Revology Shelby GT500 600cv 1967\2024
Les journalistes en général, selon les pires rumeurs et Fake-News, sont constamment conviés dans tous les plus beaux hôtels, dans tous les lieux les plus branchés du monde, afin qu’ils écrivent des articles dithyrambiques sur les produits des marques qui les invitent… Cela est la conséquence de la manipulation des chiffres de vente/lecteurs des divers médias pour paraître très importants. Ces habitudes scélérates, nuisent par ailleurs aux médias honnêtes qui peuvent démontrer disposer d’un nombre hallucinant de lecteurs, tels www.GatsbyOnline.com + www.ChromesFlammes.com qui enregistre via Google-Analytics, un nombre incalculable de visites journalières. Alors forcement, ça intéresse toute une tripotée de marques…
Même les plus improbables comme des fabricants de pâté, de puzzle ou même de chaussettes qui louent les sévices d’une agence de communication pour inviter les journalistes, dans un lieu hyper classieux pour boire du champagne, bouffer des plats de Maîtres-Queux super étoilés, draguer et baiser si affinités (ou grosse envie). Merci. Peu de journalistes se privent d’y venir s’encanailler quelques heures voire quelques jours et nuits. D’ailleurs on reconnaît un journaliste qui a de la bouteille à son degré d’exigence dans la qualité des boissons, car certaines marques, sous le prétexte d’économiser quelques menue monnaie en dollars, en Yens et/ou euros (les roubles sont en attente), servent du champagne de seconde zone, voire du mousseux… Pfffffffffffff !!!
Qu’ils ne viennent pas se plaindre d’avoir de mauvaises retombées médiatiques ensuite, surtout si le choix des hôtesses est discutable ! N’oubliez pas que la liberté de la presse, qui est la liberté d’informer “vrai”, mérite d’être défendue pendant encore de longues années… Hipsssssss !!! Les campagnes de dons y contribuent… Cette semaine je suis parti à l’autre bout du monde, au péril de ma vie (il y a le risque de se prendre une bouteille de champagne sur la tête lors de turbulences pendant le vol, sans parler de la possibilité de se noyer dans la piscine de l’hôtel ou encore de faire une mauvaise réaction à la nourriture servie dans le 5 étoiles, la liste des dangers est longue !
Tout ça écrit afin d’informer le monde (enfin au moins mes lecteurs/internautes…) de l’existence d’une nouvelle ancienne Mustang révolutionnaire car reconstruite sous des normes ambiguës. C’est bien entendu sur l’invitation du bénéficiaire de la chose que j’ai décidé de jouer au parfait journaliste d’investigation (je l’écris sans peur, puisque lâché dans l’hôtel, j’ai mis plus de 10 minutes à trouver le bar, errant dans les couloirs, risquant à tout moment de glisser sur le marbre (si on ne parle pas d’investigation et d’enquête à ce niveau, c’est à désespérer). Après avoir bien mangé, bien bu et regardé (un peu) le concept révolutionnaire, j’ai reçu en cadeau un n’nième PC portable contenant toute l’info, texte prémâché en 12 versions et photos au choix…
Cela laisse tout loisir de prendre connaissance du coté révolutionnaire de cette affaire une fois rentré “at-Hôtel”… En effet, je ne me suis pas attardé comme tous les journalistes, rédacteurs en chef et divers éditeurs du voyage, car ces présentations “presse” sont abrutissantes, il faut voyager, en avion ou en train express, se coltiner la première classe, boire du champagne, et une fois arrivé, supporté d’être pris en charge en limousine jusqu’à un Palace 10 étoiles ou on est obligé de déguster du foie gras, du caviar et des plats de chefs-coqs hors de prix, pour se retrouver après desserts et pousse-cafés à draguer les hôtesses prépayées, les rédacteurs en chefs pouvant s’offrir les attachées de presse, il n’y a pas de petits profits !
