Hot Rod Willys Coupe’41 V8 598ci 900cv
“Depuis de nombreuses années, les journaleux et photoreporters œuvrant pour les merdias de désinformations, risquent leur vie en première ligne”... C’est mon extrapolation résumée d’une affirmation prétendument “constatatoire” parue dans divers supports des nombreuses presses définies comme étant “politiquement correctes”… Le fait d’utiliser un crayon, fut-il stylo “Bic” (pour les merdias populistes), où un porte-plume “Mont Blanc”(pour les merdias plus classieux), voire “une plume d’oie” (pour les élites intellectuelles)… à l’appui d’un Smartphone servant à “clicher” et filmer des scénettes à commenter (les “vrais” appareils photos 6X6 type Hasselblad, ne sont plus utilisés que pour les reportages “naturiste” en double-sens), plutôt qu’une arme létale, a été payant pour d’innombrables reporters qui ont (dé)couvert (sous les draps de divers Palace), de nombreux conflits au cours de l’histoire. Cela incluant la tendance dite “Poivre d’Amour” qui est de tout inventer depuis une suite de luxe en compagnie de beautés lascives et vénéneuses aux prestations englobées dans les frais généreux alloués, quoique (sous toutes réserves généralement quelconques et sans reconnaissance) cela n’a pas été le cas pour toutes et tous…
Certaines missions sont en effet très dangereuses, si pas lors de l’évènement prétendu, mais pour les suites liées aux miracles de l’amour incluant des pensions alimentaires et autres moyens corruptifs… Ne rien rien vivre pour en raconter l’histoire, mais sur-palper aux suites des non-histoires est devenu aussi courant que les mises-en-scènes Hollywoodienne ou tout n’est que décors de théâtres. L’exemple d’une journaleuse prétendument “enlevée sous rançon” en Amérique du Sud et revenant nette et fringante en Chanel après paiement d’une rançon Présidentielle… et d’une autre mimant une prétendue entrée de nuit en Syrie en TV en écran noir avec des bruits de casseroles… resteront des moments inoubliables du journaleurisme créatif qui est extraordinairement rentable et déduit des frais généreux… En notre cas de “mécaniques automobiles”, en papotant et présentant des clichés d’autos “politiquement incorrectes”, le risque est réputé nul d’autant plus qu’il est déconsidéré par les vrais baroudeurs comme du sous-journalisme, resucée classique car je suis le témoin survivant que même dans l’anodin, les pires “crapuleries” sont un fléau tel que ce que j’ai vécu avec le Groupe Michel Hommel qui a finalement fait faillite.
Voilà donc résumé en deux blocs de texte “lisibles” avant le couperet de l’abonnement (1 euro), ce qu’il en est de l’importance relative de l’esthétique classiquement aléatoire de ce Hot Rod Willys Coupe 1941 qui ne changera strictement rien à l’Histoire (j’ai mis un H majuscule pour marquer la différence avec les faits décrits en préambule)… Je vous concède que ce texticule bien couillu ne sera pas considéré comme un texte majeur mais défini comme devant être mis à l’index comme issu d’une pensée déviante provenant d’un individu symbolisant le “Politiquement Incorrect” le plus abject, qui de surcroit dépasse les limites du supportable… Je “reconnasse” qu’effectivement, si dans les années ’70 et ’80 et ’90, mes magazines Chromes&Flammes pouvaient être parfois chargés d’un retour publicitaire d’artisans et sociétés consuméristes se nourrissant des pires inutilités hiérarchisées via des concours souvent loqueteux dans des concentrations de tentes de camping car y offrant des coupes en fer-blanc en divers prix, les années suivantes marquées par la mise en scène de la démolition des tours WTC, ont donné le feu vert a diverses séries d’autres mises-en-scènes incluant l’affaire des vaccins Covid et la guerre en Ukraine…
Rien ne fonctionne plus “comme avant”… Le “Trop c’est Trop” devient même viral. Entre “Voter Macron pour faire barrage à LePen” et “Voter Trump pour ne plus avoir à supporter Biden”, on en est arrivé à donner le pouvoir à des clowns qui sont aussi instables et dangereux que l’image donnée du “Joker” (celui du film). Les 4 grands vrais “Jokers” que sont Ursula Von der Leylen, Emmanuel Macron, Donald Trump et Vladimir Poutine, n’ont que faire d’une guerre atomique car protégés dans leurs abris en attente d’une nouvelle ère ou ils se partageront ce qui restera, s’il reste quelque chose… Qui sait si la mission interminable dans l’espace ne serait pas un test de survie, qui en faits et réalités ne tient qu’au fil d’un possible retour qui ne serait pas empêché par une vraie panne, l’aléatoire paraissant trop important pour un jeu de “Jokers” qui déraperait pour un problème mineur, le “Allo Houston on a un problème” restant sans réponse à une mise en orbite qui s’avèrerait une mise en boite éternelle… En attente, les nazis sont maintenant devenus Israéliens à Gaza… et Ukrainiens à Odessa… Ca passe presque comme un spectacle de variétés et ça nous remet en questions sans réponses acceptables car filtrées par la presse aux ordres…
