Ford GT Heritage Edition 2019
Cette Ford GT 2019 est l’une des 50 de l’édition Heritage-1968 construites en commémoration de la voiture de course GT40 Mk I victorieuse aux 24 Heures du Mans 1968 et 1969. Elle est peinte en bleu Heritage avec des bandes Racing oranges et dispose du pack Heritage-Roundel-Graphics. La puissance est fournie par un V6 EcoBoost 3L5 à double turbocompresseur associé à une boîte-pont 7 vitesses à double embrayage. L’équipement comprend des jantes en aluminium forgé de 20 pouces, un système d’échappement en titane, des freins en carbone-céramique Brembo et des portes-papillon…
Ce n’est pas tout, sont inclus également des ancrages de harnais de course à six points, un aileron arrière actif rétractable, un diffuseur arrière, des garnitures extérieures en fibre de carbone, un pare-brise léger en verre Gorilla Glass et un film transparent de protection de la peinture. Waouwwwww ! Cette Ford GT (qui illustre cet article) a été achetée neuve chez le concessionaire Ford Pat Milliken situé dans le canton de Redford, au Michigan, USA, et elle a maintenant seulement 1.756 miles.
Elle était à vendre avec son autocollant concessionnaire de fenêtre valant facture et preuve de la livraison initiale à Pat Milliken Ford dans le canton de Redford, au Michigan, ainsi que l’achat de 135.250 $ en équipements optionnels par l’acquéreur amenant la GT à un prix total de 630.500 $ (payés ca$h). Toute la littérature “usine” d’époque, divers souvenirs, un rapport sécuritaire USA immaculé et un titre de circulation du Montana au nom de la société LLC du vendeur ont été fournis dans la voiture qui a été vendue ce 15 septembre 1.250.000 $, soit presque le double que le prix d’achat en 3 ans…
La Ford GT de deuxième génération a fait ses débuts au Salon nord-américain de l’auto 2015 produite à l’usine d’assemblage “Multimatic” située à Markham, en Ontario. La structure monocoque en fibre de carbone est boulonnée aux sous-cadres/châssis en aluminium avant et arrière qui servent d’éléments de contrainte actifs pour le système de suspension à barres de poussées réglables hydrauliquement. La hauteur de roulement variable, les modes de conduite sélectionnables et le contrôle de lancement sont des caractéristiques standard.
Les jantes en aluminium forgé de 20 pouces de largeurs décalées AV/AR sont montées avec des pneus Michelin Pilot Sport Cup 2. Le freinage est assuré par des étriers monoblocs Brembo à six pistons peints en orange sur des disques en carbone-céramique de 15,5 pouces à l’avant, tandis que les étriers à quatre pistons sont montés sur des unités de 14,1 pouces à l’arrière. L’intérieur est dans le cas de cette GT “spéciale”, différent des GT Héritage avec un pack optionnel de 135.250 $ comprenant des sièges garnis d’un mix cuir noir et Alcantara gris avec des inserts à motifs et des surpiqûres bleues et orange !
Ouiiii ! Yeahhhh ! Elles sont inspirées des teintes Gulf, ainsi que de la fibre de carbone visible sur les seuils de porte le tableau de bord et la console centrale, tandis que des cocardes Gulf sont gaufrées dans les panneaux de porte que le siège du conducteur à position fixe est associé à un pédalier réglable de même que la colonne de direction, le pack comprenant une super climatisation automatique et un système d’info-divertissement avec écran tactile, sans oublier que la voiture est également équipée en option d’ancrages de harnais à six points…
Le volant multifonction enveloppé d’Alcantara est équipé de palettes de changement de vitesse et des commandes du tableau de bord numérique comportant de multiples réglages d’informations. Le compteur kilométrique numérique indique 1.756 miles justifiant que la GT a pu se revendre presque le double que son achat 3 ans plus tôt ! Le V6 EcoBoost de 3,5 L à double turbocompresseur est doté d’un cache en fibre de carbone et sa puissance a été évaluée en usine à 647 chevaux et 550 lb-pi de couple, envoyés aux roues arrière via une boîte-pont à double embrayage Getrag à sept vitesses.
