Scarab Mk1 1957-2025/235.000$
La Scarab t’écarquille les yeux d’incompréhension ? Diablerie ? Maudit sois-tu, putride et vil mécréant de n’en rien connaître ! Maudit soit l’esprit qui a dicté tes incompétentes pensées. Maudite soit la main qui te les a fait écrire sur Fesses de boucs. Malheureux quiconque fol ayant tout diffusé, stupides ahuris qui les ont lues et damnation pour qui en aura connaissance. Mais bénis soient qui purgeront le Web de cette peste… Ahhhhh ! J’enrage… Mais qu’il est bon en soi de l’écrire… Quel bélître est donc la cause de cette bubonique intoxication ? Que de mièvreries dois-je donc encore subir en nos temps de fin de monde ?
Que des veaux, que dis-je ? Diantre… Qui donc fourche ma langue en concupiscions savantes de veaux en chairs qui offrent bonnes bouillies merdiatiques ? Que de bons beaufs rôtis, de leurs peaux dont on couvrira des livres saints avant que ne déboule l’infâme et vil Khan-Zelensky, ce mongoloïde Ukrainien, risée même des lucifèreries… Je m’en force à corriger ma flamme, pour langues brûler… Mais la tienne méchant n’est bonne qu’à être grillée, aussi le seras-tu demain car tu t’es montré crédule des sorcelleries Macronniènnes débitées en orgies merdiatiques…
Oui, pôvre sot où sotte, tu t’es avachi(e) des funestes ébats transgenristes qu’on t’a jeté à la face en entrée des farces Olympiques, sans te rendre compte que de pleins malheurs s’abattront en conséquence, sur ta face hébétée, putride et misérable… Même les chiens bâtards en éternelles errances se moqueront de tes choix de votes inconséquents… Tu t’es maudit en vaines explications bredouillées en ton sabir de suffisances maléfiques. La fin des temps approche, et nulle survivance n’est à espérer issue d’un tel univers de stupidités et croyances inculquées. Nul Dieux n’en voudraient revoir refaire…
Ahhhhhhhhhh ! Ce n’est nulle part d’autre que vous subirez pareille entrée en matières diverses concernant une automobile tellement rare qu’inconnue dans le climat actuel théologico-politique de l’amour obligatoire de l’Ukraine et de son clown/bouffon qui favorise une méfiance envers toutes les formes d’expression suspectes d’hétérodoxie et d’hérésie qui apparaîssent à chaque crise dogmatique… L’intelligence est en conséquence soumise à une révision supprimant toute valeur morale et tout bon-sens… C’est ainsi qu’un clown Ukrainien dirige le monde et que renait la censure… Prenez-y garde…
Pour ma part, l’Ukraine me saoule… J’ai la chance d’avoir échappé à divers et multiples traquenards perpétrés par de véritables maffieux, dont le vol de ma LéaFrancis au nom du Groupe AXA, qui démontre une existence criminelle ayant infiltré les plus hautes sphères de nos Etats en ce compris Gouvernements et Justice envahis par la corruption… Ce n’est que pareil pour l’Ukraine avec ces derniers temps l’aveu que des centaines de milliards ont été injectés au mépris de toute éthique et humanité… De tels exemples ne peuvent que générer de mêmes copies dans nos quotidiens… Misérable…
C’était en 1958, Briggs Cunningham avait déjà prouvé que les voitures de course sportives américaines à moteur V-8 pouvaient rivaliser avec les meilleures automobiles de course Européennes, mais des doutes subsistaient. Ferrari, Aston Martin, Jaguar, Maserati et Porsche étaient encore la norme des voitures de sport. Il y avait eu quelques concoctions rapides en Californie comme la “Troutman&Barnes Special”, la “Caballos” d’Ak Miller et la “Sterling Edwards Special”. Mais les Européens avaient la meilleure main. Du moins, jusqu’à l’arrivée de Lance Reventlow.
