KEN POSIES FENICAL Euroliner “LITTLE Deuce Coupe”
Les Beach Boys ne chantaient pas seulement les Californiennes blondes et bronzées qui faisaient du surf dans les années soixante. Les belles américaines de General Motors, Dodge ou Ford les inspiraient aussi. En fait, jamais un groupe n’avait inclus dans son répertoire autant de bagnoles nommément citées. Un vrai catalogue de la production US, surtout les modèles qu’utilisaient certains jeunes afin de concevoir des Hot-Rods surpuissants au volant desquels ils se livraient à des courses de rues. Le paradoxe de cet intense “name-dropping”, est que Brian Wilson et ses consorts du Groupe “Les Beach Boys” n’étaient pas “Les Garçons de la plage” (les Plagistes) vraiment versés dans l’univers de l’automobile, au contraire de certains paroliers mis à contribution. Faire ainsi la part belle à la culture automobile du début des sixties permettait de manière consumériste au groupe d’entretenir un lien de proximité avec la jeunesse américaine qui baignait dans une société de consommation en pleine éclosion où les bagnoles occupaient une place de choix.
Little Deuce Coupe / https://youtu.be/piKfnqIxggE
En 1963, les Beach Boys ont ainsi sorti “le Tube” de l’année : “Little Deuce Coupe”, un enregistrement qui est devenu disque de platine. 50 ans plus tard (un demi-siècle c’est une moitié d’éternité en automobile). “Posies Rods and Customs” a résolu d’illustrer ce tube en l’interprétant en acier. Il s’est toutefois gravement mélangé les pinceaux en se trompant de style, car son Euroliner n’a strictement rien en commun avec le “Little Deuce Coupe” de la chanson… Quoique son Euroliner a commencé sa vie comme une carrosserie de coupé Ford “Deuce” à trois fenêtres de chez “Brookville Roadster”, une société connue pour ses reproductions métalliques de Ford destinées à des restaurations automobiles exigeantes et à des fabrications de Hot-Rod’s de 1928 à 1932, c’est le traitement façon bagnole européenne qui foire le concept…
Mais bon… C’est ainsi… Finalement cela démontre que tout n’est que prétexte à n’importe quoi pour générer du flouze… Toutes les carrosseries de “Brookville Roadster” sont exactement les mêmes carrosseries que celles des Ford d’origine, et toutes les pièces sont totalement interchangeables soit pour des restaurations soit de créations. À partir de là, pour son Euroliner, Ken “Posies” Fenical a demandé à la carrosserie “Brookville” de lui fournir gratuitement une carrosserie que Ken a fortement modifié pour imiter les coupés européens des années 1928 à 1932 en assurant que cela allait leur faire un max de pub dans le monde entier… Le gars est certes génial, mais est un super opportuniste !
-J’aime faire des déclarations, m’a expliqué Ken Fenical, en réponse à mon commentaire !
-Et quel genre de déclaration dans ce cas ?
-Je me f… totalement de votre introduction, aux USA tout le monde s’en f… Les Hot-Rodders vont s’en f… Même vos lecteus vont s’en f… Ils retiendront MA version qui est un hommage aux carrosseries européennes… Paf dans la gueule ! Rien à f… Ce qui m’importe c’est d’avoir un article dans GatsbyOnline sans rien payer. Point. L’avant repose sur les ressorts Super Slide “Posies” et un essieu Super Bell “I-beam”. Un Tableau de bord personnalisé dissimule le système moderne d’air conditionné “Vintage Air HVAC”. Le sens des nervures et du grain des boiseries a été appliqué de manière experte façon “Posies” sur le tableau de bord. Si ce n’est pas indiqué dans l’article, il n’y a pas d’article. Donc c’est du donnant-donnant. Voilà, c’est simple et cool.
-Qu’est-ce qui vous a inspiré ?