Des sur-panneaux aérodynamiques en fibre de carbone sont montés à l’avant et à l’arrière, et la voiture a été équipée en option d’un système d’échappement en titane. Cette Ford GT est épique à conduire mais moyennant quelques compromis elle est reine sur les routes. Il serait trop facile de présenter cette supercar avec des références infinies en louanges parce que nous savons tous où l’histoire de la Ford GT40 a commencé. Henry Ford voulait acheter Ferrari et gagner au Mans dans les années 1960… Belle histoire…
Que nenni, Enzo lui a répondu d’aller se faire enculer et de se faire bourrer bien profond en pensant à lui qui construisait des voitures populaires destinées aux minables… Henry Ford à donc fait construire sa propre version d’une Ferrari pour faire le travail de bourrage et d’enculerie lui souhaité, mais envers pépère Enzo… Et la GT40 à fait le boulot, contribuant à ce que Ferrari n’appartienne plus à Enzo mais à Fiat… Juste retour des compliments ! Pour Enzo ce fut la fin de ses masturbations et menaces. Ce fut le début du règne mythique de la Ford GT40 et par la suite, de la Ford GT.
Les choses allaient se dérouler comme une prophétie Biblique dans les années suivantes, sauf qu’une nouvelle histoire intrigante s’est ajoutée en surimpression à la naissance de la Ford GT… Et elle n’a été révélée qu’au lancement de la voiture aux États-Unis. Pourquoi ? Parce qu’au départ, Ford n’avait pas du tout l’intention de construire une nouvelle GT en résurrection de la GT40. Au lieu de cela, Ford voulait retourner au Mans avec une Super Mustang de course extrapolée des Mustang’s de route. Un super projet qui aurait amené le public à acheter des Mustang’s en plus grande masse encore !
Un projet destiné à commercialiser la Mustang en masse à l’échelle mondiale. Pendant une année entière, Ford a essayé de fabriquer l’équivalent “moderne” de la Shelby Daytona, mais sans Carroll Shelby Ford a échoué à réaliser une Mustang de course pour affronter les Porsche’s, Corvette’s, Ferrari’s et Aston-Martin’s qui concouraient au Mans chaque année contre le péril jaune automobile venant caracoler au Mans… Enfer et damnation ! Dans le même temps, Ford a essayé de créer une version routière de la Mustang pour coïncider avec le projet d’une Mustang Le Mans célébrant le 50e anniversaire de la victoire !
Laquelle ? Celle de l’entreprise lors de la célèbre course de 24 heures avec les Ford GT40… et ce sans passer par Shelby (bis !)… Et puis “quelque chose” appelé “Project-Silver” s’est produit. Après un an, Ford a réalisé douloureusement que la Mustang “Le-Mans” qu’une équipe d’ingénieurs tentait de concevoir les années précédentes, avait commencé à ne ressembler en rien à une Mustang de route ! Ce qui signifiait que le marketing (pousser la clientèle potentielle vers une Mustang Le-Mans, ne fonctionnerait jamais avec une Mustang Le-Mans sans aucun lien esthétique avec les Mustang’s de production.
Et à ce moment-là, l’idée de retourner au Mans avec une Mustang Le-Mans a été mise en conserve et remplacée par un projet top secret de “Skunkworks” pour construire une toute nouvelle GT ayant le design actualisé de la Ford GT40 cela pour faire ce travail à la place de l’autre, sans voiture de course correspondante pour l’accompagner en marketing grâce au Mans. Et c’est ainsi qu’à la fin de l’année 2013, l’idée d’une toute nouvelle Ford GT est née, très proche quoique modernisée de la GT40 sauf que pour de multiples raisons de droits de propriété, “GT40” ne pouvait pas être utilisé…
Avec une telle suite d’histoires rocambolesques la Ford GT de route a mis un certain temps à venir, à tel point que certains cyniques l’ont accusée d’être légèrement hors du rythme à côté de voitures comme les McLaren, surtout que la première série avait quasi le même look que la vieille GT40 ainsi qu’un gros V8 pour parfaire… Mais le rocambolesque a encore frappé lorsque la GT a radicalement changé de look et de motorisation, un 6 cylindres Ecoboost et un prix plus de deux fois supérieur !
