LS1-Powered 1964 Chevy Impala Hopping-Lowrider /151.000$
Aux Etats-Unis d’Amérique, le “Hot-Rodding” est Blanc, parfois bi, mais tendance Blanc/Blanc, de surcroit très Mec-Blanc, même pour les rares “femelles” qui s’y fourvoient, de là à dire que c’est raciste, il n’y a que la couleur de la peau de différence. “Chacun chez soi” est quasi le mot d’ordre viscéralement intégré dans le “Stars and Stripes”…, C’est ainsi et pas autrement, l’époque n’est plus vraiment au lynchage des couleurs de peau autres, mais “plus vraiment” n’est qu’un terme de politesse convenue…
Le Hot-Rodding est Blanc… Le Kustom sautillant est Mexicano’s… Les Indiens (Amérindiens) Peaux-rouges sont décimés/génocidés et parqués dans des réserves… Les Blacks quant à eux se sont emparés du Bling-Bling-Donk,… Voilà, c’est tout, chacun chez soi, personne ne se mélange, c’est l’Amérique man, yeahhhhh ! Le rêve américain est basiquement raciste et catégorise les gens de manière simple : outre les sous-humains, il y a les bons et les pas bons, ça se termine par : “soi-même et les autres”… White America First… L’Amérique a même inventé la guerre (bientôt atomique) préventive…
Quoique tout évolue en force et en farce et attrapes (attrape-moi si tu peux, empèche-moi si tu l’ose” deviennent une maxime européenne, en Franchouille plus profonde encore, au cœur de la connerie ultime de la “Custouille”, grâce à Jacky’Touch Morel et Nitro, on a tout mélangé les genres et transgenres jusqu’à l’extinction générale pré-Covid, on a réinventé des normes, défini les bons et les méchants (Chromes&Flammes est le pire méchant de “tousses” même pire après 43 ans), favorisé les mélanges et offert beaucoup de coupes/trophées en fer-blanc pour marquer le cheptel des idolâtres dévots…
Il était même prévu d’embarquer les Muscle-Cars dans la cavalcade avec des catégories à n’en plus finir : les Street-machines, les Drag-machines, les Putes-Machines, les Sous-machines et au fin fond les Merdes-machines… En suite de ces élucubrations, mais pas totalement pour ça, en 2023 les tirages de presse “papier” sont nuls et toutes les presses décalées et racistes qui traitaient par dessus leurs jambes, les autos décalées, sont en faillite (Kustom’Mag, PowerGlide et Nitro par exemple) ne sont même plus à vendre aux plus offrants, il n’y a plus personne !
La merdâsse collective est sauvée par une catégorie simplifiée déclinée à toutes les sauces indigestes dans les réseaux asociaux : les Zaméricaines… L’honneur quant à lui n’est plus porté que par GatsbyOnline et ChromesFlammes réunis en un premier magazine numérique quotidien mondial 24h/24h réservé aux épicuriens intelligents, déjantés, caustiques, désabusés, humoristes, cinéphiles, baroudeurs, satyres & satiriques, aimant la vie, les femmes, les autos, les motos, les bateaux, les avions et les machines extraordinaires… Tout ça pour 1 euro le premier mois…
Aux USA, loin des avatars franchouilles, la Kustom-Kulture qui avait retrouvé ses racines historiques avec le retour des Rat-Rods (toujours Blancs de Blancs) qui attiraient les moins fortunés, est de nouveau en crise de même que les Bikers (Blancs également, mais majoritairement tatoués), ainsi aussi (sic !) des “ceusses” que personne n’attendait : “Les amateurs de Bling-Bling-Black” (des Rappeurs auto-décorés de chaines et de dents en or, autour desquels dansent perpétuellement des beautés lascives) !
Totalement écartés depuis toujours de toutes les couches du Kustom et du Hot-Rodding, ils ont inventé le Donk-Drag incluant des paris directs, sur tout simplement l’utilisation de leurs engins chamarrés dans des courses de dragsters baroques. Les dealers des cités et leurs sbires ont ainsi déboulé pour, plastronner et empocher direct du ca$h, du grand art ! En peu de temps c’est devenu viral et fermé aux non-Blacks, autant dire que c’est la Zone ouverte, mais tout y est bien en mains armées, tous unis dans la foi en le dieu dollar.