Jeune et fortuné, Lance Reventlow a embauché les meilleurs artisans automobiles du sud de la Californie, dont beaucoup de Hot Rodder’s, et a créé la “Scarab”. Le grand test a eu lieu à Riverside en 1958 lorsque Chuck Daigh dans une “Scarab” a survécu à Phil Hill et sa Ferrari 412 MI… Pour ceux d’entre vous qui vivraient dans le Midwest plutôt qu’en Franchouille profonde, vous savez que Augie Pabst et Harry Heuer ont gardé leurs Scarab’s à l’avant-scène pendant plusieurs saisons… C’est ainsi qu’à débuté l’aventure Scarab qui fait l’objet de cette chronique. Chuck Pelly est aujourd’hui un designer industriel.
C’est le fondateur de Designworks USA, qui est le studio californien de design BMW. À l’âge de 18 ans, étudiant à l’Art Center College of Design, Pelly a dessiné la célèbre forme extérieure de la Scarab. Il possède la Scarab châssis #003 Mk II. C’est l’une des trois versions de course disposant d’un moteur avant. Dans le livre de Preston Lerner sur les Scarab’s, Chuck Pelly s’est laissé allé aux souvenirs dont son travail de conception : “Cela n’a pas pris très longtemps, peut-être deux semaines et demie. Si je me souviens bien, mes frais totaux étaient d’environ 200 $”…
Il a de suite ajouté : “Le nom complet du client qui me commandait de réaliser un design au TOP était Lawrence Graf von Haugwitz-Hardenberg-Reventlow, mais comme s’était trop long à dire, on l’appelait Lance”. Fils de Barbara Hutton, l’héritière de Woolworth et de l’un de ses sept maris, le comte Kurt von Haugwitz-Hardenberg-Reventlow, Lance a été marié deux fois à des actrices : Jill St. John et l’ex-Mouseketeer Cheryl Holdridge…Il sera copié par Caroll Shelby dans son style de patron/pilote dans quantités de courses, telle le Grand Prix de Monaco puis le RunTop de Vacaville en 1960.
Il avait préalablement remporté la Coupe du Gouverneur du Nassau Trophy avec Chuck Daigh lors des Nassau Speed Weeks de 1958. Chuck Daigh a déclaré à propos de Lance Reventlow : “C’était un bon pilote, mais il n’était pas génial. Il avait le talent, mais pas la confiance”… Chuck Daigh a beaucoup à voir avec la modification aux normes “courses” des Chevrolet V-8 destinés aux Scarab’s, mais aussi avec sa passion des voitures sportives. Sa victoire au Grand Prix 1958 de Riverside avec une Scarab, a beaucoup contribué à établir la réputation des Scarab’s de Lance Reventlow.
La grande confrontation Scarab-Ferrari devait avoir lieu lors du Grand Prix des voitures de sport de 1958 à Riverside. Daigh et Reventlow étaient chacun dans une Scarab, confrontés à Phil Hill pilotant une Ferrari 412 MI. Daigh était en pole, Hill à seulement 0,02 seconde derrière, et Hill s’ingéniait à poursuivre Chuck Daigh. Mais, la Ferrari a été victime de la chaleur locale, de son incapacité à se refroidir et de divers problèmes de carburant. Chuck Daigh a gagné et Dan Gurney a terminé deuxième dans une Ferrari, ce qui fut un grand pas en avant au bord du gouffre dans sa carrière.
Le pilote de course Scarab le plus célèbre était peut-être Augie Pabst au volant de la Scarab châssis 002 engagée par Meister Bräuser. Il prenait tous les risques et a marqué les mémoires en prenant à fond sans freins le dernier virage de Laguna Seca lors du Grand Prix du Pacifique 1960, qui faisait partie du championnat de course sur route de l’USAC… Quelle était la vitesse maxi de cette Scarab ? Road & Track a testé la voiture avec Reventlow au volant et a obtenu un 0 à 60mph en 4,2 secondes et un 0 à 100 en 9,0 secondes. Le quart de mile arrivant en 12,2 secondes à 120 mph.