Donc, la meilleure façon de lancer cet article sur la GT illustrée dans cet article est de vous rappeler quelques faits clés à ce sujet, juste au cas où vous penseriez que c’est déjà une vieille nouvelle… La première étant d’aller lire où relire l’article sur la première série Ford GT équipée d’un V8 : https://www.gatsbyonline.com/automobile/americars/ford-gt-heritage-edition-2006-452048/ Soyez attentifs, relisez au besoin, prenez des notes !
Ensuite vous lirez la suite ci-après…
Au cœur de la nouvelle GT Edition 2019 se trouve une sorte de cuve en fibre de carbone sur mesure avec suspension à barres de poussées à l’avant et à l’arrière, ainsi qu’une boîte de vitesses à double embrayage à sept vitesses intégrée à la suspension arrière. Tous les panneaux de carrosserie sont en fibre de carbone, la grande majorité de ses composants métalliques sont en aluminium. Au total, la GT 2019 ne pèse que 1.385 kg à sec, soit environ 1450 kg avec ses indispensables liquides. Cela rend la GT plus légère que n’importe laquelle de ses rivales les plus évidentes : Ferrari, McLaren et Ferrari.
Les freins sont en carbone céramique et les jantes sont des 20 x 8,5 pouces à l’avant et 20 x 11,5 pouces à l’arrière (des jantes entièrement en fibre de carbone de la même taille pouvaient être spécifiées pour quelques dollars supplémentaires). Les pneus étant des Michelin Pilot Sport Cup 2s, 325/30s à l’arrière et 245/35s à l’avant. La voiture dispose de cinq modes de conduite différents ainsi que d’un ensemble aérodynamique contrôlé par ordinateur qui l’aide à développer plus d’appui et moins de traînée que n’importe quelle rivale.
Il y a aussi un aérateur à l’arrière et des ailettes à l’avant qui se déplacent pour modifier le centre de pression à mesure que l’appui augmente en fonction de la vitesse. Sans cela, la GT développerait trop d’appui à l’avant, par rapport à l’arrière. CQFD ! En mode piste, la voiture s’abaisse instantanément de 50 mm en appuyant sur un interrupteur et les ressorts deviennent 100% plus rigides qu’en mode sport. Comme déjà stipulé en début d’article, la GT Héritage Edition 2019 est propulsée par un V6 biturbo de 3,5 litres qui a fait ses preuves en gagnant à plusieurs reprises dans les courses de voitures de sport.
Il développe 647 chevaux à 6250 tr / min et un pic de 550 lb pi à 5900 tr/min, la grande majorité de ces chiffres étant disponible entre un peu plus de 3000 tr/min et un peu moins de 6000 tr/min. Ouiiiiiii ! Yeahhhhh ! C’est la même unité Ecoboost que l’on trouve dans de nombreux camions Ford (gag !) et non, elle n’a pas la voix exotique des moteurs trouvés chez les rivales européennes, mais, écrivez-moi quand un groupe motopropulseur d’utilitaire a-t-il jamais arrêté une supercar américaine dans le passé ?
Yeahhhhhh ! C’est la Dodge Viper dont le V10 est extrapolé (amélioré par les ingénieurs de chez Lamborghini) du moteur destiné à la gamme de pick-up Ram, même si le bloc de la Viper est en aluminium, là où les blocs V10 de pick-up sont en fonte. Paf dans la gueule ! La Ford GT Héritage Edition 2019 dispose de cinq modes de conduite différents : Mouillé, Confort, Sport, Piste et V-max. Il existe un système anti-décalage qui élimine pratiquement le retard du turbo en gardant les turbines en rotation sans rapport avec la position de l’accélérateur.
