Jeep Grand Wagoneer Vintage 2024 807cv V8 Hellcat Redeye
Au début du XXe siècle, l’Argentine était l’un des pays les plus riches du monde. La capitale, Buenos Aires, était connue comme : “La ville de Paris de l’Amérique du Sud”. Beaucoup de choses peuvent se passer en cent ans. L’Argentine traverse aujourd’hui une grave crise. Elle a fait défaut sur sa dette souveraine à trois reprises depuis 2001 et, il y a quelques mois, elle a été confrontée à un taux d’inflation annualisé de plus de 200 %, l’un des plus élevés au monde. Pourquoi ? Que s’est-il passé ? Est-ce que cela peut arriver en France ? Quelle est la solution ? Simple, soit attendre que tout explose, que l’économie explose et que toute les castes politiques poubelles s’effondrent avec elle. Soit tenter d’ouvrir les yeux des populations abêties par le capitalisme et le consumérisme… La guerre en Ukraine nous est faussement présentée pour créer une diversion politique à un monde occidental qui crève lentement en suite de ses attitudes colonisatrices… La situation est critique. Les changements dont notre pays a besoin sont donc drastiques.
Il n’y a pas de place pour le gradualisme, pas de place pour les mesures tièdes. Rien de progressif dans ce qu’il convient maintenant de faire : Eliminer les ministères et les services gouvernementaux, réduire à quasi rien les réglementations, privatiser les entreprises publiques et créer délibérément une récession pour freiner l’inflation incontrôlable. Il faut voter pour le changement. Faire bouger les choses d’une manière qui pourrait sauver des vies pour le pays, même si cela signifie de jongler temporairement avec les difficultés économiques à court terme, quoique tout le monde n’est pas prêt ou capable d’attendre que les choses s’améliorent. Les dons de charité à l’Ukraine proviennent de nos impôts, de notre travail, de nos misères de vie et sont donnés/jetés/offerts par les chefs de nos Gouvernements et d’institutions européennes, parce qu’ils sont illico ristournés à 50% aux donateurs et donatrices sur des comptes privés off-shore indétectables…
C’est le même système mis au point pour les vaccins Covid ou on retrouve la même sorcière Européenne qui empoche des centaines de millions et la bande des profiteurs qui se moquent bien de la hausse des prix des denrées alimentaires et la hausse de la pauvreté de millions d’êtres humains qui, s’ils descendent dans la rue pour protester contre les mesures d’austérité sont matraqués et teasés… Suis-je étrange et idiosyncratique d’oser écrire ce que je pense ? Ce terme a été notamment utilisé par André Gide dans son roman “Paludes” paru en 1895 : “Nous ne valons que par ce qui nous distingue des autres ; l’idiosyncrasie est notre maladie de valeur face aux influences de divers agents extérieurs”… Sans doute suis-je un anarcho-capitaliste, ce qui signifie essentiellement que je crois que les États sont des organisations violentes qui vivent d’une source coercitive qui est l’impôt… En janvier “j’ai fait Davos”, je rentre “partouze”, c’est une station de montagne alpine qui accueille le Forum économique mondial annuel.
C’est traditionnellement un endroit où les gens qui pensent tous de la même manière vont boire du champagne et se dire à quel point ils sont intelligents. J’ai voulu exploser ce consensus confortable : “Aujourd’hui, je suis ici pour vous dire que le monde occidental est en danger. Et elle est en danger parce que ceux qui sont censés avoir défendu les valeurs de l’Occident sont cooptés par une vision du monde qui mène inexorablement à l’anéantissement des masses via la pauvreté généralisée qui permet de faire fonctionner les usines sans gardes-fous en “No Limit”… Travailler ou crever… Alternative : Être obligé de faire les guerres à l’infini, les guerres de l’Occident contre le reste du monde… A défaut, c’est l’enfermement, comme au Ghetto de Varsovie et dans la bande de Gaza, puis l’extermination totale”… Avec les Médias devenus Merdias car achetés par les milliardaires pour régenter les opinions, les journalistes sont devenus des extorqueurs, des menteurs, des parasites aux sévices de qui les paye…
Depuis des mois, les étudiants d’universités américaines, telle Stanford appellent à l’Intifada, scandent des slogans dans une impulsion autodestructrice du système qui s’est emparée d’une multitude personnes parmi les plus intelligentes du monde occidental affirmant que l’Occident est en danger parce que nos pontifes font obstruction aux revendications et refusent de torpiller les fausses valeurs qui ont fait l’illusion de la grandeur de l’Occident. Et cela s’est produit parce que le socialisme a gagné la bataille. À tort, les libertariens pensaient que la chute du mur de Berlin était la fin de l’histoire et pensaient que le socialisme était littéralement mort. Pourtant, le socialisme s’est regroupé et a transféré la lutte des classes prônée à l’origine par le marxisme à d’autres aspects de la société. Et avec une stratégie à la Gramsci, il est entré dans les États, dans les gouvernements, dans l’éducation et les médias et aussi dans la culture. Ils ont mené une bataille culturelle, et ils l’ont gagnée alors que leurs idées ruinaient les idées des vraies libertés.