Les trafiquants de drogues dures ET les tenants du consumérisme applaudissent car ça dézingue les chiffres d’affaires, cette communauté étant friande de Coke, d’Héro, de jantes démesurées, d’accessoires qui arrachen et de putes à très gros culs ! Si en Franchouille c’est la Bérézina Marconienne, aux States, cette sous-Kulture se réinvente dans le “Donk-Drag”… C’est Black, c’est Bling-Bling, c’est violent, c’est purulent, c’est “Fric is beautifull” avec des “Beautifull black girls” prêtes sexuellement à tout, partouze, pour quelques dollars… C’est simple, c’est basique, c’est Yankee !
Et ça fonctionne pareil que dans les cités des pourvoyeurs de Coke et d’Héro, sauf que c’est aussi en plus une usine de parieurs, l’argent black coule à flot, tout est en Black, tout est Black… Black is beautifull… C’est le “DonkDrag”… Mais les Lowriders veillent, ne sont-ils pas des Gangbangers ? Et n’ont-ils pas toujours un statut élevé dans leurs quartiers ? Donc ça tiraille dans tous les coins et recoins ! Contrairement aux deux stéréotypes, les personnes qui construisent et conduisent des voitures lowrider jouent divers rôles tout en mobilisant une esthétique distinctive !
Ouaisss mes Popu’s, c’est pour les bandes, un acte de résistance et d’appartenance, une nouvelle application de méthodes ethnographiques critiques. C’est parfois surnommé le “Lowrider Space” et ça va au-delà des représentations merdiatiques, avec des voitures d’exposition très médiatisées et des scènes célèbres pour offrir aux égarés une visite réaliste des lowriders ordinaires qui transforment les paysages de rue en scènes sur lesquelles des identités dynamiques peuvent être exécutées.
Mais, certains remettent en question les histoires d’effacement, de confinement et d’immobilité de classe pour mettre l’accent sur la politique de présence mise en évidence dans le style des voitures personnalisées de style lowrider. Alors qu’on se déplace de plus en plus dans une économie d’occasion (de seconde main) pour se procurer les pièces nécessaires, les thèmes de la matérialité et du travail physique se croisent avec les questions d’identité, ce qui démontre finalement comment les espaces sont créés dans le processus de personnalisation.
Le cabriolet Chevrolet Impala de 1964 qui est présenté en vedette de ce reportage a été achevé en 2020. Alors que certains (blancs) voient cette sous-section du monde des passionnés de Lowrider’s comme déplaisante envers les Blancs ! Ils disent que Blacks et Mexicanos apprécient trop pleinement la communauté des Lowriders, qui sont pour eux des véhicules incroyables qui ont prouvé au monde la capacité d’un groupe de passionnés face aux blancs. Il est donc facile de voir pourquoi ces voitures sont le choix parfait pour tout rappeur à la recherche d’une pièce maîtresse dans un clip vidéo bling-bling.
L’un de ces musiciens, Nipsey Hussie, a eu cette idée lors du tournage de la vidéo de “Higher”, dans laquelle cette Impala’64 est un symbole important. Avec Ice Cube utilisant également ce véhicule pour “Good Cop, Bad Cop”, il est clair que ce lowrider est spécial. Contrairement à d’autres véhicules, il ne se targue pas d’un moteur V8 massif avec une tonne de puissance et de couple. Au lieu de cela, ce lowrider utilise un V8 350ci. Chaque élément de cette incroyable classique est ce que vous devriez regarder, car les amortisseurs hydrauliques permettent à la voiture de rebondir de haut en bas comme si elle dansait.
Tout d’abord, se tenir debout sur trois pneus tout en en soulevant un dans les airs n’est pas un problème pour cette construction incroyable malgré le fait qu’elle soit configurée pour une utilisation plus douce. Parallèlement à cela, vous pouvez également voir le véhicule rebondir alors que le conducteur montre une extraordinaire habileté au volant. Cette forme d’art, selon le propriétaire qui a conçu le véhicule et l’a construit avec sa fille, consiste à trouver le rythme de la voiture, car les voitures et la culture automobile sont profondément ancrées en Amérique.