La boîte à sept vitesses dispose d’un double embrayage qui est physiquement intégré dans le pont arrière et fait partie de la structure physique du sous-cadre-châssis arrière. C’est une disposition qui ne figure pas seulement sur certaines supercars comme la GMA T.50 et la Ferrari F50, mais qui est également un élément de conception clé des bagnoles les plus rapides du monde, que ce soit Le Mans ou la Formule Un. Zéro à 60 mph prend 2,8 secondes, la vitesse maximale est de 216 mph et le 0-100 mph est atteint en cinq secondes.
Dès les premiers mètres de ma balade, la GT se sent vivante de même manière que les voitures de course appropriées. La base du siège est fixe de sorte qu’il faut déplacer les pédales et le volant “à-la-LaFerrari”. La suspension est très rigide dans les sensations offertes mais extrêmement contrôlée dans ses réponses, de même que la puissance de freinage également immense… Le bruit du moteur V6 biturbo et l’accélération qu’il peut si facilement générer sont également profondément comme dans et avec une voiture de course dans ses sensations.
À bas régime, cela semble granuleux, en colère, industriel et pas particulièrement agréable pour être honnête… Mais à mesure que les régimes dépassent 2.500 tr/min, la tonalité change et l’accélération devient beaucoup plus forte à mesure que le V6 se concentre sur son pic de couple… qui est essentiellement plat entre 3200-5800 tr/min. L’effet cumulatif est tout à fait dingue, sans aucune erreur à ce sujet, c’est déconcertant… Et puis il y a heureusement la façon dont la boîte de vitesses fonctionne !
Elle “tranche” vers le haut ou vers le bas à travers les rapports avec une vitesse et une précision qu’on ne peut pas espérer reproduire avec une troisième pédale et un levier de vitesses conventionnel. Après quelques miles conduits à un niveau raisonnable, tous les pilotes sauf les plus habiles voudraient probablement se calmer un peu et se reposer, tant d’adhérence se produit dans les virages, dans les lignes droites, dans les zones de traction, partout. Et pour ma part j’avais certainement besoin d’un allongement du temps pour bien réfléchir à ce que faisait vraiment cette voiture lorsque je fermais les yeux !
Savoir comment elle faisait pour rester sur la route et comment je pourrais en tirer encore plus était soudain une grande préoccupation. C’est là que le paramètre du mode “Piste” de cette GT entre en jeu. Pour engager cela, il faut stopper, tout arrêter, complètement, appuyer sur un interrupteur sur le volant puis… Thumpppppsssst ! La bagnole tombe instantanément de 50 mm, réduisant la hauteur de roulement globale au-dessus du sol à seulement 70 mm. Donc, je remets tout en marche à grands Vroumm Vroumm et c’est à ce moment-là que le vrai monstre qui se trouve à l’intérieur révèle son véritable être.
Ce n’est pas plus rapide en mode Piste et les changements de vitesse ne sont pas plus agressifs, mais la réponse en virage, le contrôle du corps, la perception de l’adhérence et, surtout, la puissance subjective des freins (bizarrement) passent tous à un autre niveau. Yeaaaaaahhhh ! En mode Piste, la façon dont la GT s’arrête et se transforme en virages devient un peu ridicule, franchement. Vous remarquez également comme une absence de poids et une précision incroyable que cela confère à la GT, partout. En mode Piste, il est juste de dire que la GT est tout à fait spectaculaire à conduire.
En fait, c’est ainsi que la GT ressemble beaucoup à une voiture de course à part entière, un fait que même ses créateurs admettent c’est que ce n’est pas du tout loin de la vérité. Alors, quel est le problème ? Et quels sont les aspects pas si incroyables susmentionnés de la façon dont la GT se conduit ? OK voilà ! Et désolé pour cette Ford mais je soupçonne que dans votre cœur vous savez ce qui va arriver ici de toute façon, sur la route, la GT se sent et sonne et est juste un peu rugueuse sur les bords, un peu décousue et tout simplement pas aussi raffinée mécaniquement que vous pourriez vous y attendre.