Pour la présentation, la salle de réception transformée en annexe de boîte de nuit, était remplie jusqu’à la gueule de bobos et branchouilles, look décalé, cool attitude, zik hype, et drague à tous les étages. Le Mumm 8/10, meilleur que la dernière fois ou était présenté un autre évènement révolutionnaire, je ne sais pas pourquoi puisque c’était la même cuvée, coulait à flot, à tel point qu’un nombre incroyable de bouteilles ont été sacrifiées sur l’autel du vice journalistique. Puis, en fin de soirée, je suis tombé sur l’adjointe de l’attachée de presse-en-chef, super mignonne avec qui j’avais fricoté il y a au moins deux ans. Pour remettre dans le contexte, j’avais déjà réglé leur compte à un nombre conséquent de coupes, dans les premières secondes et j’ai bloqué sur elle…
Je ne me souvenais pas qu’elle avait d’aussi gros seins. J’ai bafouillé une ou deux phrases à la cohérence douteuse, puis elle s’est mise à parler, nouveau boulot, nouvel appart’ et plein de détails dont une bonne partie ont été noyé par la musique du lieu. Et je ne sais pas pourquoi mais je n’ai pas réussi à lui sortir une seule phrase intéressante, je lui beuglais uniquement des phrases plates et sans intérêt dans les oreilles. Ce n’est pas tant que je sois passionnant à toute heure du jour et de la nuit, mais en général ça tient à peu près la route. Là, rien. Malgré des efforts surhumains pour essayer de l’intéresser, j’ai bien senti que son regard cherchait à droite et à gauche (pas en même temps… ) une échappatoire…
Je lui ai facilité la tâche, j’ai plongé dans le Mumm pour me remettre de tout ça, j’ai embrassé la première fille venue (super jolie) pour me rassurer, puis une autre (encore mieux)… Entre les hôtesses du vestiaire, les serveuses, la barmaid, les attachées de presse, et les potiches dont la presse prenait des jolies photos (inutiles puisque les fardes de presse comportent les articles prémâchés), il n’y avait pour ainsi dire aucune fille laide. Non pas que je m’en plaigne, adossé au bar j’observais le dancing floor, et je me disais que la vie d’une fille n’ayant pas un physique facile devait être terrible, car pas mal de jobs devaient lui échapper, elle ne devait pas particulièrement se faire offrir des verres en soirées, ni être draguée, les regards sur elle devaient être plus rares.
Pour une fille, un beau physique n’est pas forcement un plus (à moins d’entrer dans la catégorie mannequin), mais un physique peu avenant est, je crois, un vrai handicap. Même à la rédaction d’un magazine féminin, les filles sont étonnamment belles, et de faits ne sont pas représentatives de la diversité des femmes (il y a quand même des moches, faut être honnête…, mais nous sommes tous responsables de ça et Gérard Depardieu plus que les autres, de même que Nicolas Hulot et Patrick Poivre d’Arvor… Je crois que je suis plus cool, plus détendu avec les attachées de presse si elles sont jolies. De quel droit ? L’attachée de presse-en-chef de cette soirée était sexy, de sa jupe jaillissaient ses jambes longues, elle portait des bottes… Ouhlàlàlàlà !!!
Un premier regard échangé, un sourire, une bise, une coupe chacun, la discussion a démarré. Les banalités d’usage : “T’as pas changé Patrice, qu’est-ce tu deviens ?”… Deuxième coupe : passage des souvenirs : “Et untel, tu le revois, et lui qu’est-ce qu’il fait ?”... Troisième coupe, elle suit sans broncher : “Et les amours, comment ça se passe pour toi ?”... Quatrième coupe : discussion diverses : la musique, les voyages : “T’as pas envie de baiser ?”... Elle me regardait fixement, ses yeux ne me lâchaient pas, elle souriait, elle était belle, croisant et décroisant ses jambes dans un ballet qui me troublait. Cinquième coupe, je l’ai effleurée, elle m’a frôlé, j’ai posé ma main sur ses cuisses, ai glissé sur son corps, puis dedans…, oubliant qu’il y avait du monde : “Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !”...