Leurs contributions à la mobilité personnelle et collective ont profondément façonné le pays depuis la Grande Migration et l’exode du “Dust Bowl” à l’étalement des banlieues et à la routine des navetteurs modernes. La fabrication de voitures similaire a contribué à souder des communautés entières. L’Amérique ressemble à ce qu’elle est aujourd’hui, un ensemble de ghettos, à cause des voitures. Mais non seulement l’image de l’Amérique reflète la voiture, mais les voitures reflètent aussi leurs propriétaires, elles fonctionnent comme des emblèmes de leurs personnalités individuelles, de leurs valeurs.
Souvent aussi, cela déborde des cultures ethniques et régionales. Il y a peu de cultures automobiles américaines plus emblématiques, plus immédiatement reconnaissables. Les lowriders ont émergé pour la première fois avant et après la Seconde Guerre mondiale à partir de la culture hispanique/chicano de l’est et du sud de Los Angeles. Pareil que les Hot-Rod’s pour les “blancs”, de nombreux G.I. américano-hispaniques de retour de guerre sont rentrés chez eux avec de nouvelles compétences en métallurgie avec de l’argent à dépenser pour acquérir et/ou créer des voitures.
Les premiers favoris “Hispaniques” comprenaient des coupés d’avant-guerre comme la Mercury 200, l’Oldsmobile 88 et les Plymouth Ford et Chevrolet d’après-guerre. La caractéristique la plus déterminante d’un lowrider était, et reste, son dégagement visiblement bas. Ces voitures avaient des suspensions abaissées (et parfois des lignes de toit assorties). Les premiers lowriders ne se souciaient même pas des modifications réelles apportées à la suspension et comptaient sur des sacs de mélange de ciment ou de sable pour les alourdir.
La légende raconte que l’utilisation de l’hydraulique a été introduite pour la première fois pour permettre aux propriétaires de ces voitures d’éviter d’être verbalisés après qu’une loi californienne de 1958 ait interdit aux véhicules de rouler plus bas que le bas de leurs jantes. Cette loi avait été spécifiquement conçue pour cibler les jeunes Chicano’s pour harcèlement policier. Mais avec l’hydraulique (initialement tirée des systèmes de train d’atterrissage des avions), un conducteur pouvait simplement appuyer sur un interrupteur et augmenter la hauteur de caisse pour revenir à une hauteur légale.
La tendance à baisser leurs véhicules a nettement distingué la culture automobile chicano de la fin des années ’40 et du début des années “50 de celle de son homologue anglo-saxonne, les Hot-Rod’s symbole de la culture blanche adorée sur l’autel de la kustom-kulture avec leurs moteurs et leurs carrosseries modifiés pour la vitesse. Les courses de rue étaient la vérification la plus authentique de la capacité d’un Hot-Rod. En revanche, la culture des Lowriders a été fondée sur le dicton de “Bajito y suavecito” mettant en importance d’être bas sans prôner la vitesse.
Les lowriders étaient destinés à la croisière, pour montrer la qualité d’une voiture et ses personnalisations. L’accent étant mis sur l’esthétique et non sur la puissance. L’itinéraire de croisière classique pour les lowrider’s était Whittier Blvd. à East Los Angeles, en Californie. Whittier était une artère principale qui traversait le cœur de la ville. En tant que tel, elle fonctionnait non seulement comme une artère pour le commerce local, mais aussi comme une localisation de rencontre pour la jeunesse chicano de l’est de Los Angeles.
Whittier était l’endroit où vous alliez voir et être vu, et il n’y avait pas de meilleur véhicule pour naviguer sur la traînée principale qu’un lowrider. Les lowriders étaient alors et sont toujours actuellement bien plus que de l’hydraulique. En fait, le lowriding se concentre sur le développement du look et du style distinctif de chaque voiture. Les lowriders sont, avant tout une expression et une extension de la personnalité du propriétaire. Les travaux de peinture de fantaisie abondent en incorporant des paillettes, du brillant, des peintures murales élaborées, des rayures, le tout complété par beaucoup de chrome.
