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Janvier 2025. L’effondrement vient de commencer ! Vous serez nombreux à dire ou penser sans doute, que l’effondrement avait commencé avant. Vous avez raison. Il faut créer les conditions de la croissance comme celles des effondrements, et côté conditions pour l’effondrement nous avons une brochette au mieux d’incompétents suffisants et prétentieux qui se succèdent depuis des années maintenant et qui ont parfaitement travaillé pour construire les conditions de notre effondrement. La phase dont je vous cause est plus grave. C’est la phase “avalancheuse”. C’est le moment de l’accélération, l’instant où tout devient visible, où plus rien ne peut s’arrêter. Cet effondrement que nous vivons est multiple. Il est financier d’abord avec une dette totalement hors de contrôle, un déficit ingérable. Des dépenses publiques totalement délirantes. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi. Il est sécuritaire ensuite.

Immigration incontrôlée, délinquance non combattue, narcotrafic en pleine expansion, violences inouïes dans les rues. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi. Il est sur les services publics qui ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, hôpital, école, justice etc. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi. Il est économique avec la dette, le déficit, mais désormais le chômage qui augmente, la croissance négative, les recettes fiscales qui s’effondrent, l’explosion des faillites d’entreprises…. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi. Le prix du silence est désormais supérieur aux coûts politiques de l’ouvrir et aux risques de contrôle fiscal ! Partout en Europe, surtout ici en France, comme là-bas en Allemagne, quelques-uns dont des grands patrons l’ouvrent eux, si discrets. Le pouvoir de nuisance de l’Etat à l’égard de ces grands patrons et de ces grandes entreprises est tel, que culturellement ils se taisent.

Ils n’attaquent jamais l’Etat en public et se contentent de messages forts diplomatiques et aimables dans les cénacles feutrés et discrets des réunions ministérielles. Mais cela ne suffit plus. Tout s’effondre. Tout s’effondre y compris les salariés qui ne veulent plus travailler. Partout, une grande démission silencieuse et parfois bruyante. Après 30 % d’inflation, les salaires eux restent faibles. Le travail ne permet plus une vie décente. Mais vu les charges sous lesquelles les entreprises croulent elles ne peuvent pas augmenter les salaires se battant déjà pour survivre. Je parle ici des PME ou TPE qui représentent l’essentiel de l’emploi. Pourquoi ? Parce que nos Mozart de la finance, de la politique et de l’économie ont tout bloqué. Ils ont réussi à bloquer tout un système en mettant des règles partout, en interdisant tout, en compliquant tout, en forçant les gens à tous les niveaux.

Forcés vous êtes à passer des heures à faire des déclarations dans tous les sens, à utiliser partout et pour tout des applications pour faire le boulot des autres, des permis, des cerfa interminables, des contrôles, des pénalités, des sanctions… Sans oublier le tri des poubelles devenu compliqué. Quand tout est trop compliqué les gens finissent par ne plus faire. Pour les derniers courageux, ce sont les taxes, les impôts et les charges qui viennent définitivement vous vacciner à triple dose sur l’envie de mener à bien un projet plein d’emmerdes pour ne rien gagner au bout. Alors le pays s’arrête. C’était prévisible. C’était évident. Depuis 6 mois c’est palpable. N’accusez pas la dissolution ni l’absence de budget. Ce ne sont là que les détonateurs d’une situation dont les conditions étaient en train de terminer de se mettre en place. L’effondrement vient donc de commencer.

Et maintenant que va-t-il se passer ? Les Etats-Unis de Trump vont montrer à quel point l’Europe est nue, ruinée, non compétitive, sans sécurité et en voie de tiers-mondisation financière comme sécuritaire. Pire, l’Europe a décidé de manœuvrer les populations d’ex-pays de l’Union Soviétique en fomentant des coups d’états, pareil qu’en Afrique et ailleurs, dans “nos” colonies. Le but n’étant pas “Liberté, Egalité, Fraternité” mais de fabriquer des objets consuméristes à très bas salaires sans tenir compte que nous allions y perdre nos emplois nationaux pourtant déjà chancelants. Majoritairement la France avait voté “NON à l’Europe”, les mêmes qui nous l’ont imposé par un tour de Jarnac se sont servi de la France pour s’accaparer des milliards de la Libye, créant un total rejet de nos fausses valeurs en boutant la France hors ses colonies, partout, surtout en Afrique et nos mêmes escrocs sont à nouveau en action en Ukraine…

Mais cette fois dans un système de retour de 50% des dons de charité aux donateurs, calqué sur le même système que pour les faux vaccins rendus obligatoires dans un faux climat de panique de fin du monde… Le pire de l’arroseur arrosé est que nos aides en armements sont vendus aux pays d’Afrique pour contribuer à nous en jeter dehors. Nous ne sommes qu’au début de cette phase avalancheuse. Elle va s’accélérer tout au long de cette année 2025. Les situations économiques et sécuritaires de la France et de l’Europe vont se dégrader très significativement. Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous ! On ne vit qu’une fois, ça passe vite et personne n’en revient jamais… Il y a des moments dans la vie où il faut savoir reconnaître une bouse quand on en voit une. En général, on s’en rend mieux compte quand on y est plongé jusqu’au pif.