Une bulle s’est refermée autour de nous, cela a duré, un peu, beaucoup, j’en sais rien, le temps a filé, tout d’un coup, elle a planté ses yeux dans les miens, nous sommes montés dans la Suite Royale que la marque m’avait réservé et payé d’avance… Plus tard, après l’amour, alors que je sirotais un mojito en examinant les cadeaux que j’avais reçu, je repensais à ce grave problème de société. La lucidité se faisant rare à cette heure avancée de la nuit, je m’enfonçais un peu plus dans le canapé et songeais à notre situation, nous les hommes. Je me suis révolté intérieurement, puis je me suis endormi. Dans mon endormissement, je me suis mis à penser, me rappelant que dans la caste particulière des journalistes, tous ont un rêve commun…
Celui de monter leur propre journal et magazine… Un rêve ou plutôt un fantasme puisque finalement très peu le font. Mais la question est de savoir pourquoi tous les journalistes sont excités à l’idée de créer un magazine voire un journal ? À cette question plusieurs réponses (à prendre à part ou mixées) basées sur mon expérience de Chromes&Flammes et de GatsbyOnline : Monter son canard c’est le moyen le plus rapide d’être rédacteur en chef, voire l’éditeur… et de ne plus devoir se farcir des piges et/ou écrire le courrier des lecteurs (le vrai courrier des lecteurs est majoritairement “pipoté” car il faut que le courrier des lecteurs soit intéressant, corresponde à ce que veut le rédacteur en chef…
Et dans le cas de magazines aux nombreuses femmes dénudées, une part importante du courrier vient de centres pénitentiaires divers ou le niveau global est souvent proche du néant : fantasmes inassumés, délires pornos complètement débiles, demandes de conseils pour entrer comme journaliste. Pondre un concept c’est se prouver qu’on est capable de faire aussi bien que ses supérieurs et donc de prendre leur place… Pourtant le meilleur moyen de trouver les fonds nécessaires à la création d’un titre, c’est justement de gagner à l’Euro million ce qui permet de se foutre que le dossier soit rejeté partout, ce pont “arrange” tout journaliste rêveur qui s’endort en se disant : “Quand je serai rédac-chef”…
Tout ça a près avoir prévenu sa femme/copine/animal de compagnie : “Tu sais au début du magazine il faudra que je bosse comme un dingue, j’aurai un peu moins de temps/argent à te consacrer”... Il fantasme sur la gloire, le pouvoir et l’argent qu’une telle réussite lui apportera. Bref un bon morceau de rêve pas cher et moins aléatoire que le Loto ou l’Euro million. Pourtant le meilleur moyen de trouver les fonds nécessaires à la création d’un titre, c’est justement de gagner à l’Euro million, car la presse n’est (généralement) pas une industrie rentable, il est beaucoup plus courant de perdre d’importantes sommes dans la presse que d’en gagner, surtout si on parle de presse d’opinion ou généraliste. La presse fascine car elle est un outil d’influence et de pouvoir…
Donc pour trouver des fonds et monter son magazine le “truc” est de proposer un magazine avec de grandes prétentions éditoriales et politiques et d’aller voir un chef d’entreprise en mal de publicité et simultanément tenté de se convertir à la politique. C’est ce qui s’est déroulé il y a peu de temps avec Paris-Match vendu 150 millions d’euros à Bernard Arnault de LVMH… Entre divers communiqués de presse et pubs des produits “maison” de LVMH, le contenu devrait être reformé en fonction des objectifs stratégiques politiques et autres et les Hot Rods, Kustoms et autres Chromes&Flammeries déjantées toutes politiquement incorrectes n’en font pas parties… C’est dire que même à Saint-Tropez les voisins sont adeptes du “chacun chez soi”...