Au contraire, les libertariens n’ont pas mené le combat. Aujourd’hui, aux États-Unis, vous pouvez voir comment la bataille culturelle a été gagnée et ils finissent par défendre des régimes ou des groupes qui sont des meurtriers. C’est une conséquence du fait que les libertariens, n’ont pas mené la bataille culturelle. Et c’est pourquoi lors de Davos, certains ont dit que l’Occident était en danger. Je ne profite pas de ma tribune qu’est le mix GatsbyOnline et ChromesFlammes pour guider les moutons, mais pour réveiller les lions. Donc, ce que je peux voir, heureusement, c’est que dans le monde entier ou mon site-web est diffusé 24h/24 avec traduction automatique dans toutes les langues, il y a beaucoup de lions libertariens qui se réveillent. Donc, même si le présent peut sembler sombre, je pense que les racines d’un avenir bien meilleur sont florissantes… Malheureusement, avec mes 75 ans, les Flammes des Chromes de mes débuts doivent être boostées…
Finalement, puisque j’écris dans mon mag’ qui est tourné vers les bagnoles, je m’adapte en fonction des paramètres… Entrer et sortir de Supercars est certes sportif, quoique ridicule, aussi j’en viens à préférer une Jeep Vintage “Up To Date” réadaptée comme celle qui illustre cet article… Je suis vieux mais encore conscient des limites humaines, aussi un bon vieux Wagonner me convient… Ce Jeep Grand Wagoneer de 1988 aurait pu être en route vers la casse ou déjà contorsionné dans un broyeur à l’heure actuelle. Mais la société américaine “Vigilante” avait des plans totalement différents pour le SUV Vintage et ont fourni à GatsbyOnline/ChromesFlammes matière à la réalisation d’un article concernant l’ancienne-nouvelle Jeep Grand Wagoneer Hellcat Redeye 1988/2024 rajeunie avec un moteur HEMI de 807 chevaux et un intérieur inspiré des Rolls-Royce. Ne me faites pas remarquer l’ambiguïté de ma réflexion d’environ 40 lignes de texte en ouverture, j’en suis conscient et cela fait partie des contradictions humaines dont je finirais par être libéré d’ici 25 ans…
Cette Jeep Grand Wagoneer de 1988 reconstruite sur mesure a été convertie sans altérer son authenticité en visant divers clients potentiels de mon acabit. Les gens composant la société Vigilante ont insufflé une nouvelle vie à ce 4X4, transformant un bourreau de travail polyvalent en un SUV haut de gamme. Le modèle lambrissé porte fièrement un cramoisi ardent pour effrayer les multisegments sur l’autoroute et se vanter de ses capacités une fois qu’il quitte les abords de trottoirs de plus en plus inhospitaliers à Paris. La réaction engendrée est que je ne mets plus les roues de mes véhicules dans Paris tout comme le font diverses de mes relations. Comme le disent mes voisins Tropéziens, quel est l’idiot qui irait se promener à Paris avec une toile de VanGogh sous le bras pour n’en pas perdre ce qu’elle irradie dans son imagination ? Grace aux techniques actuelles, il n’est quasi plus nécessaire de se déplacer selon les vieux préceptes d’affaires…
La réalisation, par exemple, d’un magazine numérique me permet de tout créer/réaliser moi-même sur un ordinateur alors que lorsque j’éditais Chromes&Flammes “papier” il était nécessaire de disposer d’un nombre incroyable de postes et de gens rien qu’en pré-press, alors que la mise en branle de l’impression papier nécessitait une rotative et un tas de gens, avec ensuite des camions de 20 tonnes pour tout acheminer aux dizaines de milliers de points de vente… Une galère abominablement couteuse et peu soucieuse de la préservation de la planète… Que de changements en un demi siècle. Bref… Spécialisé dans la restauration de Jeeps classiques, Vigilante m’a affirmé/démontré que les véhicules qu’ils reconditionnent peuvent atteindre un niveau étonnant positif. Jeep a lancé le Grand Wagoneer en 1963 et l’a maintenu jusqu’au début des années 1990, en faisant l’une des marques les plus durables de l’industrie automobile. Cependant, la dernière itération s’est transformée en un véhicule de collection que je vous présente dans cette chronique.