-La Bentley 1931 “Blue Train” qui a couru contre des locomotives allant de Calais, en France, à la Riviera Française dans les années trente. L’intention de Bentley à l’époque était de démontrer qu’une voiture pouvait rivaliser sur un pied d’égalité en termes de vitesse, de confort et de durabilité.
-Pourquoi alors ne pas avoir utilisé une Bentley ? La réalité c’est que vous affichez un tout autre but en créant votre Euroliner !
-Pour commencer, on peut en terminer de suite ! Mon but c’est d’avoir un article en Europe, le vôtre c’est d’avoir un sujet d’article ! Donc on va causer de ma création de la manière dont j’ai envie. Donc, tout l’arrière de la carrosserie a été retiré sous la lunette arrière, seule une petite partie du quart de panneau restant derrière le montant de la porte a survécu. Ensuite, le capot et la partie avant du toit ont été divisés le long de la ligne centrale et ont ensuite été élargis de 6 pouces, éliminant la conicité de l’arrière vers l’avant de la carrosserie de 1932. Rendre les fenêtres parallèles, plutôt que de se rétrécir vers l’avant, donne à l’Euroliner une forme majestueuse pour plus de présence et de panache. En plus de ces changements de carrosserie, l’arrière du toit a été coupé et déplacé d’un pouce et demi.
-C’est comme une recette de cuisine ! Si vous commencez à donner le grammage des ingrédients cça ne donne plus l’envie d’attendre ! Et La mécanique ?
-Un moteur Ford 302ci avec têtes SVO fournit la puissance nécessaire pour déplacer facilement l’Euroliner, les chevaux passent par une transmission manuelle à cinq vitesses TREMEC qui fait tourner l’essieu arrière Ford de 9 pouces. La configuration personnalisée à triple carburateur est surmontée d’un purificateur d’air fabriqué maison.
-Ensuite ?
-Une fois la forme retravaillée, mes techniciens “Posies” ont ensuite placé la carrosserie sur le châssis afin que le reste des panneaux puisse être fabriqué. La cloison pare-feu a été soudée à partir de deux pièces jointes verticalement. L’arrière de la carrosserie a été incliné/cabré à l’aide d’un seul panneau, entourant l’arrière de la carrosserie qui portait le même thème que sur la cloison pare-feu. Les panneaux d’angle arrière ont été formés pour rencontrer les panneaux latéraux et arrière. La ligne de carrosserie Ford 1932 de série a été transportée à travers les panneaux d’angle à travers le panneau arrière. Le remplissage arrière inférieur, les panneaux de plancher et le tunnel de l’arbre d’entraînement ont été fabriqués et soudés à la carrosserie.
-Faire d’une carrosserie Ford’32 une Bentley est assez… euhhhh… poliltiquement incorrect ! Je vous l’ai déjà dit, mais j’y reviens car ça m’est dérangeant…
-Oui, sans doute à vos yeux de frenchie, mais ici aux States, c’est América First. Point !
-Continuez la description de votre travail…
-La queue de bateau est en aluminium. Deux panneaux ont été utilisés pour fabriquer le haut du coffre tandis que plusieurs pièces ont été utilisées pour fabriquer le périmètre, roulées à la bonne forme, puis soudées ensemble. Tout l’arrière de la carrosserie a été retiré sous la lunette arrière, seule une petite partie du quart de panneau reste derrière le montant de la porte.
-La suite ?
-Des marchepieds incurvés en trois parties sur mesure ont été fabriqués en aluminium tandis que les quatre ailes ont été fabriquées en acier. L’arrière est un traitement en forme de queue de bateau inspiré des voitures de course et de sport construites par des entraîneurs des années 1920 et 30, mais avec une configuration complètement différente en dessous. Donc, tout compte fait, c’est comme les Beach Boys chantaient : “Vous ne savez pas ce que j’ai. C’est mon coupé Euroliner”…
-America first, c’est ça ? Le spectre de l’America first, le slogan de Donald Trump, flotte actuellement sur le conflit ukrainien. C’est un travail de sape de la politique étrangère de Joe Biden qui est à l’œuvre dans les rangs républicains. Certaines voix, proches de l’ex-président des Etats-Unis, Donald Trump, critiquent l’aide apportée à l’Ukraine aux dépens des propres intérêts du pays. Et c’est vrai que sur ce point l’Amérique vient emmerder l’Europe dans le seul but de créer un conflit total avec la Russie. Qu’adviendrait-il de l’Ukraine si Donald Trump occupait actuellement le bureau Ovale de la Maison Blanche ?