Les perspectives sont faussées comme le jeu d’échec de l’illustration. Que soit ainsi, je n’en peux rien changer si ce n’est en écrire pour qui sont abonné(e)s à un besoin de passe-temps ce qui démontre que la futilité n’est qu’un déversoir de diverses pensées… Alors j’en viens (enfin)à tapoter une histoire moins intellectuelle en une suite concernant ce Hot Rod rouge muni d’un compresseur et assorti d’une superbe et jeune plante carnivore en illustration… Soudain un “à quoi bon y passer tant de temps” se superpose à l’architecture éditoriale d’un sujet éphémère alors que j’en viens à tricher en ajoutant des “figures sexy’s” décoratives qui ajoutent du surréalisme à l’inutile besoin de tapoter de l’éphémère, au palpable par procuration… L’art est depuis longtemps un moyen d’exprimer les sentiments, les idées et les expériences de l’humain. Parmi les différents mouvements artistiques qui ont vu le jour au cours de l’histoire, le surréalisme se distingue par une fascinante exploration du subconscient. Les racines du surréalisme remontent au début du XXe siècle, lorsque certains/certaines ont cherché à exploiter les profondeurs cachées de la psyché humaine et à remettre en question les notions conventionnelles de la réalité.
Le surréalisme est un mouvement dont la naissance en fin des années vingt est avant-gardiste du Hot Rodding qui s’est évaporé des limbes des années de la grande dépression née au USA en suite/révolte provoquée par l’absurdité de la Grande Guerre 1914/1918. Le surréalisme a défini une véritable pensée qui cherchait à rendre l’homme à sa totalité, mais s’est révélé n’être qu’une manière de vivre, plutôt qu’une manière d’écrire, un ensemble qui, par ailleurs, s’est ouvert à la créativité aussi bien qu’à l’engagement politique. L’importance donnée à l’inconscient, découle à la fois d’une révolte contre les limites du rationalisme et de la découverte de la psychanalyse freudienne qui privilégie le rêve, l’intuition, la libre association d’idées. Un des objectifs du Surréalisme était la recréation d’un état mondialisé qui n’avait plus rien à envier à l’aliénation mentale… Il fallait que “le pensé” succombât sous le pensable, c’est-à-dire que l’esprit se détache de tout préjugé, de toute convention, pour laisser parler en lui l’automatisme psychique en véhicule de la révélation, remplaçant l’épopée par le “sans queue ni tête” et autres genres caducs, car rêver est un moyen de connaissance (tout autant que penser) qu’il faut analyser à ce titre.
Rêver “surréalistement” ne devait donc plus être un luxe de l’esprit, mais une de ses activités les plus révélatrices ! Et, en ce sens le surréalisme devait se rapprocher de la philosophie, réhabilitant le rêve en lui attribuant une importance aussi grande, sinon plus, qu’à la veille psychologique et métaphysique. L’humour simultanément devait alors permettre d’envisager le monde sous un autre angle en brisant les relations familières des objets. Ce devait donc être dans son essence, une critique intuitive et implicite du mécanisme mental conventionnel, une force qui extrait un fait ou un ensemble de faits de ce qui est défini comme leur normalité, pour les précipiter dans un jeu vertigineux d’inattendus surréalistes… Par un mélange de réel et de fantastique, hors de toutes les limites du réalisme quotidien et de la logique rationnelle, l’humour, et l’humour seul, donnant en finale à ce qui l’entoure, une nouveauté grotesque, un caractère hallucinatoire d’inexistence et une importance dérisoire, à coté d’un sur-sens exceptionnel et éphémère, mais total, bouleversant les habitudes par le dépaysement, par la surprise et par des rapprochements inattendus, libérant l’esprit et lui faisant prendre un nouvel essor “surréalistique”.