Etant naturellement politiquement incorrect, mon concept numérique inimitable évite de baigner dans la mixité consumériste. Mon site internet déjanté ne traite que de sujets délirants : Automobiles extraordinaires, filles sexy en cuir et mojitos à gogo, trois mondes, un même idéal… Bref… J’en viens “ENFIN” à vous causer de la Revology qui n’est que la reconstruction d’une copie de Mustang Shelby GT500… Ce concept provient d’une réflexion douteuse découlant du temps qu’il fait en Californie… La plupart des voitures d’origine roulent rarement parce que les vieilles choses (comme les femelles de plus de 60 ans). La Revology qui est la “clonerie” (clownerie aussi) visée dans ce reportage palpitant, a donc été conçue pour être conduite n’importe où et n’importe quand.
“Notre voiture est faite pour vous Mister Pat de Burnie”, m’a déclaré Tom Scarpello (ci-dessus-dessous en photos), président et fondateur de Revology…. Sur le stand ROUSH Performance du salon SEMA, Revology Cars avait dévoilé sa réplique de Shelby GT500 – 1967 qui arbore le style classique mais avec une foule de fonctionnalités modernes. La voiture en question est construite sur la même plate-forme M58 à moteur avant et à propulsion arrière que Revology a peaufinée et utilisée sur ses autres répliques de Mustang, comme la Shelby GT350 -1966 . La plate-forme avait besoin de quelques ajustements pour s’adapter au moteur Coyote de 5,0 litres préparé par Roush, boosté par leur fameux compresseur Roushcharger TVS pour produire 600 chevaux !!!
“Nous avons révisé la transmission, le refroidissement, le système électrique, la suspension et même la carrosserie de la voiture pour gérer l’augmentation de la puissance”, m’a expliqué Tom Scarpello, ajoutant : “Le 5.0 RSC est un excellent moteur ; fiable, sophistiqué et à toute épreuve, avec une garantie constructeur de deux ans. Nous savions que c’était le moteur que nous recherchions pour la GT500, nous avons donc conçu la voiture en fonction de celui-ci”... Ok, ok… Cool… et bonjour chez vous… Revology a créé le premier exemplaire de sa Shelby GT500 – 1967 pour Mark Pieloch, un collectionneur multimillionnaire réputé qui possède déjà deux Mustang Revology, dont un cabriolet GT 1966 et une GT350H -1966….
Il m’a dit : “J’ai choisi Revology en raison de la façon dont ils intègrent la technologie moderne dans les styles de carrosserie classiques des années 1960. Revology est une entreprise technologique de pointe qui travaille à construire le meilleur véhicule possible. Le marché des véhicules classiques évolue ; Aujourd’hui, les gens recherchent plus de fonctionnalités et de fiabilité que ceux qui ont acheté ces voitures dans les années 1960. En particulier, les personnes de moins de 50 ans aiment le style de ces voitures mais recherchent des performances modernes et un confort optimal, et c’est ce que propose Revology”... Un moteur Coyote de 5,0 litres suralimenté par Roush et développant 600 chevaux propulse la Revology GT500.
La bête présente un style intérieur classique ainsi que des fonctionnalités modernes telles que la climatisation, le Bluetooth, la navigation et bien plus encore. Bien que les véhicules Revology incarnent certainement l’esprit des Mustangs classiques qu’ils honorent, les voitures regorgent de fonctionnalités et de technologies modernes. La Shelby GT500 est livrée de série avec la climatisation, des freins à disque assistés, une direction assistée, des vitres électriques, des serrures électriques, un télédéverrouillage et toutes les commodités que vous attendez d’une voiture moderne… “Les années 1960 ont été une période unique de créativité et d’expression débridées dans la conception de véhicules”, m’a ajouté Tom…
Il a continué avec d’autres banalités : “Nous préservons l’héritage de ces voitures, tout en les rendant fiables et agréables à conduire”... Si une GT500 classique dotée de toutes les fonctionnalités modernes vous semble séduisante, vous feriez mieux d’avoir vos finances en ordre. La Revology 1967 Shelby GT500 vous coûtera 399.000 $ plus taxes et divers, avec la certification d’un système locatif permettant de l’utiliser en Europe… Une manière de détourner les montagnes d’emmerdes que nos gouvernements accumulent pour nous rendre la vie impossible… Les prix ne cessent d’augmenter, il y a 4 ans, le prix demandé était de 299.000 $… Pour 2025 il va avoisiner le demi-million de US$…
-Tom Scarpello, qu’est-ce que la Revology Mustang ?