-Je n’en ai rien à f… En 2019, il avait été mis en accusation par la Chambre des représentants pour abus de pouvoir, après avoir bloqué temporairement une aide militaire destinée à Kiev. Il s’agissait alors pour lui de forcer la justice ukrainienne à ouvrir une enquête sur son futur adversaire à la présidentielle de 2020, Joe Biden qui est corrompu jusqu’aux os comme le clown de Zeelinsky. Ce sont deux putes qui se font un max de fric sur le dos des masses d’imbéciles qui agitent des drapeaux. C’est comme ça que tourne le monde. On serait à leur place on ferait pareil et tout le monde également.
-John Bolton, a assuré dans ses Mémoires que Trump aurait profité d’un second mandat pour retirer les Etats-Unis de l’Europe. Il n’a jamais masqué son mépris pour l’organisation transatlantique avant même son arrivée au pouvoir.
-Je pense que les gens vont se retrouver dans une récession et que leurs chèques en blanc à l’Ukraine seront des chèques en bois sans provision. “L’Europe va capoter dans la merde”, a assuré l’élu de Californie à un site d’information politique de Washington. Et nous voulons tous aider l’Ukraine. On est des connards de merde ! En même temps, vous savez, nous avons des problèmes dans notre propre pays qui restent non résolus, et nous n’avons aucune idée du plan de l’administration. Tout le monde s’en f…
-Quel est le but de ce bordel ?
-Ouaisss… Où allons-nous ? L’argent de nos impôts est-il utilisé à bon escient ? Ahahahahahah !
-Si le Congrès bascule dans le camp républicain au 1er janvier 2023, l’aide américaine sera-t-elle drastiquement revue à la baisse ?
-Je n’en sais rien, je m’en f… Je suis un constructeur de Hot-Rod, pas un politicien ! Il est difficile d’imaginer les États-Unis des années 1950 sans maisons de banlieue avec des clôtures blanches, du Rock’and’Roll et beaucoup de voitures. Parmi les croiseurs de Detroit avec leurs ailerons de queues bien élevées comme des pénis en érection et les importations en provenance d’Europe qui commençaient tout juste à trouver leur chemin, sur l’Interstate roulaient des Hot-Rods, des voitures des années 1930 et 1940 avec des caisses abaissées, des carrosseries presque complètement dépouillées, des travaux de peinture sauvages et des adolescents au volant tripotant des adolescentes en chaleur rêvant de se faire sauter. Aujourd’hui encore, ces connards et connasses sont reconnus dans le monde entier comme des symboles de la culture américaine au même titre que le Big Mac. C’est drôle, avouez !
-D’où vient cette culture automobile, comment se porte-t-elle aujourd’hui et quelles sont ses perspectives d’avenir ?