Considérez la disposition d’une voiture de course de sport moderne avec son moteur monté à l’arrière, puis pensez à la disposition mécanique de la Scarab de 1958. Elle était encore dans la lignée des moteurs avant comme les Ferrari et Aston Martin de l’époque. Les moteurs centraux comme Porsche et Cooper qui faisaient des percées arrivaient peu à peu. Reventlow avait espéré courir avec les Scarab’s en Europe, mais les règles avaient changé et exigeaient des moteurs de 3,0 litres. L’équipe a essayé d’installer un moteur Offy (Offenhauser), mais il s’est avéré trop lourd et pas assez puissant.
Les courses de Scarab ont donc été confinées aux États-Unis à l’aide du bon vieux Chevrolet V-8 Hilborn à injection de 339ci développant 365 chevaux à 6.000 tr/min. Le tableau de bord des du Scarab’s n’avait rien d’étrange : c’était une planche avec un grand tachymètre, des compteurs pour surveiller le carburant et l’huile, un ampèremètre, des rangées d’interrupteurs à bascule et un bloc de fusibles. Imaginez-vous maintenant que vous êtes attaché dans le siège du conducteur, 365 chevaux à l’avant, Phil Hill à côté de vous sur la grille à Riverside par une chaude journée californienne…. Waouwwwww !
Imaginez que vous êtes attaché dans le siège du conducteur, 365cv à l’avant, Phil Hill dans une autre voiture à côté de vous sur la grille de Riverside par une chaude journée californienne. Dépouillé de sa carrosserie en aluminium, vous pouvez vous faire une idée des Scarabs créés par des légendes telles que Warren Olson, Dick Troutman, Tom Barnes et Chuck Daigh. Utilisant le savoir-faire américain dont une expérience dans les Hot Rod’s. Le châssis spatial de Troutman et Barnes pour les Scarab’s ne pesait que 127 livres et était enveloppé dans une carrosserie en aluminium formée par un autre artisan, Emil Deidt.
L’un des secrets du succès des Scarab’s était la suspension arrière, qui était basée sur le tube De Dion que vous pouvez voir derrière le différentiel à changement rapide. Sur les côtés du différentiel se trouvent les freins à tambour intégrés, chacun avec son carénage et ses ailettes destinées à agir comme un ventilateur de refroidissement centrifuge. Deux célèbres coureurs d’époque, Augie Pabst et le Meister Bräuser Scarab qui se sont fait connaître lors des courses de juillet sur le circuit d’origine, Road America sur le lac Elkhart. sont de chaque coté de votre voiture et les moteurs rugissent…
Le châssis 001, le Mk I à conduite à gauche, a couru avec succès dans des courses historiques aux États-Unis et en Europe par Don Orosco, ici vu lors des courses automobiles historiques de Monterey au Mazda Raceway Laguna Seca. Le propriétaire actuel, Rob Walton, fait également campagne avec la voiture lors d’événements vintage. La dernière Scarab était une voiture de sport à moteur central, qui s’écarte de la voiture qui sert aux illustrations de cet article… Cette recréation de la Scarab Mk I a été construite entre 2022 et 2024 par Scarab Motorsports, basé au Kansas, avec une carrosserie en aluminium.
Celle-ci a été fabriquée à la main puis peinte/finie en bleu métallique et montée sur un châssis en tubes d’acier au chrome-molybdène. La puissance provient d’un V8 Chevrolet 350ci doté d’une injection électronique Hilborn, tandis que les changement de vitesse s’effectuent via une transmission manuelle à cinq vitesses Tremec et un pont/différentiel à changement rapide Winters. La voiture roule sur des jantes de 16 pouces Halibrand, la suspension avant est indépendante et l’arrière est façon de Dion. Le freinage se fait à partir de disques Wilwood réglables en diagonale.