-Patrick Debruyni, la Revology Mustang est la première reproduction au monde de la Mustang originale. Il s’agit d’une toute nouvelle réplique autorisée qui ressemble à une Mustang originale, mais qui est conçue et construite à l’aide d’une technologie et de matériaux modernes pour des performances, une fiabilité et un confort considérablement améliorés.
-Comment la voiture est-elle vendue et immatriculée ?
-La Revology Mustang est vendue sous forme de châssis roulant, sans moteur ni transmission. Il est enregistré en tant que réplique aux États-Unis sur la base des exigences de chaque État en matière d’enregistrement des répliques de véhicules automobiles. En fait c’est un Kit-Cars. Le client utilise les documents d’une Mustang donneuse
-Revology peut-il construire une Mustang Revology à partir d’une Mustang originale de 1965-1968 ?
-Oui. Étant donné que les dimensions de la Mustang Revology sont identiques à celles de la Mustang d’origine, il est possible de reconstruire une Mustang d’origine selon les spécifications Revology.
-La Revology Mustang peut-elle être immatriculée en Californie ?
-Oui. Le Revology Mustang peut être enregistré pour une utilisation en Californie dans le cadre du programme “Title and Registry SB100”.
-Que pensent Ford et Shelby de Revology ?
-Toutes les Revology Mustang et Shelby GT sont respectivement sous licence officielle Ford et Shelby. Revology Cars est la première et actuellement l’une des deux seules sociétés autorisées par Ford à construire des reproductions de Mustang de 1965 à 1970. Revology est l’une des quatre sociétés au monde autorisées à construire des reproductions sous licence de Shelby GT.
-La Revology Mustang répond-elle aux normes fédérales actuelles de sécurité des véhicules automobiles (FMVSS) ?
-Non. Il est impossible de respecter les FMVSS actuelles étant donné les contraintes de l’architecture des véhicules des années 1960. Cependant, la plate-forme Revology Mustang présente de nombreuses améliorations en matière de sécurité passive non disponibles dans les voitures d’origine, notamment des ceintures de sécurité à trois points pour le conducteur et le passager, un système de freinage à double circuit, un arbre de direction pliable, un interrupteur à inertie de pompe à carburant, un système de freinage de calibre 16. plancher de coffre en acier et appuie-tête conducteur et passager en option. Les clients doivent posséder une Mustang similaire avec documents en ordre et les présenter dans le motif d’une restauration-modifiée...
-La Revology Mustang a-t-elle des airbags ?
-Non. Il est impossible d’installer des airbags sans altérer substantiellement l’apparence de la voiture. Cependant, la plate-forme Revology Mustang présente de nombreuses améliorations en matière de sécurité passive non disponibles dans les voitures d’origine, notamment des ceintures de sécurité à trois points pour le conducteur et le passager, un système de freinage à double circuit, un arbre de direction pliable, un interrupteur à inertie de pompe à carburant, un système de freinage de calibre 16. plancher de coffre en acier et appuie-tête conducteur et passager en option.
-La Revology Mustang a-t-elle des freins ABS ?
-Bien qu’il soit théoriquement possible de concevoir un ensemble de freins ABS pour la plate-forme Revology Mustang, le coût de développement élevé ne peut pas être amorti sur les faibles volumes de production d’une automobile en édition limitée, construite à la main comme celle-ci. Cependant, la plate-forme Revology Mustang comporte de nombreuses fonctionnalités de sécurité active non disponibles dans les voitures d’origine, notamment des freins à disque assistés aux quatre roues, une direction assistée à crémaillère, des pneus radiaux de performance et un éclairage extérieur à LED lumineux, y compris des feux de freinage environ 10 fois plus lumineux que les originaux.
-Quand Revology a-t-elle été fondée ? Par qui?