Ces travaux de peinture ne s’arrêtent pas non plus à l’extérieur de la voiture, beaucoup s’étendent à l’intérieur du compartiment moteur, du coffre et même jusqu’aux trains de roulement. Il n’est pas rare de voir des miroirs placés sous les Lowriders lors de salons d’automobiles pour s’assurer que les spectateurs peuvent profiter pleinement de la gloire de leurs travaux de peinture spectaculaires. En plus de leurs suspensions abaissées et de leurs extérieurs ornés, les lowriders complètent leur look avec des jantes flashy et des intérieurs bien aménagés.
Les jantes populaires comprennent les jantes de 13, et 14po souvent à rayons ou alors des jantes Spinner. Les dépenses et l’attention sont rarement épargnées sur les intérieurs lowrider. Le velours, le cuir gaufré et le vinyle imitation cuir ou peau de lézard localisent l’assise proverbiale du luxe un peu plus bas au sol. Les volants personnalisés sont une modification indispensable, tout comme les pédales, les manettes de vitesses. En gros, sur un lowrider, tout ce qui peut être personnalisé, sera personnalisé.
Au fil des ans, une certaine scission s’est immergée entre les “Trémies” et les voitures d’exposition. Les “Trémies” sont les voitures équipées d’un système hydraulique et de suspensions capables non seulement d’élévation, d’inclinaison ou d’abaissement, mais aussi de faire rebondir la voiture. Des concours sont même organisés pour tester quel lowrider peut réaliser le plus haut saut en hauteur. La quantité des rebonds met ces voitures en danger. Les propriétaires de lowrider ne risquent donc pas tout leur travail acharné et l’argent qu’ils ont versé dans leur voiture, pour la voir cabossée ou rayée en essayant de gagner.
Les “Trémies” peuvent en effet monter à-la-verticale et endommager le pare-chocs arrière et plier le châssis en pulvérisant le train avant… Bien que les traditions du lowriding remontent aux années 1940, la culture du lowriding n’a jamais cessé d’évoluer. Originaire de la communauté Chicano, le lowriding a trouvé de nouveaux fans et adhérents dans la culture hip-hop afro-américaine de la fin des années’80 et’90. Des rappeurs de la côte ouest comme Snoop Dogg, Easy-E, Ice Cube et des groupes comme Cypress Hill ont fièrement présenté des lowriders dans leurs clips.
Aujourd’hui, de nombreux clubs de lowrider’s tentent d’être multiraciaux avec des membres de divers horizons unis par leur passion envers ces voitures. Mais la plupart des lowriders continuent dans la tradition du “Bajito y suavecito”, quoiqu’une tendance moderne de “Low, slow, and go” voit des amateurs de lowrider investir dans des moteurs de haute performance et adopter la puissance comme un autre axe sur lequel juger de la qualité de leur conduite.Ces voitures sont prisées des “Blacks” qui les nomment des Donk-Cars : Allez lire ces deux articles :
– https://www.gatsbyonline.com/automobile/1-donkdrag-un-marche-de-putes-407028/
– https://www.gatsbyonline.com/automobile/2-donkcars-un-marche-de-dupes-407083/
La plupart des voitures lowrider classiques sont équipées moteurs V8, notamment cette Chevrolet Impala, remotorisée d’un LS1 Corvette V8 5L7 Super Sport. Les Impala’s ont longtemps été un choix populaire pour les modifications lowrider, surtout la 3ème génération, aucune n’étant plus vénérée que l’édition de 1964 qui était la dernière des Impala’s de 3e génération, recevant un look redessiné, avec des lignes plus lisses et plus arrondies, des modifications aux feux arrière et quantité d’options. La 64’Impala était une automobile distinctive et magnifique à sa sortie d’usine !