À l’intérieur, des sièges en aluminium garnis de cuir noir sont accompagnés de ceintures abdominales à loquet et à liaisons, d’un volant Nardi cerclé de bois et d’une instrumentation Stewart Warner. Un système d’échappement à double sortie latérale, un radiateur en aluminium avec un ventilateur électrique et “une pile à combustible” sont d’autres rendez-vous. Cette recréation de la Scarab Mk I est immatriculée “à l’Américaine” avec un certificat d’origine et un titre de propriété de l’Arizona qui répertorie le véhicule comme une SCRB de 1958… Aux USA, seul le business consumériste compte…
Comme déjà commenté plus avant dans mon texte, les voitures de course Scarab originales étaient la vision de l’héritier de Woolworth, Lance Reventlow, qui en 1957, à l’âge de 21 ans, a recruté une équipe de spécialistes pour concevoir une voiture de course sportive entièrement américaine… C’était de plus à Hollywood, en Californie… Dirigé par Warren Olsen, la société Reventlow Automobiles a achevé la Scarab Mk I à conduite à gauche et à moteur Chevrolet au début de 1958 avant de construire deux variantes Mk II à conduite à droite plus tard cette année-là.
Après une saison dominante pour les Scarab’s, les deux secondes voitures ont été vendues à d’autres équipes, tandis que la seule Mk I a été convertie en voiture de route pour Reventlow. Cette recréation a été construite à l’identique de celle-ci par Scarab Motorsports, qui a commencé à proposer des recréations modernisées en 2010. La carrosserie en aluminium est fabriquée à la main et en ce cas a été finie en bleu métallisé. Le châssis en acier au chrome-molybdène 4130 est soudé au TIG. Les détails extérieurs comprennent un pare-brise enveloppant en Lexan de même que les couvercles de phares.
Il y a un carénage d’appui-tête pour le conducteur, un bouchon de remplissage de carburant en aluminium et deux tuyaux d’échappement latéraux. Les jantes de 16 po de style Halibrand sont enveloppées de pneus Dunlop Racing 6,00po avant et 6,50po arrière. La voiture est équipée d’une direction à crémaillère et de freins à disque Wilwood aux quatre roues avec biais réglable, de rotors arrière intérieurs et de tuyaux en acier inoxydable tressés. Le cockpit est configuré en conduite à gauche et abrite des sièges en aluminium avec des coques extérieures apparentes et des surfaces enveloppées de similicuir noir.
L’aluminium nu est également visible sur le tunnel central, les portes intérieures et la paroi arrière. L’équipement supplémentaire comprend des ceintures abdominales à loquet, un volant Nardi cerclé en bois sur une colonne de sécurité, un rétroviseur monté sur le tableau de bord et une moquette noire. Le tableau de bord au fini froissé noir abrite l’appareillage à bascules, ainsi que l’instrumentation Stewart-Warner, y compris un tachymètre à 8.000 tr/min, un compteur de vitesse de 160 mph et des jauges surveillant la pression d’huile, la température de refroidissement, la tension et le niveau de carburant.
Le compteur kilométrique est numérique. Le V8 Chevrolet 350ci provient de BluePrint Engines et dispose d’un système d’injection électronique de carburant Hilborn surmonté de trompettes d’admission inclinées. Le refroidissement est assuré par un radiateur en aluminium avec un ventilateur électrique et un réservoir de trop-plein, tandis que les collecteurs tubulaires alimentent un système d’échappement à double sortie latérale. D’autres nominations(aux Oscars) comprennent un distributeur MSD, des couvercles de soupape à ailettes et une pile à combustible Harmon de 18 gallons.
Voilà, vous êtes arrivé au dernier bloc de texte et une fois les photos placées, je m’en irai prendre un bain… Ahhhhhh ! Chers Tous et chères Toutes, il m’en coute de vous laisser, je ne puis que vous inviter à lire mes 4.500 autres textes qui à raison de deux par journée devraient vous prendre presque 10 ans… C’est un peu moins que le temps que j’y a passé à les composer comme Beethoven des sonates et autres… Un exploit surement qu’il me parait impossible de relire pour en améliorer les multiples sens… Voilà… Un click sur chaque photo pour l’agrandir et Hop !