-L’origine précise du terme Hot-Rod est inconnue. Il existe plusieurs théories, l’une étant que ça fait référence au vol de voiture ! Car les premiers Hot-Rods étaient des autos volées et dépouillées. Avec le temps, c’est devenu une mode comme bien plus tard les pantalons portés en dessous du cul par des taulards blacks… Encore des connards ! Cependant, la théorie la plus populaire est qu’elle vient du mot “chauffer”, ce qui signifie modifier une voiture pour plus de performances. Les ancêtres des Hot-Rod’s étaient les voitures modifiées conduites par des coureurs de “Moonshine” pour échapper aux flics pendant la prohibition. Les premiers vrais Hot-Rods sont apparus en Californie après la fin de la guerre, en ’45… Faut savoir qu’à la fin des années 1920 et au début des années 1930, un nombre croissant de Ford Model T et Model A avaient vu leur jour. À l’époque, c’étaient les voitures les plus répandues, de sorte que vous pouviez obtenir une Ford d’occasion pour moins de 50 dollars. Même en Amérique qui sortait tout juste de la Grande Dépression, ce n’était pas beaucoup d’argent, alors c’est ainsi que beaucoup de jeunes ont acheté leurs premières autos. Mais quel genre de jeune homme serait satisfait d’un Tin Lizzy standard, arborant la peinture noire qui était la seule option offerte ? Les premières modifications ont commencé avec les moteurs. Au début des années 1930, Ford a lancé son premier moteur V8 et, en quelques années, les casses automobiles en étaient pleins. Après guette, en ’45 ’46 une Ford Model A ou T (au début, il devait s’agir d’un roadster pour qu’elle soit aussi légère et rapide que possible) etait équipée d’un moteur V8, sa carrosserie dépouillée autant que possible, ce qui restait de la carrosserie était peint avec des couleurs vives et des dessins, et voilà, comment sont nés les Hot-Rod’s.
-Les adolescents faisaient la course avec ces hybrides sur les lits de lacs asséchés ou dans les déserts, dont la Californie avait beaucoup…
-Ouaissss ! Et c’est ainsi que le Sunny State est devenu le berceau de la culture Hot-Rod. Ces V8 avaient créé une véritable révolution à la fin des années 1930, les casses en sont devenues surchargées et après-guerre on pouvait en mettre un dans sa beauté flamboyante pour seulement quelques dollars et aller faire des départs arrêtés dans les paysages californiens. L’essentiel était que ce soit aussi bon marché que possible, c’était l’ABC du Hot-Rod.
-Cependant, la culture du Hot-Rod avait aussi ses inconvénients !
-Oui, même s’ils couraient principalement sur des lits de lacs asséchés, les hormones, les moteurs puissants, la mauvaise maniabilité de l’ancienne Ford Model T, qui avait encore des freins contrôlés par un câble plutôt que par un hydraulique, et le fait qu’il n’y avait pas d’autre moyen de transport était beaucoup trop intellectuel pour les adolescents locaux et les bouseux, aussi les accidents graves n’étaient pas rares lors de leurs courses.
-Mais le véritable zénith de la gloire du Hot-Rod qui a directement contribué à la propagation du Hot-Rodding à travers les États-Unis, c’est quoi ?
–Pour beaucoup de jeunes vétérans, coller un V8 dans une vieille Ford était une forme de réalisation de soi. Surtout en Californie, mais aussi dans d’autres États, de plus en plus d’ateliers de réglage de performance ont commencé à apparaître qui pouvaient aussi faire des Hot-Rods pour tous ceux qui en voulaient un. Et bien que tout ce qui sortait de Detroit puisse devenir un Hot-Rod, la plupart des Hot-Rodders ont choisi quelque chose de Ford ou de Mercury parce que l’Américain moyen est suiveur ! Des moutons ! Si bien qu’à ce jour, ce sont les marques qui sont reconnues comme étant le TOP des Hot-Rods les plus authentiques. C’est comme ça. Faut pas chercher à comprendre, mais en profiter.