Le mouvement surréaliste, représenté en littérature française par A. Breton, Ph. Soupault, L. Aragon et P Éluard, comptait plusieurs peintres (Max Ernst, Salvador Dali, René Magritte, Paul Delvaux) et même des cinéastes (Luis Bunuel). En Italie, il fusionnait avec le futurisme, trouvant des prolongements dans l’œuvre d’Alberto Moravia et de Cesare Pavese. Dans le monde hispanique, Federico Garcia Lorca et Jorge Luis Borges l’ont relié à la tradition de la grande “métaphore impressionniste” inaugurée par Ruben Dario… Mais comme dans tout, l’origine se perd dans les méandres alors que surgit l’inattendu que plus personne n’attendait… C’est ainsi que sont nés fin des années ’30 les premiers “Throttle” en un temps ou le terme “Hot Rod” issu du consumérisme américain, n’existait pas. Il est apparu fin des années’40 pour masquer un vol qui va générer des milliards de $ de profits… Manifestement un Hot Rod et mieux encore un Rat Rod, symbolisent le surréalisme automobile comme le chopper se distanciant de la moto… C’est ainsi que, sortant d’architecture, j’ai créé un bureau surréaliste ainsi que créé des maisonnées minimalistes ainsi qu’un magazine d’architecture “Home”… Le tout premier Hot Rod en Europe étant mon Olds’48 qui fut le choc créatif avec la Taunus’49, des années Chromes &Flammes en 1979. Waouwwwww !… “Ité Missa Est”, la messe est dite, lisez la suite…
La suite est l’illustration de ce Hot Rod qui ne comporte strictement rien d’ancien de l’esprit des automobiles dites “de collection” puisqu’absolument tout est neuf… Le châssis est une construction 100% neuve, de même que les trains roulants, le moteur V8 598ci de 900cv,, la boite et les freins ainsi que la réplique personnalisée d’une carrosserie de Willys, en ce cas en fibre de verre, œuvre d’Outlaw Performance. Le Hot Rodding tend parfois à se gargariser d’utiliser d’authentiques carrosseries, ce fut vrai aux débuts d’il y a un siècle, au fil du temps passant, c’est devenu une industrie typiquement américaine qui “tourne”, c’est-à-dite fonctionne sans partage. La presse automobile européenne “politiquement correcte” dédaigne souverainement les Hot Rod’s, les Van’s et autres “Street Machines” ainsi que les Choppers, de même que les Kit-Car’s introduits en Europe Continentale par Chromes&Flammes fin des années ’70… Il existe même une haine viscérale qui a généré la guerre du Kustom en Franchouille… Et rien n’a été réalisé pour créer une vraie association capable de défendre cet aspect de la création automobile qui, il est vrai de le souligner, a été torpillé par les excès de journaleux incompétents…
Dans le climat guerrier pro-Ukrainien ne visant que l’utilisation très bon marché de la main d’œuvre de cette province Russe émancipée dès 1939 au nazisme, la créativité n’est pas la préoccupation de l’industrie qui vise à détrôner la Chine de son presque monopole des voitures électriques bon-marché. Une incorporation détruira les industries trop Françaises et Allemandes et Italiennes par le transfert des réalités de constructions qui sont en Ukraine 70% moins chères… Le calcul réalisé à court-terme incluait une nonchalance et une incapacité Russe qui furent mises à très mal par les meurtres atrocement barbares perpétrés par les pro-européens envers les pro-Russes dans la fausse révolution du Maïdan et à Odessa (un coup d’état financé par les USA). Il en ressort que l’automobile Européenne trop vite orientée vers l’électrique, se dégrade de même que l’économie de paix, que notre Empereur Macroléon auto sacré impérator européen, voudrait défendre en faisant marcher notre Grande Armée pour délivrer l’Ukraine et la Russie du prétendu tyran Poutine et ce avec les mêmes nations qui à l’époque s’étaient liguées avec l’Angleterre contre la France… Quel chamboulement !