Son châssis en X et ses longs panneaux plats constituent une toile parfaite pour les amateurs de lowrider afin d’y réaliser des “oeuvres d’art”. Peut-être la plus célèbre de toutes les 64’Impala’s était la Gypsy-Rose de Jesse Valdez qui, avec ses frères, a fondé le club automobile “Imperials” à East LA. Ils ont travaillé sur trois versions différentes de la Gypsy Rose, deux 63’Impala’s et la version finale, une ’64. La Gypsy Rose arborait des panneaux rouge bonbon et rose, des bandes décoratives et présentait plus d’une centaine de roses peintes “à la main”.
L’intérieur comprenait une sellerie en velours, un bar à cocktails à l’emplacement de la banquette arrière et même des lustres ! Longtemps considérée comme l’étalon-or pour les lowrider’s, la Gypsy Rose a remporté de nombreux prix et distinctions et est apparue dans des magazines allant de Lowrider Magazine à Life et a même été présentée dans le générique d’ouverture de la série télévisée US des années ’70 “Chico and the Man”. Même après le décès prématuré de son créateur en 2011, la Gypsy Rose, maintenant détenue par Jesse Valdez junior, impressionne toujours les foules !
Les gens savent que les lowriders représentent une sous-culture automobile américaine spécifique. Pourtant, cela pourrait encore sous-estimer leur importance culturelle. Les lowriders sont seulement pour les “chicano’s” des œuvres d’art pouvant être conduites représentant un mode et un moyen spécifiques d’expression personnelle et culturelle émanant d’une époque et d’un lieu spécifiques. Ils appartiennent selon-eux au mouvement artistique Chicano plus large qui comprend les arts visuels comme les peintures murales et les graffitis.
Ils se considèrent être les acteurs d’un théâtre de rue ainsi que les créateurs de la mode “Zoot-suit” mise au point par la “Génération Pachuco”. La flamboyance des lowriders, avec leurs couleurs psychédéliques et leurs sautillements, reflète l’attitude et l’ostentation de toutes les formes d’art Chicano. Les lowriders se veulent transcender les simples automobiles pour s’asseoir aux côtés d’autres grandes formes d’art folklorique américain original comme la musique de jazz, de rock’n roll et de hip-hop, le patchwork-quilting et l’art du tramp.
De même, les lowriders travaillent à former et à exprimer une identité personnelle, communautaire et culturelle. Ce sont des démonstrations lentes de qui sont leurs propriétaires. Et vraiment, pour les amateurs de voitures étranges du monde entier, il y a peu de médiums plus attrayants pour l’expression de soi qu’une Impala’64 telle que celle ici présentée. Elle vient d’ailleurs d’être vendue 151.000$… Finie en bleu sur une sellerie personnalisée bleu marine, la voiture est je le rappelle propulsée par un V8 LS7 Corvette 5L7 jumelé à une transmission automatique à quatre vitesses.
L’équipement comprend des roues à rayons Dayton de 13 pouces, une capote bleue à commande électrique et une suspension hydraulique avec quatre pompes et décharges Adex, ainsi que des batteries Odyssey, des freins à disque aux quatre roues, des phares et des feux arrière à DEL, des pare-chocs et des garnitures chromés, un système d’allumage sans clé, un groupe d’instruments Dakota Digital et des composants stéréo de provenance indéfinie… Quoique sont identifiables l’unité centrale Alpine et les subwoofers JL Audio.
La cabine a été modifiée et rembourrée par California Upholstery de Bell Gardens, en Californie. Les sièges baquets avant à dossier bas sont garnis de cuir bleu marine avec des inserts en tissu et sont reliés par des sièges arrière et des panneaux de porte assortis. L’équipement supplémentaire comprend une console centrale pleine longueur, des ceintures de sécurité sous-abdominales, un système d’allumage sans clé, la climatisation, des vitres électriques, une caméra de recul et un système stéréo personnalisé !
C’est une unité principale Alpine, avec des haut-parleurs Focal et trois subwoofers JL Audio W7 montés dans le coffre, ajistés dans un boîtier de marque Tengoose. Un volant personnalisé avec un bouton de klaxon Impala fait face à un groupe d’instruments Dakota Digital comprenant un compteur de vitesse, un tachymètre et des compteurs numériques intégrés pour en connaître de la température du liquide de refroidissement, de la pression d’huile, de la tension électrique ainsi que du niveau de carburant.