-Revology a débuté ses activités en 2014 et a reçu une large publicité et des éloges pour la qualité et l’exécution de son concept cabriolet Mustang de 1966, exposé au prestigieux Concours d’Amelia Island en 2015. Revology a été fondée par Tom Scarpello , dont la longue carrière dans l’industrie automobile comprend une expérience en tant que chef de l’équipe des véhicules spéciaux chez Ford et postes de direction chez Jaguar, Nissan et Infiniti. Cette expérience a donné à Scarpello l’expérience et la connaissance approfondie des nombreuses disciplines de l’industrie automobile, de la fabrication au marketing, nécessaires pour créer sa propre entreprise automobile.
-Combien d’employés y a-t-il chez Revology ?
-En janvier 2024, l’entreprise comptait 126 employés, dont une équipe de direction de huit membres possédant une vaste expérience OEM de marques telles que Ford, Honda, GM, LUCID, BMW et Nissan.
-Combien de voitures ont été livrées jusqu’à présent et combien de voitures sont en production ?
-Les Mustang Revology ont été achetées par des passionnés aux États-Unis, en Europe et en Asie, attirés par un véhicule qui combine le design vénéré de l’original avec le matériel et la technologie les plus récents. En janvier 2024, Revology Cars avait livré 201 voitures à des clients aux États-Unis et dans le monde. À tout moment, l’entreprise produit 25 à 30 voitures.
-Quel est le délai de production et y a-t-il des retards ?
-La production du véhicule prend environ 6 mois.
-Quelle est la couverture de la garantie ?
-La garantie pare-chocs à pare-chocs Revology Mustang est d’un an avec kilométrage illimité. De plus, le groupe motopropulseur (moteur, transmission et partie arrière) bénéficie d’une garantie de deux ans et la carrosserie est couverte pendant cinq ans contre la rouille et la corrosion.
-Revology proposera-t-il à l’avenir des reproductions de Mustang et/ou Shelby d’autres générations ?
-Nous avons commencé avec les modèles 1964½-1966, car c’étaient les premières Mustang emblématiques. Depuis lors, nous avons lancé la Shelby GT350 de 1966, la Shelby GT350 de 1967, la Shelby GT500 de 1967, la GT 2+2 Fastback de 1967, la GT 2+2 Fastback de 1968 et la Shelby GT500KR de 1968. À l’avenir, nous construirons tout ce que nos clients veulent, donc s’il y a suffisamment de demande pour les modèles ultérieurs, nous les construirons certainement.
-Revology vend-il des pièces ?
-Oui. Revology Performance est la division pièces et accessoires de Revology Cars. Désormais, les constructeurs Mustang Restomod du monde entier ont accès à des composants et des systèmes correctement conçus et soigneusement adaptés qui fonctionnent en harmonie pour offrir une combinaison imbattable de performances, de fiabilité, de maniabilité et de confort, avec une sécurité améliorée. Chez Revology, nous sommes des spécialistes de l’intégration de véhicules. Nous vous fournirons une solution système complète et entièrement intégrée, et pas seulement un ensemble de pièces !
-Revology fabrique-t-il des Hot-Rods et des voitures personnalisées ?
-Non. Revology n’est pas un magasin de Hot-Rods, nous sommes un constructeur automobile. Cependant, nous avons la capacité en interne de concevoir et de construire pratiquement n’importe quoi, il peut donc y avoir une exception pour un projet particulièrement intéressant.
-Comment puis-je être sûr que la qualité et la fabrication seront du plus haut niveau ?
-Toutes les Revology Mustangs utilisent le même ensemble de composants éprouvés et passent par un processus de construction standardisé. Nous avons réalisé un investissement important dans le développement de notre plate-forme Mustang 1965-68 afin de garantir la plus haute qualité, fiabilité et durabilité. Revology a produit plus de Mustang 1966 consécutives que quiconque depuis Ford en 1966. Comme on dit, faites une chose, faites-la bien.
-Puis-je essayer une Revology Mustang avant d’en acheter une ?
-Oui, si nous avons un véhicule disponible. Pour le moment, nous n’avons aucun inventaire invendu ; 100% de notre production est dédiée aux commandes fermes des clients.