On en revient à souligner qu’en appelant les USA au secours, nos chefs vaincus d’avoir déclaré la guerre à l’Allemagne nazie en amitié pour la Pologne qui n’a rien remercié, ont perdu tout l’Or des pays Européens transférés aux USA et se sont rendus à l’emprise américaine amenant à chanter “66 Road” et les Hot Rod’s au lieu de “Nationale 7” et les Citroën … Les USA ayant tout dépensé en guerres perdues (une guerre par an) ont commis l’extraordinaire escroquerie planétaire de la non-convertibilité du dollar avec l’or (qui n’existait plus) transformé en monnaie/dollars planétaire basée sur la confiance… Le Général deGaule devenu Président Français qui voyait clair, a donc fait développer l’arme atomique Française et envoyé le siège de l’Otan hors de France. En rétorsion, les USA ont créé la première fausse révolution (mai 68) en payant un “Con-Bandit” comme meneur pour pousser deGaule hors du pouvoir… Ce type de fausse révolution va ensuite être utilisé partout dans le monde, dont en Ukraine, avec les suites apocalyptiques qui s’en sont ensuivies, normalement non prévues, la Russie ayant préalablement été amoindrie avec le don d’autonomie d’Eltsine des territoires pris aux Nazis par Staline détruisant le nazisme…
Avouez qu’expliqué ainsi, c’est plus compréhensible… Rien ne dit qu’en finale si des bombes atomiques nous tombent dessus en représailles, nos survivants viennent à considérer Macron 1er empereur comme pire que le Maréchal Pétain… Le raccourci est audacieux, je sais, mais comme rien n’est vrai de tout ce dont on nous abreuve via des merdias qui appartiennent à des milliardaires, il se pourrait que renaître de sous les cendres atomiques soit possible sous forme d’une nouvelle espèce d’imbéciles récupéré par un escroc réinventant le cirque Zeelinsky et ses clowns… Je vous parie sans risque (car je serais mort ayant actuellement 75 ans) que peu à peu tout va recommencer de plus belle avec de nouveaux atroces et abominables carnages… On revient ici au test d’habitabilité long terme dans l’espace sous couvert d’une sorte de panne et à la volonté de divers milliardaires de contrôler ce potentiel devenir… Posséder le néant me semble plus facile qu’en attente du terme de vie qui n’excède pas 100 ans d’une vie devenant de plus en plus pénible à devoir supporter… Se faire construire une pyramide ou une station spatiale me semble des vanités inutiles, personne n’a jamais déposé de fleurs en souvenir de Khéops…
FEATURES
The engine is a Chevy 598-cu.in. OHV V8, based on a Dart Big M cylinder block.
It has a Lunati crankshaft, JE pistons, Oliver rods, a Lunati roller camshaft and a Jessel belt drive.
The engine also has Canfield aluminum heads, a Tital oil pump and a MSD crank trigger ignition.
The supercharger is a 14-71 type from The Blower Shop.
It’s used with two Gary Williams carburetors.
There’s also a Snow water/methanol injection system and an Aeromotive 1000 in-tank fuel pump.
The car has a 20-gallon fuel cell.
An electric water pump and a thick aluminum radiator are said to keep the engine cool in traffic.
Custom coated headers feed a custom dual-exhaust system.
The engine is estimated to produce more than 900 horsepower with 7 pounds of boost.
That goes through a Hughes-built Turbo Hydra-Matic 400 three-speed automatic transmission.
The torque is then transferred to a Ford 9-inch rear axle.
The transmission has a 2,800-rpm stall torque converter and a TCI racing-style shifter.
The rear axle is fitted with a limited-slip differential, 35-spline axle shafts, and 3.50 gears.
On the exterior, the fiberglass body was painted a House of Kolor metallic orange.
There are no reported blemishes in the finish or damage to the body.
The car’s cockpit has a decidedly competition-style design, with a multi-point roll cage.
There are also racing bucket seats fitted with harnesses.
The floor is carpeted and the dashboard is filled with multiple AutoMeter gauges.
Among them are air/fuel ratio and pyrometer instruments.
There’s also a large tachometer mounted atop the dashboard.
The dash was autographed by House of Kolor founder John Kosmoski.
It was cut to fit the controls and vents for a Vintage Air system that was not installed.
Additional vehicle features include Wilwood disc brakes with an electronic booster.
It wears 15-inch Budnik wheels with Mickey Thompson front tires and Hoosier rear slicks.
The Quick Time Pro slicks measure 31×18.50-15.