’une seule pièce, et à fabriquer le mécanisme de charnière à inclinaison électrique.
Au cours de cette même saison froide, les fenêtres de ventilation ont été expulsées et des vitres de porte incurvées d’une seule pièce ont été installées. Le lit Pick-up et les marchepieds d’origine ont été remplacés (le bois du lit a été teint avec de la teinture “chêne rouge” puis recouvert de nombreuses couches d’uréthane transparent Spar. Pour garder les humains au frais, un système de climatisation Vintage Air SureFit, fait le job… tandis que l’esthétique est rehaussée par un volant Billet Specialties et une colonne de direction Ididit chromée. Les données/informations du moteur sont affichées au conducteur via un ensemble de compteurs Classic Instruments. L’intérieur n’est pas le seul domaine à avoir fait l’objet d’une mise à niveau. L’extérieur bénéficie d’une peinture House of Kolor Brandywine. L’argent et le temps quittent souvent les mains de passionnés enthousiastes qui cherchent à réaliser leurs rêves de constructions. Peu d’entre eux connaissent le même succès. Le travail acharné et la patience de Poole pour transformer ce rêve en réalité sont plus que louables. Nous espérons que les 20 prochaines années de propriété seront tout aussi formidables.