L’une des raisons qui a amené Vigilante à le construire et commercialiser est le soi-disant “sunset stretch”, axé sur les fonctionnalités haut de gamme et la technologie moderne. Père des VUS d’aujourd’hui, le Grand Wagoneer a toujours été qualifié de polyvalent et de fiable et maintenant, la version de Vigilante sur ce modèle pratiquement inchangé jusqu’à la fin de la production par Jeep, fait basculer aujourd’hui sa forme carrée comme s’il s’agissait de quelque chose de futuriste…. Tout est dans l’attitude… La reconstruction personnalisée gravite autour d’un châssis moderne nouvellement développé, exclusivement conçu par Vigilante, auquel les panneaux de carrosserie s’adaptent comme un gant. Les experts de Vigilante sont également ceux qui ont transplanté un nouveau moteur sous le capot. Ce Grand Wagoneer Jeep est selon eux un Restomod alimenté par un V8 HEMI Hellcat Redeye de 6,2 litres de 807 chevaux… Une version avec un V8 “Hellephant” permet de dépasser 1.000 chevaux…
Si vous me demandez “pourquoi ?”, je vous réponds d’avance de l’essayer… C’est presque cinq fois plus puissant que le moteur original de 144 chevaux. Le HEMI est couplé à une transmission automatique Bowler 4L80E à quatre vitesses haute performance, ce qui l’aide à distancer la plupart des véhicules actuellement sur la route. Il peut pour certains fanatiques de Supercars, ne pas avoir l’air d’avoir des performances de Supercar. Mais ce n’est qu’un masque qu’il met avant de libérer toute la puissance des 807 chevaux, allant aux quatre roues via la boîte de transfert renforcée Atlas-II et les essieux Dana 44/Dana 60 Currie Enterprise. La bête roule sur une suspension hélicoïdale Eibach à quatre bras avec amortisseurs Fox Racing, tandis que les freins à six pistons avec assistance électrique Hydroboost fournissent la puissance de freinage sur des jantes spécialement usinées de 17 pouces d’aspect stock d’usine. La restauration a commencé par le démontage du véhicule avant de commencer les réparations de tôlerie.
Les vitrages ont été changés par du verre trempé et une insonorisation “Dynamite” antibruit étendue fait que le silence est effectivement d’or…. La climatisation moderne, interface avec celles d’origine, est apparue à bord pour les sièges avant et arrière. La cabine arbore du cuir Moore & Giles avec des inserts en velours côtelé New Old Stock. Tous les sièges sont désormais dotés de nouveaux ressorts, de la mousse et du rembourrage. Vigilante a réussi à reproduire la longue moquette à poils longs en utilisant des peaux de mouton rares, les mélangeant et les tannant pour créer une ambiance extravagante à bord et de nouveaux compteurs d’apparence d’origine ont été installés dans le but de conserver l’apparence classique. Tout à l’intérieur de la cabine est conçu et construit dans un souci de confort et de luxe pour offrir une sensation de salon à ceux qui y sont assis. Afin de faciliter l’entrée et la sortie, Vigilante a intégré une marche escamotable électriquement lorsqu’on déverrouille les portes.
À l’heure actuelle, la Jeep de série la plus puissante sur le marché est le Grand Cherokee Trackhawk, propulsé par le même V8 HEMI de 6,2 litres, il bénéficie de la présence de 707 chevaux et d’un couple de 645 livres-pied pour une course de 0 à 60 mph en seulement 3,5 secondes, un quart de mile parcouru en 11,6 secondes et une vitesse de pointe de 180 mph. Mais la Hellcat Redeye 1988 Jeep Grand Wagoneer n’est pas la Jeep la plus puissante jamais sortie de l’atelier Vigilante. L’année dernière, la firme a présenté une Jeep Grand Wagoneer de plus de 1 000 chevaux avec un moteur Hellephant. C’étaient, en effet, les deux bêtes de marque Jeep les plus puissantes du marché. Lorsque Jeep a lancé son break 4×4 en 1963 il développait 140cv. Les temps ont changé. Vigilante décrit la construction comme “s’inspirant de l’artisanat des Rolls-Royce” À peu près tout, des jantes aux panneaux de bois sur les côtés, est une récréation d’origine. Bien sûr, tout ce savoir-faire sur mesure n’est pas bon marché. La bête s’affiche pour être à vous pour 385.000 $…
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