Pire encore lorsqu’on a le fond de la gorge qui cherche à recracher ce qui rentre par les naseaux. Qu’on se baigne le tarin au délicat fumet de la daubasse qu’on a fomenté tout seul. Là, je crois bien que nous l’avons toutes et tous dans le pif. moi y compris qui s’était dit qu’écrire des articles et les publier en magazines, ça pouvait être exhaltant, le Groupe Hommel a voulu me copier en me coulant d’une délation fiscale, une espèce de guerre, et ce fut aussitôt la gabegie, la porte ouverte à toutes les fenêtres, la boîte de nuit de Pandore, le connard nouveau était né, le Kustom bourrin, les Van’s psychédéliques et la passion pour le Tuning des champs. C’était la ferme célébrité. Vous n’imaginez pas combien j’ai vite appris que la vraie vie si courte c’est crapuleries à tous les niveaux. Je suis parti vers le numérique naissant, un jour de mes débuts informatiques, il y a eu plus de mille connexions…

Mais c’était une invasion virale de mécontents de mes attaques répétées contre l’Omlet Baveuzzzz de sa très gracieuse majesté Fufutesque. Bien sûr, je ne passais pas son temps à regarder les statistiques, c’était plus par curiosité. De fil en aiguille, certains se mirent à commenter, sans attendre de clic en retour, juste parce qu’ils n’avaient rien écrire de plus qu’à dire, et même et surtout quand ils n’avaient rien à dire de constructif et utile. Ils analysaient, avec finesse et lourdeur, avec partialité et une objectivité teintée d’un effroi voluptueux, le Kustom des champs, la philosophie des cités, la politique des extrêmes, la télé réalité, le cinéma de Louis deFunès, la musique qui fait du bruit, la carpetologie et la bobologie, sans oublier de régulièrement donner diverses opinions douteuses sur tout et n’importe quoi… Mais le temps passe et emporte avec lui trolls et lols ne s’étonnant pas d’avoir reçu la bagatelle de zéro commentaire.

Et ce avec une flegme excitation d’analyse de la situation préoccupante et conclu que les commentaires étaient partis sous d’autres cieux liker des retweets. Devenu mondial 3 en 1 GatsbyOnline, ChromesFlammes, SecretsInterdits attirent des abonnés, un euro c’est pas cher payé, en comparaison des “trucs consuméristes” de mode et de guerres avec articles sponsorisés et subsides gouvernementaux versés aux milliardaires qui possèdent les merdias qui ne servent qu’à vendre des faux rêves à des gens qui ne savent même pas reconnaitre la vraie couleur du monde en renâclant au gout de la pisse en sortie du goulot, après s’être lancés dans des projets foireux et des concepts débiles comme sèment leur sperme dans un bordel Ukrainien les ceusses qui doivent se contenter des triques minables. C’est la life. Comme on dit dans le bizness : “Quand ça sent la daube, il faut savoir lâcher l’affaire”…

Trop de conneries nous rattrapent, plus balèzes que chaque MOI profond. On a pété plus de câbles et de durites que n’en contient le moteur qui nous fait tourner. Comme on dit au poker, faut se coucher, rendre la caillasse, éviter la case prison à se faire justice et le nucléaire total, faut s’arracher sans pot de départ, quitter le rafiot Europe qui ne fait plus marrer les Français, c’est à dire les contribuables qui ne parviennent plus à douiller l’hébergement. Ce n’est jamais simple de tourner la dernière page… Fin de l’intimité, fin des mots, fin des phrases, fin du film, fin de l’histoire. Ce n’est pas simple de commencer à nouveau, d’entamer, de négocier un tournant, d’accepter de changer. On remballe ses affaires, on se souvient, on gomme les mauvais passages, comme moi avec le vol de ma LéaFrancis au nom d’AXA, on se dit que la vie continue, qu’on a aimé passionnément, qu’on a échangé et qu’on a changé.

Et puis, un dimanche matin, le soleil se lève à nouveau et quelque part, une autre aventure commence. Il vous suffit de vous abonner ici pour un euro pour continuer au détour des vents contraires, déboucher une belle et bonne bouteille loin des réseaux asociaux… C’est si simple… Vents spatiaux fulgurants, éruptions solaires et barrières de comètes. Supernovas, planètes en roue libre, voyager en light speed… Textes ahurissants, épileptiques, et angéliques : la gueule ouverte, du rivotril à la place du sang, dans un club gGbber, aveuglé par les stroboscopes…. Waouwwww ! Divaguer sans mission, au grès des tempêtes galactiques, avec des trous noirs qui te hurlent que la limite légale est dépassée… C’est le rouleau compresseur d’after party… Comment définir un mélange cohérent ? Je ne sais pas, c’est un peu Hard To Say… Pas de retraite anticipée au Panama payée avec l’or des internautes.