-Quel est le calendrier de paiement ?
-Le paiement s’effectue en quatre versements égaux. Le premier quart du paiement est effectué lors de la soumission de l’ordre de fabrication initial. Le prochain 1/4 du paiement est effectué lorsque la carrosserie entre en production. Le 1/4 suivant est effectué lors de la peinture de la carrosserie et le dernier 1/4 est effectué à la livraison.
-Quelle est la valeur de revente de la Revology Mustang ?
-La Revology Mustang est trop récente pour avoir établi un historique de valeur de revente. Cependant, étant donné qu’il s’agit d’une automobile extrêmement rare, construite à la main, construite à 100 % sur commande, et que nous avons un carnet de commandes depuis le début de la production, nous nous attendons à ce que la revente soit excellente. La valeur de revente est fonction de l’offre et de la demande. Nous savons que nous construisons un produit de luxe et que l’exclusivité en est un élément important. Nous serons toujours axés sur la demande et non sur l’offre.
-Où puis-je faire réparer ma Revology Mustang ?
-Les Mustangs Revology peuvent être entretenues chez n’importe quel concessionnaire Ford, et même dans pratiquement n’importe quel atelier indépendant capable d’entretenir les premiers et les derniers modèles de Mustang.
-Où puis-je faire effectuer des travaux sous garantie ?
-Les travaux sous garantie peuvent être effectués chez n’importe quel concessionnaire Ford participant aux États-Unis et au Canada ou dans tout atelier indépendant capable d’entretenir les premiers et les derniers modèles de Mustang. Les réclamations au titre de la garantie sont payées par Revology directement au fournisseur de services afin que le processus soit transparent pour le client.
-Quels moteurs proposez-vous ?
-Les Mustang et Shelby Revology sont disponibles avec le moteur Ford 5,0 L Ti-VCT DACT « Coyote » de 460 ch, ou le moteur ROUSH Performance RSC 5,0 L Ti-VCT DACT « Coyote » de 710 ch suralimenté et à refroidissement intermédiaire.
-Voudriez-vous installer le moteur de mon choix ?
-Non. Les Mustang et Shelby Revology ont été conçues et testées avec les moteurs de production actuels et ne sont disponibles qu’avec ces moteurs.
-Quel type de carburant la Revology Mustang utilise-t-elle ?
-Toutes les Mustang Revology sont conçues pour fonctionner avec du carburant super sans plomb, avec un indice d’octane de 91 ou plus.
-À quel type de kilométrage puis-je m’attendre ?
-Revology n’a pas exécuté le cycle officiel de l’EPA, mais nos voitures d’essai consomment généralement en moyenne 16 à 18 mpg en ville et sur autoroute, selon la façon dont elles sont conduites.
-Quelles couleurs sont disponibles ?
-Pratiquement toutes les couleurs originales de la Mustang, des années 1960 à nos jours, sont disponibles. Des couleurs personnalisées peuvent être spécifiées moyennant des frais supplémentaires.
-Après avoir effectué mon premier versement, quelle assurance ai-je que ma voiture sera effectivement construite à temps, comme spécifié ?
-Revology Cars vous tiendra informé de l’état de production de votre voiture via un portail propriétaire protégé par mot de passe. Lorsque votre voiture entre en production, des photos seront publiées périodiquement afin que vous puissiez suivre les progrès. Tout comme dans l’usine Ford, toutes les voitures se voient attribuer une feuille de fabrication en usine lorsque la commande du client est signée. Toutes les voitures seront construites strictement selon la feuille de construction d’usine.
-Revology propose-t-il des visites d’usines ? Je pense aux internautes lisant GatsbyOnline ainsi que ChromesFlammes…
-Non. Même si nous le souhaiterions, nous ne sommes pas en mesure de répondre aux nombreuses demandes de passionnés pour une visite d’usine. Vos internautes peuvent venir nous voir sur rendez-vous à cette adresse : 2024 Revology Cars LLC | 2252 Commerce Park Drive, bureau 350 • Orlando, FLorida 32819 USA.