-Les voitures ont été abaissées, repeintes avec plusieurs couches de peinture et décorées de divers dessins. Elles étaient équipés de silencieux qui changeaient le son du moteur, etc., et surtout équipées d’un moteur V8 à tête plate pour les rendre adaptés à la course, parfois même à la mort. Certes, les Hot- Rodders ont ensuite pris goût aux moteurs d’autres fabricants de Detroit, en particulier après l’introduction de modèles plus avancés avec de meilleures caractéristiques, mais pour un Européen Lambda, moyen, c’est au-dessus de sa compréhension…
-À la fin des années 1940, la fièvre des Hot-Rods s’est répandue à travers les États-Unis et ils sont rapidement devenus un attribut populaire pour les adolescents qu’Hollywood aimait aussi, par exemple, “Rebel Without a Cause”, qui était l’un des films les plus célèbres de James Dean, il comportait pas mal de Hot-Rods. La culture du Hot-Rod s’est répandue avec le cinéma; j’ai vu que dans votre Web-Site vous aviez une section cinéma avec une centaine de ses vieux films. C’est une performance car c’est presque impossible à trouver en dehors de GatsbyOnline ! Avec le rock and roll, arrivant, s’est lancée la sous-culture graisseuse chez les adolescents, les voitures modifiées devenant l’un de leurs symboles. Au fur et à mesure de son expansion, des publications consacrées au Hot-Rodding ont commencé à émerger, la première étant le magazine Hot Rod, qui a commencé à être publié en 1948. Les associations officielles de courses de Hot-Rod ont suivi, ce qui a permis de courir légalement sur des pistes de course de dragsters fermées sans avoir à se soucier de la police. Par conséquent, c’est de la culture Hot-Rod que la course de dragsters, qui est encore populaire à ce jour, est née.
-Étant donné que les cultures concernant le style des Hot-Rod’s sur la côte est et la côte ouest étaient quelque peu différentes, alors qu’en Californie, les Hot -Rods étaient de véritables œuvres d’art qui n’avaient parfois plus rien en commun avec la voiture d’origine, la conception des Hot-Rods dans l’est du pays était un peu plus subtile et axée sur les capacités techniques.
-La Mercury Eight de 1949 est considéré comme le dernier modèle approprié pour la construction de vrais Hot-Rods, cette baleine a même conduit à l’émergence d’une sous-culture distincte : les traîneaux de plomb façon Georges Barris, qui rendaient les voitures aussi lisses que possible en abaissant la caisse et en rasant les garnitures inutiles pour en finale réaliser un travail de peinture agressif. Ce sont surtout les Mexicains qui y ont trouvé leur bonheur. Les blancs sont uniquement Hot-Rodders. Les peaux-rouges n’ont aucun moyen d’acheter quoique ce soit d’autre que de l’alcool, les esquimaux non plus ! Les adolescents qui bricolaient de vieilles Ford dans les garages de banlieue partout, les transformant en véritables joyaux qu’ils sortaient le samedi soir pour se promener en ville et aller au drive-in étaient des blancs qui sautaient des jeunes blanches. C’est l’Amérique. Il semblait que les jours de gloire du Hot-Rodding ne finiraient jamais, mais… Au milieu des années 1960, Detroit a sorti la Muscle-car et la Pony-car. Soudain, il ne servait plus à rien de fabriquer sa propre voiture rapide lorsqu’on pouvait obtenir une Mustang chez le concessionnaire automobile le plus proche pour moins cher. Surtour qu’on pouvait aussi les voler pour pas un rond et les repeindre. La culture du Hot-Rodding a rapidement commencé à s’estomper et s’est complètement éteinte au milieu des années 1980, la population croissante de voitures sportives européennes et japonaises a également contribué à sa disparition !
-Cependant, les Hot-Rods sont redevenus à la mode au début des années 1980, cette fois non pas comme un moyen pour les adolescents qui voulaient courir pour passer leurs soirées, mais comme un type distinct de réglage de performance. Le mouvement Hot-Rod est à nouveau vivant aujourd’hui, et j’y ai été également pour beaucoup avec mes magazines Chromes&Flammes disponibles dans tous les pays, y compris aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie. Les temps évoluent, la presse papier s’est cassée la gueule, maintenant on est au numérique et là aussi www.GatsbyOnline.com navique en tête !
-Ouaisss frenchie ! OK ! Merci ! Le mouvement Hot-Rod est à nouveau vivant aujourd’hui grâce à Chromes&Flammes. C’est présomptueux, mais why not ?America First ! Yeahhhh !