Sur la route en mode piste, à l’attaque maximale, tous les pétillements, vibrations et bruits qui accompagnent chacun de vos mouvements, dont la plupart sont dus à la baignoire centrale en fibre de carbone, commencent à irriter après un certain temps et c’est ensuite l’overdose. La conversation n’est à peu près possible qu’à 50 mph maxi, et à 70/80 mph, c’est si bruyant à l’intérieur qu’il faut hurler pour être entendu par la passagère. La GT parait aussi plus large qu’elle n’est, de manière intimidante.. et la consommation de carburant vous place à la limite du désespoir car le réservoir ne peut contenir que 57,5 litres…
Il y a vingt-cinq ans, tout cela aurait été bien, et le coté “Hard” de la GT aurait été jugé parfaitement acceptable. Attrayant, même, d’une manière macho. Mais les choses ont parcouru un long chemin en termes de facilité d’utilisation des Supercars pendant cette période, et en 2022, la GT n’est nulle part au niveau de ses rivales les plus évidentes à cet égard. Elle a également un coffre plus petit que minuscule, sans aucun espace de bagage utilisable à l’intérieur.
La conduite n’est en fait pas mauvaise sur la route tant que vous sélectionnez le réglage “confort” sur les amortisseurs électroniques.
Mais il y a aussi d’autres problèmes entourant les freins, qui sous des charges légères deviennent difficiles à moduler en douceur, la direction, qui souffre d’un retour sur des surfaces plus rugueuses, et même le bruit du moteur, qui est toujours très fort, l’ensemble donne un manque de raffinement que, encore une fois, vous ne remarqueriez tout simplement jamais sur une piste de course. Mais sur routes “ouvertes” c’est “autre chose”, cela frise l’insupportable et le désenchantement finit par s’installer durablement…
Bottom line : La Ford GT est une voiture épique à conduire parce que fondamentalement, c’est une voiture de course. Cela ne fait aucun doute. Mais, ce n’est que tellement surfait. Est-ce que cela aura de l’importance pour les propriétaires qui ont pris livraison de cette voiture spectaculaire, cependant ? La réponse est presque certainement non car pensée pour le seul marché Américain, les Yankees et Cow-Boys s’en foutent comme de leur premier chewing-gum ! Préférez la version première qui de plus à le look d’avant et un bon gros V8 glougloutant…
De plus, elle n’atteint heureusement pas les montants stratosphériques de cette série 2… J’ai dit (écrit) ! Hugh ! En effet les prix ont atteint des sommets lors de la vente aux enchères Barrett-Jackson organisée les 19 et 20 janvier 2019 à Scottsdale (Arizona, USA). Après la première Mustang Shelby GT500 vendue plus d’un million de dollars, la Ford-GT-Heritage-Edition 2019 numéro 1 a été adjugée 2,5 millions de dollars ! C’est Rick Hendrick, propriétaire de l’écurie NASCAR-Hendrick-Motorsports qui a remporté l’enchère ! Donc à 1.250.000 $ la Ford GT de cet article s’avère une bonne affaire !
2 commentaires
Mon cher Gatsby,
Les Européens ont pour certains l’habitude de parader à Monaco, Saint Tropez, Deauville ou Knokke le Zout,.. où diable un Cow-Boy peut-il parader avec ce type d’automobile ? Un Cars&coffee le dimanche matin ? Le parking d’une grande entreprise ? Les mêmes hôtels et Casino qu’en Europe, puisque tout est standardisé ?
Ben oui, vous déduisez correctement… On s’y montre, on montre sa bagnole et on montre qu’on s’emmerde… Les Cars&Cofee USA du dimanche matin sont des purgatoires avant l’enfer de rouler sous les limitations et le Paradis de rentrer chez soi pour être relax dans la piscine à jouer babale avec Madame puis avec le chien…
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